Quel est votre nom, voyageur ?
Eléasis (VIII) 1373, 2ᵉ chevauchée
   

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> Les chemins incertains., Le départ.
  écrit le : Lundi 10 Juillet 2017 à 04h45 par Yvhann
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13 Tarsakh 1373 : -La Griffe des tempêtes
Dans la chaumière de Martha.
Petit matin
<span style='font-size:8pt;line-height:100%'>Température ambiante : -15*C
Vent: Sud 75 Km
Averse de neige parfois forte.
Lever du soleil: 05h13
Durée du jour:13h00
Séluné : 4 ième quartier
</span>


Malaric, Ina, Xale, Baesul, Nersharr.


Dans la chaumière il n’y avait aucune pièce fermé, l’on pouvait voir l’ensemble de la seule et unique pièce qui allait du foyer bien plein de bois et tison, orné du retient chaudrons avec une marmite qui y mijotait un odorant civet, pour les habitués de la cuisson, il y avait une légère odeur de caramel distinctif que le civet commençait à coller au fond, tout près de la marmite, au sol, une cuillère usé de bois de frêne recouverte d’une sauce ambré, qui avait laissé une petite flaque sur le planché de merisier. En face du foyer une petite table de chêne rouge de quatre place avec tiroir sous le tablier accompagné de deux banc et sur le coté opposé du foyer un grand lit qui semblait grandement douillet garnie d’une catalogne savamment ouvragé aux motifs végétaux et aux couleurs verdoyante avec quelques dégradé de ocre et orangé, un coffre large de bois ceinturé de cuir était à son pied puis au coté du lit, au sol, un magnifique tapis arborant l’image d’un saule immense. A coté du foyer une chaise berçante méticuleusement sculpté était recouvert d’une série de peaux de renard argenté qui formait une mosaïque représentant un grand chêne, au pied de celle-ci un coutelas d’ivoire y était planté au sol. Sur le coté opposé de la porte d’entré une immense commode emplit de vaisselles de grès sur le dessus et sur les tablettes courbé puis était recouverte de chaque coté, de multiples herbes arômates, deux portes dans le bas empêchait de voir à l’intérieur. Sur le mur d’entrées, coté foyer, une pelle de bois et plusieurs crochets retenaient les manteaux de fourrures, couvre chef, cape et chapeaux, sans oublié un cordon de bois franc bien cordé jusqu'au mur du foyer ou reposait auprès de lui, un quart de cordon de bois sec. De l’autre coté de la porte, sur les crochets était accroché un arc long d’une beauté rare, arborant des figures d’animaux avec un carquois tout aussi bien travaillé d’un cuir de qualité emplit d’une douzaine de flèches à l’empannage jaune; chose rare dans le domaine, on donnait rarement l’avantage aux chardonnerets. Une ceinture à munition qui retenait avec deux poignards, un couteau à dépecer ainsi qu’une petite serpe argenté était accroché sur le dernier crochet de bois de racines et une place était libre dans la ceinture. Sur les mur, ici et là, des peintures parfaitement exécutées illustrant diverse paysage agrémentait l’ensemble, l’une des peintures représentait les bustes d’un couple dans la vingtaine, ce devait être les occupants, anciens occupants, car sur le lit la robe semblait d'un âge avancé.



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écrit le : Mercredi 16 Août 2017 à 00h28 par Xale
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Le baiser que Xale avait reçu était, et serais probablement la plus belle chose qui lui soit arrivé. Les lèvres pulpeuses de Syrynya était aussi douce que la soie elfique la plus fine et aussi tendres qu'une pêche mure et juteuse. Il était aussi déboussolé qu'un duergars sobre mais avait un sourire d'une oreille à l'autre qui lui pendait au visage, avec un petit air hébéter. Jamais il ne s'était senti ainsi. Il fit comme elle lui ordonnas, il sorti de la charrette, marchas jusqu'au seuil de la porte, puis sans s'en rendre compte, apposa une main sur l'épaule de Baelsul et lui dit, tout en gardant le même air:

-(elfique) Tue le chat et rentre à l'intérieur, sa peau feras une bonne fourrure.

Il vit la lame planté par terre et la reconnu aussitôt, c'était la lame de l’aîné Koltôr.
«Ces chiens ont laissé leurs épée, ils ont du avoir une bonne frousse!»

Se dit-il, mais n'en fit pas plus de cas, ce qu'il venait de vivre aurait même éveiller la libido du plus chaste moine. Puis il pressât le pas vers la chaumière. Il remarquas Kyu qui avalait du regard le chaudron au dessus du feu. Il balayas rapidement du regard la pièce, il portas une attention particulière à la ceinture accroché sur le mur près de lui et du coutelas planter au sol. Il pris la ceinture, qu'il mis en bandoulière. Après tout si le propriétaire des objets n'était pas la, c'est qu'il n'en avait pas de besoin. Il l'ajusta à sa poitrine puis ramassas le coutelas d'ivoire, il paraissais finement taillé. Il remarquas également une belle couverture de couleur argent qui était en dessous d'autres peau amassé ensembles près de la porte.Il pris la couverture qui semblait faite de peau de renard et la passas par dessus son épaule gauche. Il ramassas un bol du vaisselier, se penchas pour prendre la louche qui était par terre et se servis un bon bol de civet avant que le demi orque n'en avale le contenu d'une seule gorgée. Il pris un morceau de pain qui traînait sur la table et s'assis sur la couverture, dans un coin tout au fond de la petite maison. La scène qui allait suivre aurais fit choquer plus d'un si ils l'avait vu faire. Il avalas le contenu de son bol et son pain en se nourrissant avec ses mains et en reversant plus de la moitié, comme un cochon qui n'avait mangé depuis quatre jours. Il s'essuyas les mains graisseuses sur la couverture fine, lâcha un rôt immense qui résonnas dans toute la chaumière. Ensuite, il pris le coutelas d'ivoire et taillas un morceau de la couverture et rangeas le coutelas soigneusement sur lui, par la suite il se levas, alla au coin opposé au sien, se mis en position et déféquas toujours avec le sourire au lèvres. Ensuite il s'essuyas avec le morceau de tissu qu'il venait de taillé et le laissas par terre, près du petit tas qu'il venait de laisser tomber. Il allas ensuite sur ce qui restait de la couverture qui était étaler par terre, y fit trois tours sur lui même, comme un chien qui se couche, et s'étendas. Il surveillât la porte et se remémoras le baiser et les paroles de sa nouvelle déesse.

-(elfique) Syrynya, je te dévoue ma vie et mon âme.

Dit-il tout bas. La chaumière lui paraissait froid comparer aux mains et aux lèvres de sa reine. Il entreprit alors d'aller alimenter le foyer de bois qui étais près de la porte tout comme on lui en avait ordonné. Ce n'est qu'une fois couché qu'il remarquas que Baelsul et Malaric étais présent et étais occupé a mettre des fourrures en lambeaux près des fenêtres.




[Elfique] (Par Syrynya, la vengeance seras douce)
 
 
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écrit le : Vendredi 18 Août 2017 à 03h58 par Isandre Danathaë
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Malaric s'engoufra à la suite de Kyu après avoir attendu que ce dernier ait dégagé le pas de la porte encombré de neige, attentif à ce que Draak lui emboite le pas. Marquant un léger temps d'arrêt en posant pour la première fois son regard sur la grande pièce qui occupait tout l'espace, il constata avec soulagement qu'un grand feu brûlait dans la cheminée. Si cela n'avait pas été le cas, rallumer celui-ci aurait fait partie de ses priorités absolue. Le fait que ces mêmes flammes soient surmontées par une marmite dégageant d'appétissants effluves constituait un plus pour le moins alléchant, mais il réprima bien vite les gargouillis de son estomac pour parer aux dangers pressants. Remarquant les nombreux objets pouvant leur servir, il ressentit l'intense soulagement de n'avoir pas à se battre pour gagner le droit de s'abriter en un lieu finalement bien accueillant. Il ne s'en précipita pas moins auprès de l'âtre et commença par procéder à une rapide inspection du conduit de la cheminée, essayant de jauger s'il y avait un risque pour que ce froid d'apocalypse puisse descendre par un passage trop large. Était-il possible de refermer le conduit en cas d'urgence absolue ? Il avait du mal à apercevoir une grille ou une plaque éventuelle avec les flammes proches de sa tête.

* Mais qu'est-ce qu'y fabriquent ces bougres d'andouilles !* Ne put-il s'empêcher de penser en constatant que les autres tardaient à venir s'abriter. "FILLETTE ! MAGNE-TOI LES MICHES SI TU VEUX PAS GELER SU PLACE !!!" Hurla t-il à l'intention de sa toute nouvelle camarade en espérant que du coin de l'âtre les autres puissent l'entendre au dehors.

Il balança hâtivement quelques bûches supplémentaires afin de renforcer la belle flambée et se retourna en lorgnant de tous côtés. Rapidement, il dut se rendre à l'évidence : malgré une activité apparemment toute récente, la chaumière était vide d'occupants qui avaient tout simplement disparus, malgré le froid impossible à supporter dehors. La chose avait quelque chose de surnaturel, comme la moitié de ce qui arrivait depuis un moment en cette journée à noter dans les annales !
Mettant vite fin à sa tentative de compréhension des évènements bizarres qui n'avaient cessé de se succéder, il s'approcha des peaux de renard et les attrapa en réprimant un haut-le-cœur devant la dépouille profanée de si nobles créatures. Mais malgré l'amour qu'il portait à tous les animaux, Malaric savait que beaucoup de bipèdes dépendaient de cette ressource pour survivre. Il jeta sans cérémonie les peaux près de la porte pour que ses compagnons d'infortune puissent s'en emparer dès qu'ils entreraient. Il fit bien vite suivre celles-ci par les autres nombreuses fourrures accrochées un peu partout dans la salle. Un gros tas de pelages variés apparut bientôt à l'entrée de la chaumière, prêtes à réchauffer les prochains arrivants.

Revenant près du grand lit, il se saisit de la catalogne avec l'intention de la déchirer en bandes à l'aide de son couteau, mais la beauté de l'ouvrage lui fit stopper son geste. Reposant le drap, il commença à farfouiller dans le grand coffre situé là.


- Et toi, le Demi-j'sais-pas-quoi ! Lança t-il au demi-orque sans cesser ses recherches. R'garde vite si qu'tu dégotes pas un drap à tailler en bandes. Faut qu'on s'dépêche d'vérifier si les lucarnes elles sont bien étanches. Mes p'tites couilles qui grelottent comme quand j'm'amuse à poil à filer l'train aux ondines en plein hiver me disent que c'froid à g'ler un efrit a pas fini d'augmenter. Faut qu'on s'magne de calfeutrer tout ça si on veut pas jouer les macchabées dans pas longtemps...
Mais qu'est-ce qu'il foutent les... MAIS GROUILLEZ-VOUS BANDE DE GELÉE DE CRÈME D'ANDOUILLES !!! Hurla t-il encore à l'attention des autres restés dehors malgré les crissements presque douloureux du gel qui s'intensifiait encore.

Peut-être son intuition habituellement fiable était-elle restée bloquée sur "DANGER ULTIMEMENT FATAL" après la trouille mémorable qu'il avait eu peu de temps auparavant, mais Malaric ferait tous les meubles s'il le fallait pour trouver de quoi assurer leur survie à tous en cas de fin du monde par le froid...



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Fiche de Malaric, druide de Silvanus
 
 
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écrit le : Vendredi 18 Août 2017 à 21h59 par Baelsul
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En entrant dans la chaumière l’Archer d’Argent s’empressa de se recouvrir d’une des fourrures que Malaric avait empilé près de l’entrée pour vite se réchauffer. Enfin il pouvait retrouver ses sens et notamment son touché. Ses doigts pourraient de nouveau être irrigué et son agilité serait vite retrouvé. Enfin, c’est ce qu’il espérait.

Gardant en main son arc mais prêtant moins d’attention à l’homme-lion qu’il ne l’avait fait durant les quelques minutes précédentes, le Lunargentais observa la pièce. La chaleur du feu faisait déjà effet et elle était réconfortante, comme une chaleur intérieure, comme lorsqu’il sentait une présence divine. Puis Baelsul remarqua les manteaux entreposés, ses compagnons affairés et surtout l’arc et le carquois accrochés sur le mur. Ils semblaient d’excellente facture ! Mais ceci n’étais pas la préoccupation du moment. Continuant de balayer la salle, ses yeux se posèrent sur l’autre Demi-Elfe.

* Non mais quelle honte ! Il vient de déféquer dans la salle ! Est-ce un sauvage ? Pourquoi sourit-il ? * Voilà qui n’était pas rassurant et qui confirmait les dernières pensée de l’elfe, il faudrait le garder à l’œil.

Le druide s’affairait de son côté à préparer la maisonnette à passer la tempête, un décision bien plus pragmatique qui motiva Baelsul à lui apporter son aide. L’ayant entendu parler des lucarnes, l’archer s’approcha des fenêtres pour aller les vérifier une par une.

- Je m’occupe de vérifier les lucarnes et la porte, si vous le souhaitez. Il nous faudrait aussi quelque chose pour maintenir les bandes de tissu le long des fenêtres, sinon le calfeutrage ne servira a rien. Nous pourrions aussi utiliser la paille du matelas du lit voire les peaux restantes pour renforcer l’isolation.

* Est-ce que l’air y passe ? Y-a-t’il du jour ? Les fenêtres sont elles suffisamment solide pour résister à la tempête ? * se demanda-t-il au fur et à mesure qu’il auscultait les contours des vitrages.

Baelsul en profita pour voir s’il existait un système de volet qui pourrait barrer plus fortement les vents extérieurs.


 
 
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écrit le : Dimanche 20 Août 2017 à 20h42 par Yvhann
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‘’ Un monstrueux sentiment de culpabilité s'étendait sur tout le pays, et des abysses entre les étoiles soufflaient des vents glacés qui faisaient frissonner les hommes dans des lieux sombres et solitaires.’’

(Karl Janson, aumônier de l’héritier d’Iilphemon dernier des seigneurs Imaskari. -634CV.)

‘’ Baine, est revenu, il rôde parti nous de part ses adeptes bâtards, faisant croire qu’il à eut un fils.’’

( Xyarvv, prisonnier du guetteur secret. 13 Tarsakh 1373.)


Pour les précautionneux, il était évident que les habitants de cette chaumière avaient bien construit leur demeure. Les murs épais de pierre arrondie faisait en sorte que la chaleur accumulé dans celles-ci, restait plus longuement que dans les pierres taillées et cela s’en ressentait de part le confort ressentit. Baesul découvrit que les fenêtres étaient double et déjà étoupé de crins de chevaux recouvert à ce qui ressemblait à du plâtres fin. Des volets extérieurs de bois durs laminés étaient encore ouvert, il s’agissait simplement de ressortir pour les fermer.

Le geste non civilisé de Xale fit presque perdre la sagesse surnaturel de Kyu qui au moment ou ce dernier allait se servir dans la marmite, il vit l’impensable. Si il avait passer près de l’avertir quand l’évadé avait prit la ceinture pour la mettre en bandoulière, il ne pouvait passer par dessus le manque de respect grotesque que le jeune demi exécutait dans l’endroit. Il oubliait l’odorant mets pour se diriger vers l’effronté quand le loup de Malaric qui lui venait presque de se faire déféquer dessus, sorti les crocs et se saisi des peaux de renards habilement cousus ensemble pour en faire une merveilleuse cape découpé que l’ex-prisonnier avait prit pour se coucher et la fit valser sur la table. Le jeune Xale se retrouvait couché sur le dos avec le loup qui grognait et bavait par dessus ses jambes, la bête ne cherchait pas à mordre le jeune demi mais le fait de se déplacer ainsi fit bouger le tapis au coté du lit puis le loup stoppait net son agression pour renifler le sol en grattant. Le moine arrivait au même moment en tenant le pot de chambre qui se trouvait près de l’entré dans un baril de bois sombre et laissait entendre sans ménagement …


- Tu n’est plus prisonnier petit, tes façons sont un déshonneur et un non respect pour les habitants de cette demeure, regarde comment la chaumière est bien entretenu et propre, pourquoi vouloir la souiller ainsi? Prend ceci et nettoie tes souillures et ton bol que tu as laissé trainé, nous ne sommes pas tes serviteurs.-

Il déposait le pot de chambre devant Xale puis tournait des talons et allait surveiller la marmite en laissant entendre son ventre qui en demandait mais le demi-orque semblait maintenant mal à l’aise de s’en prendre un bol. Il attendait les bras croisé sur le torse en cherchant quelque chose des yeux qui semblait ne pas être là. Le demi-orque en regardant le contenu de la marmite trouvait qu’il en avait beaucoup, il y avait dans celle-ci de quoi apaiser la faim d’une vingtaine d’humain et un demi-orque et sur la table, aucun couvert y était mit et à voir l’intérieur de la chaumière, elle semblait être occupé par deux personne seulement. Son ventre gargouillait.

Malartic qui avait farfouillé dans le grand coffre y vit des beaux draps d’un blanc immaculé finement cousu et décoré d’oiseaux habilement cousu de fils d’or. Deux lourdes couvertures de laine grise recouvrait un autre plus petit coffre, auprès de celui-ci deux rouleaux de tissus blanc couvrait le fond.



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écrit le : Lundi 21 Août 2017 à 00h26 par Ina
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Ce qui s’était passé dans la charrette trottait dans la tête de la jeune femme tout le long du chemin pour retourner à la chaumière. Un spectre ? une apparition ? une magicienne surpuissante ? Passer à travers des barreaux comme ça n’était surement pas donné à tout le monde. Elle avait vu son lot de choses étonnantes mais celle-là pas encore. Tant mieux, elle sera moins prise au dépourvus la prochaine fois.


¤Et en plus elle a ….embrassé cette…être ? L’au Delas est ben étonnant. Enfin, si d’habitude c’est squelette et décomposition je comprends que celui-là ait quelques attraits. Et il n’avait pas l’air de rechigner. Le petit. Hehe. ¤


C’est perdu dans son imagination d’un spectre avec Xale dans une situation très personnelle qu’elle entra dans la chaumière. Elle y découvrit tout le monde, avec un petit bonus félin. Enfin, petit, ouai pas si petit que ça. En tout cas elle pensa rapidement qu’il ne serait pas confortable à dormir sur son ventre. Un peu gros pour ça.
Machinalement, pour se protéger du froid elle attrapa une couverture que Malaric avait posé là et se là passa autour des épaules. Etant la dernière à entrer, elle ferma bien entendu la porte derrière elle.

Et voilà. Seule femme au milieu d’une bande d’hommes, chats, orc et autres. Heureusement qu’elle avait pleine confiance en ses capacités et sa force. Elle saurait se défendre contre ces énergumènes si jamais l’un d’entre eux venait à oublier les bonnes manières. Cette petite pensée lui fit d’ailleurs faire un petit retour en arrière dans la charrette avec ce démon inconnu mais plutôt immonde dans son genre. Un petit frisson plus tard, elle observa toujours devant la porte les autres s’affairer à vérifier les fenêtres et calfeutrer encore plus l’habitation. C’était une bonne idée. Elle put alors observer que sous ses airs de sauvageon, Malaric gardait un bon sens commun avec des connaissances intéressantes. L’argenté lui donnait un coup de main, l’orc faisait la popote.

Manger ! Mais bien sûr c’est ça qui manque. Elle s’approcha donc de la marmite et de l’orc pour observer le maitre à l’œuvre. Reniflant à pleines narines le délicat fumet émanant de la casserole, elle ne put retenir un haut le cœur quand d’autres effluves plus brutales vinrent se heurter à ses petites papilles.



-Bordel de merde !!! Le chat c’est toi qui...


Mais alors l’orc et le loup se liguèrent contre Xale. Le spectacle serait probablement drôle si cette odeur ne lui piquait pas les yeux à ce point.


-Nom de Sylvanus, c’est l’autre qui ne sait pas utiliser un pot de chambre ? Ah bah mon cochon, ça va être drôle la vie avec ton fantôme de femme de la charrette. J’espère que son sens de la propreté et surtout de l’odorat sont bien morts avec elle sinon, passe-moi l’expression mais ça va chier. Si tu recommence un truc comme ça je t’enferme moi-même dans la charrette avant de partir demain.


Puis elle se dit qu’il faudrait peut-être se faire pardonner auprès du chat qu’elle fut un peu rapide à accuser.
Elle prit alors trois bols et les remplis généreusement. Vu la quantité dans la marmite, il allait y avoir des restes. Et vu la tempête s’il n’y a personne ici ils ne reviendront surement pas tout de suite. Il faudra laisser une pièce avant de partir pour les remercier du gite et du couvert.

Elle déposa alors deux des bols sur la table avec des couverts à côté et appela les deux ingénieurs du froid.


-Malaric, Baelsul, faites confiance à l’ingénierie Humaine. On est bon pour les maisons et ce dans toutes les conditions. Venez donc manger un truc chaud. Ça vous requinquera. On pourra faire un bilan du bordel une fois rassasié.

Le dernier bol n’était pas pour elle. Elle s’approcha du chat géant. De près elle pouvait maintenant voir que c’était plutôt un lion humain qu’un chat géant. Evitons de le vexer. C’est peut-être un sujet sensible.



-Pardon pour la remarque de tout à l’heure. Je suis allé un peu vite en conclusions.


Elle lui tendit le bol


-Je suis Ina, Malaric et moi sommes des gardiens sylvestres de Thuldae.
-Quant aux autres, on vient de les rencontrer. Baelsul semble le plus raisonnable des trois. L’orc semble un peu azimuthé mais pas méchant, quand à l’autre souillon…ben voilà, l’odeur parle d’elle-même.
-Et toi ? Je n’avais jamais vu ni même entendu parler de créatures comme toi à part dans les contes. Tu m’intrigue beaucoup.


Gardant son attention sur le félin pour écouter ses réponses, elle se dirigea vers la marmite pour se servir un bol à elle aussi et à l’orc. Elle lui tendit avec un petit sourire et une main sur l’épaule, puis s’en retourna plus près de cette source d’intérêt nouvelle pour l’écouter tout en dévorant son repas. Le froid et les aventures du matin lui avait donné une faim de loup. Surtout qu’a bien y réfléchir avec ses trous de mémoire elle ne se souvenait même pas de son dernier repas.
Une créature comme ça c’était presque le bonheur parfait pour une druidesse comme elle. Le mélange de nature et d’humain en toutes proportions. Absolument fascinant.



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Le meilleur moyen de ralonger sa vie, c'est d'essayer de ne pas la racourcire.
 
 
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écrit le : Lundi 28 Août 2017 à 07h48 par Isandre Danathaë
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- Merci mon gars ! Lança Malaric à Baelsul en constatant l'aide que ce dernier lui apportait.
Le druide poursuivait son inspection rapide du petit coffre lorsque, brusquement, il lâcha les beaux tissus découverts et se retourna vivement, surpris par la brusque réaction de son compagnon loup. Mais, comprenant ce qui venait de se produire, il fut vite rassuré en constatant que seule la cape de peaux de loups argentés faisait réellement les frais de cette colère. Malgré cela, ce n’était pas passé loin pour le dénommé Xale.
Puis protestations et reproches se mirent à fuser une fois que les autres aventuriers présents eurent compris que le gredin s’était mis plus qu’à son aise. Entre le bouillonnement contenu du semi-orque, l’écœurement méprisant de l’elfe et l’énervement franc d’Ina, le druide eut l’impression de revivre un condensé des quelques expériences fâcheuses et parfois blessantes qui lui avaient été donné de vivre, à une époque où lui aussi dut être guidé vers la civilisation. Et les nombreuses marques de sévices portées par le pauvre bougre ne lui avaient pas échappées.
Pris d’un accès de pitié pour le jeune demi-elfe, Malaric se rapprocha de lui avec un désir sincère de lui venir en aide.

- Eh, p’tit ! Lui lança-t-il en s’approchant avec douceur, accroupi et les paumes des mains visibles pour bien lui signifier n’avoir aucune intention mauvaise. T’as pas vécu des masses avec les autres bipèdes dans un monde libre toi, pas vrai ? J’ai connu ça aussi à une époque, tu sais ? Mais t’es libre toi aussi maintenant, p’tit… Par contre, tu peux pas faire tout c’que tu veux pour autant, tu vois ? Y a des codes, y a des règles et y a des lois que tu vas d’voir apprendre pour rester libre et bien portant. Parc’que sinon, les bêtes autant qu’les bonhommes y vont te violenter ou te rejeter parc’que tu respectes pas ces codes. T’as qu’à voir comment tous ces loustics y viennent de réagir…
Lui proposant son aide pour se relever, Malaric ajouta :
- Et première chose à apprendre : tu fais pas tes besoins n’importe où dans un lieu où l’on vit. Soit tu peux t’éloigner faire ça à distance dans la nature, soit tu utilises ce que l’on appelle une commodité. Un moyen mis au point par les bipèdes pour ne pas être obligé de sortir pour ça. En l’occurrence, le pot de chambre que ce cher Kyu t’a donné sert à ça. Faire caca dedans pour garder l’endroit propre et éviter qu’les maladies elles apparaissent.
Puis, se tournant vers Draak dont l’humeur n’avait pas été totalement calmée, il ajouta :
- Pis fait pas la tête, toi ! P’t’être bien que ça t’aurait arrangé un peu l’odeur c’t’affaire ! HA !
Le druide se rapprocha du loup et lui caressa la tête en ajoutant :
- C’est pas un mauvais le p’tit. Faut pas lui en vouloir, Draak. Il a juste pas appris c’qu’y fallait avec quelqu’un pour lui dire comment qu’on fait les choses... Pis pousse un peu ta truffe de là que j’regarde c’que t’a trouvé !
Malaric fit bouger son loup et contempla sa trouvaille.
* C’est quoi qu’on a là planqué sous le tapis… Une trappe ? *

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Fiche de Malaric, druide de Silvanus
 
 
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écrit le : Vendredi 08 Septembre 2017 à 17h51 par Yvhann
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Aux aurores, les geôliers, toujours en castille, protestaient toujours véhémentement. L’un d’eux, plus petit, bouffi au joues rougi par le froid, les grands yeux saillants et qui semblaient de verre avaient un air incommensurablement bête en même temps que plein d’afféterie, regardait toujours vers le lieu d’éloignement ou de la résorption du phénomène qui venait d’alerter les badauds. Le pauvre bougre fut pris d’un malheureux mal-être puis sombrait dans une billebaude effrayante. J’en crains que le dément cafardeux père terreux en soit derrière toute cette affaire à la graisse de chevaux de bois.
( Rapport d’Ambroise Bigneau, doyens érudit et officier en chef du quart de nuit de la tour Sud de Fort Olostin )

Le vent soufflant, la neige s’accumulait rapidement et à peine pouvait-on voir les restes de la charrette renversée que c’était le plus loin qui était possible d’apercevoir quelque chose à l’extérieur. Peinant à faire des pas dans cette accumulation de neige qui s’entassait lourdement au vent, la mission de fermer les volets ne fut pas des plus commodes.

Ina avait servie, tout comme Kyu, un sermon à Xale qui semblait-il ne se sentait pas coupable mais bien ignorant des bonnes manières et coutumes général. Fallait-il lui en vouloir, lui qui avait été prisonnier toute sa vie avec tous les désagréments que cela impliquaient. La druide ne s’éternisait pas plus pour ensuite faire connaissance avec l’homme lion qui s’était faufilé dans la chaumière aussi adroitement que discrètement. C’est à ce moment que le demi-orque, après avoir vu Ina se prendre un bol dans la marmite décidait lui aussi de se servir et prit connaissance de l’intrus. À voir son faciès, il semblait étonné mais surtout heureux : Un autre sauveur venait d’apparaitre, c’était bien celui qui semblait le plus flou de ses rêves, le plus énigmatique et aussi celui qui jouerait, toujours d’après ses rêves, un rôle important côté de la protection et du chemin car le moine avait bien vu un chemin tortueux qui entrait dans les sous-bois de la haute foret, chemin qui avait disparût depuis des lustres et qui avait été abandonné. Il allait sauter sur l’occasion pour l’interpeller mais Ina le fit avant et le moine de l’ordre du corbeau dû se contenter d’avaler son bol de civet délicieux dans l’attente de se présenter ou de reprendre un autre bol, ce qui fût fait sans attendre. * Mais où sont les occupants?* Se demandait-il toujours depuis son entrée en remplissant sa deuxième bolé.

Le loup qui grattait le sol de ses griffes des pattes avant, reniflait de sa truffe une odeur qui semblait l’exciter et le rendre indifférent à celui qui avait souillé l’endroit peu de temps auparavant. Le tapis qui se trouvait en place fut rapidement déplacé sous le lit pour donner tous les aises que le canidé avait besoin. Visiblement, une trappe apparaissait à l’ensemble des occupants intéressé. Un petit anneau dans l’alcôve servait de poignée mais le loup était incapable de s’en servir, continuant ainsi de gratter inutilement, dans son mécontentement, il regardait Xale en grognant, considérant qu’il était le coupable de son incapacité à ouvrir la trappe. Par chance Malaric ordonnait à son canidé de se calmer pour ensuite faire de la diplomatie puis de l’enseignement au jeune demi et découvrait la trappe en même temps que l’ex-prisonnier.

Le druide qui tentait d’écouter de l’autre côté n’entendit rien, par-contre il senti comme une odeur mélangé de fumé vivante, de viande, et autres herbes aromates qui se faufilaient entre les minces interstices. Pour ce qui était d’un piège quelconque il ne pouvait, sur le présent, le savoir mais il semblerait que c’était qu’une trappe simple qui devait aller dans le caveau. Draak ne cessait de piétiner et de couiner comme si quelque chose le pressait c’est ce qui empêchait les fines oreilles de certains d’entendre les cris interminables et suppliant du petit Émerick qui seul dans son tiroir venait de se réveillé subitement suite à un atroce cauchemar.




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écrit le : Samedi 09 Septembre 2017 à 22h23 par Khelrod
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L'homme-chat s'était effectivement faufilé avec grâce à la suite du demi-elfe. Une fois à l'intérieur, il avait semblé grandement apprécier la chaleur du foyer, à se fier à son sourire satisfait. Déjà équipé de son manteau de fourrure et entrant dans une demeure chauffée, il n'avait pas pris la peine de ramasser l'une des fourrures que Malaric avait mis à disposition de ses compagnons d'infortune.

Une fois à l'intérieur, il avait pris le temps d'observer les lieux et d'essayer d'en comprendre le fonctionnement. C'est que dans son clan, on ne vivait pas dans des maisons en dur et il n'avait, pour sa part, encore jamais mis les pieds dans une telle construction. Il portait donc un regard intéressé et étonné sur chaque meuble, chaque fenêtre...

Il ne lui fallut pas bien longtemps pour ressentir, comme tout un chacun, une profonde répugnance pour ce que venait de faire l'ex esclave. Le cadeau malodorant du métis tira une grimace dégoûtée à l'éclaireur qui détourna le regard, se demandant s'il ne faudrait pas abrégé les souffrances de cet être manifestement déficient.


¤ Il faudrait mettre fin à ses souffrances, ce serait lui faire un cadeau. ¤

Et alors qu'il réfléchissait à la pertinence de cette idée, Ina lui adressa la parole, sur un ton qui ne lui plaisait pas. Pire, elle lui reprocha la souillure qui était l'oeuvre de Xale. L'espace d'une seconde il eut envie de lui sauter à la gorge, mais il se souvint alors que les humains n'étaient pas habitués à croiser ceux de son espèce. Il fut bien aise de ne pas l'avoir agressée, puisqu'elle tenta de se faire pardonner quelques minutes plus tard en lui offrant à manger. N'étant pas certain de ce qu'il pensait d'elle, partagé entre d'un côté l'antipathie qu'il ressentait pour elle suite à l'insulte qu'elle venait de proférer et d'un autre côté la satisfaction d'être l'objet de sa curiosité. Il décida pour le moment de lui adresser un sourire courtois sans prendre la peine de lui répondre.

Il continua simplement son observation de la demeure, sans apporter son aide à Malaric et Baelsul, ne sachant pas exactement comment procéder pour les aider. Lorsque le temps virait ainsi, il avait coutume avec les siens d'utiliser des formations naturelles pour s'abriter, telles des grottes, et non de se barricader dans ce genre de bâtiments. Pour le coup, il n'avait pas bien eu le choix face à cette tempête surnaturelle.

Il acquiesça discrètement aux propos de Malaric lorsque l'humain commenta ce qui venait de se passer, puis constatant l'intérêt de ce dernier pour la trappe dans le sol, il décida lui même de porter son attention sur elle. D'autant plus que le compagnon animal de ce dernier semblait avoir l'intuition que quelque chose pouvait s'y trouver, à se fier à l'air excité que la bête avait. Il s'approcha alors suffisamment de la trappe, sans dire le moindre mot, se pencha vers elle et l'observa avec attention. N'y voyant là qu'une banale trappe et ne voulant pas interférer dans les affaires du druide, il fit un signe à ce dernier, l'enjoignant à ouvrir ladite trappe.


 
 
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écrit le : Dimanche 10 Septembre 2017 à 09h38 par Baelsul
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Les remontrances faites au demi-elfe qui avait osé déféquer dans le coin étaient totalement justifiées. Baelsul, qui ne comprenait pas le comportement de ce récent compagnon, avait préféré que d’autres se chargent de lui expliquer les ‘Coutumes Générales’ pour deux raisons. La première était évidemment le comportement suspicieux de son congénère depuis leur rencontre, ses sauts d’humeur, etc. La seconde était plus lié à la peine qu’il avait éprouvé pour le demi voyant bien que quelque chose de puissant ou de marquant l’avait conduit à adopter cette attitude, quelque chose d’anormal et qui semble-t-il ne disparaîtrait pas de sitôt. Il faudrait sûrement employer beaucoup de douceur et de tact et prendre son mal en patience.

Après avoir, non sans mal, fermés les volets, Baelsul en profita pour se réchauffer les mains en saisissant le bol de tambouille généreusement servit par Ina. En le prenant, il lui adressa un sourire et glissa un « merci », tout en écoutant ses paroles échangées avec l’homme-chat. Baelsul était curieux de connaître chacun des aventuriers composant le groupe nouvellement constitué.

Comme il l’avait pensé et espéré, les deux druides du groupes semblaient les plus aguerrit des membres du groupe et le fait qu’ils prennent les choses en main n’étaient pas pour lui déplaire, lui qui souhaitait d’abord et avant tout apprendre. Il savait que les relations entre les uns et les autres pouvaient être délicates, et ils venaient d’en vivre deux belles démonstrations ! Celle de Xale, pour le moins grossière et la curiosité d’Ina envers Nersharr.

Tout aussi intrigué que la druidesse et remarquant le faible entrain que mettait l’homme-félin à interagir avec elle, Baelsul décida d’insister mais avec une autre approche, évitant d’aborder l’aspect de l’individu. Il s’approcha de la trappe vers laquelle s’était dirigé Nersharr. Lui tendant la main en signe de bienvenue, il lui adressa la parole :
- Notre rencontre n’a pas été des plus amicales. Pardonnez ma suspicion d’origine, mais devant le déchaînement des éléments, nous étions à l’affut de toute menace.
Puis Baelsul enchaîna, regardant tour-à-tour Malaric, Nesharr et la trappe :
- Nersharr du clan Lion-Rugissant ? Je suis Baelsul Archer de Lunargent.

Baelsul attendait la réponse de Nesharr, espérant que son attitude plus amicale permettrait d’apaiser les tensions extérieures et intérieures au groupe.


 
 
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