Le Sceau du Dragon

Nyr n'eut pas trop de soucis pour se réveiller ce jour-là, une aventure il était toujours prêt pour ce même si l'appréhension de la rencontre avec le mage restait au fond de sa gorge il était passer outre.
La route semblait longue et interminable pour les petits jambe de Nyr, qui du coup se demandais bien ce que lui avait pris d'accepter la mission.

-Il aurais pu nous passez un poney le bougre ou nous téléporter la je ne sais pas trop moi....

Et oui Nyr aimais se plaindre surtout si les trajets sont long car il avait rien ayant un grands intérêt a ses yeux hormis la route à l'horizon et donc sa curiosité n'était pas titiller d'ou l'ennuie le plus total.
Alors quand il entendit la personne chanter il eu un large sourire, content qu'il ne doivent pas faire tout le trajet a pied.
Puis il laissa dans un premier temps Syriam répondre à la question du charretier et puis Nyr n'en pouvait plus, du coup il s'avanca de l'autre coter de charette de tête et oui sans aucune gêne aucune,il monta jusqu'a se retrouver a coter du charretier.

-Je peux hein dite, je vous tiendrais votre arbalète prête pour vous.

Nyr fit un sourire digne d'un enfant amuser par ce qu'il fessait même si il savait qu'il forcais un peu la main.

-Et puis je fait bien la cuisine aussi enfin on va dire que je me débrouille bien si vous avez de quoi...

Nyr leva les yeux un peu vers le ciel puis regarda Syriam afin de voir aussi sa réaction. Car en général peu de personnes aimais les manières de Nyr a s'imposer et encore moins sa curiosité qui rendais souvent les gens suspicieux a son égard.

-Marché conclut dite ?

Nyr tendit sa petit main au Charretier avec son plus beau sourire d'ou l'on pouvais y lire un certain amusement de la situation et une assurance dans la démarche et la méthode qu'il utilisais.

La route avait été longue pour le paladin, depuis le monastère de la "rose jaune" où le bon père supérieur du lieu, lui avait confié une mission secrète. Il lui avait dit ces mots restés gravés dans la tête de Naïrod

-Mon fils rend toi à la cité de Mulmastre, de là tu embarqueras pour la Sembie, au port où tu seras pris en charge jusqu'à la première étape de ta quête, le village de Proskur.
-Certes mon père, mais dis moi quel est le but de cette quête et pourquoi me la confier, il y en à d'autre parmi nos frère qui sont plus compétent que moi?
-Mon fils il nous faut agir avec diligence, tu es le seul a être disponible, et ton courage n'est plus à prouver. On t'envoie chercher un artefact du nom du sceau du dragon, tu en saura plus en temps voulut.
-Qu'il en soit ainsi.

Il avait rallié à pied la ville de Mulmastre, échappant à maint péril sur les sentiers de montagnes et aux abords des glaciers, il avait croisé d'horribles créatures, qui une chance pour lui, l'ignoraient, le trouvant inintéressant ou in-appétissant, il en saura jamais.
* Vous avez raison, même moi je me boufferais pas.*

De la un bateau l'avait emmené jusqu'à Yhaunne, la traversé fut relativement calme. *Un bateau, sacrée coque de noix oui...*Vous l'aurez compris Naïrod n'aime pas naviguer.

A Yhaune, il guetta son nouveau passeur, quand une drôle de charrette attira son regard, son conducteur chantant à tue-tête, Naïrod le jugea pour un marchant ambulant.
Il arrêta la charrette, et demanda si il pouvait l'emmener. Il eut bien des raisons à le regretter car l'homme n'était pas seulement un gazouilleur de première mais aimait beaucoup parler. Bercé par la monotonie du paysage, par les ragots et les chants du conducteur, Naïrod se lova sous la bâche et s'endormit. Brusquement il entendit des voix...
* Ils sont deux on dirait.*

Naïrod entendit l'un d'eux dire :
-Proskur s’appelle notre destination. En effet, le chemin va être long à ce que l’on dit mais nous sommes attendus dans cette charmante ville.

*Proskur, il a dit Proskur, ils vont au même endroit que moi, sont-ce des alliés ou des concurrents ? *

Le damarien se releva alors d'un trait et se retrouva façe à un hin, l'arbalète du charretier entre les mains.

-Je crois pas que sa t'appartienne mon gars,dit il à l'hin, c'est pas vraiment des manière sa, si j'étais toi je le reposerai,il désigna le morgensterne à sa ceinture. Puis une sorte d'éclair lui passa par la tête et il se tourna vers le marchand
Tu t'es arrêté bien facilement pour un marchand dans cette région, tu savais qu'ils étaient la ?

Année de la Magie Sauvage
Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement
Voyage vers Proskur

Le charretier n'avait pas l'air mauvais bougre, et semblait très peu se méfier des gens qu'il rencontrait ainsi sur les route. Témoin était qu'il avait embarqué un peu plus tôt un paladin qui réveillé presque en sursaut semblait pas d'humeur aussi badine que sieur Ramassebricole. Celui-ci semblait en effet fort suspicieux, chose normale diriez-vous pour une personne qui se bat pour son dieu. Quoiqu'il en soit, le charretier ouvrit de grands yeux et hésita sur la réponse à donner, si réponse il y eut, car le brave homme aimait la compagnie et ne se donnait pas la peine de demander de décliner les identités de chacun. Se grattant la tête qu'il avait fort hirsute, il regarda le jeune hin à côté de lui, à qui il avait confié son arbalète sans même réfléchir, puis passa son regard vers Naïrod avant de le baisser sur Syriam

- Mais voyons... commença-t-il soudainement gêné par tous regards C'est ma charrette, mon cheval et mes casseroles, je fais ce que j'en veux... Si ça me plait à moi de prendre ce petit bout d'homme à côté de moi, et d'offrir un siège à l'autre là, je ne fais sûrement rien de bien mauvais. Comme je disais la route est longue, et les passants se feront de plus en plus rares. Et croyez-moi, mieux vaut quatre imbéciles, qu'un seul face à quelques brigands. Et croyez moi c'est pas la première fois que je fais cette route vers Proskur Il arrêta un instant sa diatribe, rajustant la ceinture qui menaçait descendre, sur son gros ventre. Les aventuriers pouvaient remarquer que malgré ses rondeurs, ses mains habitués à diriger un cheval de trait ressemblait à des paluches qu'il était peut-être bon d'éviter si l'envie lui prenait de mettre une belle baffe. Mais si la primos... promusquité ... enfin si vous n'aimez pas être trop de personnes ensemble dans la charrette, je garde ceux qui veulent rester et je prends ceux qui veulent venir avec moi conclut-il avec un grand sourire où manquait quelques dents.

Il reprit les rênes, et jeta un regard au hin à côté de lui. Celui-ci remarqua que l'arbalète était de facture des plus douteuse. A vrai dire, quelqu'un risquerait de se blesser avec cette arme là tant la corde étaient usée, le bois terni et l'encoche pratiquement inexistante. A se demander si il l'utilisait vraiment. Et puis, termina-t-il enfin ajustant les rênes dans ses mains J'aime apprendre des nouvelles chansons aussi et entendre des nouvelles d'ailleurs et même en donner ... Alors ? Vous venez ?

Syriam avait déjà eu un petit aperçu des manières de Nyr, mais ce qu’il venait de voir face au charretier fini de lui montrer que ce hin n’avait aucune retenue face aux inconnus. Quoi qu’il en soit, sa surprise fut grande quand il vit se lever un autre de derrière la charrette, à l’allure peu commune. Syriam semblait toujours quelque peu méfiant, mais vu que ce charretier ne broncha pas d’un poil quand Nyr s’installa confortablement en compagnie de son arbalète, ses doutes commencèrent à se dissiper. Syriam décida donc d’accepter son invitation et s’installa à l’arrière de la charrette.

-Messire, je me permets de présenter, on me prénomme Syriam et je suis barde. Si l’envie vous prend, je pourrais jouer pour accompagner vos chants ou chanter moi-même si l’envie vous en prend, en tant que paiement pour nous emmener. Et vous deux, comment vous nommez vous ?

Il posa donc son sac et s’assoit non loin de l’inconnu en armure. Même si le paysage présentait quelques détails intéressants, le plus qu’il avait jusque-là était bien la tenue que portait l’homme assez près de lui. Il se demanda comment quelqu’un qui voyageait dans une contrée aussi dangereuse pouvait porter quelque chose d’aussi noble d’apparence. Il pourrait bien attirer des brigands, mais avec de la chance ils fuirent à la vue de son arme. En tout cas, Syriam ne ferait pas bien peur en jouant une petite musique et Nyr était désavantagé sur ce point par sa taille. Voyager avec quelqu’un d’allure puissante pouvait être bien utile.

-Le gentil monsieur est bien content de m'avoir à ses côtés comme il vient de le dire et puis son arbalète ne risque pas s'égarer avec moi pour la tenir.
Et puis si vous en avez un peu dans la patate comme on dit chez nous , vous douteriez bien si je voulais m'en prendre ce gentil monsieur, ça aurais été par surprise enfin quoique j'ai du un peu le surprendre non ?

Nyr posa la main sur son menton un instant puis il tira la langue a l'homme en armure qui avait tenter de le menacer du coup, mais la petit bouille qu'il avait fait au charretier avait surement dû jouer en sa faveur. Du moins c'est ce que pensais Nyr alors qu'il gigotait un peu à côté du charretier pour bien s'installer et poser ses sacs. Puis il se tourna vers le charretier pour lui parler.


-Ho Sysy a fait une drôle de tête en vous entendant chanter , mais je suis convaincu qu'il a du apprécier le bougre. Après tout l'art peut prendre bien de multiple facette non ? Tu en pense quoi Sysy ? Je peux te nommer ainsi Sysy hein dit j'aime bien moi ?

Nyr commençait vraiment à s'amuser là , vous voyez le genre de personne a vous rendre fou des qu'il commençait un peu a s'exciter comme une puce. Voila Nyr dans toute sa splendeur allez vous dire.

-Et sinon vous venez d'où ? vous transporter quoi au juste ? Et puis vous pouvez refaire cette chanson elle me semblait bien amusante, on chante ensemble dite ?

Nyr à présent avait le regard tourné vers le charretier qui a première vue semblait l'apprécier plus lui comparer a l'homme en armure et ses manières de rustre vis a vis du petit hin qu'il était.

- Holla en avant!!!!!!

Nyr fit un geste du bras droit devant afin d'invite le charretier a continue la route puis il se mit chanter a tue tête avec un large sourire au lèvre.

-Ma Petite troll adorée, J'aiguise ma Lame préféréeeeeeee.
Euh c'était quoi après .....

Nyr fit une drôle de moue du coup l'air frustrer de ne pas se rappeler de la suite, puis il fit un regard au charretier afin qu'il l'aide du coup.

Quand le hin lui avait tiré la langue Naïrod lui aurait bien mit une des marmites du charretier sur la tête pour sonner le tocsin, mais il se dit qu'Ilmater apprécierait surement pas.
-Je ne doute pas que tu n'avais pas de mauvaise intention maître hin, mais que veus tu, réveillé en sursaut et te trouver ainsi...

Il s'intéressa de plus près aux affaires du hin de façon discrète, juste se qu'il pouvait voire. *Une armure de cuir, une dague, pratiquement plus de sac que de bonhomme, tu serais une sorte de roublard que sa m'étonnerait pas.*

Il reposa son regard sur le charretier. *Tu m'enlèvera pas ça de la tête, que t'en sais plus long que se que tu veut bien dire*

Le paladin prit une grande bouffé d'air, de cette air humide et froid.
Il senti alors ses os lui refaire mal, il n'en montra néanmoins rien.

-Je ne peux souffrir aucun retard et le climat de cette région ne m'aiderait surement pas.Il se rassit alors lourdement sous la bâche, face à Syriam. Et si des brigands tentent de s'en prendre aux quatre imbéciles que nous sommes, je me ferait une joie de leur exprimer mon désaccord.Il pausa son arme tête en bas, la laissant faire un bruit mat, juste à porté de main. Il réajusta sa cape et passa la main à son cou, pour être sûr que son médaillon était caché.Puis il s'adressa à celui en face de lui.

*Toi par contre je vois pas bien se que tu peux être, m'est avis que c'est toi qui me décidera sur vous deux. Mais en attendant...*

-Je me nomme Tùrambar, je ne suis qu'un humble soldat de fortune et vous qu'aller vous faire à Proskur ?

Il joignit ses mains devant sa bouche, se calant pour attendre sa réponse, du moins en apparence.Car en vérité il se mit a utiliser son pouvoir de détection du mal sur les trois individus.

Syriam pouvait sentir la méfiance de cet homme qui venait de se présenter en tant que Tùrambar, et ce fut chose normale au vu de la région présente. Ceci néanmoins ne semblait pas du tout être le cas du charretier, et cela intrigua légèrement Syriam. Même s’il avait l’aimabilité de les emmener tous les trois à destination, il fallait toujours être méfiant. D’ailleurs à ce propos il se demande combien de temps pourrait durer leur trajet, étant maintenant en charrette, mais abandonna vite cette pensée n’ayant aucune envie d’y réfléchir.

- Je me prénomme Syriam, et je suis barde de métier. Nyr ici présent, il pointa en direction du hin, et moi-même nous sommes rencontrés dans la cité d’Elversult et pour faire simple, une suite d’évènement nous a poussés à aller à Proskur où nous sommes attendus.

Syriam jugea bon qu’il ne vaudrait mieux pas encore trop en dire, lui aussi étant méfiant d’un coté envers ce soldat mais aussi envers le charretier.

¤ Qui sait, peut-être qu’il est juste tout aussi en forme que Nyr et sans intention mauvaises¤ pensa-t-il en voyant les deux à l’avant en train de chanter.

Syriam essuya de la poussière de la route qui s’était accumulé sur le bas de son pantalon puis senti un léger frisson. Le fait de ne plus marcher et le temps peu favorable n’était pas des plus agréable, aussi décida-t-il de sortir de son sac une couverture et de s’en couvrir légèrement. Voyager de cette façon était plus agréable qu’il ne l’aurait cru, il ne manquait plus qu’une ambiance plus festive, et surtout une confiance collective pour rendre le tout parfait.

Année de la Magie Sauvage
Début de journée du Deuxième Jour du Pourrissement
Voyage vers Proskur

A la bonne heure ! S'écria le bonhomme qui semblait tout heureux de savoir qu'il aurait une bien belle compagnie. Je suis heureux de faire votre connaissance. Je me prénomme Pancha Vilo, heureux itinérant sur les routes des Royaumes. Je vais où le ma Marsha me mène ! Car voyez vous, cette jument là, elle ne va pas n'importe où, non messieurs, cette jument là aime ses chemins... Et là c'est Proskur me semble-t-il. Allez en avant ma belle !

La charrette fit un bon en avant, cahotant sur la route, exigeant à chaque passager de se rattraper où il pouvait pour ne pas mordre la poussière de la route. Nyr avait repris une bien belle chanson, chantée d'une voix de fausset que même le sieur Pancha, pourtant féru des arts vocaux, ne semblait point apprécier à sa juste valeur. Il sourit néanmoins au roublard, d'un air vaguement perdu d'ailleurs, cherchant peut-être à reconnaître le refrain que l'halfelin avait entonné.

Il est vrai que malgré le fait que si ici et là un caillou faisait danser le navire sur roues, entrainant quelque rougeur aux fesses malmenées, il était bien plus reposant de voyager de cette manière. Leur capitaine n'était pas fort curieux de leur provenance ou de leur origine, et semblait se moquer éperdument de ce qui les avaient amenés sur son chemin. Malgré sa bonhommie et sa bonne humeur, il laissa cependant l'occasion à ses passagers de s'exprimer à leur aise, attentif à la route, puis reprit la parole, racontant un peu tout et n'importe quoi, notamment sur ses ventes assez exceptionnelle d'un lot de casseroles à une mégère qui lui refusait la pièce d'argent demandée, ou encore à propos d'une nuit mémorable à l'auberge du Petit Saut où il s'était pris une cuite épique et où il s'était réveillé dans le lit d'une femme qu'il ne souvenait pas avoir rencontré. Bon gré mal gré le chariot avança, à une bonne cadence. Au bout de quelques heures, il ralentit la jument au détour d'un petit virage.

Une pente douce s'amorçait et Pancha voulait probablement ménager sa monture, aussi ralentirent-ils. Bientôt les aventuriers seront menés à faire une petite pause, ne fusse que pour manger un morceau et se dégourdir les jambes. C'est sans doute ce que pensait Panha aussi
- Il est vrai que nous pouvons manger à même le chariot, mais ma Marsha a besoin de repos... Voilà tout doux ma belle, oui j'ai vu un beau carré d'herbe assez sympa ...
Sur la droite, un terrain idéal pour un arrêt, même si c'était encore en vue de la route. Au vu des traces, ils n'étaient pas les premiers à s'y arrêter d'ailleurs. Le sol spongieux et l'herbe écrasée par endroit en était les témoins. A la lisière de la forêt à une quinzaine de mètres, le sous bois offrait un abri relatif pour ceux qui aimaient la canopée sous leur tête. L'heure n'était point au campement mais à une restauration sommaire. Laissant la bête un peu brouter, Pancha descendit lestement de son chariot et étira ses jambes...

- ...frang muh ,muh ,aahTùrambar venait de descendre de la charrette et de s'étirer.
Il avait l'impression d'avoir passé une semaine assis à l'arrière avec les chants des deux autres, auxquels il s'était joins pour les refrain des chanson qu'il connaissait...
Il fit quelques pas pour refaire circuler le sang dans ses jambes, puis quelque moulinet.
Quand du fond de ses entrailles retenti un grondement sourd, il courut donc vers le sous bois et la près d'un lit de fougère, se mit en position... Que voulez-vous êtres humain à ses inconvénients, six à sept heures après avoir mangé, il faut...
Il revient alors tranquillement vers les autres, en sifflotant.
-Et si on refaisait le plein ? Un d'entre vous fume-t-il ?Le damarien s'assit sur une souche en ouvrant son sac pour y prendre un bout de pain de route, il n'avait pas vraiment faim c'était juste pour s'occuper à mâcher.
Puis toujours la bouche pleine, il attrapa sa pipe qu'il commença à bourrer, puis il l'alluma, vida sa bouche, puis tira deux bonnes et longues bouffés.
-Si quelqu'un en veut qu'il n'hésite pas.
Il posa la blague ouverte sur son sac.
Puis en relevant, la tête il se rendit compte qu'il était tourné vers le nord-ouest.
*Un jour je rentrerais la-bas, et ils m'expliqueront pourquoi ils nous ont laissé, et peut êtres pourrais-je la revoir.*
Il chanta, d'une voix profonde et grave.
-Nous rentrerons par delà les montagnes, nous rentrerons, nous rentrerons, nous rentrerons par delà les montagnes...

Désolé pour ce retard de ma part, beaucoup de boulot et un gros problème de couple qui a du être gérer

Nyr sauta une fois qu'il furent arrêter ce frottant ces petit fesses qui avait soit dit en passant malmener mais il s'en plaignais pas car il s'était bien amuser. Puis il se retourna et attrapa la totalité de ses sacs qui devait toujours être prêt de lui selon lui, trop d'objet précieux à ses petit yeux.
Il regarda un moment les alentours alors qu'il s'étira un moment avant de rejoindre le guerrier , curieux par ce qu'il fumais surtout. Il sentit l'odeur et fit une drôle de mou.

-Mais ça pue votre tabac, on as pas idée de fumer un truc pareille. Vous aller parvenir a faire fuir un orc s'étant laver car il ne reconnaitrais même plus sa propre odeur.

Nyr eu un léger sourire amuser et s'en retourna ce qu'il avait pu notifier en étant arriver la ou il comptais s'arrêter. L'endroit avait déjà emprunter par d'autre personne, mais quelles étaient ces autres personnes, des voyageurs ou des brigands qui avait peut etre élu demeure dans la foret non loin.

*je dois aller voir ça et puis cela va me dégourdir les jambes tiens*

-Je vais faire un tour , je reviens. Tu me garde ça hein.


La dessus Nyr déposa son sac de casserole au pied de turambar et puis s'avança jusqu'à la lisière de la foret. Une fois arriver et que lui même ne put être vu de ses compagnons. Il commença dont ces petites recherche d'éventuel trace de pas ou bien de passage trop fortement emprunté qui pouvait le mener plus profondément vers la foret ce qui lui donnerais raison. Il fit cela avec un grande précaution le coter joyeux n'était plus, il aimais bien les surprise mais l'idée qu'il soit tous surpris par des brigands ou autres, ce n'était pas du tout le genre de surprise qu'il appréciais ou bien le genre risque qu'il appréciais aussi. Un risque calculé ça oui il était pour et serais toujours partant.