
elle rencontre !
Voici ma fiche de personnage pour Fiakr, sous la tutelle d’Uranel dans sa Chronique utilisant les règles de D&D 5. J'ai gardé la mise en forme de l'assistant à la création de perso de Aidedd.
Autres personnages : Atlas/Arzhaelig/Mjöllnir/Gaerlhach'dhin
FiakrGuerrier 1
Humain, choatique bon
Héros du peuple (évènement : Résisté aux agents d’un tyran)
[CARACTERISTIQUES] (27pts)
- Force 15 +1(racial) = 16 (+3)
- Dextérité 12+1(racial) = 13 (+1)
- Constitution 15 +1(racial) = 16 (+3)
- Intelligence 9 +1(racial) = 10 (+0)
- Sagesse 11 +1(racial) = 12 (+1)
- Charisme 9 +1(racial) = 10 (+0)
[MAÎTRISE]Bonus de maîtrise +2
Sauvegardes : Force +5 ; Constitution +5
Compétences :
- Athlétisme +5
- Dressage +3
- Perception +3
- Survie +3
- (Perception passive 13)
Armes et armures : Toutes les armures, boucliers, armes courantes, armes de guerre
Outils : un type d’outils d’artisan, véhicules (terrestres)
Langues : commun
[COMBAT]PV 13 ;
DV 1d10
Init +1 ;
Vitesse 9m
CA 14 (armure de cuir 11, bouclier +2, dex +1)
- Hache d’armes. Corps à corps : +5 (1d8 +3 tranchant ; versatile 1d10)
- Hache. Corps à corps : +5 (1d6 +3 tranchant ; légère, lancer portée 6m/18m)
- Arc long. Distance : +3 (1d8 +1 perforant ; munitions portée 45m/180m)
[CAPACITE & TRAITS]Second souffle (1d10+1pv/repos)
Style de combat (combat à deux armes)
Hospitalité rurale
[EQUIPEMENT]- Hache d’armes
- Hache (2)
- Arc long
- Armure de cuir
- Bouclier (en bois)
- Outils de menuisier
- 20 flèches
- Sac à dos : Sac de couchage ; Gamelle ; Boite d’allume-feu ; Torche (10) ; Rations/1jour (10) ; Gourde ; Corde en chavre de 15m ; Pelle ; Pot en fer
- Vêtements communs
- Bourse 10PO
- Babiole : Un fragment d'obsidienne qui se sent toujours chaud au toucher
[PERSONNAGE]Taille M / 1,85m / 80kg ; Age 25ans
Apparence : Fiakr est aussi puissant et massif qu'un bucheron puisse l'être. Depuis son exil, son visage balafré est couvert d'une barbe touffue, ses longs cheveux châtains mériteraient d'être mieux soignés. Ses yeux sont bleus clairs, perçant, résignés. Il a gardé les habits simples et pratiques qu'il portait dans son village.
Trait : Je juge les gens sur leurs actions, pas sur leurs paroles
Idéal : Liberté : On ne doit pas permettre aux tyrans d’opprimer le peuple (chaotique)
Lien : Un noble orgueilleux m’a un jour passé une horrible raclée. Je vais prendre ma revanche sur le premier tyran que je rencontre
Défaut : J’ai un faible pour les vices de la ville, en particulier pour les alcools forts
[BACKGROUND]Cliquez ici pour dérouler le parchemin...
La vie était paisible dans le hameau qui a vu naitre et grandir Fiakr, trop diront certains, tous ceux qui n’avaient pas cette chance. Le seigneur considérait ses serfs avec bienveillance, ne leur demandant jamais plus que ce qu’ils pouvaient lui offrir sans mettre leur bien être en jeu. Du grain, du bois, des betteraves.
La protection qu’il offrait en retour était maigre mais nul n’avait de quoi revenir sur un fonctionnement ancestral : la terre était bonne, les villageois vivaient bien, leur labeur était bien loin de l’esclavage rencontré ailleurs sous la tutelle d’autres seigneurs et la milice locale était suffisante pour garder leur palissade de bois ne les protégeant de jamais plus que d’une meute de loups.
A la mort du bon Riagal, Rodan, son fils, les firent basculer dans une brutalité qu’aucun n’avait jamais connu. Il eut suffi que ce jeune coq ait mal aux dents, ou ailleurs, pour qu’il décide soudain que ce que son père relevait ne lui convenait pas.
Il descendit lui-même, lourdement escorté, imposant une dîme qu’ils ne pourraient jamais récolter dans les temps et quand il vint en prendre possession, il imposa, un sourire mauvais aux lèvres, de la convertir en jeunes filles, dont il ferait ce que bon lui semble…
Après un an de règne seulement, la réputation du jeune Rodan était déjà noire, chacune pouvait s’attendre à une vie d’esclave. Au mieux.
La troisième qu’il choisit était Caoilinn, jeune sœur de Fiakr. Elle venait de fêter ses 14 ans.
Si Fiakr avait regardé avec mépris ces frères, pères ou oncles laisser partir leur sœur, fille ou nièce sans s’y opposer, quand vint son tour il ne put s’y résoudre et fit face, interdisant à la cadette de le rejoindre. Il était saoul, d’avoir bu une grande partie du fruit de ses ventes …
Le bucheron et menuisier du village était de loin le plus solide de l’assemblée, mais dans son état, les hommes d’arme, gardes de Rodan, eurent vite fait de le ramener à une attitude plus … docile, le molestant à mort, le laissant chaos, visage dans la boue, une large estafilade sur la joue gauche qui le laisserait marqué à jamais … ou jusqu’à ce qu’il parvienne à sauver sa sœur des griffes de l’infâme. Par peur des représailles, il ne reçut aide ou soutient de personne.
La nuit venue, le bucheron, honteux et dégouté de ceux avec lesquels il avait passé toute sa vie, rassembla ses affaires, vola une carriole et un cheval, et fuit vers un vieil abri de chasse qu'il avait découvert dans le bois voisin, jurant à Séluné qu’il se vengerait un jour.