Chapitre II.2, [Xarss et Ashura]

Xarss était amusé de la réaction du jeune Jem mais le trouvait encore trop jeune pour être aussi prompt, quoiqu'il avait remarqué qu'en surface, les gens étaient plus prompt qu'en Outreterre. Il écoutait les propos de la jeune dame puis lui répondit sur un air joyeux...

-Ha ce bougre m'a simplement jeté en dehors de son échoppe en me voyant, ne cherchant même pas d'en savoir plus sur mes demandes, mais étant donné ce mépris, je me suis offert un exutoire en guise de pondérant, beaucoup mieux que de jouer son jeu et de m'abaisser à son piètre niveau.-

Il laissait un cour instant puis...

-Donc mes espoirs peuvent être comblé, je vous en remercie beaucoup dame! Dit-il avec un suspend pour avoir le prénom de la dame puis... Sachez que je ne voudrais quand même pas déranger votre vie familial, Messire doit avoir très hâte de rejoindre sa belle famille et en profité, je n'en doute point. Laisser moi savoir où je pourrais aller pour espérer une danse? Et pour vous servir, Kryssyyor. Jem.- Dit-il suite à sa présentation en ajoutant une prestance au deux. en faisant un pas vers l'arrière et de laisser plus de place à la bretteuse. Ne voulant pas laisser Ashura planté là, il enchainait...

-Ha, voici Ashura, une connaissance qui m'accompagne dans mes recherches-

Il laissait loisir au deux dame de faire connaissance puis observait d'un tour rapide les alentours. Vorn ne semblait pas apercevoir aucun signe d'un quelconque danger et la journée était splendide, du moins depuis peu. Un rapide coup d'oeil à l'échoppe pour se rappelé qu'il aurait une petite mission personnel avant de partir de Lunargent et un sourire carnassier se dessinait intérieurement. Quand il revint au deux dame, encore une fois il trouvait la chevelure miroitante de la jeune dame fort intéressante et sa question personnel était a savoir avec quel race c'était-elle mixé pour avoir deux enfant à la peau plus foncé, il se doutait un peut mais ne voulait pas y croire vraiment, se pouvait-il!? SE questionnait-il sans vraiment savoir.

Après avoir rendue son sourire à la jolie femme, Ashura resta quelques temps en retrait, curieuse d’entendre les justifications de son comparse au sujet de ce spectacle. Elle n’avait pas eue l’opportunité d’observer les performances de Xarss, c’est avec surprise qu’elle découvrait les faits.

° Voilà que le masque d’austérité présente finalement des failles. Un drow danseur s’échappant d’Outreterre pour trouver l’âme-sœur. Voilà qui est peu banal. °

Le visage du drow à ses côtés était toujours aussi fermé, l’épéiste ne parvenait pas à discerner les émotions qui le traversaient à ce moment, mais ses paroles semblaient assurément enjôleuses. Elle détailla alors d’un regard bienveillant la jeune danseuse, l’enfant à ses côtés présentait des signes de métissage.

- Heureuse rencontre dit-elle envers la danseuse. Heureuse rencontre précisa-t-elle en se courbant vers l’enfant, singeant la manière des grandes personnes. Ashura, de Sundabar. La cité joyau est donc véritablement un lieu de constante fête, enchantée d’apprendre que des festivités s’apprêtent à se dérouler. J’ai hâte de vous y voir apprendre à mon ami, les danses à la mode Lunargentaise.

Elle posa sur Xarss un regard complice, en détournant le regard, la bretteuse cherchait à ne pas trahir ses propos lourds de sens. Toujours souriante, elle jeta ensuite un regard vers l’échoppe dans son dos. Puis reprit la conversation qu’elle venait d’intégrer d’un ton calme.

- Son attitude n’était pas digne du commerçant qu’il prétend être. Permettez-moi de vous poser une question madame, j’ai crue dénoter une légère désaffection à l’encontre du dénommé Bonavi. Que pouvez-vous me dire à son sujet ?

La jeune femme sourit, amusée, pendant que le garçon semblait se lasser de leurs discussions et allait plutôt se concentrer sur un lézard qui venait de surgir d'une crevasse du mur le plus proche. Elle répondit à Ashura avec un signe de tête et sembla réfléchir quelques secondes, à sa réponse.

Silys

Silys, dit elle lorsque le drow laissa le silence destiné à sa réponse. Et, et bien, je pourrais être n'importe où, la fête va s'étaler dans les rues, comme d'habitude. Je doute que votre ami soit très à l'aise avec les danses lunargentaises, si cela existe vraiment. Elle sont trop strictes pour sa manière, dit elle, amusée, à l'attention d'Ashura. Quant à Bonavi... elle jeta un regard en direction de l'échoppe qu'elle venait de quitter. J'espère que vous ne lui avez rien acheté. C'est un charlatan, à moins que vous ne soyez entrée pour y chercher parfums ou crème de peau, mais je doute qu'il mérite le titre qu'il affiche sur son fronton. Je peux vous mener à un autre atelier, si vous le souhaitez, dont je peux vous vanter tout les mérites, ne serait ce que pour avoir une contre-expertise. -------------------- Assez petite, elle est vêtue d'une robe printanière légère d'un jaune brillant et arbore une écharpe de soie violette autour du cou. Elle se déplace avec grâce malgré ses pieds nus. Lorsque le soleil la frappe, la lumière se répercute sur ses cheveux or-argent et un éclat bleu apparait quand le vent soulève son foulard pour frapper le saphir qui orne son cou.

Elle se retourna pour saluer de la main un vieux mage qui courait vers le collège en se débattant avec sa robe, il s'arrêta tout de même pour la saluer avec un chaleureux sourire avant de repartir.

La conversation était conviviale et forte intéressante, Ashura décida de s’attarder un peu plus en écoutant les conseils de son interlocutrice. D’un air amusé, la bretteuse répondit au sujet des festivités.

- Je disais justement à mon associé qu’il se devait d'améliorer sa rigueur.
Voilà une raison de plus pour vous d’accepter son offre, ce serait rendre service à un gentilhomme.

° Entre les mains d’un drow, au milieu de cette foule, vous risquez de ne pas passer inaperçue ma dame… °

Quand la danseuse évoqua son opinion au sujet de l’alchimiste Bonavi, l’apprentie épéiste retrouva son sérieux, consternées par les révélations. Elle reprit machinalement la conversation en saisissant la nouvelle opportunité qui s’offrait à eux.

- Si cela ne compromet pas vos activités, ce serait un grand plaisir de suivre vos recommandations. La cité est tellement vaste, que s'en est déconcertant pour la néophyte que je suis. Déclara-t-elle en faisant signe à la danseuse d’ouvrir la marche.

Ashura laissa quelques secondes filer quand un érudit passa non loin, accourant vers le collège de magie, le vieil homme prit le temps de s’arrêter pour saluer Silys. La bretteuse mesura les probabilités qu’elle avait d’effectuer une rencontre aussi fortuite. Ces circonstances avantageuses émergeaient une nouvelle fois du drow, le sillage du troublant personnage donnait à la guerrière de nombreuses opportunités. Il fallait s’efforcer de tirer parti de chaque situation comme lui répétait son père.
Elle reprit la conversation, soucieuse de ne pas laisser passer cette proposition.

- Nous avons le privilège de rencontrer une danseuse célèbre semblerait-il.
Êtes-vous originaire de la cité ? Demanda-t-elle d'un air familier, toujours le sourire aux lèvres, en détaillant les enfants du regard.

Psychologie - > Silys

He bien, le fait de rencontrer une simple dame dans la rue offrait multiple opportunité, il pouvait en savoir plus en un rien de temps sur Ashura qui le nommait, son ami, associé puis d'un petit mensonge ici et la elle discutait l'air de rien. * En vérité il faut ne faire confiance en personne. * Se dit-il amusé de la situation et ceci lui fit germer une idée et il oserait la mettre en pratique. Sylis semblait être une femme intelligente et avait un charme fou, maintenant qu'il savait que la gente dame avait deux enfants, dansait merveilleusement bien sans l'avoir vu, et qu'elle connaissait mage et alchimiste il osait ce qu'il c'était refusé de faire avant. Il attendit le moment propice suite aux conversations des dames puis ouvrit le bal...

-Pour être honnête Silys, Nous cherchon un contre poison fort rare et ce, pour sauver la vie d'une jeune et innocente jeune.... Il charchait à traduire puis trouvait. Demi-elfe. Elle à été malheureusement attaqué par un malfrat aux intentions maligne et ce dernier à utilisé un poison qui serait peut être d'une créature magique de l’épine dorsale.-

Il mit une pose puis enchainait...

- Et effectivement, il semble que je manque de rigeur... En danse.- Laissait-il sotir en regardant d'un air suspicieux Ashura qui se payait de sa tête. Par contre il eut une fleur au coeur de ceci, cela faisait très longtemps qu'en si peu de temps qu'on lui fasse confiance et de se fait le jeune drow reprit des ailes, son moral en était que plus fortifier et décidait de profiter plus profondément de ce moment qui ne durerait pas très longtemps si il se fiait à ses souvenirs.

Il attendait de voir les réactions que sa révélation apporterait, autant venant d'Ashura que de Silys. [I]

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Ashura, psychologie : 18

Ashura analysa la gestuelle de la jeune femme, son parlé, sa façon d'être et... tout lui sembla parfaitement normal. Si Silys avait quelque chose à cacher, elle le cachait si bien que la guerrière était bien incapable d'en déceler quoique ce soit. Elle appela le garçon qui revint vers elle.

Silys

Jem ! Laisse donc ce lézard lézarder tranquille, dit elle en reprenant la main du petit homme qui revint en courant vers elle. Non, ça ne me dérange en rien, dit elle avec un petit rire. -------------------- Assez petite, elle est vêtue d'une robe printanière légère d'un jaune brillant et arbore une écharpe de soie violette autour du cou. Elle se déplace avec grâce malgré ses pieds nus. Lorsque le soleil la frappe, la lumière se répercute sur ses cheveux or-argent et un éclat bleu apparait quand le vent soulève son foulard pour frapper le saphir qui orne son cou.

Elle leur montra le chemin et commença à s'éloigner vers une petite rue bordée d'habitations typiques. Les oiseaux y chantaient dans les demeure sylvestre, pollen et fleurs y volaient un peu partout. Un cerisier grimpait sauvagement au coin d'une bâtisse de pierre et malgré la fin du printemps, ses pétales blanches flottaient encore dans l'ombre de la ruelle. Silys avait écouté les remarques du drow et de l'humaine, et hoché la tête indiquant qu'elle avait entendu, mais pris un peu de temps pour répondre.

Silys

En fait, il n'y a que mon bout d'homme préféré, surnom qui fit grogner le jeune Jem, qui à l'audace de dire que je suis célèbre. D'ailleurs, je ne suis plus danseuse depuis quelques années, je suis maîtresse de danse, c'est moins douloureux pour les pieds ! Et puis, il est assez amusant d'avoir l'occasion de crier sur de jeunes gens trop riches pour leur bien pour leur dire qu'ils sont incapable d'enchaîner correctement une passe de trois et une pointe. Mais personnellement, je n'adore pas le style marchéen, je préfère de loin l'excentricité et la splendeur des arts calishites. Elle se tourna vers Ashura avant de continuer, tout en marchant. Je n'ai pas vécu à Lunargent toute ma vie, en effet. Puis, elle soupira et chassa d'un geste du nez un bourdon qui s'y était posé, probablement à cause du parfum de cannelle et de bergamote qu'elle dégageait. Elle fronça les sourcils. Il y a un sacré paquet de saloperies dans le Nord, j'en sais quelque chose..., Ashura, toujours aux aguets, put noter que c'était la première fois qu'elle utilisait ce qui ressemblait de près ou de loin à un juron. Et je ne parle pas que des orques. Et bien, ce n'est pas moi l'experte, mais on va trouver, je n'en doute pas. -------------------- Assez petite, elle est vêtue d'une robe printanière légère d'un jaune brillant et arbore une écharpe de soie violette autour du cou. Elle se déplace avec grâce malgré ses pieds nus. Lorsque le soleil la frappe, la lumière se répercute sur ses cheveux or-argent et un éclat bleu apparait quand le vent soulève son foulard pour frapper le saphir qui orne son cou.

Jem partit en avant en courant dévalant la rue qui descendait vers la Rauvin en courant un chat. La jeune femme faisait parfois un salut de la main à un habitant qui passait par là, elle se comportait en tout comme si elle vivait dans le quartier.

- La cité doit offrir de nombreux représentants, mais vous devez tout de même être une artiste aguerrie pour connaitre une culture aussi lointaine. Une musique s’accédée et des pas de danses fluides, j’espère avoir un jour l’occasion de vous observer à l’œuvre.

Les exotiques allusions éveillèrent légèrement la curiosité de la bretteuse. Désormais, loin des formalités de la caserne, le petit groupe progressait dans les ruelles d’un pas léger. À l’ombre des arbres et des nombreux balcons, Ashura apprécia un moment la quiétude ambiante. Les effluves culturels qui émanaient de la cité avaient un parfum attractif pour la jeune bretteuse, elle s’imagina intégrer l’une des prestigieuses académies au détriment de ses objectifs initiaux. Loin du confort des remparts de la cité s’étendait un pays hostile, elle ne connaissait que trop bien les nombreux périls marchéens qui s’y dissimulaient. Les évocations de Silys sur son expérience à ce sujet attirèrent l’attention d’Ashura. Tout en continuant leur progression, elle questionna la danseuse.

- Lunargent est un havre de paix dans un environnement cruel. Nombreux sont ceux à y venir trouver refuge. Seraient-ce ces menaces qui vous ont rabattues vers la capital ? Demanda-t-elle d’un ton léger.

Silys

Vous me flattez Dame Ashura, mais il est vrai que je ne manque pas d'un certain talent... Et bien, j'ai vécu à Everlund, et même aussi prêt d'ici, il est vrai que nous n'avons pas le même confort. Même pour le plus humble des lunargentais, la vie est plus simple ici que n'importe où ailleurs. Peut-être trouve t-on le même calme à Eternelle Rencontre ou au Lantan, mais l'ambiance y est sans aucun doute différente. Tout le monde se croise ici, et puis surtout... Les Sentinelles. Ce mythal est une réelle bénédiction. Il n'y a pas d'agressions entre ces murs, pas de gibet, les batailles quand il y en a, sous le plus souvent amicales, et la magie la plus destructrice ne fonctionne pas ici. Il arrive qu'il y ai quelques vols mais jamais les cambriolages ne tournent mal, et je n'ai jamais entendu parler d'une rapine à l'encontre de quelqu'un qui ne pouvait le supporter, financièrement. A Lunargent je peux me promener de nuit, avec mes enfants, sans craindre beaucoup plus qu'une pluie soudaine... Ce n'est pas seulement une ville plus sûre Ashura. Lunargent est à ma connaissance la ville la plus moderne de Faêrun, cosmopolite, apaisée et pourtant libre, centre de la pacification des Marches moteur de la tolérance... C'est plus un miracle qu'une simple construction mortelle. -------------------- Assez petite, elle est vêtue d'une robe printanière légère d'un jaune brillant et arbore une écharpe de soie violette autour du cou. Elle se déplace avec grâce malgré ses pieds nus. Lorsque le soleil la frappe, la lumière se répercute sur ses cheveux or-argent et un éclat bleu apparait quand le vent soulève son foulard pour frapper le saphir qui orne son cou.

- Un miracle pour les lunargentais, sans doute un calvaire pour ses dirigeants. Certains vous direz que c’est un travail quotidien que de préserver la vision d’Alustriel.

Ashura repensait aux évènements de la matinée quand elle comprit que le ton de sa réflexion était devenu plus abrupt. Elle reprit naturellement pour dédramatiser ses propos.

- La lumière qui émane de la prestigieuse cité projette de nombreuses ombres sur le reste des marches d’Argents, rendant bien moins serein ma condition d’humble caravanière.
Je ne pensais faire qu’une halte dans la capitale mais je dois avouer être ravie de ce que j’y trouve.
Cela ouvre de nouvelles perspectives à mon avenir. Affirma-t-elle en souriant.

L’apprentie bretteuse contempla une paire d’oiseaux sautiller sur les branches d’un large chêne. Tout en marchant dans l’ombre de son ramage à feuilles bleutées, elle repensa aux failles que le capitaine nain avait abordées plus tôt dans son office. Les dires de la danseuse coordonnaient avec la réputation de la cité, malgré cela, Ashura avait été confronté à un odieux crime en moins d’une matinée. Il y avait fort à parier que la rumeur de ce forfait se rependait déjà dans le tumulte des rues bondées.

Elle décrivit du regard les atours de Silys et se demanda depuis combien de temps elle n’avait pas revêtue de tels habits. La suite d’évènements improbables qu’étaient sa vie, l’avait éloigné de ce qu’elle aurait pu être. Ce remémorant les remontrances de son père au sujet de sa garde-robe, elle s’imagina un instant, partager la même vie que son interlocutrice. Les éclats de l’enfant résonnèrent au creux de son oreille.

- De biens beaux enfants…

Xarss en apprenait beaucoup sur l’instant et en était fort aise. Ashura se montrait très performante dans la collecte d’informations et l’opportuniste qu’il était commençait à retenir les paroles de cette dernière, * Mon associé * pouvait pour l’avenir être véritable.

Les propos de Silys le surprit quelque peu, pour une jeune fille qui n’avait rien d’une aventurière avoir connu l’épine dorsale du monde le stupéfiait, comme quoi il ne fallait pas juger trop rapidement.
[I]
Puis il continuait à marcher légèrement un peu plus en retrait des deux dames observant constamment par-dessus ses épaules les moindres déplacements qui se voudraient suspicieux. La déformation professionnelle du jeune ténébreux n’était pas à la veille d’être relayée aux oubliettes, surtout pas ici et maintenant.

La marche était plaisante, le renégat se forçait à retenir les rues qu’ils empruntaient, un indice ici, un indice là, un arbre a se coins un autre à cette croisé faisait en sorte qu’il tentait en tout moment de s’orienter adéquatement.
Puis machinalement il laissait sortir...

-Silys, votre amoureux occupe ses journées de quelle façon?-Avait-il posé avec un réel intérêt, comme si les évènements nouveau et l’histoire du capitane le faisait se préoccupé de la sécurité de la jeune femme et ses enfants. Sur le coup il trouvait ironique sa question, puis se mit à y réfléchir comme si il était père et se mit intérieurement à rigoler d’une tel pensée et cru sur l’instant qu’il ferait peut être un bon père… Mais qui voudrait de lui en surface puis il était encore trop jeune pour de telles pensées. Quoiqu’ il n’est jamais trop tard pour s’y préparer. Songeait-il intéressé.
Il eut un moment de paisible que cette pensé lui apportait, profitant heureusement de cette situation comme une vacance de soucis, son insouciance du moment le faisait observer la nature citadine de Lunargent comme un coin de repos pour l’avenir. Le drow n’avait pas encore fait beaucoup de chemin en surface mais il ressentait une attirance pour cette ville et Vorn s’étirait comme pour le remettre sur ses gardes et de ne pas baisser sa vigilance, ce qu’il fit de nouveau.