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Chapitre II.2, [Xarss et Ashura]
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Sentinelle
Chambre 24
1 gemme
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L'ombre qui avait pesé sur le jeune drow à son arrivé venait de disparaître à l'approche de l'enfant. Une chose se produisit en lui, un sentiment proche de celui qu'il ressentait depuis un certain moment, un sentiment nouveau qu'en surface l'on appelait l'amour. Bien sur se sentiment avait bien des avenues qui se séparait en chemins, routes, sentiers ou voie, quoi qu'il en était, un douce lumière vint l'éclairer en son for intérieur qui lui donnait un air niais au devant de la trop jeune blessé.
Un nuage humain vint par contre épaissir l'éclairci, les propos de Léor lui demandait de faire recours a sa sagesse précaire pour ne pas lui trancher la gorge sur le moment puis la suite de ses dires le fit se concentrer sur la plaie qu'il inspectait avec attention, cherchant à oublier le fait que l'humain savait qu'il avait plusieurs armes, celles-ci qui étaient caché de tous depuis sa sortie d'Outreterre.
Le soupire de Lor'Kar le chagrinait un brin, lei faisant lui même soupirer. Le vieux Orque, il l'appréciait, jusqu'à lors il était un exemple à suivre pour lui qui commençait sur une voie périlleuse et incertaine. Les dernier mots du sage au propos d'Ellistrae ne le surprit pas, au contraire il se les répétaient sans arrêt le laissant avec un air encore plus niais qu'auparavant. Le renégat se relevait songeur laissant son esprit vaguer auprès d'Ellistrae son regard plongé dans celui de Lor'Kar.
Un simple pas vers l'orque pour s'approcher puis sa main gauche vint en contact sur l'épaules musculeuse du sage et sur une teinte étouffé de respect il dit doucement...
-Merci Lor'Kar, vous êtes vraiment un être d'exception et, vous le savez sans doute...-
Il allait ajouter qu'il était un exemple a suivre, mais le jeune faussement appelé Krysyyor avait la certitude que l'orque savait la suite et le sentiment qu'il ressentait pour lui.
Pas une femelle aurait put apporter à Xarss cette nouvelle vie qui s'ouvrait tranquillement devant lui, il aura fallut s'approcher de la jeune mourante qui lui était totalement indifférente au début puis les paroles judicieuses de Lor'Kar pour lui ouvrir le coeur ainsi. Il ressentait une boule à la place du coeur, comme si une fleur y croissait. Un sourire radieux, jamais encore vu sur son visage impassible, vint rayonner son être, pour les non habituer, cela pouvait facilement ressembler à une grimace.
Les dernières paroles de Sabetta le sorti doucement de son extase du moment lui rappelant qu'il avait été le seul à entendre la voix de l'agresseur et que cette mince avantage pouvait leurs être utile et que la mission était loin d'être close mais c'est la voix doucereuse d'Ashura qui vint l'interpeller et le sortir totalement de son égarement sentimentale du moment. Cette dernière pu par contre voir la fin du sourire de son sombre compagnons, ses yeux n'avaient peut être pas l'étincelle de son coeur encore mais ils brillaient d'un feu nouveau qui s'apparentait beaucoup plus de l'amour que de la haine puis sur sa teinte naturelle il dit mélodieusement, ce qui trahissait son nouveau senti,ment...
-Je vous suis très cher.-
Sa démarche avait, elle aussi, un quelque chose de nouveau puis dans son élan il se retournait vers la jeune blessé puis dit sur un ton impératif...
-Nous le trouverons, pour toi, ma douce enfant.-
Son air devint plus sombre et déterminé qu'auparavant, il mettrait de coté son propre être pour sauver l'honneur de la petite, se qui sur le coup le fit trembler de peur, s'ignorer pour une autre personne, c'était l'aventure pour lui, un acte d'un ridicule mortelle pour un drow mais il avait choisi cette voie, elle lui faisait peur et en même temps lui donnait des ailes nouvelles. Il ressentait profondément en lui, l'échec, mais peut importait, car il ne lâcherait pas quitte à mourir intègre que faux et fourbe. Pour la petite, ses parents, les autorités de Lunargent, pour les faux croyants qui voyaient en lui qu'un traitre, il prouverait que l'amour peut germer dans un coeur pourri et faire resplendir cette fleur qui y poussait. Il fallait que continuer de la nourrir de sentiments juste et faire taire les vils tares destructrices qui pourrissaient sa volonté. Il devait avoir un phare pour éviter les méandres et dans son entourage proche, il en avait plusieurs et il ne fallait pas qu'espérer, il fallait continuellement continuer à travailler, ne jamais lâcher. Lor'Kar était son phare, Ashura était celle qui semait devant lui. Sa détermination nouvelle venait de lui donner un élan, restait maintenant sa volonté à être à ce niveaux, ceci ne serait pas simple et facile mais sa véritable quête ne devait pas échouer, il ne pouvait se le permettre.
L'Art en tant que science est la connaissance universelle des forces de l'univers; en tant que magie, elle est l'application pratique et physique de ces mêmes connaissances. Lil waela lueth waela ragar brorna lueth wund nind kyorlin elghinn. (L'idiot et l’imprudent trouvent des surprises et parmi elles, attend la mort.) 6 Sorts niv.0: 4 Sorts niv.1: 2 sorts niv.2:-1=1fiche Xarss
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Façonneur de Montagnes
Chambre 6
3 gemmes
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De soldat en sous-officier, de sous-officier en officier, Ashura et Xarss finirent par se retrouver au premier étage. Les hommes leurs avaient dit que Beiran était rentré quelques dizaines de minutes plus tôt et qu'ils pourraient peut-être le voir. Mais, en arrivant sur le palier, c'est d'abord la porte ouverte du premier bureau devant eux qui attira leurs oreilles.- Je vais suffisamment avoir à gérer avec ton bourru de père Taëlyne. Je veux que tu prennes un peu de repos , disait la voix de Lorik. Ta nièce est en bas, entre d'étonnantes mais bonnes mains, quoique tu en penses. Et qui plus... - Tu ne peux pas me mettre à l'écart ! , répondit la voix de l'elfe, colérique. C'est ma famille Lorik ce n'est pas juste un cas d'agression ! Mon frère à disparu, My aussi ! Comment peux-tu me demander ça ?! En faisant deux pas, les deux enquêteurs purent voir l'intérieur du bureau. Lorik, patient comme la pierre, restait stoïque en attendant que la tempête ne passe. Il était au fond de la pièce et il pouvait voir à son regard qu'une certaine colère brûlait au fond de lui. Derrière, contre le mur, se trouvait Tom, visiblement mal à l'aise. Taëlyne leur tournait le dos, mais à son ton, on avait peu de difficulté à imaginer son visage aux traits détruit par la colère.Capitaine Lorik | | Ça suffit Taëlyne.
Le nain posa son poing sur la table, rappelant bien qui détenait l'autorité dans la pièce.
Je t'ai élevé comme ma fille, et Laelor m'est aussi cher qu'à toi. Je connais Myal'sa depuis plus de temps que ton frère. Alors ne fait pas croire que je méjuge ce que je te demande. Je SAIS à quel point cela va t'être difficile. Mais tu as hérité du tempérament de ton père, j'ai besoin que tu t'éloignes. Pourquoi crois tu que j'ai forcé Beiran à engager des francs-tireurs ? Parce qu'ils sont neutres, ils ne laisseront pas leurs émotions entrer en ligne de compte. Ce n'est pas que de la politique Lyne ! Oui, j'espère que ce drow sera meilleur que le reste de son peuple et pourra réparer la compassion de ton père. Et ne crois tu pas que j'ai des scrupules à envoyer une jeune fille à peine remise d'une agression dans une quête évidemment dangereuse. Mais je veux surtout sauver ta famille, la mienne. Et tu n'aideras pas en restant dans leurs pattes.
Il enleva son poing de la table.
Tu es en permission jusqu'à demain soir, c'est un ordre. Et toi aussi Tom. Allez, déguerpissez de cette caserne.
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Ce guerrier nain porte sa vieillesse autant dans la couleur de sa barbe que dans le nombres de cicatrices sur son visage. |
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Un terrible silence régna un moment dans tout l'étage. Et il fut interrompu par un vieil homme qui semblait nettoyer le couloir adjacent, qui se pris le pied dans son seau.- Outch ! Tombant à la renverse, il fut secouru par Taëlyne qui l'avait entendu geindre et l'aida à se relever. La colère qu'ils avaient entendu plutôt laissa un instant place à la douceur.- Merci ma petite, je n'ai plus la dextérité de ma jeunesse , s'excusa le vieil homme.- Il est peut-être tant de reposer tes armes, Jero. - Oh, la caserne me manquerait... Un sourire sage sur le visage, l'intendant récupéra son seau et s'éloigna, passant devant Ashura et Xarss. Taëlyne se tourna vers eux alors que Tom la rejoignait, dubitatif.Taëlyne | | Oh. Et bien, j'imagine que vous avez tout entendu. Maintenant, j'espère que vous ferez tout ce qui est en votre possible.
Viens Tom.
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Pas encore marquée par la guerre, Taëlyne a présentement perdu son sourire. |
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Toujours furieuse, elle saisi le bras de l'humain et ils passèrent devant eux en vitesse. Avant de descendre l'escalier, je jeune homme les regarda, avec un visage évoquant un mélange d'étonnement et de lassitude.
Dans le bureau, Lorik les regarda. Un instant plus tard, il leur fit signe d'entrer.
Voyons voyons mon jeune ami, vous croyez vraiment que les montagnes grandissent seules ?
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Habitante des Royaumes
Chambre 41
1 gemme
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L’apprentie bretteuse aux cheveux dorés ne connaissait que trop bien les tourments dont été victime la jeune elfe. Elle voulut un instant, rétorquer à l’attention de Taëlyne, qu’elle était déjà certainement la personne la plus dévouée dans cette affaire, depuis ce début de matinée à poursuivre l’agresseur. Mais elle se ravisa et n’offrit finalement qu’un sobre hochement de tête en guise de réponse à la furie. Elle contempla les deux soldats, l’officieux couple pensa-t-elle, ils disparurent dans les dédales de la caserne et la guerrière songea un instant à les accompagner. Il y avait fort à parier que Taëlyne outrepasserait l’autorité du capitaine Lorik pour mener sa propre enquête.
¤ C’est ce que j’aurais fait, songea la bretteuse. ¤
La lourde voix de l’officier résonna entre les pierres, elle écourta prématurément ses pensées, laissa passer le furtif et prit le soin de refermer la porte après en avoir franchi le seuil. Ashura se figea devant le bureau du capitaine, le dos droit et les épaules hautes. L’expression de Lorik souffrait encore d’une certaine colère mais ses yeux trahissaient un autre sentiment, l’inquiétude paternaliste. L’autorité familiale qu’il fut contraint à utiliser, semblait avoir atteint l’immuable vétéran. La bretteuse inspira un bon coup et se mit à parler sans détour.
- Nous avons, durant la matinée, rencontré plusieurs alchimistes Lunargentais. Sabetha de Castel-Chêne est actuellement au chevet de la jeune victime. Votre guérisseur semblait un peu décontenancé par la situation. Ensuite, Maitre Soran du collège nous a prodigué un précieux ingrédient nécessaire au traitement en cours. Quant au dénommé Bonnavi… Elle se mordit inconsciemment la lèvre pour retenir ses propos.
Elle soutenait le regard du nain et tentait d’être le plus concise possible.
- Peu importe, quoi qu’il en soit, nous n’avons rien trouvé concernant l’agresseur. J’envisage désormais d’aller questionner les caravanes marchandes, avec l’intention de me renseigner sur l’existence d’officieux réseaux. Essentiellement car tous s’accordent à penser que l’élaboration ou la commande d’un tel venin ne devrait pas passer inaperçue. Il faudrait sans doute nous éloigner de la cité pour ce fait. Aussi, nous envisageons de prendre conseil auprès de maitre Orten et du conclave, et afin de parvenir sans mal à ces audiences, j’aimerais que vous nous fournissiez un légitimant.
Un instant de réflexion fut nécessaire à son développement. Elle jeta un regard furtif vers son compagnon d’Outreterre. Ashura, bien que familiarisé par sa présence, ne comprenait toujours pas comment un tel vagabond avait pu entrer dans l’enceinte de la cité. Elle hésita un instant à prétexter l’ethnicité de son camarade pour influencer le jugement du capitaine. Mais elle suggéra que son regard était suffisant pour passer le message.
- De plus, j’ai cru comprendre que les Gardesorts ou d’autres compagnies pourraient actuellement enquêter sur les mêmes faits que nous. Qu’en est-il ? Ce document nous garantirait une certaine sécurité. Enfin sachez que je compte préserver, tant que possible, notre indépendance.
Ne voyant rien à ajouter, elle s’étira pour dérouiller ses articulations. Son estomac émit un grondement distinctif qui ne la gêna pas outre-mesure. Même si l’enquête n’avait pas été aussi fructueuse qu’elle l’aurait espérée, Ashura constata que sa balade au cœur de la cité joyau avait creusé son appétit. Elle reprit aussitôt.
- Avez-vous eu le rapport de vos guetteurs ? Des revendications sont-elles parvenues jusqu’au commandant ? Demanda-t-elle naïvement avant que l’elfe noir ou le nain ne puisse réagir.
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Sentinelle
Chambre 24
1 gemme
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Chemin faisant Xarss vaguait dans ses pensées nouvelles et ce demandait si il ne devrait pas mettre un peut de piété envers Ellistrae que sitôt, ne trouvant réponse sur ce, il entendit la voix de Lorik et celle de la jeune elfe rencontré plus tôt dans la matinée.
* Mmmmm… Donc son frère est disparut, pas juste parti et sa douce en plus!?*
Se questionnait-il y voyant là un indice d’un chantage encore plus soutenu. La suite de la conversation tournait sec et l’ordre fut claire comme une eau de roche pour la dénommé Taëlyne. La gaucherie du concierge ne retenait pas sont attention mais plutôt la présence de Tom qu’il n’avait pas entendu lors des discussions d’auparavant.
Par respect, Xarss ne regardait pas ni l’un, ni l’autre lorsqu’ils passaient devant eux et ne répondit pas non plus aux paroles de la jeune elfe qui avait toute les difficulté pour retenir sa rage. Le faussement appelé Krysyyor ne pouvait pas dire qu’il la comprenait ni même qu’il avait une compassion pour elle mais un sentiment encore étrange en lui, lui dictait qu’il devait respecter le moment; il en apprendrait surement plus, plus tard sur la manière d’agir en de tel moment, pour l’instant il restait muet et impassible.
Leur entré le surprit, le fait que la bretelles le laisse entré en premier le mit mal à l’aise, ce n’était pas de la courtoisie mais plutôt une forme hiérarchie d’Outreterre qui lui collait à la peau. Il n’avait jamais passé devant une femelle, pour lui c’était sacrilège mais il semblerait qu’en surface c’était accepté. La question du matriarcat ne semblait pas trop présente à Lunargent, comme partout en surface jusqu’à lors.
Son attention se portait maintenant sur les lieux de Lorik durant qu’Ashura fit un résumé fort simple et adéquat de leurs mini enquête sur le dit poison. Tout au long du résumé, le renégat croyait de plus en plus qu’ils trouveraient à l’extérieur de Lunargent. Si le fuyard avait sauté dans la rivière c’était surement qu’il en était plus sécuritaire pour lui pour quitter la ville sans être vu et suivit, donc il devait être à l’extérieur de la ville et pas trop loin. L’idée des caravanes lui faisait miroité une possibilité fructueuse pour l’enquête.
Sa faible compétence d’investigateur se faisait aller dans ses méninges, cherchant, avec toutes les informations qu’ils avaient eut jusqu’à lors, de trouver une piste qu’ils pourraient suivre et d’amalgamer les différentes informations les unes aux autres mais il le sentait, il était encore trop tôt pour tisser une toile importante et d’en saisir une quelconque trame.
C’est à l’intonation de la belle guerrière que Xarss sorti de sa transe interrogative et comme un ressort, sorti doucement…
-Effectivement, un légitimant nous serais utile aussi pour entrer et sortir de la citée comme bon semble en vouloir l’enquête, malheureusement, ma race n’aidant pas notre quête, un légitimant nous serais important. Sachez que je ne l’utiliserai pas pour mon enquête cette nuit.-
Il prit une pause puis continuait avec…
-Je ne compte pas me reposer beaucoup pour les prochains jours et nuits, en espérant par contre trouver l’agresseur le plus tôt possible.-
Il avait regardé la jeune fille à son coté en disant le début de sa dernière phrase comme si il attendait qu'elle l'accompagne la nuit durant mais savait pertinemment qu'elle devrait se reposer ainsi que les autres membres de la troupe improvisé. Un léger soupire intérieur se fit lorsqu'il laissait ses yeux vaguer vers les hanches d'Ashura: Il avait bien hâte à la nuit qui viendrait.
L'Art en tant que science est la connaissance universelle des forces de l'univers; en tant que magie, elle est l'application pratique et physique de ces mêmes connaissances. Lil waela lueth waela ragar brorna lueth wund nind kyorlin elghinn. (L'idiot et l’imprudent trouvent des surprises et parmi elles, attend la mort.) 6 Sorts niv.0: 4 Sorts niv.1: 2 sorts niv.2:-1=1fiche Xarss
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Habitante des Royaumes
Chambre 41
1 gemme
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Ashura écouta la voix sifflante de son comparse soutenir sa requête. Elle se mit à sourire intérieurement en réalisant à quel point la coopération devenait, au fil des heures, plus intuitive. Elle quitta un instant du regard l’officier et posa les yeux sur l’elfe noir. Une étrange complexité défiant les préconçus relatifs aux drows, voir ceux que les drows nourrissaient vis-à-vis d’eux-mêmes. Elle avait cru percevoir en lui, lors de leur escapade, une certaine sensibilité. Loin des horreurs qu’il avait lui-même dépeintes plus tôt dans la journée. L’écoutant affirmer son implication dans l’enquête, la guerrière se demanda si un élément, qui lui aurait échappé, avait fait naître de l’empathie chez le ténébreux.
- La sécurité des caravanes réclame beaucoup de vigilance. Les rondes de garde sont mon quotidien. Je n’ai besoin que de peu de temps pour être opérationnelle. Je vous accompagnerais aussi longtemps que mes jambes me porteront.
Plaisanta-t-elle en gardant un ton solennel avant de retourner son attention vers le capitaine.
- Avec le festival qui approche, j’estime que nous devrions nous dépêcher d’effectuer nos recherches avant que l’ivresse ne gagne le cœur des citoyens. Bien que cela dénouera certaines langues, j’ai peur que ça n’entame aussi notre crédibilité.
Elle se mit à sourire un court instant et reprit aussitôt.
- Nous avons appris que le Commandant était rentré. Nous n'avons pas osés le déranger, mais peut-être préfériez-vous que nous allions présenter notre rapport et notre requête…
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Façonneur de Montagnes
Chambre 6
3 gemmes
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Capitaine Lorik | | Je sais ce qui se passe dans ma caserne, répondit le nain, visiblement un peu amusé. Je ne connaissais pas l'alchimiste, mais elle me semble compétente, je vous remercie déjà de l'avoir trouvée.
Kryssyor, je sais que les elfes n'ont guère besoin de repos, mais je soutiens que vous devriez tous, penser à vous reposer. On enquête pas correctements avec l'esprit fatigué, et on se bat encore moins bien. D'ailleurs, il sortit une grosse clé légèrement rouillée de sa poche et la jeta dans les mains de ses interlocuteurs.On vous prêtre la vieille tour pour un temps. Personne ne vous reliera à la garde là bas, puisque tout le monde croit qu'elle est abandonnée. Beiran l'a précisément garder pour ce genre d'éventualité... intuition d'anciens mercenaires diront nous.
Pour le reste, je ne peux pas vous donner directement satisfaction. Traiter avec les Gardesorts est une chose complexe. Vous avez peut-être l'impression que je gère ce bouge, mais c'est bien le Commandant qui fait tourner la machine.
Venez.
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Ce guerrier nain porte sa vieillesse autant dans la couleur de sa barbe que dans le nombres de cicatrices sur son visage. |
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Le nain passa devant eux et ouvrit la voie, les guidant au bout du couloir vers le bureau du commandant. Il frappa, n'attendit pas de réponse et entra. Il salua de manière étonnement respectueuse lorsque l'on connaissait le passif des deux hommes.
Le bureau du commandant était un étonnant mélange de cercle druidique, d'antre de vagabond et de retraite guerrière. Les murs étaient couverts d'étagères dans lesquelles on pouvait trouver des centaines de livres et de parchemins, strictement rangés avec un ordre évidemment mais mystérieux. Mais on trouvait aussi le crâne d'une créature dont les os était d'une impressionnante épaisseur, un certain nombres d'armes que le drow pu reconnaître comme celles de son peuple : des dagues et épées de différents maisons, brisées, une gemme de feu, brisée, et ce que Xarss reconnut comme étant apparemment le fragment d'un masque de Matriarche.
Quelques étagères plus loin, on trouvait quelques bouteilles d'alcool, dont l'une, une carafe cubique fait d'un verre irisé contenait un liquide étrange qui se mouvait sans raison apparente.
Dans les coins, des plantes poussaient dans des pots d'argiles et grimpaient au mur, formant ci et là des arches de feuilles et de branches au plafond.
Beiran était assis derrière le bureau en lui même, la tête baissée sur un parchemin. Son compagnon lynx était allongé au sol à coté. Une longue épée qui miroitait trop pour être fait d'acier était poser contre le coté du meuble, à coté d'une seconde, encore glissée dans son fourreau. Un arc en corne était posé sur le plateau, pour l'instant débarrassé de sa corde, mais une flèche couverte de sang était posée à coté. Lorik s'avança et transmis rapidement les demandes des deux enquêteurs. Le commandant releva la tête et les regarda, deux doigts sur le menton.Commandant Beiran | | J'ai retrouvé notre agresseur, il montra la flèche ensanglantée, et ses assassins. Pas sûr qu'ils aient survécus, mais ils étaient hors des Sentinelles et ont réussi à disparaître par magie. Littéralement. Ils ont versé de l'acide sur notre cible, et je n'ai pu récupérer qu'un bout de cuir de sa cape.
Il poussa vers eux un morceau de cuir rongé d'un coté par de l'acide.
Je doute qu'on puisse en tirer grand chose, mais on ne sait jamais. Et non, il n'y a eu aucune revendication, ce qui ne m'étonne guère. Voilà pour ce qui concerne cette partie de vos questions.
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Cet officier elfe regarde le monde avec un regard mélangeant une volonté d'acier et une mélancolie discrète. |
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Il roula le parchemin qu'il lisait et le poussa sur le coté avant de croiser ses mains sur le bureau. Pensif, il regarda Ashura et Xarss sans vraiment les voir, ses doigts s'agitaient dans une routine connue des guerriers de toute sorte, vouée à retrouver la souplesse de les doigts après une blessure.Commandant Beiran | | Je dirige une garde civile. J'ai beau avoir des contacts dans la Garde d'Argent et les Gardesorts, ce sont eux qui donnent les ordres plus que le contraire. Je vais envoyer un message sur l'île et au palais, mais ne vous attendez pas à une immunité complète. Les officiers savent déjà ce que je vous ai demandé, et tous ont conclus que votre groupe serait plus efficace si il restait le plus secret possible. Tout le monde n'est donc pas au courant.
Cela dit, j'ai cru comprendre que vous étiez passés par le Collège, une partie des Gardesorts vous a donc vu, il précisa pour information, les élèves, une grande partie sont en service en même temps que leurs études. Les maîtres aussi, d'ailleurs.
Rassurez vous, je ne pense pas qu'ils interviennent directement, mais Lunargent à un nombre conséquent d'hommes et de femmes capables d'être discrets, indépendants ou non. Si jamais vous les rencontrez, ils auront sans doute entendu parler de vous, mais j'imagine que vous devrez négocier un peu.
Donc non, je ne peux pas vous donner de laissez passer ou quelque chose comme ça. Mais je vais faire de mon mieux pour qu'on ne vous mette pas de bâton dans les roues. D'ailleurs, rien ne vous empêchera d'entrer et de sortir, ce sont les sentinelles, pas les gardes qui décident des entrés. Si les Sentinelles n'avaient pas voulu de vous, vous n'auriez même pas pu vous approcher, en ce qui vous concerne, Kryssyor, je suppose que Zeoman à intercédé en votre faveur. J'imagine que votre guilde à quelque réseau, vous devez être le premier drow à passer les murs de la ville en un demi millénaire. Alors si vous êtes passés, ne vous inquiétez pas, les allers-retours ne poseront pas de problèmes.
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Cet officier elfe regarde le monde avec un regard mélangeant une volonté d'acier et une mélancolie discrète. |
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Voyons voyons mon jeune ami, vous croyez vraiment que les montagnes grandissent seules ?
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Habitante des Royaumes
Chambre 41
1 gemme
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L’intérieur du bureau avait des airs de galerie d’antiquité. Autant de reliquat qui justifiait la triste histoire narrée par le capitaine Lorik que de vestiges qui laissaient entrevoir un passé encore plus riches. Le commandant semblait, comme à son habitude, préoccupé par ses responsabilités. Les oreilles du félin, couché à ses côtés, se mirent à pivoter quand les deux apprentis enquêteurs firent leur entrée. Ashura savait que des milliers de gens parcouraient les monts environnants toutes leurs vies sans jamais en apercevoir un. Elle aprécia à nouveau l'impérial flegme du prédateur. Puis, le bras droit parallèle au sol, elle leva machinalement le poing ferme devant son cœur en guise de salutation. Elle poursuivit sa contemplation et attendit un moment que le fils Möradin fasse son rapport à son supérieur hiérarchique et proche ami. Ceci étant fait, le commandant Beiran fit à son tour de nombreuses révélations.
Ashura avait parfois la sensation que les dieux observaient et intervenaient subtilement pour se jouer des mortels. Elle garda le silence dans un calme glacial, une expression marquée d’un détachement total, le regard durci par la stupéfaction. Les rouages de son esprit tournaient frénétiquement pour disséquer les confessions de l’elfe. Le commandant omettait volontairement d’émettre les détails de l’opération et bien qu’elle ait un profond respect pour la hiérarchie, même quand elle n’était pas aux commandes, elle se décida à faire sauter le lièvre en dehors du buisson.
Elle prit une profonde inspiration et se mit à parler à l’attention de son employeur.
- Voilà une bien sordide nouvelle. Nous qui pourchassions une ombre fugitive, nos pistes s’estompent à mesure que la journée s’écoule.
L’apprentie bretteuse repoussa une mèche de cheveux rebelle qui lui barrait le front.
- S’agit-il d’une punition infligée pour avoir manqué sa cible ou pour ne pas avoir sût vous semer ? Quoi qu’il en soit, vous devez avoir des détails à nous fournir sur les circonstances des événements…
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Sentinelle
Chambre 24
1 gemme
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Lorik, de ses conseils, fit réfléchir le jeune drow sur la suite, de la nuit qui viendrait et il aurait voulut être franc qu’il n’aurait sut quoi répondre, il ne dit mots, restant neutre, lui offrant simplement un abaissement de son sourcil gauche comme seul signature.
Dans sa démarche fluide qui s’amusait à relancer les pas de Vorn qui se tortillait adroitement entre les pas de son maitre, le faussement appeler Krysyyor réfléchissait encore sur les tentatives d’informations qu’ils avaient opéré, Ashura et lui. Des pistes faibles, quelques routes à suivre mais sans plus, le plus important avait été une aide pour la petite blessé, Beth, le sang de dragon et toujours pas d’hydromel. * Peut-être dans cette tour Xarss.* Se dit-il pour lui même pour agrémenter son isolement.
Ils déménagèrent dans le bureau du commandant, là ou la curiosité du renégat montra une pointe d’intérêt. Un capharnaüm hideux comme il aimait les détester. Il n’avait jamais aimé ce genre de pièce qui vous garde dans vos vieux souvenirs et les mémoires d’une vie antérieur ampli de trophées de chasse et autres absurdités de la sorte, par contre la parti du masque fut pour lui un moment fort. Entremêlé d’un haut le coeur et la réjouissance, l’évadé eut un sourire intérieur en même temps qu’il tentait de percevoir de quelle famille pouvait bien appartenir ce fragment de masque. Son inspection du reste du lieu retint son attention sur la belle arme appuyé sur le meuble, les doigts lui démangeait de la saisir pour la manier puis les premier mots du commandant eut l’effet d’un millier de coups de fouets.
La stupéfaction aurait put se lire sur son visage pour les habituer du langage facial drow et avoir eut une chaise à sa porté il l’aurait mit à contribution. Le bougre avait gardé la flèche ensanglanté, pour dire comment il devait être amers. Xarss s’approchait du bureau puis touchait l’infime parti du restant de la cape de cuir de l’agresseur; son intention étant de vérifier si elle était trempé car elle avait naturellement bu l’eau de la Rauvin cette cape, comme si il avait besoin d’une preuve supplémentaire pour satisfaire sa crédulité. La seul chose qui pouvait l’aider à retrouver l’agresseur était la voix de ce dernier et il n’était déjà plus. Le sombre se plaisait à croire que les dernières paroles furent celles qu’il lui avait lancé. Il chassait rapidement cette pensée futile puis une lourdeur vint l’accabler. Il se sentait soudainement inutile, reculant d’un pas il prit le temps respectable d’écouter le reste de ce que le commandant avait à leur dire mais ses pensées fusaient de toute part, croisant les questions multiples qui intervenaient en même temps. Une seul bonne chose à ceci, c’était que l’agresseur n’avait peut être pas eut le temps de divulguer qu’il avait croisé un drow qui avait tenté de l’agresser, alors pour sa faible couverture cela faisait 1-0. * Pfffff….*
Pourquoi n’avait-il pas plonger à sa poursuite? Une question qui le hanterait sans doute encore quelque temps et qui fut écourté quand BeIran parla de Zeoman qu le fit revenir au présent et tout ouïs.
Comme seul réponse, tout comme avec Lorik, il se signait de son sourcil gauche espérant qu’il fut comprit. Il allait poursuivre avec une demande mais Ashura prit la parole puis encore une fois eut cette grâce dans le mouvement pour expulser une mèche de cheveux qui lui barrait le front. Le ténébreux écartait les narines à la recherche du léger courant d’air imprégné de l’odeur de la jeune femme et fermait les yeux pour s’aider à en saisir une parcelle, sinon, son imagination lui ferait découvrir un parfum plus romantique que la réalité et s’amuserait dans sa fabulation mental.
Tel le marteau sur l’enclume, la bretteuse ne s’éternisait pas dans la dentelle pour marteler le commandant de questions pertinentes, ce sur quoi il confirmait d’un léger mouvement de la tête pour appuyer sa compagne d’enquête à en savoir plus sur l’évènement dernier. Il osait sur une teinte presque étouffé…
-Et vous êtes bien sur que c’était l’agresseur?- L’imagination fertile de l’ensorceleur lui montrait déjà des scènes possible et sa curiosité lui commandait de retenir sa fébrilité montante du prochain récit que Beïran leurs offrirait. Décidément il manquait d’hydromel dans cette cité.
Détection sur le bout de cuir.
L'Art en tant que science est la connaissance universelle des forces de l'univers; en tant que magie, elle est l'application pratique et physique de ces mêmes connaissances. Lil waela lueth waela ragar brorna lueth wund nind kyorlin elghinn. (L'idiot et l’imprudent trouvent des surprises et parmi elles, attend la mort.) 6 Sorts niv.0: 4 Sorts niv.1: 2 sorts niv.2:-1=1fiche Xarss
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Façonneur de Montagnes
Chambre 6
3 gemmes
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Le drow toucha le cuir rouge, effectivement gonflé par l'eau. La teinte semblait être la même que celui de feu le fugitif, mais on ne pouvait en être sûr, l'humidité ayant quelque peu modifié la couleur. Mais le morceau de tannerie était de bonne qualité, l'eau ne l'avait pas déjà attaqué et il était taillé et gravé avec soin. Le regard qu'il avait porté sur le fragment de masque ne lui avait appris qu'une chose, qu'il pourrait appartenir à n'importe quelle famille, à condition qu'elle soit riche : l'ivoire était incrusté de sillon de cristaux et de pierre précieuse.Commandant Beiran | | En tout cas, il ressemblait à ce que vous avez décrit. Et quand on se fait assassiner en plein milieu de la campagne, en règle générale, c'est qu'on est un peu plus qu'un simple promeneur tombé dans une flaque. Je ne sais pas pourquoi il a été assassiné, échec, ou simplement pour effacer des traces ? En tout cas c'était brutal. Mais je sais une chose...
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Cet officier elfe regarde le monde avec un regard mélangeant une volonté d'acier et une mélancolie discrète. |
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L'elfe se leva, et tout en assouplissant toujours sa main, il commença à marcher devant les étagères en faisant mine d'observer ce qui s'y trouvait. Une façon comme une autre de faire les cents pas. Il finit par s'arrêter devant les reliques de l'Outreterre.Commandant Beiran | | Les assassins étaient humains.
Il laissa passer un silence sur la pièce, pour laisser à tous l'occasion de tirer des conclusions.
L'agresseur, ses assassins. Tout les trois étaient humains. Je ne les connaissais pas, mais à l'accent qu'ils avaient, leur façon de se mouvoir, leurs méthodes de combat... Ils transpiraient les Marches. Lunargent, peut-être.
Des orques, des drows, des bandes de mercenaires... On a l'habitude. Mais tout cela me semble bien trop organisé pour du simple mercenariat. Et les humains n'ont aucune raison de s'attaquer aux lunargentais, ils sont tout aussi attachés à la ville que nous...
Il hocha la tête. Avant de se retourner, la neutralité n'ayant pas quitté son visage malgré la tension qui régnait dans sa voix un instant plus tôt.
Si l'agresseur vient de la ville, quelqu'un à dû remarquer sa disparition. Ce cuir est d'assez bonne qualité, ce n'était pas un paysan sans le sou.
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Cet officier elfe regarde le monde avec un regard mélangeant une volonté d'acier et une mélancolie discrète. |
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Voyons voyons mon jeune ami, vous croyez vraiment que les montagnes grandissent seules ?
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Habitante des Royaumes
Chambre 41
1 gemme
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Un surineur capable de disparaitre par enchantement, un orque qui communique avec les esprits, un elfe noir dansant au milieu de la capitale, une alchimiste volante, un splendide dragonnet en pleine chirurgie dentaire, … La journée n’en finissait pas d’être surprenante. Tandis que la bretteuse tentait de faire le point, elle se rendit compte que le tumulte de Sundabar n’était rien en comparaison. Le commandant de la garde civile enchaina les révélations qu’il teinta de ses propres hypothèses. L’elfe se mit à piétiner tout en discourant, son capitaine ne pipa aucun mot. Malgré le constant brouillard dans lequel elle baignait depuis ce début de matinée, l’étau semblait se resserrer. Les suspicions se décrivaient à travers la complexe quiétude de la cité joyau. - En effet, murmura-t-elle. Je serais portée à croire que des nobles de la capitale cherchent à troubler vos festivités. Ashura cligna des yeux en se retournant vers le renégat.
- Vos théories se concrétisent bien malheureusement. Suggéra-t-elle d’une faible voix.
Elle détourna doucement le regard pour en revenir à l’officier.
- Le criminel n’aurait disparu que depuis ce matin, la veille tout au plus. Cela me semble trop frais pour devenir une source de questionnement lors de notre enquête. Par contre, nous sommes désormais convaincu du rang social de cet homme, ou par extension, de l’organisation qui l’a employé. La bretteuse soupira puis ses épaules s’affaissèrent par dépits.
- Les érudits que nous avons rencontrés s’accordent à penser que la confection du poison devait forcément nécessiter certaines largesses financières. Je pense chercher en ce sens pour le moment.
Une nouvelle pause se fit afin de mettre de l’ordre dans ses idées mais Ashura ne laissa pas le silence s’installer bien longtemps. Elle s’adressa aux deux officiers sans distinction.
- Je suppose que vis-à-vis de vos liens familiaux, vous avez fait le tour de vos…ennemis si je puis dire. Mais concernant l’apparente tranquillité qui règne dans la capitale, avez-vous connaissance de quelconque dissensions qui pourraient opposer certaines maisons ou certaines guildes ? Pourrait-il y avoir un lien avec le festival qui se déroulera cette nuit ? Par ailleurs, en quel honneur cet événement est-il dédié ?
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