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Un havre de paix - Chapitre 1, Badrok, Elrik, Hiielle
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Voleur d'âmes
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Date: 13 Tarsakh 1373 - Treizième jour de la Griffe des Tempêtes Lieu: Pierre-tonnerre - Cormyr Temps: Averse - 14° Moment: vers 18h30Narration: tousl ne fallu pas plus de quelques minutes pour que l'obscurité gagne du terrain, le soleil sur le déclin étant grandement caché par les nuages sombres et gorgés d'eau. Il semblait finalement que la nuit pointerait son nez plus tôt que prévue. Par chance, l'averse qui détrempait les aventuriers depuis quelques minutes s'était à peu prêt calmée.
Un trio de Vigiles passa juste à coté de la compagnie, allumant ici les là les torches destinées à l'éclairage public, éclairage qui serait définitivement nécessaire d'ici une petite heure... Silencieux et méditant sur les échanges des compagnons, Barbepointe ne pipait mot et regardait machinalement les employés communaux s'affairer à leur mission en attendant une décision du groupe quand à l'endroit où il souhaitait aller.
Afin d'être le plus transparent possible et pour leur éviter de perdre du temps, le Dragon Pourpre précisa au groupe qu'il leur interdisait formellement l'accès aux lieux étant liés directement à l'enquête les concernant. Ce qui limitait grandement les choix... Lyria, bien décidée à aider le voleur, le petit guerrier et la magicienne jusqu'au bout, proposa une alternative que Barbepointe accepta sans broncher. La fidèle de Torm irait donc seule visiter la demeure d'Adris Colebriar, le marchand prétendument assassiné par Badrok tandis que le reste du groupe irait visiter le Temple de Tempus...
Gulden Barbepointe indiqua à Lyria comment se rendre chez le marchand. Ce dernier résidait non loin de l'endroit où le groupe se trouvait actuellement. Avant d'abandonner la jeune noble, le nain s'adressa à elle:- Dame Lyria, prenez donc cette chevalière, vous la montrerez aux gardes postés à l'entrée d'chez Colebriar. Dite leur qu'vous avez ma confiance en tant qu'enquêtrice. Y'vous respect'ront comme j'vous respect' en. Y'a pas un Dragon qui r'mettrait un paladin de Torm le Juste en doute croyez moi. Toutefois, vous n'avez aucunement autorité sur ces hommes, souvenez vous en hein ?! Ah pi y m'semble qu'vous nous avez expliqué avoir tenté d'rencontrer la prêtresse de Tempus avant d'savoir qu'elle était morte, vous savez donc où qu'le temple s'trouve. R'joignez nous donc là bas, on vous y attendra. Allez les z'autres, avec moi, on y va ! Narration: Lyriaa jeune femme avait suivi les instructions précises de Barbepointe et n'avait pas mis plus d'une dizaine de minutes pour trouver la demeure de Feu Adris Colebriar, désormais ex propriétaire du comptoir du Priakos des "Six-Coffres" de la ville de Pierre-Tonnerre. Si le défunt marchand était réputé pour être riche, la taille de sa maison restait plus que modeste. Bien loin du manoirs auquel on aurait pu penser, sa demeure ne possédait d'ailleurs qu'un seul étage. Un œil avisé pouvait toutefois noter sans trop de difficulté que la façade à colombage et la toiture en ardoise étaient construite de main de maître et avec les meilleurs matériaux qui soient.
Comme indiqué par l'aide de camp, la porte d'entrée était belle et bien encadrée par deux soldats équipés d'une épée, d'un bouclier et d'une armure d'écaille usée par les combats. Les hommes étaient dépourvus de heaume. Leurs postures et leurs visages apparent témoignaient d'un sérieux et d'une rigueur toute militaire. Ces deux là ne rigolaient pas.... Thumbnail - clickNarration: Badrok, Elrik et Hiiellees trois compagnons d'infortune marchaient quant à eux à la suite de Gulden Barbepointe. Celui-ci fit un léger détour pour leur montrer où se situait les Jardins de Kelemvor a toutes fins utiles puisque les compagnons avaient évoqué l'idée de s'y rendre également. Au bout d'une bonne vingtaine de minutes, ils arrivèrent enfin dans le parc du temps de Tempus. En arrière plan, Gulden indiquait du doigt un imposant bastion à quelques centaines de mètres. Le nain précisa aux aventuriers qu'il s'agissait du quartier général du Dragon Pourpre...
Le temple de Tempus était formé de deux grandes tours rondes en pierres de taille surmontées d'un toit conique recouvert de tuiles rouge sang. Les tours devaient mesurer une donne douzaine de mètres et étaient reliées entre elles par un bâtiment carré également en pierre de taille mais recouvert d'un toit plat. Légèrement en avant de cet ensemble au niveau de la tour nord se trouvait un autre bâtiment en forme de S mais dépourvu d'étages.
Barbepointe, indiqua aux aventuriers la petite porte en bois brut de la tour nord. Deux gardes y étaient de faction. Après quelques échanges réglementaires avec eux, il invita les aventuriers à pousser la porte de la salle d'armes.- J'espère qu'vous trouv'rez quek'chose. Nos gars z'ont juste retiré le corps qui z'ont amené aux Jardins de kelemvor. Elle a été r'trouvée dans la chapelle. C'est dans la tour sud. Du coup on a condamné toutes les autres entrées pour éviter les fuites et les intrusions. J'vous laisse aller partout où vous v'lez mais vous dérangez rien et surtout pas d'fauche, c'est un lieu saint ici par ma barbe ! Si y faut, on vous fouillera à la sortie... Nos gars z'ont pas encore eu l'temps d'chercher plus avec tout c'qui s'est passé les derniers jours mais si vous trouvez des trucs, vous m'prévenez... Allez-y entrez. Thumbnail - click
PJ: Corvo / Népheghost PNJ: Münggs
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En approchant de la maison qu'elle trouva sans mal, Lyria retira son heaume dévoilant sa belle chevelure auburn. Elle fit un sourire éclatant aux deux gardes. Elle pria silencieusement le Dieu Juste de lui accorder la chance qu'elle aurait besoin afin de convaincre les deux gardes de la laisser entrer. - Bonjour messieurs! Je m'appelle Lyria Abigaëlle Haute-Cour d'Arabel et Chevaleresse de l'Ordre du Griffon Vaillant. J'enquête sur les meurtres récemment commis dans cette cité avec la confiance de Messire Barbepointe. Pour cela, je dois entrer à l'intérieur. Seriez-vous assez aimables pour me laisser entrer, je vous prie? En prononçant le nom de Barbepointe, elle montra aux gardes les chevalières de la Maison de la Haute-Cour et celle de Gulden.Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Social: 1d20 + 6; D'ailleurs, mes compétences sur ma fiche ont été réinitialisées avec la dernière MàJ
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Aventurier
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Le groupe allait bientôt se retrouver séparé de leur nouvelle amie Lyria qui était la seule à pouvoir aller enquêter chez la victime. En effet celle-ci se proposa d’aller jeter un coup d’œil chez le malheureux qui avait été assassiné afin de collecter quelques indices.
Après moult discutions, la petite troupe s’était quand à elle mise d’accord pour aller enquêter au Temple de Tempus. Là bas ils pourraient peut être débusquer certaines pistes les menant aux véritables coupables. Enfin c’est du moins ce qu’espérait le roublard. Il avait certains talents qu’il n’avait pas pu encore mettre à la contribution du trio et il comptait bien y remédier. C’était peut être enfin le moment d’agir et il comptait bien trouver quelques documents ou traces pouvant mener à l’organisateur de ce complot.
Barbepointe accepta sans sourciller de les conduire vers leur nouvelle destination. Sur le chemin ils purent découvrir où se situaient les Jardins de Kelemvor ainsi que le quartier général des Dragons Pourpres.
¤ Hum … C’est toujours bon à savoir ou se situe leur quartier général. Si jamais je devais fuir je sais déjà que cette direction n’est pas envisageable. ¤
Le temple était une énorme bâtisse et au fur et à mesure que le trio se rapprochait les tours augmentaient de volume quitte à les faire passer pour des fourmis pour les corbeaux perchés tout là haut.
Une fois devant l’entrée du bâtiment sacré l’aide de camps les prévint de ne rien dérober à l’intérieur. Le voleur se sentit tout de suite visé par cette remarque mais n’osa pas répliquer. Ce temple était immense et était apparemment composé d’un bon nombre de pièces. Il leur faudrait certainement plusieurs heures pour inspecter chaque recoins minutieusement.
Levant la tête pour admirer la construction Elrik déclara à ses amis :
- « Je pense que nous devrions nous séparer une fois à l’intérieur. Nous pourrions couvrir plus de terrain et gagner un temps précieux. Il ne faut pas oublier que notre temps est compté sur cette terre. Je pense que nous pourrions inspecter les grandes salles ensembles. Quand aux pièces plus réduites nous pourrions les inspecter individuellement ? Qu’en pensez-vous ? »
Le mercenaire baissa la tête et regarda en direction de Hiielle et Badrok en attendant leurs assentiments.
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Aventurier
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lors que la nuit tombait aussi lourdement que l'averse mouillant les rues pavées de Pierre-Tonnerre, Badrok suivit Barbepointe et ses compagnons d'infortunes en direction du Temple de Tempus. Il vit Lyria décider de faire bande à part sans objecter. Après tout, même s'il n'y connaissait pas grand chose dans le domaine de la noblesse et de la chevalerie, il se doutait bien que la jeune femme avait des entrées et des relations qui lui permettront de faire avancer l'enquête de son côté. Il était toutefois un peu inquiet. Lyria était l'une des seules personnes de la cité qui semblait assez impartiale pour dévoiler la vérité sur cette affaire macabre. Même s'il était une guerrière aguerrie, si l'hypothèse d'un complot se révélait vrai, alors elle pouvait très bien se faire piéger comme Elrik, Hiielle et l'halfelin.
En route pour le temple, Badrok et ses camarades passèrent par les Jardins de Kelemvor. Le petit guerrier pu donc mentalement se faire un dessin approximatif de la cité. Il tentait de mémoriser les différents chemins que le groupe avait empruntés et où il se situés par rapport à la Tanière de l'Ours. Seulement, ses méninges n'arrêtaient pas de s'agiter sur leurs courantes affaires. A-t-elle point qu'il n'attendit pas d'être arrivé au lieu sacré pour interroger leur garde-chiourme sur prêtresse assassinée :- Dîtes-moi, messire Barbepointe, comment elle s'est faite tuée Saerlia ? C'était par un coup d'épée ? De hache ? Ou alors, plus du genre griffe ou coup violent ? Avec un peu de chance, la réponse à ses questions permettrait au groupe d'avoir une idée sur l'arme du crime qui pouvait peut être trainer dans le temple. Certes, les probabilités étaient minces, mais pas impossible. Une fois arrivé devant les deux tours reliées de la bâtisse, Badrok réfléchit à la proposition d'Elrik. Rien que pour le gain de temps, se séparer n'était pas une mauvaise idée. Le mieux aurait été que chacun fouille chaque recoin de l'édifice séparément l'un pouvant repérer ce que l'autre avait manqué ou trouvé inintéressants. Parfois, avoir une approche différente sur un même endroit pouvait être bénéfique, seulement le groupe manquait de temps. L'halfelin finit par répondre tout en entrant :- Je suis d'accord avec Elrik. Quadrillions les grandes pièces et fouillons les plus petites individuellement. A moins que dame Hiielle ait un sort qui pourrait nous donner un coup de main. Quelque chose qui pourrait mettre en évidence les objets déplacés récemment par exemple ? Badrok n'y comprenait pas grand chose à la magie et à ses différentes écoles. Donc, il se disait possible qu'elle puisse avoir un tel pouvoir. Au pire, il passerait pour un inculte à ses yeux, mais bon, elle l'avait déjà vu en caleçon après tout. En entrant par la porte de la tour nord, l'halfelin se retrouva dans une grande salle d'arme circulaire donc le plafond était tenue par des colonnes disposées en carrés. Intrigué par la présence d'une telle salle dans un temple, il commença à observer en déclarant :- Je me demande s'ils tiennent un registre du matériel présent ici, ça nous aiderait à savoir si quelque chose a été volé.
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Voleur d'âmes
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Date: 13 Tarsakh 1373 - Treizième jour de la Griffe des Tempêtes Lieu: Pierre-tonnerre - Cormyr Temps: Averse - 13° Moment: vers 19h00 Narration : Lyriaouriante, le belle Cormyrienne se présenta aux gardes avec les recommandations de Gulden. L'un d'entre eux - probablement le plus responsable des deux – inspecta scrupuleusement le sceau du nain avec circonspection avant d'adresser un signe de tête en guise d'acceptation. L'autre, pendant ce temps, reluquait copieusement la fervente de dieu manquant presque de se luxer la mâchoire. Le premier déclara alors à Lyria :- Enchanté Dame de la Haute-Cour, vous pouvez entrer. Ne soyez pas surprise, la domestique de Colebriar est à l’intérieur. Elle n'a pas été inquiétée puisqu'elle possède un alibi solide. Elle vivait ici, alors on pouvait pas la priver de logement. Elle pourra certainement vous apporter des éléments intéressants pour votre enquête. Nous et quelques autres gars on a juste emmené le corps mais on a rien trouvé de suspect... Depuis, hormis la domestique, personne n'est entré ici, vous serez la première... Remerciant le garde, Lyria franchi la porte d'entrée bien décidée à faire un rapide tour du propriétaire. Elle se retrouva alors dans un petit hall d'entrée toute en largeur faisant office de salle d'attente. Deux fauteuils club en cuir brun permettaient aux visiteurs d'y attendre confortablement.
Le vestibule débouchait vers une vaste pièce de vie d'environs sept mètres de largeur pour une longueur d'au moins douze mètres. A l'image de l'extérieur de la bâtisse, la pièces n'était pas outrageusement luxueuse mais laissait présager de matériaux de la meilleur facture et d'une décoration faite avec goût. Quelques tapis polychromes recouvraient le parquet exotique aux teintes brun-rouge. Le reste de la décoration était constitué de tableaux (essentiellement des portraits) de diverses tailles qui étaient accrochés aux murs de chaux blanche. Côté mobilier une grande table monastère en chêne clair massif occupait toute la longueur de la pièce. Elle était assortie à un imposant buffet trônant au fond de la pièce à l'opposée de l'entrée. Contre le mur est, un vaisselier au bois sombre occupait l'espace à droite d'une seconde porte. A droite du vaisselier, dans l'angle, une petite table gigogne en bois et marbre blanc faisait office de bar.
Lyria traversa la grande pièce de vie et passa la seconde porte. Elle pénétra alors dans un couloir au bout duquel un escalier menait à l'étage. Entrebâillant la porte à sa gauche avant l'escalier, elle découvrit la cuisine et tout le capharnaüm associé à ce genre de pièce.
La porte de droite donnait sur le bureau de Colebriar. Il comprenait un grand bureau en bois de rose recouvert d'un plateau en ardoise grise, lui même encombré de tout un tas de documents, livre, balance, nécessaire d'écriture et chandeliers. Le coté du bureau placé contre le mur comprenait deux tiroirs sans serrures. Trois fauteuils matelassés étaient disposés autours. Dans un angle de la pièce, un petit meuble fermé par deux portes possédant une serrure en laiton était surmonté par un coffre fort métallique cubique d'environ quarante centimètres de coté dont la porte demeurait fermé. A coté, complètement dans l'angle et face à un escalier descendant, un meuble en colonne ouvragé en bois de rose servait de bibliothèque et supportait de nombreux ouvrages. Globalement, la pièce ne semblait pas en désordre outre sa fonction première de bureau...
Lyria perçu alors des bruits de pas provenant de l'étage. La jeune femme alla donc à la rencontre de la domestique afin de se faire connaître. Débouchant en haut des escaliers, elle ne trouva personne dans la première chambre. La visite de la seconde chambre donna le même résultat. Les deux pièces possédaient toutes deux un lit, des tables de chevet, une grande penderie et un gros coffre à vêtement. Quelques tapisserie fleuries étaient accrochées aux murs. Les chambres étaient en parfait état de propretés et impeccablement rangées.
La jeune noble poussa alors une autre porte et trouva la servante affairée à récurer un grand baquet vide destiné au bain. L’irruption de Lyria fit sursauter la domestique qui ne pu réprimer un petit cri de surprise. Narration : Badrok, Elrik, Hiiellees trois aventuriers et le nain pénétrèrent dans la Salle d'Armes. L'endroit était aussi large qu'il était haut, soit plus d'une vingtaine de mètres... Quatre piliers de pierre montaient directement jusqu'à la charpente apparente de l'édifice. Le sol était pavé de grosses pierres jaune dont la surface était usée et irrégulière. Plus qu'un lieu d’entraînement comme son nom le laissait présager, la Salle d'Armes faisait en réalité office de mémorial.
De grands meubles en bois étaient disposés le long des murs Nord, Est et Sud de la pièce. Dessus, trônaient fièrement toutes sortes d'armes brisées, rouillées ou émoussées. Aucune ne semblait neuve et toutes avaient certainement vues maintes batailles. Sur les murs aux pierres de taille apparentes, de nombreuses torches éclairaient la pièce qui était totalement dépourvue de fenêtres. Là ou aucune torche n'était placée, fanions, oriflammes, drapeaux et étendards de toutes sortes et origines étaient accrochés d'une manière bien trop anarchique pour qu'il s'agisse vraiment d'une disposition ne répondant pas à une organisation rigoureuse... Pas un morceau d’étoffe n'était neuf... Sur certains il y avait de vielles traces de sang, sur beaucoup de la terre et de la boue, sur d'autre des entailles et des déchirures lugubres... Parfois, un de ces morceau de tissu possédait tout cela en même temps... Prêt des présentoirs contenant les reliques d'armes, des mannequins de bois étaient affublés de pièces d'armures diverses dans le même état que les autres objets présents dans la salle...
Une fois la salle d'arme traversée, Barbepointe s'arrêta. C'est à ce moment qu'il apporta quelques réponses à Badrok :
- A première vue, elle est morte en combattant. Mais d'là à vous dire c'qui l'a tué exactement sur l'coup j'sais pas. Faudrait voir son cadavre, 'paraît qu'elle était vraiment pas belle à voir en tout cas. Concernant le registre des objets, j'sais pas non plus si y'en a, fraudait voir dans son bureau, j'vous y emmène. Mais c'est qu'des vieux trucs qu'y a ici. 'Pi faudrait être la dernière des raclures pour voler un temple... Se rendant compte de la bêtise de sa dernière phrase en réalisant que si quelqu'un était assez maléfique pour occire un prêtre au sein même de sa chapelle, il le serait largement assez pour piller son temple sans problème. Une vraie raclure en somme...
Le nain fit alors pénétrer les aventuriers dans le bureau de la prêtresse. Pour tout mobilier, une table en bois brut et un tabouret rustique étaient disposés contre le mur Est du temple et celui du fond du sellier. A coté d'une seconde porte faisant face à celle de la Salle d'Armes une petite bibliothèque contenait des ouvrages (essentiellement sacrés). Au premier coup d’œil, on pouvait constater des traces de lutte au milieu de la pièce. De nombreuses gouttes de sang séché étaient visibles sur le sol. Il devenait évident qu'un combat s'était engagé ici car par endroit le sang coagulé dévoilait des empreintes de pas révélatrice... Sur le bureau, une projection d’hémoglobine tachait également quelques parchemins et un nécessaire d'écriture. Les traces de sang devenaient plus importantes à mesure que l'on se rapprochait de la porte menant à la Chapelle. Cette dernière était d’ailleurs toujours ouverte.
La Chapelle ressemblait en tout point à la Salle d'Armes si ce n'est qu'elle était totalement dépourvue de présentoirs à armes et armures ni de fanions et de drapeaux aux murs. Il y avait au centre de la pièces un grand autel d'environ cinq mètres par trois qui était haut de trois marches. L'autel était entièrement fait de bois et rappelait plus une scène de taverne ou une estrade d’échafaud. De chaque coté de l'autel, de grandes statues dont les socles était grands de plusieurs mètres représentaient des scènes de batailles très réalistes. Cela rappelait sans détour le Domaine d'Attribution du Dieu Tempus. L'une d'elle, celle la plus à l'Est, mettait d’ailleurs en scène le Dieu de la Guerre et des Batailles.
Entre l'autel et la porte menant au bureau, plusieurs flaques de sang séché témoignaient de l'ultime combat de la prêtresse. Il ne faisait aucun doute qu'elle avait trépassée ici même...
-Bah, c't'à vous maintenant, si vous v'lez vous séparer comme z'avez dit d't'aleur, allez-y... Les pièces qu'j'vous ai pas fait visiter c'est la cuisine et sa chambre, si ça vous chante... Ainsi, Gulden lança officiellement le début des fouilles du temple...
PJ: Corvo / Népheghost PNJ: Münggs
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Aventurier
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L’intérieur du temple était encore plus impressionnant que l’extérieur. Le roublard observait avec attention toutes les armes disposées sur les présentoirs et sur les meubles en bois. Tout avait l’air si ancien. C’était comme si ces armes étaient ici depuis des millénaires.
La remarque de Barbepointe fit subitement revenir Elrik dans le monde des vivants. Mais apparemment il ne savait pas grand chose à part le lieu du crime. De toute façon la salle d’arme n’était pas le lieu ou il fallait débuter les recherches. Rien ne pouvait effectivement donner des informations sur le tueur dans cette pièce immense. Non les lieux que le voleur trouvaient le plus intéressant étaient sans nul doute le bureau de la prêtresse ainsi que le lieu du décès de celle-ci. En effet le mercenaire espérait bien trouver un indice important pouvant sortir la petite troupe de cette impasse infernale. Le nain leur fit traverser ensuite le bureau tant convoité par Elrik jusqu’à la chapelle ou la prêtresse avait terminée son existence.
Il y avait bien eut une lutte acharnée entre la prêtresse et son adversaire. Les traces de sang témoignaient effectivement que le combat avait dût être intense. Fixant le sol le roublard déclara à haute voix en direction de ses compagnons : - « La première chose qui me viens à l’esprit est pourquoi s’en prendre à une prêtresse ? » Passant la main dans ses cheveux pour les écarter de son visage il reprit : - « Le combat à commencé dans le bureau et a visiblement prit fin ici. Je pense que celui qui a tué la prêtresse était à la recherche de quelque chose. Il a peut être été surprit entrain de fouiner dans le bureau par sa future victime et n’a pût éviter le combat ? Je pense qu’il ou elle a dût s’enfuir juste après et il n’a peut être pas eut le temps de prendre ce qu’il voulait ? Je vais aller farfouiller dans cet amas de paperasse. J’y trouverais peut être des documents importants ? » S’étirant calmement les muscles en écartant les bras il se dirigea vers le bureau dans l’espoir de démasquer quelques textes ou documents que le tueur n’aurait pas pût emporter. Elrik fait un test de perception 5(deg) + 2(sag) + 2(don) pour trouver quelque chose d’intéressant, s’il trouve un document il utilise linguistique 5(deg) + 2(int) pour décrypter le texte s’il y en a un
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a salle d'armes eut un effet étrange sur Badrok. Une certaine mélancolie couplé à un respect pour les propriétaires, sans doute morts ou grièvement blessés, du matériel exposé dans la pièce. Bien que n'ayant jamais participé à une bataille de grande envergure ou n'ayant jamais fait parti d'un large corps militaire, l'halfelin ne restait pas moins un soldat. Il ne pouvait donc que montrer de l'empathie envers ces hommes et ces femmes qui ont perdu jusqu'à la vie dans des guerres qui, la plupart du temps, les dépassaient, ou encore pour ceux qui sont morts pour protéger leur maison, leurs amis, leur famille. Ce fut ainsi qu'une certaine angoisse s'empara de lui. Il savait que, s'il ne trouvait pas un moyen de s'innocenter, lui ne pourrait pas revenir chez lui et protéger sa famille. Non ! Il ne pouvait pas mourir si bêtement et aussi loin de chez lui !
Le petit guerrier fut le dernier à quitter cette salle, mais avec un regard remplis de détermination. Il entra dans le bureau au moment où Elrik déclara qu'il se chargerait de la paperasse. Badrok n'étant pas le plus grand des lecteurs, il laissa faire l'aventurier vairon, lui rappelant toutefois que la découverte d'un registre pourrait être d'une aide précieux. L'halfelin se tourna ensuite vers les traces de sang et de lutte menant à la Chapelle. En l'absence de Lyria, le petit guerrier était sans doute le plus de connaissance dans le domaine des combats et de la guerre. Du coup, il observa les traînées de sang sur le sol, le positionnements des empruntes de pas, ainsi que leurs différences et, aussi, les traces de combats sur les murs et le sol. Avec un peu de chance, il pouvait peut être en tirer quelques indices. La taille approximative de l'assaillant, quel type d'arme il a utilisé ou encore s'il avait un quelconque entraînement militaire. Qui sait, peut être pourrait-il repérer des cheveux ou des poils.
Tout en se mettant accroupi et en observant les traces sur les pavés jaunes, une question traversa l'esprit de Badrok. Certes, elle n'avait peut être pas de rapport avec la théorie de la conspiration qui avait murie dans l'esprit des aventuriers, mais elle pouvait être importante. Donc, il ne tarda pas à questionner de nouveau Gulden :- Dites-moi Messire Barbepointe, est ce que le temple accepte les donations des fidèles ? Si oui, vous savez où se trouve l'endroit où elles sont entreposées ? Peut être que le meurtrier en avait après l'argent de la paroisse. Badrok fait un test de Perception +2(deg) +2(sag) +2(bonus racial) sur les traces de sang et de luttes.
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u vu des traces de sang qui restaient dans l'imposante salle, Hiielle n'avait aucun mal à croire les déclarations de Barbepointe. Pas belle à voir... Non, elle n'avait probablement pas de beaux restes.Tout dans cette salle était plutôt somptueux, et avait l'air de peindre un portrait très digne et apologétique des batailles et de la cause des soldats. Une idée qui était bien étrangère à une fille des rues, pratiquante des arcanes de surcroit. S'engager dans une bataille rangée et accepter de n'être qu'un pion. Se sacrifier sans comprendre les implications ou les causes qui ont mené à cette situation. Tout ça était loin de sa manière de voir le monde et la mettait d'une humeur étrange, quelque part entre le rejet de croyances ridicules et une sorte d'admiration lointaine pour un idéal qu'elle ne comprenait pas. Elle sourit cyniquement à la sortie de Barbepointe. Oui, il faut être une raclure pour piller un temple. Mais les raclures ne sont pas si rares.Hiielle ne savait pas exactement par où commencer les investigations. Tâches de sang, armes, scènes de bataille, documents ? Elrik semblait intéressé par les documents. Badrok investiguait la scène de bataille. Il pensait à l'argent. La magicienne en doutait. Elle pensait plutôt que le responsable était venu pour prendre un objet précieux. Un objet magique peut-être. Quelque chose qui justifie d'occire une prêtresse dans son temple en tout cas.- Elrik, si tu trouves quelque chose d'intéressant appelle moi. J'y jetterai un oeil avec toi. Je suis plus à l'aise avec les documents qu'avec les... restes de la prêtresse... un peu partout. Sans très bien savoir ce qu'elle espérait trouver, Hiielle commença à incanter. Un temple devait bien receler quelques auras magiques, et ce serait une aussi bonne piste qu'une autre. Hiielle lance détection de la magie. Elle l'utilise aussi longtemps que possible pour détecter toutes les auras perçues et fait un test d'art de la magie pour en apprendre un maximum si elle en trouve.
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Date: 13 Tarsakh 1373 - Treizième jour de la Griffe des Tempêtes Lieu: Pierre-tonnerre - Cormyr Temps: Averse - 13° Moment: vers 19h00Narration: Elrik, Hiielle, BadrokCliquez ici pour dérouler le parchemin... Test de Perception d'Elrik pour trouver des indices dans le bureau de la prêtresse 1d20 + 9 = 7 + 9 =16 VS DD10
Réussite: Elrik trouve 2 lettres témoignant d'une correspondance tendue entre la prêtresse et le Lionar
Hiielle lance Détection de la magie Round 1: Hiielle détecte 3 auras magiques dans un rayon de 18 mètres
Round 2: Hiielle détecte une faible aura magique faible sur la statue de Tempus Hiielle détecte une faible aura magique faible sur les lampes au plafond Hiielle détecte une faible aura magique dans le bureau de la prêtresse, au niveau de la petite bibliothèque
Round 3: Test d'Art de la magie sur la statue de Tempus 1d20 + 8 = 17 + 8 = 25 VS DD 23
Réussite: Hiielle comprend que le bouton caché sur la statue pour déverrouiller l'urne est protégé par un sort de Glyphe de garde (Abjuration). L'aura est faible (sort de niveau 3). Hiielle doit néanmoins user du sort de lecture de la magie si elle souhaite pouvoir déchiffrer ce glyphe.
Test d'Art de la magie sur le lustre au plafond 1d20 + 8 = 15 + 8 = 23 VS DD 23
Réussite: Hiielle comprend que le lustre est touché par un sort persistant de Lumière du Jour (Evocation). L'aura est faible (sort de niveau 3).
Test d'Art de la magie sur l'aura dans la bibliothèque du bureau 1d20 + 8 = 7 + 8 = 15 VS DD 22
Echec: Hiielle ne parvient pas à déchiffrer la nature du sort. ans perdre de temps, les trois aventuriers entamèrent leurs investigations. Grace aux traces de sang, Elrik parvînt très justement à comprendre que le combat avait débuté dans le bureau pour finir dans la chapelle. Il débuta alors une fouille minutieuse du bureau. Avec un peu d'observation, le roublard parvint à déduire qu'aucun document présent sur la table n'avait été touché puisque plusieurs fines trainées de sang maculaient de manière significative la plupart des bouts de parchemins et la table. Si les documents avaient été déplacés ne serait-ce que de quelques millimètres, le raccord entre l'hémoglobine présente de manière discontinue entre bois de la table et le parchemin aurait été décalé...
Après quelques instant de lecture le voleur avait rapidement compris l'organisation épistolaire de la prêtresse. La pile de parchemins posées sur la gauche comportait essentiellement des factures et autres correspondances liées à l'intendance et à la logistique du temple. Juste à coté, une autre pile, moins importante, était principalement destinée aux documents relatifs aux échanges avec différents membres du clergé de Tempus... Jusque là rien de réellement intéressant.
Outre le matériel d'écriture, les deux piles de missives et le nécessaire destiné à éclairer le bureau, deux petites caissettes en bois dépourvus de couvercle contenaient d'autres lettres sur la droite du bureau. Les caissettes arboraient chacune une petite étiquette collée sur leur face avant. La première indiquait simplement "A envoyer" et l'autre "Doléances diverses".
Elrik feuilleta d'abord les lettres de la seconde caissette, la plus volumineuse. La correspondance était classée dans l'ordre chronologique, de la lettre la plus récente sur le dessus de la pile à la plus ancienne en dessous. Ces correspondances représentaient le tout venant. Cela allait de la plus petite demande bénédiction par un voyageur de passage aux requêtes d'aide (officielles ou non) pour l'extermination d'un ou plusieurs monstres dans la région. Beaucoup étaient rédigées en commun et en chondathien, langue que le roublard ne connaissait pas...
Parmi les lettres qu'il comprenait, Elrik porta son attention sur un courrier écrit récemment par quelqu'un qu'il ne connaissait que trop bien...Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Chère Saerlia,
Je fais suite à votre courrier pour vous signifier mon agacement dans vos tentatives d'ingérence dans les affaires du Dragon Pourpre.
Vos mots m'attristent autant qu'ils me choquent par leur ton lourd sous entendus.
Les affaires du Dragon Pourpre n'ont pas à subir d'interventions extérieures de quelque nature que ce soit ni par qui que ce soit. Sachez rester à votre place et laissez moi à la mienne !
Prenez cela comme un conseil avant que cela ne devienne un avertissement.
Segor Badesk Dans la caissette contenant les lettres à envoyer, un seul parchemin était visible. Un courrier non envoyé par la prêtresse était daté du jour de sa mort et renvoyait visiblement à la lettre du Lionar qui avait précédemment attiré l'attention du voleur.Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Le 11 Tarsakh de l'année des Dragons Renégats
Lionar,
Que Tempus m'aide a comprendre le sens caché derrière les mots de la missive que vous m'avez fait porter il y a quelques jours de cela. Etait-ce une menace ?
N'ayant la patience d'attendre une explication plus claire de votre part, vos mots ont toutefois éveillés ma curiosité, curiosité qui s'est mue en un véritable intérêt lorsque j'ai appris la mort de ce groupe d'aventuriers au sein même de vos geôles peut de temps après la réception de votre courrier...
J'ai pris la liberté de me rendre auprès de la prêtresse Loreleï aux Jardins afin d'examiner ces malheureux prisonniers et la cause de leur mort. Par chance, Loreleï ne leur avait pas encore rendu les derniers sacrements...
Cela m'a pris quelques jours mais de ces examens j'ai pu faire une découverte fort intéressante... Mais peut-être êtes vous déjà au courant ? Dans ce cas, je prie Tempus de vous venir en aide. Dans le cas contraire, je préfère toutefois vous annoncer la nature de ma découverte de vive voix et loin d'yeux qui pourraient lire ces mots avant les vôtres...
Mes révélations pourrait s'avérer fort déplaisantes pour votre garnison si elles sont rendues publiques. Mais comme vous le disiez dans votre précédente lettre, je resterai a ma place et vous laisserai le soin de gérer les conséquences de mes trouvailles. Je reste à votre disposition pour vous rencontrer si toutefois vous l'acceptez.
Que Tempus vous garde,
Saerlia, Septième Bouclier du Temple de Pierre-Tonnerre
Durant le temps pendant lequel Elrik farfouillait dans le bureau de Saerlia, Hiielle avait lancé le sort qui allait lui permettre de détecter toute trace de magie au sein du temple.
A l'instant ou son sort commençait à faire effet, Barbepointe pointait son doigt en direction du socle de la statue de Tempus à l'est de la pièce. Par ce geste, le nain répondait à la question de Badrok qui, se rapprochant de l'endroit indiqué, pouvait désormais apercevoir une petite fente sur la face plane de la pierre brute. Ainsi, le petit guerrier se trouvait devant l'urne de la Chapelle...
Aucune poignée ni serrure n'était visible si bien que prime abord, nul ne pouvait savoir comment ouvrir l'urne destinée à recevoir les offrandes des fidèles. Une brêve analyse de le fente, et de la statue permettait de voir qu'il n'y avait pas eu de tentative d'ouverture forcée et "brutale".
Rapidement, la magicienne commençait à percevoir diverses auras magiques dans la pièce. Tout d'abord, une petite zone au niveau du talon de la statue du Dieu de la Guerre surplombant l'urne, dégageait une aura d'une intensité relativement faible. Se concentrant, la magicienne parvînt à détecter qu'un sort, un glyphe de garde pour être précis, était placé à cet endroit. Continuant son analyse de la Toile, Hiielle constata ensuite que le lustre géant qui surplombait la pièce était sujet à un sort destiné à le faire briller en permanence. Pour terminer, la dernière trace de magie qu'elle percevait se trouvait dans le bureau de Saerlia de l'autre côté du mur au niveau de la petite bibliothèque. Toutefois, malgré ses efforts, la jeune femme ne parvenait pas à comprendre l'origine de cette aura magique... Était-ce le résultat de l'éloignement ou à cause de la fatigue liée à son intense concentration, nul n'aurait pu le dire ?
PJ: Corvo / Népheghost PNJ: Münggs
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Le voleur allait enfin pouvoir passer à l’action. Exploiter ses talents et trouver des possibles pistes menant tout droit vers le responsable de leur emprisonnement. Scrutant les moindres recoins du bureau de la prêtresse, Elrik fouilla, fouina et retourna presque tous les meubles pour découvrir quelque chose.
Après plusieurs minutes passées à lire et examiner des documents sans importance, le roublard commença à croire qu’il allait faire chou blanc. Les yeux rougis par le manque de lumière dans la pièce commençaient à le démanger. A plusieurs reprises il dû se les frotter pour ne pas sombrer dans un profond sommeil. Toutes ces paperasses étaient définitivement bien lassantes à observer.
Mais les documents qu’il continua à feuilleter lui redonnèrent tout de suite espoir. C’était peut être tout simplement la pièce manquante du puzzle dans lequel ils étaient embarqués bien malgré eux ?
Le mercenaire s’assied tranquillement dans le fauteuil de la défunte prêtresse et commença à lire le plus attentivement possible les deux lettres qui l’intéressaient le plus. Toutes les deux menaient droit vers celui qui avait voulut les faire emprisonner le premier soir. Ces deux plis étaient peut être le moyen de se sortir de ce bourbier sans nom. Bedesk devait être au centre de toute cette histoire. La prêtresse lui avait lancé un avertissement et il avait dû l’éliminer ? Oui mais comment ? Et par qui ? Cette coïncidence était tout de même bien étrange ?
Ne trouvant rien d’autre qui pouvait être d’un quelconque intérêt, le roublard plia le plus soigneusement possible les deux documents et se dirigea en direction du reste du groupe. Il devait montrer ces preuves aux autres. Et surtout à Barbepointe ! Il devait voir de ses yeux que son supérieur pouvait être mouillé jusqu’au cou dans cette histoire !
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