Ad impossibilia nemo tenetur, Chapitre II

Rak de Delzoun réprima un sourire tandis que Malaric s'exprima. Il avait toujours du mal à prendre au sérieux les paroles de celui-ci, tant il utilisait un langage fleuri. Et le nain préféra demeurer muet, car il doutait un peu que ces individus aient faits une réelle percée dans ce mystère si rapidement. Il préférait le voir de ses yeux.

Enfin la perspective de passer à l'action le lendemain matin le comblait. Il espérait pouvoir se montrer utile, et surtout faire accélérer les choses.

Après une mauvaise nuit, ayant pris l'habitude de dormir confortablement la tête sur sa selle, il attendit non sans impatience que la petite troupe entame son déplacement vers une des sources empoisonnées. La vue du petit gnome qui l'avait accueilli à coup de lance pierre et avait provoqué sa chute ainsi que la fuite de sa monture, l'énerva quelque peu. Mais diplomate, le nain d'écu ne dit pas un mot.

Il entama la marche d'un pas guilleret. Cependant, il déchanta rapidement à mesure que la sous-bois se densifiait au point de cacher presque entièrement la lumière du soleil. Deux ou trois fois, le nain se permit de pester, notamment lorsqu'il trébucha sur une racine invisible.

Il poussa un ouf de soulagement en arrivant dans la clairière où la source s'avéra être une petite retenue d'eau. Mais la vue du cerf mort et pourrissant dans l'eau le ramena à la dure réalité de leur mission. Tandis que Godrick examinait le cadavre et les environs, Rak considéra l'eau, puis le cadavre, y voyant peut-être la solution.

- Vous pensez que l'eau est mauvaise à cause du cadavre ? Ou bien c'est le contraire. Il est mort pour avoir bu de l'eau ? demanda-t-il sans avoir regardé le cadavre de prêt.

Au matin de leur départ pour la source empoisonnée, Malaric était ravi que son petit discours ait produit l'effet escompté. Non seulement les compagnons ne s'étaient pas répandus plus avant en discussions vaines, mais ils semblaient bien tous satisfaits de pouvoir agir de manière décidée plutôt que de subir les évènements. Ils avaient donc plié bagages et le druide en avait profité pour répéter ses ultimes recommandations concernant les soins à prodiguer aux malades.
Enfin, ils s'étaient mis en route, suivant le pimpant Glitzspinner juché sur son renard sautillant et dont la mission s'arrêterait à la source incriminée.

La marche avait été charmante selon les critères du druide qui n'avait pas manqué de laissé ses mains collectionneuses trainer de-ci de-là. Il n'avait pas vraiment remarqué que les Nains peinaient davantage en queue de cortège, mais leur avait permis de ne pas être distancé grâce à ses petites pauses pour récolte végétale.
- Tout ça risque de servir, les gars ! Répétait-il de temps à autres.
Qui aurait pu le contredire après ce qu'ils avaient réalisé au village des Gnomes...

La mâtinée devait être près de s'achever lorsqu'ils parvinrent enfin à destination. L'épaisseur de la forêt s'ouvrit sur une clairière au centre de laquelle se trouvait le point d'eau recherché, et il était impossible de ne pas remarquer immédiatement la dépouille qui empuantissait la zone de ses relents fétides.
Ils s'approchèrent précautionneusement du tas bourdonnant, essayant de ne pas effacer les traces que Godrik leur signala rapidement, et Malaric s'intéressa pour sa part au monceau de chair putréfiée.

- Pas touche, Ours-Roc ! Lâcha t-il à l'adresse du chef de phalange. La tête est coupée, c'est pas naturel. C'est p'têt empoisonné en plus d'être crevé. On sait pas c'qui z'ont mis la d'ssus les Rageux. Ça pourrait t'tuer... Ou pire : te rendre imberbe !

Le druide lança une incantation mineure afin de déterminer si la dépouille contenait un poison quelconque. Puis il entreprit de trouver des branches assez solides pour extraire de l'eau les restes en décomposition, puis pour pouvoir éloigner l'ensemble de la source.

- Draak ! Mon couillon, surveille le coin ! On sait pas si des yeux trainent par là... Il m'faut un grand bout de tissu pour ramasser tout ça comme y faut, les gars. Allez on s'bouge ! Faut enterrer ça à bonne distance pour être sûr d'éloigner le danger... Ours-Chêne, tu peux m'faire un trou à la limite des arbres, là ? Touchez à rien, j'vous dis ! Eh, l'Feux-Follet, rentre vite te mettre à l'abri au village, hein ! Et dis-leur qu'on fait c'qui faut ici ! Hmmm, faudra t'têt aussi que j'imprègne tout ça de jus de mille-braises pour assainir un peu ce pot-de-pus, en plus de mon p'tit sort de nettoyage ? Allez, faut pas trainer à découvert les gars...

Malaric parlait à mi-voix, parfois à lui-même, craignant que des oreilles ennemies ne trainent dans les parages. Pourtant, sans y mettre aucune autorité déplacée, il donnait ses instructions sans coup férir. Traiter une infection au cœur de la forêt lui semblait naturellement dans ses cordes...


- Sort de Détection du Poison sur les lieux (eau, cerf, alentours)
- Jet de Connaissances pour analyser l'eau et le cadavre du cerf et détecter d'éventuelles substances nocives autres que dues à un poison
- Du jus de mille-braises répandu sur la charogne avant de l'enterrer
- Sort de Purification de Nourriture et d'Eau sur la source une fois la dépouille retirée et enterrée
- Jets de Perception Auditive de temps en temps pour surveiller les bruits alentours
- Draak chargé de surveiller les environs

C’est avec sourire et entrain que se réveilla Godrick, ravi de pouvoir apporter son aide à ce peule de gnomes en danger. Il était aussi presser d’en découdre avec les orques qui avaient kidnappé les enfants, mais il savait que cette histoire devrait attendre encore un peu.
Il salua le groupe déjà présent et serra chaleureusement les poignées naines. La nuit lui avait ouvert l’appétit, il prit un petit déjeuner fort agréable et profita de leur longue promenade en forêt pour digérer.
Etant habitué à se mouvoir dans ce genre d’environnement il avança sans rechigner et prit le temps d’admirer le paysage si sombre soit-il.
Lorsqu’ils débouchèrent dans la clairière il fut frappé par la présence du cerf égorgé. Il ressemblait à s’y méprendre à celui qu’il avait découvert la veille en allant à l’encontre de Rak. Fallait-il y voir là une simple coïncidence ou y avait-il vraiment une relation entre les deux…
Il préféra garder ses informations pour lui afin de ne pas apeurer le groupe et se chargea d’examiner les empreintes. Il arrivait à discerner des traces de pas différentes ce qui était une bonne nouvelle. Il allait pouvoir les suivre…
Tendant l’oreille en direction des discussions, il répondit à Rak.

- Je suis d’accord avec le druide, il vaut mieux ne pas y toucher ! Il doit être responsable de la contamination… D’ailleurs j’ai l’impression d’en avoir déjà rencontré un, près du village. Il faudrait les prévenir là-bas.

Avant que Glitzspinner ne parte il demanda à Lorindol de lui traduire ce dernier détail. Il devait prévenir les habitants qu’un cerf égorgé gisait à quelques pas de l’antre des Ours-Hibou. Mieux valait qu’ils fassent comme Malaric et qu’ils prennent l’initiative de l’enterrer, sait-on jamais.
D’ailleurs il laissa faire ce dernier et préféra se concentrer sur les traces de pas. Il tenta de les suivre et de déterminer dans quelle direction elles partaient.
Puis il fouilla les environs au cas où l’un des individus auraient perdu quelque chose qui puisse les aider dans leur avancement.
Il tenta aussi de détecter toutes présences proches ou éloigner des lieux. Il ne tenait pas à se faire surprendre par ces viles créatures humanoïdes.
Lorsque chacun aurait fini ce qu’ils avaient entreprit il pourrait leur indiquer la route à suivre.

Test détection : + 11 contre les créatures de type Humanoïde (orque) (1er ennemi juré)
Fouille : + 9 et utilise don Pistage pour suivre la trace de pas. Test Survie + 11 contre les créatures de type Humanoïde (orque) (1er ennemi juré)

Lorindol suivait le groupe avec entrain, sa frêle constitution étant un net avantage pour se glisser à travers les branches de la foret. Apparemment, le jeune gnome guidait la compagnie avec efficacité et c'est avec soulagement que le mage pénétra dans la clairière.

La mage, comme à son habitude, assista avec émerveillement aux actions combinées de ses compagnons d'aventures. Dès la découverte de la dépouille du cerf baignant en partie dans la retenue, Lorindol s'activa à s'entourer du réconfort de la magie profane en se lançant un de ses sorts de protection.
- -

- J' abonde dans ton sens Malaric, mieux vaut prendre des précautions avant de toucher au cadavre -

Interpellant le gnome avant son départ, il lui traduisit les éléments d'informations à transmettre au village selon les directives de Godrick.

Retrouvant ses compagnons, il s'attela assurer la sécurité des membres enquêtant autour du cadavre en observant avec attention les alentours tout en lançant par habitude son sort de détection de la magie.
- , on ne sait jamais-


lance armure de mage des l'entrée dans la clairière
lance détection de la magie en analysant l'ensemble de la clairière et la retenue d'eau
Détection + 8 , connaissance de la nature + 9 connaissance mystère +10

Regrettant la réponse du nain, Jarircie se mit en route avec eux, désolé pour les pauvres habitants de ne point avoir pu être présente pour eux durant les temps de troubles qu'ils avaient subits, incapable d'être présente pour les accompagner dans la mort, mais le regret ne leur apporterait rien, pas plus que de fouiller des ruines déjà vide, elle ne pouvait plus rien faire pour eux, sinon empêcher cette tragédie d'arriver de nouveau. Au moins, ils étaient maintenant auprès des dieux qu'ils avaient suivis, heureux dans l'après vie, pouvait-on l'espérer, le contraire ne pouvant venir que d'eux.
La servante du Juge des morts prit donc la suite du trio nanesque, monté sur son brave mulet qui la déplaçait depuis quelques temps déjà. Le trajet semblait tranquillement lorsque l'un des poney finit au sol, le nain qu'il supportait peut-être lui aussi en mauvais état. Mais qu'il soit vivant ou mort ne changeait pas vraiment la chose pour Jarircie, car si le vivant devait être sauvé, le mort devait être honoré, et ceux qui répandaient la mort se devaient d'être arrêté, définitivement si nécessaire.
Aussi, Jarircie talonna sa monture pour se ruer à l'assaut, attachant son bouclier et sortant son arme durant le temps que mettait la bête à couvrir la distance, lâchant les rennes en même temps, conduisant uniquement la monture par les genoux, pour pouvoir entrer directement dans le lard de ses adversaires.



Guide la monture avec les genoux vers les adversaires, attache l'écu et sort une arme de mêlée (selon le terrain, ce sera la rapière ou la lance d'arçon)

Onzième jour du Couchant, Année des Dragons Renégats.
(11 ches 1373)

Lieu : Haute-Forêt
Temps : Froid, températures négatives
Moment : L'Aube

MJ
Narration: Tous sauf Jarircie

alaric s'était mit à l'ouvrage sans plus attendre, il était dans on élément, c'était l'évidence même. Son savoir allié à la bénédiction de sa divinité tutélaire demeuraient primordiale à cet instant. L'eau, le cadavre étaient horriblement souillés par quelque chose de terriblement nocif. Du poison à coup sûr dont le druide avait du mal à définir le genre l'origine. du poison en prime de l'égorgement? Il n'y avait certainement rien de naturel à tout cela. Malaric devait en avoir le coeur net. Les deux nains de la Compagnie des Marches furent réquisitionnés pour dégager la pauvre bête, il fallait lui trouver un endroit convenable pour que la dépouille puisse reposer en paix et rejoindre son ou ses créateurs, laissant le temps au druide de s'approcher du poitn d'eau et de l’examiner de plus près. Lorindol posa une main sur l'épaule du druide pour le stopper, le visage fermé ce qui n'augurait de bon. Son art avait-il déceler quelque chose? L'elfe doré avait usé de l'art quelques instants auparavant...avait-il vu quelque chose? Toujours est-il que la mise en garde verbale de Lorindol, aussi subite que soudaine ne stoppa pas sur l'instant le serviteur de Sylvanus qui sentit soudainement une partie de ses forces s'évaporer. Près de Malaric son loup s'anima et grogna.

Non loin de là, Godrick en pleine scrutation d'indice et de trace pila net en découvrant une série de pattes qui n'auguraient rien de bon, son échine se contracta et pour cause....

Et le grognement du compagnon de Malaric s'intensifia et au moment ou Godrick se tourna vers ses compagnons en hurlant le nom de: Des wooooooooooooooorgs ! Six boules de poils à la fourrure grise et noire et de belle taille firent irruptions dans la clairières. Oui des woorgs et deux d'entre eux se précipitèrent sur les deux nains des Marches tandis que les autres se concentraient sur le reste du groupe. Les sens aux aguets des compagnons avaient à cet instant montré ses limites.

Les jeux pouvaient commencer !

Mp info envoyé à Lorindol.



Dixième jour du mois du Couchant, Année des Dragons Renégats
(10 Ches 1373 CV)

Lieu : Entre les Montagnes Néthères et la Haute-Forêt
Temps : temps froid,
Moment : Tombée de la nuit

MJ
NarrationJarircie

aricie avait réagit avec promptitude à l'annonce du combat inévitable. L'ennemi était des orques certes mais pas seulement, les chevaux des nains encore en lice plus la paladine se trouvaient au galop quand trois worgs surgirent des fourrés et se précipitèrent vers les cavaliers. Leur objectif était simple, faire vider les étriers des cavaliers. Et le prêtre nain ne s'y trompa pas.

- Chargez ! et que nos ennemis subissent notre courroux !

L'optimisme fait nain !



Ce message a été modifié par Isórion le Samedi 03 Mai 2014 à 05h32

Plongé dans l'inspection de la zone à l'aide de la magie profane, Lorindol n'eut pas le temps de réagir. Il assista au transfert de l'énergie magique du corps de la bête profanée vers son compagnon druide.

Conforté par la brusque faiblesse de son compagnon, Lorindol identifia dans ce tourbillonnement d’énergie des spécificités clairement de l'école de nécromancie. Les longues heures d'étude n'avait pas suffit à éviter l’affaiblissement de son compagnon mais au moins il s'aurait de quoi il en retournait.

- Malaric !, tu viens d’être touché par le sort de Contagion. Il me semble reconnaître qu'il s'agit d'une satanée Croupissure ! Seule la magie divine pourra venir à bout de cette affection j'en ai bien peur.-

Des woooooorgs !!!! Les mots éructés par Godrick était plus qu'un rappel à la vigilance, c'était un appel à l'action. Depuis son arrivée sur le continent, le mage elfe avait eut l'occasion d'expérimenté ce genre de situation. C'est donc avec une certaine sérénité qu'il pointa son doigt en direction d'un des worgs isolés - -

- Par Corellon, goûte au feu purificateur maudite engeance -

Laissant la magie profane faire son oeuvre, il pria Corellon que le rayon ardent touche sa cible et carbonise rapidement la créature pointée.

Lance rayon ardent sur un worg isolé pour ne pas risquer de toucher un de ses compagnons

Accroupi en train d’examiner les traces de pas, le nain ruminait de sombres pensées. Il distinguait clairement des pattes aussi grosses que celles des plus terrifiants loups. Connaissant le mode de vie des orques sur le bout des doigts il savait que ces derniers se déplaçaient souvent en utilisant des montures hideuses sur lesquelles ils montaient comme les humains montaient sur les chevaux.
Le grognement de Graak confirma ses dires et c’est avec confiance qu’il aborda le combat.
Lorsqu’il vit débouler les worgs dans la clairière il sentit une présence réconfortante auprès de lui et un regain de forme l’envahir, son amulette de la Confrérie entrait elle aussi en action. Il savait être nombreux à la porter en ce moment et il espérait que chacun pourrait tirer pleinement des pouvoirs de l’objet magique.
Il sortit ses deux haches de guerre et se prépara au combat, fortement ancré au sol, campé sur ses bottes. Il héla son animal de compagnie et lui intima l’ordre d’attaquer le même ennemi que lui. Il voulait être présent si l’animal recevait de puissants coups. Il ne tenait pas à le perdre au premier combat.
Voyant dans son dos que Malaric semblait mal en point, il s’adressa à son loup sachant que ce dernier comprendrait certainement le message.

- Protège ! Protège ton maitre !

Puis il se tourna face aux sinistres loups et attendit patiemment que ces derniers foncent sur lui. Il saurait les recevoir.

- Essayons de rester groupé pour les attaquer de front, si l’un de vous se fait attraper il aura de sérieuses séquelles.

Comme il n’y a pas d’initiative je ne sais pas si on peut attaquer tout de suite au CaC. Donc dans le doute je sors mes haches, (1ère action) et j’attends pour attaquer avec une hache. (2ème action)
Si j’ai bien compté nous sommes 4 porteurs d’amulette de la Confrérie, donc nos jets d’attaque augmentent de +3 !!!
Action libre : Attaque de Charabia et demande à Graak de protéger son maître. Test dressage : +11 sur Charabia, +7 sur Draak

Rak de Delzoun ne dit rien quand on lui demanda de retirer le cadavre de l'animal qui souillait les eaux.

¤ Hé ! Ils me prennent pour leur larbin ? ¤

Mais le nain aida Braldur pour tirer le cerf et se rendit compte que leur constitution et leur force leur permettaient d'éloigner le cadavre de la source.

- Pouah !!! Qu'est-ce que ça peut puer. Dépêchons-nous Braldur. On va trouver une endroit où le poser.

Car dans l'esprit du nain, il n'était pas question comme le souhaitait les Gardiens Sylvestres, d'enterrer la dépouille pour que l'animal puisse reposer en paix et rejoindre son ou ses créateurs. Creuser un tel trou demanderait tellement de temps.

Mais le nain d'écu n'avait parcouru que quelques mètres quand l'attaque se produisit. Encore un animal que le guerrier ne connaissait pas.

- Qu'est-ce que c'est que ces horreurs ??? lança-t-il à la cantonade en fonçant vers la boule de poils la plus proche, son marteau de guerre déjà en main et levé, prêt à frapper.



Rak charge le worg le plus proche et tente de lui écraser la tête d'un coup de marteau de guerre.

La lance de cavalerie en main, l'écu accroché de l'autre coté, Jarircie n'attendit pas l'optimisme des nains pour foncer au contact, pointant la très longue arme sur sa cible sur le danger le plus immédiat, même s'il était encore en seconde ligne, et qui la protégerait en même temps des archers, s'ils étaient un tant soit peu soucieux de ne pas tuer leurs bêtes, même si on pouvait s'attendre à tout de la part de ces créatures, cela lui permettrait peut, si la lance frappait son but, d'ouvrir une brèche dans les défense de leurs adversaires, pour ensuite faucher un à un tous ceux qui se croyaient protégé derrière les bêtes, les forçant à rappeler ces dernières et à fuir, évitant le bain de sang, du moins de son coté, pour l'instant désavantagé numériquement, car si ces êtres étaient bien les responsables du massacre du village, et qu'ils allaient recommencer dans d'autres si on ne les arrêtait pas, ce que son devoir auprès du Juge des morts lui imposait, en espérant qu'Il la protège d'ici là dans ce genre de délicates situations, sans quoi elle le rejoindrait beaucoup plus tôt qu'elle ne l'aurait cru.


Jarircie fait une charge montée à la lance d'arçon sur le Worg le plus à droite (le plus en haut également).