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Ad impossibilia nemo tenetur, Chapitre 1
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Maître de la Confrérie
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Dixième jour du mois du Couchant, Année des Dragons Renégats(10 Ches 1373 CV)Lieu : Entre les Montagnes Néthères et la Haute-Forêt Temps : temps froid, Moment : MatinéeMJ NarrationRak de Delzoun, Braldur Chopefûmanteak de Delzoun appartenait désormais aux vétérans de la Compagnie des Marches, devenu sous-officier, il pouvait désormais encadrer une unité de la phalange de l’Ours. Une consécration pour ce valeureux combattant qui avait obtenu la reconnaissance de ses pairs. La dernière mission du fils de la pierre l’avait amené à vivre une palpitante aventure dans le désert de l’Anauroch, toujours pour le compte de la Compagnie, bien que l’issue soit mitigée et qu’il restait quelque peu sur sa fin. Sur le chemin du retour, le groupe se sépara, llui prit le chemin d’Ascore, puis la route de la Fourche pour rallier Sundabar. Arrivé au Bastion, Rak avait pensé revoir plusieurs de ses compagnons dont Mirtzar, Ashyn, Narvarth et Belgos avec lesquels il aurait pu partagé quelques tournées de bières mais ses amis se trouvaient encore en mission. Que faire désormais ? Oh il n’avait pas à s’en faire, la phalange de l’Ours avait de quoi faire comme le lui avait confirmé Kurtik, son supérieur. Aussi après presque une décade de repos et récupération, Rak de Delzoun reçu pour mission de patrouiller avec une unité de la phalange de l’Ours du côté de Jalanthar et de la Rauvin. , non loin de la Passe de la Lune. Sa mission, visiter les quelques hameaux situés dans cette région et recensés leurs besoin pour le compte de la Légion d’Argent et parfois obliger certains colons à rebrousser chemin afin qu’ils s’installent ailleurs.
Ce jour là, Rak, à la tête d’un petit groupe de cavaliers nains juchés sur des poneys à poils long bien charpentés et d'un humain. Ils poussèrent leur patrouille au delà de la Rauvin et de la Passe de la Lune. La petite troupe était composée des nains Raurinn Froidmarteau, de la phalange du Cerf, de Thaujärd du clan Dagarkin, qui portait la chevalière de la phalange dus Molosses, tous les deux étaient les éclaireurs du groupe. Venait ensuite Snüd Orétoile, prêtre de Clangeddin Bardargent et enfin les guerriers du groupe avec Rak de Delzoun et Braldur Chôpefûmante, un jeune nain rencontré à leur départ de Sundabar. Ce dernier avait entendu parler de la Compagnie des Marches et désirait la rejoindre. En l’absence de Maître intendant des lieux qui s’occupait du recrutement, c’est Kurtik qui reçu Braldur. L’enthousiame du fils de la Pierre originaire de Mirabar faisait plaisir à voir mais Kurtik Jundeth qui aimait aller à l’essentiel fit simple.- Mon gars tu me plais bien ! Mais je ne peux te recruter officiellement en l’absence de Théodus, il considérerait ça comme un crime de lèse majesté et le bougre peut se montrer quelque peu à cheval sur ses prérogatives. Toutefois, si cela te dit, tu peux te joindre à nous en tant que….en tant que recrue potentiel dam ! Nous avons une mission qui part d’ici peu dans les Marches sous les ordres d’un de mes seconds les plus expérimenté, nous pourrions juger de ton envie de nous rejoindre et si toi aussi tu souhaites rejoindre bel et bien notre petite famille !!! L’offre était tentante, il serait en outre rémunéré comme il se devait et c’est donc bien volontiers que Braldur Chôpefumante intégra cette petite équipée équestre. Partis depuis deux décades et aujour’d’hui ils se trouvaient entre d’un côté les Montagnes Néthères, une chaîne de montagnes sombres et menaçantes et l’autre côté la mystérieuse Haute-Forêt que l’on comparait parfois au lointain Cormanthor. Ces deux endroits étaient propices aux aventures disait-on mais pour les populations souhaitant s’installer sur du long terme, cela pouvait se révéler très vite un suicide collectif.
L’été précédent, plusieurs familles de fermiers s’étaient installées à un endroit nommé le Tertre Noire, au mépris des recommandations. Rak avait reçu l’ordre de faire évacuer ses téméraires et de les ramener du côté de Jalanthar, où il serait plus simple d’assurer leur sécurité.
Ils n’en eurent pas l’occasion.
Le petit groupe de la phalange de l’Ours arriva en fin de matinée à l’endroit où devait se trouver le village. Il y avait trop de fumée pour que ce soit anodin, des quelques habitations, l’ensemble continuait à se consumait tandis que sur le sol gisaient les cadavres des colons. Les charognard avait commencé leur œuvre. Un spectacle désolant et terrible pour quiconque avait du cœur. Une femme avait été clouée contre un arbre tandis que d’autres avaient été brulées vives, tandis que les hommes gisaient éventrés de ci et de là. Apparemment, ils avaient cherché a résister comme le prouvait les quelques armes à terre. Les éclaireurs firent rapidement leur rapport à commençer par Thaujärd Dagarkin, un nain à l’épaisse tignasse rousse et au corps entièrement couvert de tatouages aux formes étranges qui retira les trois flèches à l’empennage noire de la première victime qu’ils virent. Il les montra à ses compagnons en s'dressant à eux dans la langue naine: ’ ’ Lieu : A la lisière de la Haute Forêt Temps : Froid, températures négatives Moment : Matinée Malaric gagne 1 Alassëa, le Barda, 1 paire de Cath’ali et la broche du loup Argenté Novice.alaric était natif de Valprofond et se retrouver dans la région de la Haute-Forêt était le résultat d’un long périple qui avait bien faillit se terminer de bien mauvaises manières lors d’un accrochage avec des chasseurs du côté de Fort Noanar cinq mois plus tôt. Malaric s’était interposé de manière virulente entre un groupe de jeunes présomptueux qui n’avaient de nom non pas celui de chasseurs mais plutôt celui de bouchers au vue de les trois cerfs abattus en une matinée. Le druide s’était élevé contre une telle sauvagerie, seul. Il avait bien faillit y laisser sa peau si des flèches elfiques le sauvèrent d’une mort certaine. Blessé et recueillit par des elfes des bois, c’est là qu’il entendit parler des Gardiens Sylvestres. On l’amena à Thüldae, la cité du Saule Argenté qu’il découvrit avec émerveillement. Sa rencontre avec l’archidruide Gostegotti fut décisive dans son choix de se joindre à leur cause. Il débuta ainsi son noviciat etsa première mission, en compagnie de R'ell, un rôdeur sy'tel'quessir de la Tribu des El'Nai, dont les liens d'amitiés avec Thüldae demeuraient très fort. Ce dernier devait accompagner Malaric pour lui faire découvrir le bois de Turlang puis descendre un peu.
Depuis presque une décade ils exploraient prudemment cette partie de la Haute-Forêt et alors que ce matin là ils longeaient un sous bois soudain l'elfe fit à signe à son compagnon, là devant eux, dans une clairière ombragée un cheval scellé paissait tranquillement tandis que son cavalier, allongé tout son long râlait, deux flèches à empennage noir figés dans la poitrine. L'El'Nai dégaina son poignard en os et s'avança prudemment vers l'humain, à son teint il était clair que c'était une question de secondes avant qu'il n'expire. Visiblement aucun soin ne le sauverait. Dans la force de l'âge, l'homme était vétu d'une armure matelassée, une épée battait son flanc. R'ell empoigna les cheveux de l'humain qui poussa un nouveau râle de douleur avec la ferme intention d'abréger ses souffrances....
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Aventurier
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Braldur restait perché sur son cheval et parcourait des yeux les restes du petit village. Partout où se posaient ses yeux des corps étaient étendus. Le charnier était écœurant, les bêtes de la forêt proche avaient déjà débuté leur festin. La fine brise ne chassait en rien les odeurs et l’effluve de la mort harcelait les narines de la petite troupe. Braldur avait du mal à assimiler la vision de ce massacre. Bien entendu, il avait déjà vu des cadavres, mais il s’agissait alors de victimes de combat et non du spectacle qu’il avait sous les yeux. Le choc s’atténuant, un sentiment de haine lui monta. Il serra le manche de sa hache jusqu’à ce que ces phalanges blanchissent.
Thaujärd Dagarkin annonça que le massacre semblait être l’œuvre des orques. Cela rassura quelque peu Braldur. S’il devait affronter quelqu’un pour venger ce massacre, il préférait que ce soit des orques. Il avait toujours détesté ces créatures et fonçait tête baissée sur le premier qu’il apercevait. Il regarda l’éclaireur qui leur montrait les trois flèches à l’empennage noir qu’il tenait à la main. L’éclaireur était un nain, comme lui et comme la majorité de leur petite troupe. Il était plus facile pour une première mission de se retrouver dans une ambiance familière. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu’ils chevauchaient ensemble et ils commençaient à apprendre à se connaitre. Rien de mieux qu’une équipe de nain pour mettre de la bonne humeur lors d’un voyage. Mais à présent, la bonne humeur avait disparue.
Braldur sauta à terre, prêt à combattre les orques s’ils se jetaient sur eux. Les charognards ayant commencé à dépecer les cadavres, il y avait peu de chances que leurs ennemis soient toujours dans les parages mais sait-on jamais.
Il s’adressa à Rak de Delzoun, le nain en charge du groupe tout en scrutant les alentours.
- On fait quoi chef ? On ne peut pas laisser les corps comme ça. Il faut soit les enterrer soit les brûler. Mais on ne peut pas laisser filer ceux qui ont fait ça.
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Maître de la Confrérie
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Frère-Ours
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Rak de Delzoun, fier guerrier de la Compagnie des Marches, sous-officier de la phalange de l’Ours, dirigeait sa petite troupe non sans une certaine satisfaction. Jusqu’à maintenant, il n’avait été qu’un simple soldat, ou bien un soldat en mission qu’il menait seul. Mais depuis quelques jours, pour la première fois, Kurtik lui avait donné la responsabilité d’un groupe.
Rak était un nain d’écu, dont les cheveux d’un roux agressif se voyaient de loin. Sa longue barbe soigneusement tressée, était de la même teinte. Juché sur un poney avec aisance, il portait sans aucune gêne un lourde armure de cuir cloutée bien entretenue. L’impression de puissance qui se dégageait de lui, venait notamment d’une longue épée, et surtout d’un lourd marteau de guerre.
A la découverte du village, le cœur de Rak de serra. Il avait déjà vu des horreurs depuis qu’il vivait dans le monde d’en haut, loin de la sécurité de sa caverne natale. Mais là, le spectacle macabre était particulièrement atroce.
¤ Morbleu. Quelle horreur ! ¤
Cependant, le sous-officier de la Compagnie des Marches qu’il était ne laissa rien transparaître de ses émotions. En tant que chef du petit groupe, il ne pouvait se le permettre. Les paroles de l’éclaireur le tirèrent des ses sombres pensées :
- Tu as raison, répondit-il, ça doit être les orques.
A Bralbur qui demandait des ordres et proposait d’enterrer les corps, le nain d’écu dédia un regard compréhensif :
- Voilà un belle intention, mais pour l’instant, nous devons nous assurer qu’aucune menace ne pèse sur nous. Et peut-être y-a-t-il des survivants dans les environs qui ont besoin de nous. Les vivants passent devant les morts. Snüd, ne te laisse pas emporté par la colère. Reste calme. Les orques paieront.
Rak fit faire quelques pas à son poney, mais celui-ci se montrait réticent à demeurer auprès de ce lieu où la mort rodait. D’une main amicale, le nain caressa l’encolure de l’animal qui se calma quelque peu.
- Raurinn ! Un cavalier poursuivit par des orques ! Morbleu ! Tu as raison. Vite ! Allons lui prêter assistance ! Suivez moi !
Tout en éperonnant sa monture, son marteau de guerre déjà dans la main, le chef du petit groupe lança à Raurinn :
- Tu as raison pour les enfants. C'est pas normal. J'espère qu'ils les ont pas emmené pour en faire des esclaves.
Lançant son poney à la poursuite de du cavalier et des orques, le guerrier n'en oublia pas toute prudence pour autant :
- Ouvrez les yeux ! C'est peut-être un piège qu'on nous tend !
Test de détection sur les alentours Test de perception auditive
Ma hache a deux amis, ma main qui la manie avec amour, et le cou des impudents !!!Fiche Rak de DelzounPNJ : Hannibal Caliban
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Gardiens des Feuilles
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Le froid mordant n’entamait pas l’énergie du druide, bien au chaud sous les replis de verts chatoyants du présent des Gardiens Sylvestres, l’alassëa, dont il ne se séparait désormais plus. Mais son humeur était maussade. Plongés dans la pénombre relative des grands arbres en cette saison du mois du couchant, ils avançaient dans un silence presque parfait, brisé uniquement par les marmonnements ou les étranges et intempestifs bruits de gorge que Malaric ne parvenait pas à endiguer pleinement. Des bribes de mots revenaient dans sa bouche, semblant évoquer une danse rituelle autour d’un feu et l’invocation d’un esprit des bois qui n’avaient apparemment pas suscité l’effet escompté. « Foutue danse » et « fichu esprit » tournaient ainsi en boucle. K’ell, le rôdeur elfe, avait abandonné l’idée de faire taire ce drôle d’humain et semblait désormais prendre cette agitation avec stoïcisme, tout en ouvrant la voie. Cependant, Malaric n’était pas dupe : le lascar savait simplement ranger sa frustration suffisamment profondément, offrant la rectitude de son dos comme seule réponse à la douce folie de son compagnon. Le loup qui fermait la marche, lui au moins, ne cachait pas son dédain pour les errements de son maitre, suivant les deux bipèdes en silence mais la mine éloquente. Malaric n’avait cure de tout ceci et prétendait vivre ses passions intérieures selon son loisir. Regimbant contre son nouveau compagnon aux attitudes trop lisses, il n’en finissait pas de commenter dans sa barbe la scène rituelle du soir passé, et surtout les éléments qui en avaient selon lui constitué l’écueil.
- Nu, que j’lui avais dit. Faut être à poil pour qu’les esprits y viennent… A poil !
La phrase peu audible semblait adressée à Braak, mais Malaric destinait son mécontentement au rôdeur. Un geste alarmé de ce dernier les figea brusquement sur place. Là, à quelques dizaines de pas parmi les arbres un peu plus clairsemés à l’approche des frontières de la forêt, un cheval harnaché paissait sans hâte, contrastant étrangement par son calme avec l’obscénité mortelle émanant du corps allongé, à proximité. Deux grandes flèches noires lardaient le poitrail de celui dont la vêture – armure légère et épée au fourreau – indiquait le cadavre d’un guerrier humain.
* Un Humain ? Ici ? * S’interrogea Malaric en silence, tandis que K’ell avançait prudemment et sans bruit vers la scène, poignard à la main. * Son cheval l’aura entrainé jusqu’ici dans sa fuite… *
Un râle déchira brusquement le silence, indiquant que le druide avait enterré un peu vite celui dont le sort demeurait finalement suspendu, mais l’Elfe continua à avancer, le regard prudent et fixé sur le blessé. Un redressement progressif du rôdeur, sur ses derniers pas, fut l’indication pour Malaric qu’il n’y avait rien à craindre, c’est pourquoi il rejoignit bien vite son compagnon, talonné par un Draak intrigué. K’ell resta dressé quelques secondes auprès du guerrier inconnu, évaluant probablement les chances de survie de ce dernier. Brusquement, son jugement rendu, il s’agenouilla près du mourant et tira vivement sur sa chevelure pour découvrir sa gorge, provoquant un nouveau cri de douleur… Malaric fut saisi par l’opposition née dans ce geste, comprenant aussitôt ce qui n’était pas dit.
* Ami elfe ? Quel souvenir douloureux conduit donc ta main pour, ici, en cet instant, mêler à ce geste l’ombre d’une si cruelle brusquerie ? As-tu, comme je le devine, eu à souffrir des Humains dans ton passé ? Car fort loin sommes-nous des rites d’oraison funèbres que tes pairs, chasseurs, réservent à leur gibier. Murmurés à même les oreilles défaillantes, vos paroles et chants de paix sont autant d’offrandes livrées aux esprits et aux dieux. Apaisées s'en vont les bêtes, en leurs derniers instants, quittant ce monde sans haine. Il me faut donc trouver, une fois de plus, les mots pour éclairer celui qui ne voit pas… *
- Naaaaaan ! Râla le druide en posant une main vive sur celle de son compagnon. Sans attendre plus avant la compréhension de ce dernier, Malaric vint lui aussi s’agenouiller près du mourant, obligeant l’Elfe à lui céder la place. « Eh, le renard ! » Réprimanda t-il le sy'tel'quessir, usant du surnom qu’il lui avait trouvé dès le premier instant. : « T’es plus sympa quand tu buttes un cerf, non ? »
Le druide se délesta de son barda et en extirpa rapidement sa couverture, afin d’en constituer un semblant de repose-tête pour l’inconnu. Ayant pris soin de vérifier l’inéluctabilité du trépas, il s’appliqua à soulager l’Humain autant que faire se peut. Il ajouta devant le masque implacable du rôdeur :
- Le vieux lion y mérite de causer avant de mourir, K’ell. Sinon sa colère et ses regrets y vont hanter ces bois. C’est ça qu’tu veux ?
Malaric croyait fermement que les esprits de ceux morts chargés de regrets, de peines et de peurs risquaient plus que les autres d’aller gonfler les rangs des âmes errantes. Avoir une chance d’exprimer ou de demander quelque chose sur ses derniers instants avait une chance d’endiguer le processus. S’approchant plus près du mourant, il lui demanda avec plus de douceur, entre deux tics nerveux : « Alors, vieux lion ? Hum ? C’est quoi qu’tu veux dire à Malaric. Hum ? C’est quoi qu’tu dois laisser derrière toi ? » Le druide malaxait fébrilement une feuille de chêne entre ses doigts sales. Ce n’était pas tous les jours que l’on assistait un mourant. Avançant son museau sur l’agonisant, Draak émit un geignement plaintif. L’odeur collant aux flèches noires n’avait pas l’air de lui plaire…
Test de Premiers Secours sur l'humain pour le soulager autant que possible.
Sorts mémorisés : Niveau 0 : Détection du Poison, Illumination, Purification de Nourriture et d'Eau, Détection de la magie - Niveau 1 : Enchevêtrement, Soins légers, Apaisement des animaux.Fiche de Malaric, druide de Silvanus
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Maître de la Confrérie
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Lieu : A la lisière de la Haute Forêt Temps : Froid, températures négatives Moment : Matinée Malaric Test de premier secours : 5 (dé) + 8 (compétence) -> 13 vs D15 -> Echec algrè l’attention portée au mourant, Malaric ne pu empêcher l’inévitable. Il expira quelques minutes plus tard, succombant ainsi à ses blessures mais le druide lui avait permit de se confesser avant qu’il ne trépasse, c’était là peut-être le plus important. Un peu plus en retrait se tenait l’elfe sauvage, il n’avait pas émit la moindre objection quant à l’intervention du Porteur du Loup Argenté, même si selon lui, il aurait été naturel d’abréger ses souffrances. Il s’éloigna à dessein pour laisser les deux humains s’exprimer librement mais conserva une vigilance accrue. Arc en main, flèches en position, il fallait parer à tout éventualité… Alors même que le blessé cessait de respirer cessait, Draak se mettait sur le qui vie, grognant alors que deux masses imposante firent irruption, des humanoïdes solidement bâtis, au cou puissant et à la face bestiale qu’il n’était pas grand clerc pour identifier dès le premier coup d’œil le mufle porcin et de longs crocs saillants. Des orques ! Et pas des petits. Le premier, à la crinière brune rassemblée en longues nattes hérissées d’ossements, jeta son dévolu sur l’elfe sauvage en brandissant un immense cimeterre et se précipitant sur lui. Les deux trais elfiques frappèrent simultanément l’’armure d'écaille ternie à l’endroit du cœur sans franchement le ralentir. La peau verte percuta de toute ses forces le sauvageon et ils roulèrent sur le sol.
La deuxième bête, le visage terriblement scarifié ne devoir que d’yeux que pour ce cher Malaric et son loup. Avoisinant les deux mètres quarante, la chose était impressionnante,, et voilà qu’il se précipitait sur le novice avec la ferme intention de faire sauter sa tête de ses épaules. Charmante perspective n’est-il pas ? Dixième jour du mois du Couchant, Année des Dragons Renégats(10 Ches 1373 CV)Lieu : En approche de la lisière de la Haute-Forêt Temps : temps froid, Moment : MatinéeMJ NarrationRak de Delzoun et Braldur Chopefûmanteak de Delzoun n’était pas nain à rester dans l’expectative, ses compagnons se hissèrent rapidement en selle et se lancèrent à bride abattue en direction de la forêt sur les traces du cavalier. En arrière de la troupe naine, le prêtre et Braldur, ce dernier pu entendre le nain ricaner. ’ ’ ’ Quelques mots de bon goût sans aucun doute. Le prêtre cette fois le visage sérieux renchérit. Le groupe de cavalier, Rak en tête ne décela pas de danger imminent ni ne fut l'objets d'embuscade alors même qu'ils s'approchaient de la lisère de la Haute-Forêt. C'est là qu'ils distinguèrent de l'agitation, droit devant eux, à quelques pas de dragons. Des orques certes mais pas seulement...
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Gardiens des Feuilles
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Le druide recueillit les dernières paroles de l'humain avec intérêt, serrant une main dont la fermeté déclinait à chaque mot. * Par les cornes du Grand Cerf ! Des troubles en perspective ! * Pensa t-il en entendant son funeste récit. Puis le guerrier expira dans un ultime gargouillement.
Malaric n'eut pas le temps réfléchir plus avant aux implications de son histoire. Draak grogna un défi qui lui fit relever les yeux, découvrant avec horreur la présence de deux énormes Orques dont les faces exprimait toute la sauvagerie. Le novice n'avait jamais vu de guerriers aussi imposants et, bien que leur accoutrement fut éloigné de celui des guerriers armurés qu'il redoutait, ils lui apparurent comme de véritables monstres d'agressivité. Le plus réactif des deux se précipita sur K'ell, à peine dérangé par les deux flèches que ce dernier lui décocha avec célérité, et le percuta violemment. Mais le druide n'eut guère le loisir de contempler leurs ébats. L'autre Orque lui fonça dessus.
- Aaayyyy ! Hurla un Malaric effrayé en décampant aussi vite que possible vers les arbres les plus proches. "Draak, pars !"
Le guerrier sylvestre était persuadé qu'une confrontation directe avec l'énorme guerrier orque ne pouvait que lui être fatale. D'abord couper la charge de ce dernier en interposant un gros arbre entre eux, puis laisser le loup l'attaquer par derrière à la première occasion. Son bâton à la main, Malaric se préparait à faire volte-face dès qu'il pourrait bénéficier de la proximité d'un arbre, espérant que celui-ci pourrait constituer une gêne pour l'attaquant en fonction de ses déplacements évasifs. Si les choses se passaient comme prévu et qu'il puisse être bien positionné, l'orque devrait contourner un tronc pour l'atteindre, peut-être en étant gêné également par les racines présentes, et sa charge serait brisée. Le surprendre avec un sortilège mineur d'illumination serait alors une bonne ouverture avant de placer un solide coup de bâton et de réclamer l'aide du loup. Qui sait ? Peut-être qu'en le combattant en tenaille, l'un d'eux aurait une ouverture négociable sans se mettre trop en danger ? Son sortilège d'enchevêtrement restait en secours, mais Malaric avait peur d'être gêné autant que son adversaire à courte portée. Voir de gêner l'Elfe. Mieux vaudrait l'utiliser pour une ultime tentative de fuite. * Ensuite, que Sylvanus me vienne en aide si je dois survivre à pareille menace !* Désespéra le druide...
Déplacement vers le couvert d'un gros arbre pour briser la charge En cas de placement réussi : - Volte-face, bâton prêt en main - Sort d'illumination pour éblouir l'orque avant de le frapper - Commande à Draak pour mordre l'orque par derrière mais en restant évasif au possible - Rester soi-même évasif après le premier coup, sauf si l'orque est suffisamment étourdi pour frapper encore sans risque En cas d'échec de placement : - Sort d'Illumination - Frapper avec son bâton - Recueillir son âme à Sylvanus...
Sorts mémorisés : Niveau 0 : Détection du Poison, Illumination, Purification de Nourriture et d'Eau, Détection de la magie - Niveau 1 : Enchevêtrement, Soins légers, Apaisement des animaux.Fiche de Malaric, druide de Silvanus
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Aventurier
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Frère-Ours
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Le coeur de Rak de Delzoun battait la chamade. Le sang affluait dans tout son corps. Comme d'habitude, alors qu'un compbat semblait se profiler, le guerrier sentait tout son corps se mettre à son service. Au fond de son âme, il n'aimait pas donner la mort. Mais combattre lui faisait éprouver des sensations impossible à ressentir dans d'autres circonstances.
Et en cet instant, un profond désir de justice le tenaillait. Si ces orques étaient les auteurs du massacre, ils leur fallaient payer.
- Serrez ! On ne se disperse pas ! lança-t-il à ses subordonnés. Les orques ne sont pas bien loin. Il faut les rattraper.
Faisant corps avec sa monture, le nain d'écu déboula dans une clairière et vit les orques. Déjà, son marteau de guerre se levait.
¤ Ne pas les laisser s'échapper. ¤
Mais soudain, Rak qui s'était focalisé sur les orques, remarqua une autre présence.
Ma hache a deux amis, ma main qui la manie avec amour, et le cou des impudents !!!Fiche Rak de DelzounPNJ : Hannibal Caliban
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Maître de la Confrérie
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Lieu : A la lisière de la Haute Forêt Temps : Froid, températures négatives Moment : Matinée Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Round1 Malariccherche refuge auprès d'une arbre -> action de mouvement Malaric lance illumination -> Action simple Orque 1: Jet de sauvegarde de vigueur DD ?? = 7 (dés)+ 3 (vigueur)= 10 -> Echec Orque 1 est ébloui et subit un malus de –1 sur les jets d’attaque et les tests de Détection et de Fouille. Draakattaque orque 1 Attaque au corps à corps Draak: 13 (dé) + 3 (morsure)= 16 vs 16 (CA) -> Réussite Dégats: 7 PV Orque 1-> reste 11 PV R'ellattaque au corps à corps orque 2 Attaque au corps à corps R'ell: 9 (dé) + 2 = 11 vs 16 (CA) -> Echec Orque 1attaque au corps à corps Malaric Attaque au corps à corps Orque 1: 5 (dé) + 4 - 1 (Malus) = 8 vs 14 (CA) -> Echec Orque 2attaque au corps à corps Malaric Attaque au corps à corps Orque 2: 16 (dé) + 4 = 20 vs 15 (CA) -> Réussite Dégats: 8 PV R'ell-> reste 6 PV Ordre d'initiatives round 2 Malaric-Orques-Elfe-Draak
Round1 3 cavaliers nains entrent en jeu et prennent l'initiative Thaujärd Dagarkinattaque au corps à corps Orque 1 Attaque au corps à corps Thaujärd: 19 (dé) + 3 = 22 vs 16 (CA) -> Réussite Dégats: 14 PV Orque 1-> - 3 PV, orque 1 mourant Braldur Chopefûmanteattaque au corps à corps Orque 2 Attaque au corps à corps Braldur Chopefûmante: 15 (dé) + 3 = 18 vs 16 (CA) -> Réussite Dégats: 14 PV Orque 2-> reste 4 PV Reste à jouer Rak de Delzoun-Malaric- Elfe-Draak
MJ NarrationTous alaric joua son va tout à l'offensive des orques, tout allait si vite que la première erreur leur serait fatale. Fort du soutien de sa divinité tutélaire et faisant appel à ses réflexes, il parvint à déjouer l'assaut du "géant" vert quui le prenait pour cible, mieux que ça, un petit tour qu'il avait dans sa manche lui permit de jeter la confusion sur son ennemi qui n'était pas un amoureux des lumières vives. Le gobelinoïde recula sous ce brusque éblouissement permettant ainsi au compagnon animal du novice de s’attaquer à la cuise de la bête. Près de là, le sauvageons poussa un gémissement de douleur et que son sang coulait sur le sol de la Haute-Forêt. L'elfe pensa un instant à sphaelin, laissé en bonne compagnie dans un village à quelques lieux de là et dont l'Art lui serait peut-être utile.
Quelque chose d'autre fit irruption pour la plus grande surprise de tous les protagonistes, celle d'une escouade de nain cavalier vociférant, en premier lieu Thaujärd Dagarkin, roux tatoué qui égrenait un flot de parole dans sa langue natale du plus bel effet, sa hache familiale fébrile qui s'écrasa sans complexe sur la tête de l'orque aux prises avec Malaric. Le colosse vert s'écroula proprement au pieds du druide tandis que le nain hurlait de contentement. Malaric aurait pu être un tantinet consterné si ce n'était l'irruption d'un second nain qui se retrouva par miracle par terre sans la moindre égratignure, frappant allègrement la cuisse de l'orque aux prises avec l'elfe. Un joli coup assurément. Et là Malaric crut bel et bien reconnaître une silhouette qu'il connaissait...
Le prête avait donné sa bénédiction à Braldur Chopefûmante, il ne pouvait pas laisser l’enthousiasme d'une jeune guerrier nain se flétrir en ne le laissant pas combattre. il fallait bien que les jeunes se défoulent. Et Braldur fut à la hauteur en arrivant second sur le lieu du combat. Rak de Delzoun sur les talons.Reste à jouer Round 2 Rak de Delzoun-Malaric- Elfe-Draak
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