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Chapitre 1 : L'astre Pourpre
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Mystique de la canopée
Chambre 20
2 gemmes
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Reïlo Blanche Flamme & Mirtzar Boucledacier Reïlo Blanche-Flamme & KvothDouzième jour du cœur de l’hiverLieu : Les monts de Galènes, Duché d’Arcata.Moment : MatinéeMétéo et températures : Froid (-14°C), temps nuageux, vent frais.Après les dernières recommandations d’usage, le rôdeur et le prêtre partirent sans perdre un instant, laissant derrière eux, Harold et l’enfant. Les traces menaient droit à des pitons rocheux que l’on apercevait aisément sous les rayons de lune. Ils marchèrent ainsi une bonne partie de la nuit, sans atteindre de destination particulière. Eclata alors un terrible orage, et la pluie battante obligea les deux hommes à s’arrêter sous le couvert des arbres et à attendre le jour. Durant cette nuit, ils firent à nouveau l’expérience de l’un de ces terribles cauchemars : « Reïlo s’éveilla enchainé à un arbre, il faisait nuit autour de lui, et la lune était d’un rouge sanguin. L’obscurité était emplie de hurlements sinistres, parmi lesquels il reconnut la voix de la Grande Prêtresse, qui semblait torturée ! Le prêtre ne parvenait pas à se délivrer de ces chaînes. Les seules choses qu’il percevait étaient ces hurlements terrifiants et la morsure des fers sur ses poignets. Des heures durant, il entendit crier, toujours plus intensément. Le jour ne semblait pas vouloir se lever. Quand, soudain, les chaînes disparurent, se dissipant alors qu’il renonçait. Reïlo se leva aussitôt, Yoline hurlait toujours. Brusquement, une sphère de lumière apparut devant lui. Alors qu’il s’apprêtait à la toucher, il fut arrêté dans son mouvement par des mains squelettiques surgissant du sol pour se refermer sur ses chevilles, s’enfonçant dans ses chairs. Partout autour de lui, des squelettes jaillissaient de terre, leurs doigts décharnés tendus vers vous. La Grande Prêtresse hurlait toujours. Les squelettes se jetèrent sur Reïlo et… » Le semi-Drow s’éveilla en sueur tandis que l’humain à ses côtés poussa un hurlement de terreur. Les cauchemars à répétition commençaient à sérieusement les éprouver. Au petit matin, ils se réveillèrent dans la fraîcheur de l’aube. Kvoth chassa un écureuil qui furetait dans son sac à la recherche de nourriture.
Le vent murmurait à travers les branches des arbres, faisant ployer doucement celles-ci avec des craquements lugubres. Le sentier longeait la crête d’une colline dans un paysage vallonné et hostile, fait de rochers déchiquetés, de pentes abruptes et d’éboulis affreusement dangereux au milieu desquels on ne trouvait nul endroit pour s’abriter ou se cacher. Après quelques heures de marche dans des fourrées détrempés, ils arrivèrent sur les bords d’une rivière. Un peu en amont, ils découvrirent une silhouette grotesque, un homme légèrement bosselé, l’un de ses bras plus court que l’autre et au front proéminent. L’individu était revêtu de riches habits de soie noire, visiblement beaucoup trop grands pour lui. Visiblement, il s’essayait au maniement d’une épée trop lourde pour lui. - Mmh… on devrait… marmonna le rôdeur. C’est l’un des gus qu’l’on cherchait, on d’vrait l’interroger. J’crois qu’il est seul.
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Disciple du Lieur
Chambre 2
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Dormir était devenu un supplice. Seul son épuisement lui permettait à présent de s'endormir. Les cauchemars se faisaient de plus en plus horribles et Reïlo avait du mal à les supporter : ces visions d'épouvante le hantaient bien après son réveil. Son esprit était désagréablement agité et il ne se sentait pas reposé.
A l'épreuve de la nuit succédaient celles de la journée : le froid, l'incertitude, les dangers innombrables et inconnus. Seule sa force de caractère et le sentiment qu'il avait un de devoir accomplir le poussaient à aller de l'avant, à dépasser ses limites physiques et psychiques...
De tout cela, il n'avait parlé à Kvoth. Il n'en avait ni la force, ni l'envie : remuer ces sombres pensées ferait plus de mal qu'autre chose, tant à son compagnon qu'à lui même. C'était du moins ce qu'il estimait. La seule chose qui parvenait quelque peu à l'apaiser était de caresser Flammèche ou d'échanger quelques mots avec lui. Incontestablement, le lien qui les unissait s'était renforcé à l'occasion de la nuit funeste durant laquelle Mirtzar et Gulmar avaient disparu.
Au terme de leur longue marche, Blanche Flamme et Kvoth avaient finalement découvert cette étrange créature s'exerçant visiblement à l'épée. L'Oghmite approuva la proposition de son compagnon :- Tu as raison. Je vais m'avancer lui. Couvre-moi de ton arc, on ne sait jamais... S'avançant à découvert et faisant montre ostensiblement de ses intentions pacifiques, le prêtre s'avança de la silhouette, avant de la héler :- Bonjour, l'ami. Seriez-vous l'un des habitants de Wallenburg? Une connaissance de Zyra? Il scruta avec anxiété la réaction de la silhouette. Il avait tenté de démontrer ses bonnes intentions en évoquant le village et l'une de ses habitantes, mais il ne savait pas à quoi s'attendre.¤ Oghma, donne-moi la force... ¤ Tu peux considérer que Reïlo a lancé ses deux "endurance aux énergies destructives" quotidienne sur Kvoth et lui-même.
Sorts de prêtre : - niveau 0 (4): lecture de la magie*, lumière, assistance divine*, création d'eau. - niveau 1 (2 + 1 + 1) : endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, détection des passages secrets* [domaine]. Sorts de mage : - niveau 0 (3) : Message, Lecture de la magie, Ouverture/fermeture. - niveau 1 (2) : Armure de mage, Projectile magique. PrésentationAutres PJ : Metzli Arnesen, Sahadeva, Daphnis Autres PNJ : Ahuizotl, Circé, Galahad de Montléri
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Mystique de la canopée
Chambre 20
2 gemmes
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Reïlo Blanche Flamme & Mirtzar Boucledacier Reïlo Blanche-FlammeTandis que le rôdeur courbait l’échine derrière un amas de roche et de neige, à l’abri des regards, et arc en main, le courageux prêtre d’Oghma décida de s’approcher de l’étrange individu. Celui-ci arrêta de gesticuler maladroitement dès qu’on l’interpella. Il était pourvu d’un nez épaté, blafard, un menton fourchu, d’une bouche en fer de cheval et d’une lèvre calleuse sur laquelle, ébréchées çà et là, empiétées des dents désordonnées comme le feraient les défenses d’un oliphant. L’un de ses yeux disparaissait sous une énorme verrue, tandis que l’autre, peinait à apparaitre sous un sourcil brun en broussaille. Son visage entier semblait être une grimace, et de cette expression grotesque et involontaire, Reïlo put y lire autant de malice que d’étonnement. En poussant un glapissement, l’individu leva son imposante arme en direction du prêtre. Celle-ci semblait souillée de taches brunes, probablement maculée de sang séché. - Hé ho ! Halte ! Toi, qui va là ? S’exclama-t-il d’un ton bourru. T’as rien vu. T’as rien vu ! D’un air menaçant, il tenta d’agiter sa lame, trop lourde pour ses bras maigres comme ceux d’un enfant. Reïlo regardai attentivement cet homme : il n’était pas grand et ses vêtements de bonne facture, très amples, laissait entrevoir une physionomie aussi grotesque et mal imbriqué que son faciès. Une épaule de traviole, un estomac bedonnant et des jambes arquées. Ce corps maigre n’avait rien de celui d’un cogneur. Reïlo remarqua qu’il jetait des coups d’œil nerveux vers l’arrière, et dans un second temps, il observa non loin, un tas de vêtements qui trempaient près d’un seau en bois et d’une planche à laver. Visiblement, l’individu était occupé à quelques tâches ménagères. - Hé ho ! reprit-il en brandissant péniblement sa lame des deux mains. T’dois partir! T’dois pas être là, toi! Mirtzar BoucledacierLe vent murmurait à travers les branches des arbres, faisant ployer doucement celles-ci avec des craquements lugubres. Le molosse sentait ses idées toujours un peu confuses. Il avait du mal à réfléchir et l’impression persistante qu’il y avait un décalage avec ce qu’il voyait et le moment où il pouvait réagir.
Le mystérieux individu décrocha son regard des flammes vacillantes en pivotant légèrement les épaules, ses ornements de dents de diverses créatures teintèrent un instant, et sous son ample capuche, Mirtzar découvrit qu’il s’agissait d’une femme, aux longs cheveux de cendre, à la peau cuivrée et parcheminée. Ses yeux en amande laissaient à peine entrevoir deux pupilles d’un noir profond. Assise en tailleur dans la neige, son expression flegmatique resta figée comme la glace, et elle l’observa quelques secondes sans sourciller.- Vivant, constata-t-elle simplement. Elle ferma les yeux comme pour digérer cette idée. - Je t’ai veillé depuis la brune. Ce sont mes compagnons qui t’ont sauvé, quand tu semblais décidé à voyager dans l’au-delà… Elle restait calme et sa voix chaude et éraillée résonnait sans une once d’hostilité. Dans ses mots ont pouvait discerner un étrange accent.
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Disciple du Lieur
Chambre 2
2 gemmes
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L'homme présentait une apparence difforme et Reïlo ne put s'empêcher de se demander quelle en était la cause : s'agissait-il d'une malformation de naissance? De la consanguinité pouvant régner dans des villages isolés? Ou du résultat d'une puissante magie ayant altéré son physique? Toutes les hypothèses restaient ouvertes et pourraient peut-être être creusées plus tard. Mais encore fallait-il gagner la confiance de l'individu...
Au moins, il ne semblait pas hostile, c'était déjà cela : les précautions prises s'avéreraient probablement inutiles et Kvoth pourrait ranger son arc. Mais l'homme paraissait craintif, voire perturbé, et le disciple d'Oghma se demandait s'il pourrait en tirer quelque chose. Sa meilleure chance était probablement d'inciter l'individu à le conduire à celui qui avait pris les commandes...
Il tenta à nouveau de se montrer amical et conciliant, parlant clairement et simplement :
- Je suis là où je dois être. C'est Yoline qui nous envoie, n'aie pas peur! Nous sommes passés au village et nous avons sauvé Zyra...
Le demi-drow marqua une courte pause avant d'ajouter:
- Emmène-nous chez le chef, nous devons discuter de choses importantes...
Sorts de prêtre : - niveau 0 (4): lecture de la magie*, lumière, assistance divine*, création d'eau. - niveau 1 (2 + 1 + 1) : endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, détection des passages secrets* [domaine]. Sorts de mage : - niveau 0 (3) : Message, Lecture de la magie, Ouverture/fermeture. - niveau 1 (2) : Armure de mage, Projectile magique. PrésentationAutres PJ : Metzli Arnesen, Sahadeva, Daphnis Autres PNJ : Ahuizotl, Circé, Galahad de Montléri
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Frère-Ours
Chambre 31
1 gemme
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i Mirtzar était conscient de ses limitations physiques, et son corps ne comptait pas le laisser oublier trop vite la rencontre avec les créatures qui formait ses derniers souvenirs, il était conscient que, comparées à ses lacunes en terme de communication, elles étaient dérisoires. Et il était clair qu'il allait devoir trouver un moyen d'échanger avec son interlocutrice beaucoup d'informations s'il voulait comprendre où il se trouvait, quand, comment, pourquoi, ... L'immensité de ce qu'il ignorait concernant sa situation lui donnait l'impression de se noyer une fois de plus.
Essayant de faire un peu de ménage dans les informations qu'il souhaitait obtenir, le Frère-Molosse essaya d'établir qu'elles étaient les choses qu'il devait apprendre en priorité. Sa conclusion fut que sa situation présente importait seulement par sa connection avec la situation de ses camarades. Il s'agissait donc du premier sujet qu'il devait essayer d'approcher.
Ses réflexions firent qu'il lui fallu quelques secondes pour enregistrer et réagir à ce qu'elle venait de lui dire. Ce qui n'était pas grand chose. Mirtzar ne parvenait pas à savoir si elle n'avait pas entendu, ou compris peut-être, étant donnée son éloquence, sa question ou si elle avait juste choisi de ne pas lui révéler quoi que ce soit.
Quoiqu'il en soit, elle était clairement la seule personne à qui il pouvait s'addresser pour l'instant et il n'avait pas grand chose à perdre s'il continuait de lui poser des questions.-Il y avait un humain avec moi, porteur d'une chevelure et barbe couleur de flamme, quand j'ai perdu connaissance. Est-il avec vos compagnons? Et où sont-ils eux-mêmes? J'ai aussi d'autres compagnons, un demi-elfe à la peau sombre et deux humains, l'un des deux étant du coin et nous servant de guide. Est-ce que vous les avez rencontrés? Mirtzar avait une pléthore d'autres questions qu'il souhaitait poser mais il était certain qu'il valait mieux ne pas ensevelir son interlocutrice sous les questions s'il espérait en tirer quelques informations utiles. Il y avait assez de questions dans les quelques mots qu'il venait de prononcer sans qu'il en rajoute plus encore.
Etre le meilleur n'est pas un but, ce n'est que le moyen de protéger les innocents.Réputation 5Ma fiche
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Mystique de la canopée
Chambre 20
2 gemmes
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Reïlo Blanche Flamme & Mirtzar Boucledacier Mirtzar Boucledacier Des rafales continuaient de faire frémir la forêt nordique. Malgré un ciel clément, le vent glaçait le sang dans les veines du Nain. De temps à autre, une brise, échappée des sous-bois, venait ébouriffer le pelage qui couvrait la vieille femme. Elle détourna peu le regard du feu, qu’elle attisait à l’aide d’une branche. Après quelques secondes, elle tourna finalement les yeux et dévisagea Mirtzar d’une expression curieuse, puis répondit à son inquiétude. - Oublie le monde que tu as laissé derrière toi, déclara-elle finalement, d’un ton détaché. Tranquillise-toi. Nous sommes seuls à des lieues à la ronde. Les derniers habitants des steppes ont migrés vers les rives de la Pelauvir, au creux de la vallée. L’air était imprégné d’une odeur délicieuse. A côté de la femme, deux récipients fumaient sur une pierre plate. Elle tira sur ses manches pour saisir un bol. Elles étaient étonnamment plus longues que ses bras, certainement pour protéger les mains durant les grands froids. - Nous étions presque sûrs d’être les seuls êtres vivants sur les dents du haut Rafram. Il n’y a plus âme qui vive, par ici. Même les chasseurs ne viennent pas chercher le gibier dans ces rocheuses… Chacun sait qu’il n’y a que des esprits qui veillent sur des mausolées… Elle tendit le bras pour offrir un bol, qui sembla sauter directement dans sa main ouverte. Mirtzar fixa le bol de bouillon, un liquide brunâtre et léger, en écoutant la vieille femme qui parlait avec un accent rigide et saccadé. Sa voix calme, le rythme des mots qu’il peinait à comprendre, l’hypnotisait. Peu importait, le molosse ne pouvait qu’apprécier la douceur du feu de camp et la chaleur du bol.- Nous ne t’avons pas récupéré pour t’abandonner. Quoique nous ne soyons pas très éclairé, chaque arbre et chaque colline a été témoin d’inquiétudes affreuses. Si tes amis parcours ces terres, nous ne tarderons pas à les trouver. En regardant fixement le Nain, elle leva son bol jusqu’à son nez et prit une seule et longue inspiration. Elle la retint comme si elle savourait le fumet et qu’il lui donnait des forces. Reïlo Blanche-FlammeLe prêtre s’approcha prudemment en affichant des intentions pacifiques. Il avait la sensation de s’adresser à un enfant au regard fuyant. En guise de réponse, l’homme fit un pas en arrière, chancelant. Il murmurait à voix basse, les jambes tremblantes, tenant toujours son épée à deux mains. - Vous m’avez pas vu jouer avec l’épée, ronchonnait-il bruyamment. Non, vous m’avez pas vu… Non ! Soudain, il s’arrêta net, sa respiration se fit lente et en se tortillant, l’étrange gringalet se rua sur Reïlo et fit tournoyer son bras en décrivant un grand cercle. Le métis n’entrevit qu’un éclat métallique qui siffla dans les airs, puis le tintement de l’arme retombant dans la neige, désormais maculée de sang. L’homme, ou la créature, cligna des yeux d’un air penaud, réalisant à peine ce qu’il venait d’accomplir. Il semblait admirer son arme avec un mélange de fascination et de fierté. Un sourire sauvage se greffa sur un faciès disgracieux. Il n’avait rien d’humain. A ses pieds, Reïlo devint livide, le cœur battant et il leva les yeux sur son vainqueur. Soudain, depuis les hauteurs derrière son dos, il entendit une flèche s’élever au loin. Puis, la créature eut un violent soubresaut, une quinte de toux, le souffle rauque, comme étranglé, le corps tomba en arrière en s’effondrant lourdement dans la neige, et enfin le silence.
Malgré toutes les volumineuses difformités, la flèche s’était frayé un chemin vers une fonction vitale. Le prêtre tituba et tomba à genoux, toujours muet d’épouvante. Peu habitué à être ainsi malmené.Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Initiative : ?? : 7(d20)+1 = [8] Kvoth : 1(d20)+3 = [4] Reïlo : 1(d20)+2 = [3] Round 1 : ?? Attaque Reïlo avec arme à deux mains 17(d20) malus de –4 aux jets d’attaque 13 vs 13 CA Reïlo = réussiteDégats : 8(d10)+1 = 9 points de dégâts tranchants Kvoth Attaque ?? avec arc long 20(d20)+4 vs ? = réussiteConfirmation de réussite critique : 16(d20) Dégats : 8(d8), 3(d8) = 11 ?? est Hors combat Lancers... Reïlo Blanche Flamme - Dé de vie montée de niveau : 9(d20) +0(deg) +1(Cha) +2 (race) = 12 ~ Echec Reïlo Blanche Flamme - Jet d'initiative : 1(d20) +2 (DEX) = 3
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Disciple du Lieur
Chambre 2
2 gemmes
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Le sang avait giclé et Blanche Flamme avait senti son énergie vitale qui le quittait. Peu habitué au combat, il n'avait pas anticipé l'attaque de son adversaire et avait vu la mort en face... une vision assez terrifiante à vrai dire, au vu du faciès de son agresseur. C'était sa première blessure en combat.
Il souffrait de plusieurs plaies et ce fut au prix de grands efforts qu'il parvint à se remettre sur pied, encore fortement choqué par ce qu'il venait de vivre. Lentement, il se dirigea vers Kvoth pour le remercier. Il parvient à balbutier :
- Je te dois la vie... Merci. J'ai commis une grosse imprudence en m'avançant vers lui sans la moindre protection... On ne m'y reprendra plus....
Les mots étaient difficilement sortis de sa bouche et Reïlo se reprocha une nouvelle fois son imprudence.
¤ Est-ce la fatigue qui m'a fait perdre tout discernement? Ou l'apparence pataude de cette "créature" qui a endormi ma méfiance? ¤
Tant bien que mal, le prêtre tenta de se soigner pour atténuer la douleur qu'il ressentait. Continuer à marcher, dans ce froid, avec de telles blessures serait un calvaire auquel il n'osait même pas songer. Priant Oghma de l'aider, il parvint tant bien que mal à refermer certaines de ses plaies.
Il s'approcha ensuite du cadavre de son agresseur et étudia attentivement le corps, ainsi que l'arme qu'il avait tenue en main. Le corps de la créature était étrange et l'expression faciale qu'il avait aperçue avait quelque chose d'inhumain. Le disciple d'Oghma voulait recueillir un maximum d'informations.
Reïlo transforme "lecture de la magie" et "lumière" et 2 soins superficiels, afin de regagner 2 pv.
Il mobilise toute compétence de connaissance (ou art de la magie) utile pour mieux comprendre la situation (enchantement à l'oeuvre ? arme maudite? nature de son agresseur?).
Sorts de prêtre : - niveau 0 (4): lecture de la magie*, lumière, assistance divine*, création d'eau. - niveau 1 (2 + 1 + 1) : endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, détection des passages secrets* [domaine]. Sorts de mage : - niveau 0 (3) : Message, Lecture de la magie, Ouverture/fermeture. - niveau 1 (2) : Armure de mage, Projectile magique. PrésentationAutres PJ : Metzli Arnesen, Sahadeva, Daphnis Autres PNJ : Ahuizotl, Circé, Galahad de Montléri
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Frère-Ours
Chambre 31
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près avoir poussé un soupir suffisamment profond pour vider complètement ses poumons, le Frère-Molosse s'humecta les lèvres. Plus par réflexes que volontairement. A peine ce mouvement incontrolé achevé, il grimaça: le froid ambiant avait fait gelé sa salive immédiatement, rendant ses lèvres gercées encore plus ennuyeuses.
Mais ses lèvres, ou même ses muscles endoloris par le froid et les coups qu'il avait reçus, étaient loin de lui causer autant de soucis que sa discussion avec la vieille dame près du feu. Il avait l'impression de parler à un mur. Rien de ce qu'elle disait n'était une réponse à ses questions et il n'était même pas certain de comprendre ce qu'elle essayait de dire.¤ ¤ Mirtzar avait envie de prendre ses jambes à son cou. Il n'avait aucun moyen de savoir si Gulmar était vivant, ou même Blanche-Flamme, Kvoth ou Harold. Ils pouvaient être en danger, espérant que le nain d'or vienne à leur secours, et le Compagnon des Marches d'Argent ne pouvait pas les aider.
Courir ne lui apporterait rien. Il ne savait pas où aller. Par les moustaches de Demoiselle Chance, il ne savait même pas où il se trouvait. Il devait se faire une raison: le destin de ses compagnons avait échappé à ses mains. Il ne pouvait rien faire d'autre qu'attendre que d'autres les rejoignent et espérer qu'ils puissent, et veuillent, l'aider à retrouver les autres.
Une masse s'abattit sur ses épaules. Tout était allé de mal en pis depuis qu'il avaient fini leur traversée souterraine des montagnes des Galènes. Il ne pouvait repenser à la disparition de Dame Nërissa sans un pincement au coeur, et un sentiment d'impuissance et de culpabilité renouvelé mais, encore maintenant, c'était le visage d'Elialann qui dansait devant ses yeux. Il avait envie de pleurer, il avait envie de se coucher et de laisser le froid et le vent faire de lui un obstacle supplémentaire au milieu de nulle part, de juste disparaitre.
Mais c'était aussi ce même visage qui lui donna l'énergie d'ouvrir les yeux et de redresser son dos courbé. Il avait choisi de continuer sa quête, la décision la plus difficile et la plus douloureuse qu'il avait pris de sa vie, et il l'avait fait. Le froid, les échecs, tout cela n'était rien comparé à ce qu'il avait enduré à cet instant. Il ne pouvait pas abandonner, pas tant qu'il n'y avait plus aucun espoir pour sa quête, probablement pas même alors. Pas tant qu'il y avait une chance qu'il retrouve les autres. Pas tant qu'il y avait une chance qu'il retourne un jour à Cormanthor. Et qu'il puisse regarder Elialann dans les yeux sans avoir honte.
Il s'assit en face de la vieille dame et regarda vers l'horizon. Il ne pouvait pas accepter son conseil, il ne pouvait pas oublier. Mais il pouvait regarder vers l'avenir et se préparer pour la nouvelle étape. Il n'était pas patient mais il était déterminé. Et obstiné. Il avait presque envie de sourire. Il avala une gorgée du bouillon.-J'ai hâte de rencontrer le reste de votre groupe.
Etre le meilleur n'est pas un but, ce n'est que le moyen de protéger les innocents.Réputation 5Ma fiche
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Mystique de la canopée
Chambre 20
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Reïlo Blanche Flamme & Mirtzar Boucledacier Reïlo Blanche-Flamme & KvothDouzième jour du cœur de l’hiverLieu : Les monts de Galènes, Duché d’Arcata.Moment : Courant de la matinéeMétéo et températures : Froid (-14°C), Ciel couvert, vent frais.Instinctivement, il imposa ses mains sur sa blessure, invoquant son Dieu de bien vouloir lui accorder des soins, mais ce qu’il entendit furent des crissements de bottes régulier dans la neige. Reïlo, aux yeux encore écarquillés de stupeur, aperçu Kvoth du coin de l’œil, arc en main, dévalant la pente pour se précipiter vers lui. Le chasseur aux cheveux roux posa un genou sur le sol et tendit une main secourable envers son compagnon :- Ça va ? Ooh punaise, il n‘t’a pas loupé. Je n’aurais pas dû te laisser faire l’appât… ( le rôdeur fronça les sourcils en découvrant l’individu) Mais quelle horreur… C’est… Il est humain ? Il… Il t’a parlé ? Avant même de recevoir une réponse, Kvoth resserra le col de son manteau sur sa bouche et son nez, comme pour se protéger d’un Mal quelconque. Après une seconde d’hésitation, il fit un pas en avant et se courba pour fouiller le corps.
Ce corps inerte et déformé gisait au sol dans de larges vêtements de bonne facture. Après un soubresaut, une espèce de hoquet, de haut-le-cœur, et la créature était tombé, plus rien – hormis un flot de sang chaud qui se déversait de son visage en se mêlant à la neige. Le théurge d’Oghma n’avait pas souvent eu l’occasion d’étudier un cadavre. Il portait sur un justaucorps, une combinaison de tissu noir, ouverte sous les bras et sous la taille. Elle était ridiculement trop large pour lui. Le propriétaire originel de ces vêtements devait être d’une corpulence importante. La tenue portait aussi des protections et des accessoires du cuir autour du cou et sur les épaules.- Mhmm, ce qui est certain, c’est que ce n’est pas un revenant, déclara le rôdeur en se malaxant le menton et laissant sous-entendre qu’il connaissait le sujet. Ce n’est qu’une pauvre âme, mal assemblée, fort laid, mais rien qu’un gars. Le calme était revenu autour d’eux, mais malgré tout, le jeune prêtre ne parvenait pas totalement à calmer les battements de son cœur. Le souffle court, les cheveux hérissés sur la nuque, les mains moites, il essayait de conserver son pragmatisme naturel, et tenta de rationaliser, de calmer ses nerfs et d’analyser la situation. Cette petite créature incomplète, ou à peine ébauchée, borgne, cagneux et titubante, reposait à présent sur le ventre. Elle semblait tout droit issue du Chaos. Mais, l’espace d’un instant, Reïlo était pourtant parvenu à capter une étincelle d’intelligence, une expression infantile dans son regard, un enfant terrorisé par le noir, avec un éclat d’humanité. Puis, une fraction de seconde plus tard, il était devenu une bête, sauvage et agressive, sadique et menaçante. L’intuition du clerc se focalisait sur l’arme, une grande et lourde épée bâtarde maculée de sang, couchée sur le sol. Avait-il puisé une quelconque force maléfique pour abattre son arme ? Etait-ce la volonté de l’épée ? Mais il ne trouva rien de concret, aucune révélation, outre l’efficacité de son tranchant.
Les questions s’accumulaient, mais aucune réponse ne lui vint. Il n’était certain de rien.Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Art de la magie : 3(d20) + 8 = 11 [échec] Connaissances (mystère) : 1(d20) +8 = 9 [échec] Connaissances (nature) : 3(d20) +3 = 6 [échec] Mirtzar Boucledacier Onzième jour du cœur de l’hiverLieu : Les monts de Galènes, Duché d’Arcata.Moment : Milieu de journéeLa vieille femme resserra d’une main son manteau de fourrure autour de son corps, laissant s’installer un long silence. Elle sirotait son breuvage en observant le feu par-dessus son bol.
Quelques flocons glacés se collèrent au front du Nain, amenés par le vent jusqu’à la petite pinède. De la vapeur tiède s’échappait à chaque respiration. Il se sentait saisi d’un engourdissement invisible. Autour de lui, de grands arbres renvoyaient l’écho d’un vent glacial et tumultueux et l’horizon était couvert d’un manteau ouaté. Le sol était constamment jonché d’aiguilles de pins ou de feuilles. A travers la neige et les rochers, on arrivait à distinguer une petite pelouse jaunie. Docilement, Mirtzar prit une gorgée et gouta le breuvage, qui glissa dans sa gorge et répandit une chaleur bienvenue dans son corps encore transi. Le molosse reconnu un bouillon de canard aux navets, des oignons, des carottes et des panais. Inspirant à plein poumons l’air rafraichi de cette journée d’hiver, il jeta autour de lui un coup d’œil inquiet. En quelques instants, le guerrier remarqua que le froid piquant ne semblait plus engourdir ses membres avec la même intensité. Ni le gel, ni la chaleur bienveillante du feu pourtant à proximité.
Dans le même temps, la mystérieuse femme sortit un pochon de cuir de sa tunique délavée et y plongea le bout des doigts. Une pincée de poudres mystérieuses dans le feu. Le bois mort s’embrasa brusquement en projetant une épaisse colonne de fumée bleutée. Devant ses yeux écarquillés, Mirtzar resta en suspens dans l’air au-dessus de lui. Sans aucune forme d’explication, des images émergèrent des flammes, des formes floues se dessinèrent. Très vite, cela se précisa et un visage apparu. Un visage hagard, apeuré. Mirtzar le reconnu tout de suite avec son teint sombre, ses yeux perçants, cette tignasse blanche et ce corbeau juché sur l’épaule : Reïlo Blanche-Flamme.- Oui. Finalement, tu n’es pas le seul à braver l’hiver. Qui est-ce ? demanda-t-elle d’un ton calme.
Le visage entouré de flammes semblait être en difficulté, le front bas, la bouche tordue et les yeux plissés. Le jeune prêtre jetait un regard mauvais en escaladant un monticule de roche. Autour de lui, veillait une grande silhouette, épaisse comme un tonneau et un archer svelte à la chevelure rousse. Tous trois semblaient courageusement progresser jusque sur le toit du monde. /?\ New Challenger /?\Un hibou se posa sur une branche de sapin, elle se rapprocha de l’oiseau, et celui-ci se mit à grossir en des proportions surnaturelles, jusqu’à ce qu’elle puisse le chevaucher. Ils s’envolèrent ensemble, oiseau de proie et passager, survolant des forêts calcinées, des villages en ruine, sans apercevoir âme qui vive. Il faisait nuit et la lune était rouge. En un battement de cœur, six lunes succédèrent à six soleils. Puis, soudain, une flèche atteignit le hibou en plein cœur et l’oiseau piqua vers le sol, la cavalière pensa voir sa dernière heure arrivée. Mais lorsqu’elle reprit connaissance, près du cadavre de l’animal, dans une sombre clairière où se dressait un arbre millénaire, au tronc noueux évoquant un serpent prêt à attaquer, et aux racines gigantesques. Une écœurante cérémonie se déroulait à son pied : sur un autel ruisselant de sang, un homme portant une tête de bouc sacrifiait une multitude de victimes humaines terrifiées. A ses côtés, un être tout de noir vêtu, se mit à regarder l’intruse. Il fit un geste et de multiples mains squelettiques jaillirent de terre pour le plaquer au sol, l’immobilisant totalement. L’être vêtu de noir sourit et entonna une incantation maléfique. Une sphère jaune et luminescente se matérialisa alors que tout prenait feu dans le paysage. La voyageuse se senti lever de terre et, toujours prisonnière des mains squelettiques, entrainé inéluctablement vers l’autel sanglant. Elle se mit à hurler quand l’homme à la tête de bouc laboura profondément son visage à coups de griffes...
Elle se réveilla d’un bond, l’estomac soulevé de terreur et la gorge baignant d’une bile amère. Il balaya la salle avec un regard paniqué. Pourtant habitué aux rêveries, cet étrange cauchemar avait été bref, net, comme un instant de feu pétrifié recouvrant la glace. Ces visions effroyables semblaient même s’accentuer à mesure qu’elle restait dans ces terres maudites.*** Les montagnes de Galena, à moitié dissimulée par la neige, s’élevaient de part et d’autre, impressionnantes de majesté. Fille du calvaire et mère de la catastrophe, une silhouette progressait vaillamment, gardant le silence, le front plissé, concentré sur sa marche et des larmes de givre plein les yeux, pleurant doucement de colère. Depuis quelques jours, elle n’avait vu aucun signe d’animaux sur la terre comme dans le ciel. Comme s’il n’y avait jamais eu d’habitants. Comme si la vie avait été complétement bannie de cette région.
Une lueur d’espoir naquit à la découverte des premiers signes de civilisation, mais cela s’avéra une découverte terrible, un village abandonné, à demi dévoré par la neige, dans le lointain domaine d’Arcata. Partout, des serrures ouvertes, des couverts dressés sur les tables, des cendres froides dans l’âtre des cheminées et des réserves dans les greniers, mais aucun survivant aperçu depuis son départ, des gens disparus… morts, enfuis ou captifs. Les bêtes aussi. Il ne restait rien. Arpentant les rocheuses des Galènes une journée supplémentaire, elle acheva son errance solitaire avec la rencontre fortuite d’une famille d’autochtones. D’humbles personnes au regard effrayé, ayant trouvé refuge dans une cabane de chasse tapis au fond des bois. Un refuge bricolé de rondins, de claies et de torchis. Alors, rompant cordialement le pain, la famille noua une certaine amitié avec l’étrangère et ils l’informèrent d’une rumeur persistante selon laquelle de puissantes créatures terrorisaient la région.« Ce sont des pillards, adeptes des dieux sombres, capables de braver l’hiver pour assaillir les fermes isolées. Des êtres démoniaques, pourvus d’horribles déformations, presque plus des hommes, mais des hommes-bêtes ». *** A présent, elle suivait les conseils d’un jeune trappeur et traversait à nouveau les rocheuses des Galènes. Dans un royaume en proie à l’hiver, la piste se transforma en une longue vallée semée de ruisseaux à demi-gelés et de vastes bosquets de pins. Seule, arpentant un terrain des plus traîtres, toute mélasse et fondrières et rochers sournois. Elle traversait une parcelle de forêt de sapins bleutés, qui s’étendait sur un ressaut trop modeste pour s’appeler colline. Par chance ou par instinct, elle entendit des éclats de voix, et perçut des mouvements à travers des massifs de fougères.
Elle n’était pas seule dans cette montagne.
Au pied d’une colline escarpée, deux silhouettes échangeaient au bord d’un petit ruisseau gelé. C’était une étendue de neige immaculée et d’herbes folles. L’un des deux corps était tordus, grotesque et armé d’une épée longue. La seconde silhouette appartenait à un homme frêle et pourvu de longs cheveux blanc. La situation dégénéra en un battement de cils quand l’étrange escrimeur abattit son arme sur son interlocuteur. Utilisant le poids de l’arme pour former un grand cercle métallique, on put lire la violence du coup même depuis le lointain, et surtout entendre un cri de douleur puis des croassements de corbeau. La seconde suivante, une flèche heurta le meurtrier à la gorge et l’immobilisa net. Une nouvelle silhouette apparue discrètement, l’archer, et les deux survivants se réunirent autour du corps inerte.
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Disciple du Lieur
Chambre 2
2 gemmes
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L'examen du corps et de l'épée n'avait rien donné, au grand dam de Blanche Flamme qui s'estimait capable de faire nettement mieux. Cependant, il n'était plus à Valherse ou dans le havre de Dame Nërissa, où il aurait pu patiemment étudier le cadavre difforme et l'épée : le jeune érudit était faible, blessé, fatigué par de nombreuses nuits empreintes de cauchemars.
¤ Rien d'étonnant à ce que mon esprit fonctionne au ralenti... ¤
L'une de ses plaies lui arracha une petite grimace de douleur. Il répondit néanmoins au rôdeur :
- Oui, un humain... Son esprit semblait confus, était-il comme cela de naissance? Peut-être... En tout cas, il était mal à l'aise d'avoir été vu avec cette épée.
Le disciple d'Oghma réfléchit quelques secondes :
- Si ça tombe, c'est simplement parce qu'il l'a chapardée alors qu'on le lui avait interdit... mais cela pourrait signifier autre chose, peut-être s'agit-il d'une épée hors norme. Je n'arrive pas à le déterminer et je n'ose pas la saisir.... Tu as sans doute entendu parler, comme moi, de ces armes maudites capables d'infliger mille tourments à celui qui comment l'imprudence de s'en emparer... Qu'en penses-tu ?
Tout en laissant Kvoth réfléchir à ses propos, le métis ajouta :
- Je vais fouiller ses habits, trop riches que pour être ceux d'un marginal... Peut-être y verrons-nous plus clair. D'autres traces de pas sont-elles encore visibles? Il faudrait suivre la piste des autres, si c'est encore possible...
Fouille le cadavre et attend l'avis de Kvoth concernant l'arme (a priori, Reïlo s'en méfie et n'y touche pas). Si rien de particulier, on peut poursuivre la route.
Sorts de prêtre : - niveau 0 (4): lecture de la magie*, lumière, assistance divine*, création d'eau. - niveau 1 (2 + 1 + 1) : endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, endurance aux énergies destructives, détection des passages secrets* [domaine]. Sorts de mage : - niveau 0 (3) : Message, Lecture de la magie, Ouverture/fermeture. - niveau 1 (2) : Armure de mage, Projectile magique. PrésentationAutres PJ : Metzli Arnesen, Sahadeva, Daphnis Autres PNJ : Ahuizotl, Circé, Galahad de Montléri
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