Quel est votre nom, voyageur ?
Eléasis (VIII) 1373, 2ᵉ chevauchée
   

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> ۝ Les petits rats sous le Coutelas ۝, Fairïe dans les entrailles de Luskan
écrit le : Mardi 09 Octobre 2012 à 12h28 par Fairië Atala
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-(commun) A toute à l’heure capitaine !

Il n’en fallu guère plus à Fairië pour suivre le garçon de salle jusqu’au chambres supérieures. Tout en sautillant, il traina tout le long de la salle commune son imposante lame derrière lui, comme si de rien n’était. Le Psion adressa son larges sourire à quiconque le dévisageait. Avait-il compris quel genre d’hommes trainaient dans le coin … il y avait fort à parier que non.

Et c’est avec un réel plaisir qu’il se plongea dans l’eau chaude. Scrutant son mollet, là ou il y a encore quelque heures sa jeune chanteuse l’avait soigné.

-(commun) Ma belle amie a décidemment beaucoup de talent. Quel dommage que nous n’avons pas trouvé le temps de jouer ensemble. Eclatant de son rire. Elle m’aurait sans doute ridiculisé.
Plongeant sa tête sous l’eau , sa masse de cheveux suivant, il se redressa. Fixant le plafond, ses doigts commencèrent à parcourir sa peau, dessinant les motifs encrés sur son épiderme, lentement puis de plus en plus rapidement. Ses yeux se fermèrent et les traits de son visage se figèrent dans une neutralité dérangeante. Et encore et toujours ses doigts parcouraient frénétiquement et inlassablement sa peau.

Au cours d’un temps que lui-même ne put définir, ses doigts s’arrêtèrent. Ses yeux de jade se rouvrirent et son sourire habituel réapparut. Sortant de son cocon de chaleur, il était temps de rejoindre son bon capitaine. Pour connaitre un peu plus sur la suite des évènements. A cette pensée, il ne put s’empêcher de se tapoter le manteau d’excitation.

Sortant des chambres supérieurs, il alla rejoindre de nouveau le capitaine dans la salle commune, en petit bonds devenus maintenant habituels.


focalisation psionique



Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
Extrait du journal d'Halrim Caec

Pour trois sœurs trois vives épées;
La première sera d'ivoire;
La deuxième forgée de l'or le plus rare;
La troisième dans un pli de granit sera taillée;
la première "Juste Vieillard" est nommée;
A "Pressant Dard" répond la deuxième arme;
Alors que la troisième, assoiffée, dans ce trio de
charme
Est une lame affamée s'appelant "Liberté".

WHELDRAKE - Ballades de la Frontière


Fairië Atala
 
 
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écrit le : Mercredi 10 Octobre 2012 à 21h32 par Atlas
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" Par delà les brumes "
 
 
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écrit le : Samedi 13 Octobre 2012 à 01h26 par Sphinx Aodren
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Sphinx ne savait pas vraiment quoi faire a part trouver un endroit ou passer le nuit, prendre un bain et laver ses vêtements. Quant elle entra dans le seul lieu qui pourrait correspondre a ses attente elle en apprécia la chaleur qui lui annonçai peut être un bon repos.Une table a l'écart attira sont attention. Tout en balayant du regard la salle et détaillant les occupants du lieu elle si dirigea pour prendre place. Emmitouflé dans ce manteau qui sentait tous sauf la fleur elle se délassa les membres et prêta l'oreille a la conversation qui se déroulais non loin. Tout en s'étonnant de l'aspect de celui qui avait tous l'aspect d'un gorille.

Des histoire abracadabrante elle en avais déjà entendu mais pas comme celle ci, pas qui sonnait vrai, pas de ses histoire qui, pour on ne sais qu'elle raison, vous fait bouillir le sang et penser que vous voudriez en savoir plus, vous voudriez le voir de vos propre yeux, vous voudriez y être.


¤ Étrange sensation je ne suis pourtant pas du genre a m'emballer pour se genre de choses. Mais il est vrai que cela m'intrigue. Est-ce sa que l'on nomme l'appel de l'aventure ? ¤

Plongée dans ses pensées elle sentit quelque chose la prendre au ventre et réalisa la faim qui la tenaillai en sentant l'odeur de nourriture. Enfin l'odeur de nourriture qui n'était pas éclipser part la mauvaise odeur qu'elle même dégageais.Une mendiante voilà a quoi elle se faisais pensée.

¤ Manger un morceau avoir une chambre et de quoi me laver tout comme mes affaires serai le bien venue j'aviserai plus tard de se que je peut bien faire.¤

Suite a cette pensée Sphinx se leva afin d'aller demander de quoi manger et une chambre avec de quoi se laver. Sont cerveau emplit de multiple question sur ses but, sa vie, sont chemins, sa solitude.

¤ Même si l'étrange Fairië était déroutant il est vrai que sa compagnie et sont étrange bonne humeur apparente me faisait du bien et dans un sens m'amusais. Malgré que nos chemins soit divergeant, je le regrette déjà un peut.¤

D'un geste de la main chassa ses idées noir temporairement en se disant qu'elle devais sans doute être plus fatiguer qu'elle ne le pensais. Sa ne luis rassemblais pas de regretter une personne, qu'elle ne connaissais pas vraiment qui plus est. Ne pensant plus qu'a se restaurer et repartir sur un meilleur pied elle avança d'un pas faussement plus décider.






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écrit le : Samedi 13 Octobre 2012 à 21h46 par Fairië Atala
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airië adorait les histoires, et le récit du capitaine attira toute son attention. Cependant le Psion n'avait rien d'un public "normal". Pour la plupart des personnes, il est évident que ce récit susciterait sûrement tristesse ou compassion, et surtout avec la présence de ce pauvre Elarig pour appuyer les dires du capitaine. Et si Bansh s'attendait à une quelconque réaction "normal", il en fut tout autre avec le Psion comme interlocuteur. Fairië ressemblait davantage à un enfant à qui on racontait une histoire d'horreur. Ces yeux de jade grand ouvert, il avala plusieurs bouchées de pain sans détourner les yeux de ceux du capitaine. Et lorsque le grand singe se leva, Fairië ne pipa mot, trop occupé à examiner sa nourriture. Son esprit occupé maintenant à autre chose.

Délaissant son assiette, le Psion n'éprouvait pas de plaisir particulier à manger et d'ailleurs ne le faisait uniquement en de très rare occasion. En revanche il éprouvait un certain plaisir à gouter de nouvelle chose. Mais la curiosité ne durait qu'un temps limité. Levant la tête, son regard s'attarda sur la pièce commune, comme pour chercher quelque chose à faire.

Oreilles pointues, cheveux argentés, son regard se laissa aller sur une demi-elfe passant par là.

¤Mais c'est ...¤
En une fraction de seconde, les yeux de jade du Psion pétillèrent de nouveaux, son large sourire en place. Il se leva brusquement. Dressé sur la pointe de ses pieds, il battait les bras de grand mouvement ample pour attirer l'attention de la jeune femme. Scandant à plusieurs reprises le nom de Sphinx. Tel un enfant tentant d'attirer bruyamment l'attention de ses parents. Puis se lançant à sa rencontre, il l'aborda avec son grand sourire.

-(Elfique) Ma chère !! Je pensais que vous nous aviez quittés pour de bon !! Vous tombez à point nommé, l'ennui me guettait et je le voyais pointer le bout de son nez, jusqu'a ce que je vous aperçoive. Battant l'air de sa main droite. Mais venez, venez ! Resserrant sa main gauche dans celle de la jeune femme, il l'entraina jusqu'à sa table. Je vous en pris prenez donc un siège. Nous ne sommes plus que deux ma chère. Pointant du doigt la nourriture encore présente sur la table. Vous semblez affamée, mangez donc !



Nuiteuse 1349 CV : « (…) Je me souviens très bien. Atala n’aurait pas voulu que je la suive dans la mort. Elle aurait voulu que je vive ma liberté pleinement. Je ne suis pas encore prêt, mais ce jour viendra ou je parcourrai de nouveau la terre et l’océan, te portant toi et notre enfant dans mon cœur. La liberté nait de la souffrance. Ces mots sont désormais à jamais gravés dans ma chair … »
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écrit le : Lundi 15 Octobre 2012 à 09h51 par Sphinx Aodren
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Sphinx était presque arriver au comptoir quant une voie scanda sont prénom plusieurs fois se qui la surpris et le fit s'arrêtait dans sont élan. Elle se tourna dans la direction ou on l'interpelais.
Fairië se dirigeais vers elle avec un de ses sourire qui semblais toujours presque trop joyeux mais elle ne put s'empêcher de lui répondre avec un léger sourire.


¤Décidément sa bonne humeur est contagieuse mais que me veut t'il ? ¤

Quant il lui prit la main pour l'entrainer au niveau de la table ou les victuailles ,qui lui avait réveiller l'estomac se trouvais, elle se laissa faire trop surprise du contentement qu'il semblai avoir de la retrouver.

¤Il s'ennuyai ? Et il semblerais que ma venus est atténuer cet ennuis. Étrange êtres.¤

Quant il lui proposa de s'installer et de manger elle n'en cru pas ses oreilles. Elle pris place et regarda enfin en fasse les yeux qui refléter cette joie enfantine d'un vert si particulier et lui adressa cette fois un sourire non fin, réel et reconnaissant, avant de se servir dans se qui se trouvais sur la table.

Après quelque bonne boucher et un soupir d'aise elle s'adressa a sont interlocuteur:

(Elfique) "Merci de votre gentillesse je ne voulait pas déranger. Je n'ai trouver que cette endroit pour me réchauffer et me reposer quelque peut je n'aurai pensée que vous m'inviteriez. Suite a ses mots, quelque peut gêner elle laissa aller un rire musical.Je doit bien avouer que sa me fait plaisir de vous revoir!"



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écrit le : Mardi 16 Octobre 2012 à 16h56 par Fairië Atala
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- (Elfique) A la bonheur ma chère amie !

Sa tête posée entre ses mains, les coudes posés sur la table, Fairië fixa de ses yeux pétillants la demi-elfe. La regardant se jeter sur la nourriture, il eu un rire enfantin :

-(Elfique) Et bien très chère, je ne pensais pas qu’un si petit corps pouvait engloutir autant en si peu de temps. Il faut penser à vous nourrir plus souvent ! Déduction pour le mois bancale d’un homme dont la nourriture n’était pas nécessaire à sa survie. Partant dans un éclat de rire soudain. Combien de fois Rigo me bottait les fesses car je ne mangeais pas, alors qu’il connaissait ma condition. Mettant sa main devant sa bouche pour imager un secret. Surtout n’allez pas le lui répéter, mais je crois que c’était sa façon de me dire qu’il tenait à moi. Suivit d’un clin d’œil, Fairië retourna à sa position précédente, la tête dans ses mains. Pour preuve ! il m’a carrément botté le derrière lorsque je suis parti du clan. En prétextant que j’avais encore omis certaines marchandises à Phent. Secouant la tête par la négation son regard se posa de nouveau sur Sphinx. Et vous très chère, que faisait une aussi belle jeune fille dans ces égouts … grimaçant … pour le moins ragoutant de cette ville insupportable. La demi-elfe pouvait maintenant se rendre compte des changements radicaux du Psion , notamment en terme de discussion.



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Fairië Atala
 
 
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écrit le : Mercredi 17 Octobre 2012 à 10h16 par Sphinx Aodren
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Il lui parler directement se qui, pour lui , ressemblais le plus a une vrais discutions. L'attention toucha Sphinx. En découvrant qu'il était marchand, qu'il était partit de sont clan et qu'il semblais être aussi seul qu'elle, elle se senti un peut plus proche de cette homme étrange.

(Elfique)- Marchand et bien vous deviez être de ses marchand qui sont tellement habille pour déstabiliser que l'on finit part lui acheter se dont on avaient absolument pas besoin. Elle conclu sa phrase part un petite rire musical.

Il avait le dont de lui mettre du baume au coeur part sont côté farfelu ou trop franc ou toujours a mille lieu d'un comportement que l'on pourrai définir de normal, quoi qu'il en soit il avait le dont de la faire respirer, presque comme avant. Au question de Fairië elle décida de répondre pour une fois franchement après elle verra si l'avenir lui démontrera qu'elle a eu tord ou bien raison de lui accorder sa confiance.

(Elfique) - Se que je faisait dans les égouts et bien rien de plus simple, une fois partit sur les route pour savoir pourquoi le peut de stabilité de ma vie a voler en éclat je suis tomber sur un groupe de personne a l'approche de la Cités des Voiles. Grand mal me fasse. Un rire, sinique cette fois, s'échappa du font de sa gorge qui pouvait ressembler a l'echos d'un coup de poignard dans le dos. Je les ais entendus dire qu'il voulais rejoindre Padhiver, je me suis donc présenter pensant trouver de l'aide de route peut être même des compagnon d'un temps au moins. Sotte que je suis. Ils ont gagner ma confiance, mon dit de ne pas passer part les chemins conventionnel parce que la route commercial est surveiller par une garde qui m'aurait mis au fer juste pour le fait que je suis une demie-elfe. A ses mot elle prit une mine sombre un aspect presque meurtrier pointa dans son regard pour se cacher a nouveau au fond de l'âme de la jeune femme. Ils m'ont donc parler du passage dans les égouts on même étaient gentils en me prévenant des pièges et danger de l'endroit. A un moment donner, quant je fut totalement perdu sans plus aucun sens du temps et du lieu, un d'eux, Hagons, c'est retourner vers mois et ma assommer Sur sa mine s'afficha une mous sur jouer de quelqu'un de surprit Sans prévenir le malotrue vous vous rendez conte ! Malgré le rire penaud quelle laissa échapper on pouvait voir a sont attitude que la demie elfe tentait de dédramatiser le fait de la duperie.Il a tenter de me dévaliser loin des regard. Mais pour je ne sais quelle obscure raison il n'a pas put le faire. Puis j'ai repris conscience et vous m'avez découverte.

Après cette tirade elle bût un peut et tenta un sourire qui semblais dire " appart sa tous va bien je vous assure" sa grande conviction. Les yeux ensommeillés elle resta un moment fixer, le regard perdu dans le lointain. Elle finit par marmonner:

- Si Darék me voyait il rirait bien de moi.

La phrase semblait adressée a elle même. Un souvenir qui, pendant quelque seconde, embruma sont regard d'une grande tristesse puis elle reprit pied dans la réalité. Relevant la tête et, pour une raison dont même elle ne pourrait définir, dit a sont interlocuteur accouder a la table dans sont attitude si étrange :

(Elfique) - Si vous avez besoin de quelqu'un pour vous accompagner je peut, peut-être, vous être utile. Je ne vous force pas bien sur je ... vous laisse y penser si vous le souhaitez.



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écrit le : Vendredi 26 Octobre 2012 à 23h33 par Fairië Atala
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es yeux de jade pétillants de curiosités, le Psion semblait boire les paroles de la jeune demi-elfe, tel un enfant contemplant son orateur avant de sombrer dans son sommeil. Son large sourire ne s'effaça pas une seule fois, même lorsque la jeune guerrière vint à parler de sa mésaventure l'amenant au bord de la mort. Son expression joyeuse toujours de mise, il ne semblait n'avoir pas la moindre once d'empathie pour la jeune demi-elfe. L'histoire terminée, Fairië tapotait du bout de ses doigts, gage d'une excitation non feinte:
-(Elfique) Et bien ma jeune amie ! Ceci était une sacrée histoire ! Vous avez su éloigner de moi l'ennuie qui me pourchassait. Posant son index sur son menton, il leva sa voix pour lui même. Donc ma jeune amie arpente les sentiers de la vengeance. A ces mots son regard se posa dans celui de Sphinx, si elle soutenait son regard, elle pouvait voir une étrange lueur dans les yeux du Psion, reflétant d'ancienne blessure du passée et teinté d'inhumanité. Son sourire avait disparu et sa voix se fit plus neutre. Ce chemin est capable de laisser de nombreux cadavres sur son chemin, il est également le plus facile à arpenter, mais demande en retour de grands sacrifices apportant son lot de blessure. Inconsciemment sa main droite se porta sur son imposante lame attendant à ses côtés. Aucun son ne sorti de sa bouche pendant quelques secondes, laissant Sphinx seule avec les bruits d'une taverne sur le point de s'endormir.

Puis son sourire revint aussi vite qu'il avait pu disparaitre et sa voix aussi enjoué qu'a son début.

-(elfique) Ma chère, je n'ai pas le pouvoir d'accepter votre demande. Seul mon bon capitaine poilu peut vous donnez son autorisation de parcourir la mer en notre compagnie. Puis ses yeux prirent un éclat pétillant. Dites moi très chère, avez vous déjà naviguée ? Sentie la brise sur votre visage ? L'écume sur vos lèvres? Avez-vous déjà ressentie cette liberté qui vous tient lorsque vous fendez avec ardeur l'Océan? Son sourire se fit plus grand. Si tel est le cas ! Alors mon capitaine poilue ne verra, je pense, pas d'inconvénient à vous voir monter à bord de son navire. A moins qu'il soit comme l'un de ses innombrables capitaines sans nom, refusant de naviguer avec femme à bord. Quoiqu'il en soit ! Ma jeune et jolie oreille pointue devra demander à Bansh demain matin. Nous embarquons à l'aube. Ses yeux d'écrivit un peu plus le visage de son interlocutrice. Vous semblez épuiser. Je ne connais pas l'état de votre bourse mais si vous le voulez, mon lit vous attend. Poursuivant d'un clin d'œil. Et je suis persuadé que ce bon Arumn doit encore avoir de l'eau chaude. Prenant un air dégouté. Car je dois vous le dire, ma jolie jeune fleure ne sent pas la rose.Riant de sa blague bancale de son rire cristallin. Et ne vous inquiétez pas pour moi. Disons que je n'ai pas vraiment besoin de dormir, mais juste d'un endroit ou me poser. Le lit peut donc être a vous.



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Fairië Atala
 
 
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écrit le : Samedi 27 Octobre 2012 à 09h02 par Sphinx Aodren
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Sphinx eu un frisson qui passa tout le long de sont échine. Quant cette personne parlait de vengeance ils donnais des sueur froide il semblais en parler comme si la vengeance était une vieille amie ou même une amante. Croire qu'ils pourrait être compagnons de route ou amis était folie et fadaise de sont esprit fatiguer.Il fallait se méfié de cette être, n'avait il pas partez pendant un instant sa mains a sont armes quant sont visage était devenus de marbre. On ne pouvait pas le comprendre ni le cerner, ces changement de comportement a l'extrême n'aidai donc en rien.la proposition qu'il lui fit la laissa un moment bouche bée.

- Merci mais je pense prendre une chambre et un de l'eau pour me laver. Votre remarque est vrais je sent mauvais mais je n'ai pas comme vous la chance d'avoir put prendre un bain. je vous remercie pour vos attention je vais prendre chambre et de quoi me laver de moi même. Demain si j'en ai l'occasion je proposerai mon aide au capitaines dont vous m'avez parler et si il refuse alors surement que je continuerai mon chemin de mon côté sur une autre voie.

Sphinx ne voulait pas être trop longtemps l'amusement de quelqu'un elle avait assez divertie lors de sa vie d'orpheline et ne souhaitai pas que cela recommence.
Elle c'était encore tromper surement cet homme instable la trahirait si tous simplement l'envie lui venait. Mais elle verrait le destin et le capitaine du navire ou il embarquerai déciderai de la voie a empruntée.


Après c'est réflexion Sphinx se leva salua Fairië et alla prendre chambre et baquet.



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écrit le : Vendredi 02 Novembre 2012 à 14h03 par Atlas
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Sphinx

Il n’y avait plus de chambre seule de disponible et les garçons de salle étaient déjà partis profiter d’un peu de repos avant que ne reprenne, avant l’aube, leur travail au Coutelas. Pas de bagarre ce soir, les nuits étaient déjà trop froides que pour prendre le risque de se faire jeter dehors.

Ca n’empêcha pas la guerrière de camper sur ses positions, elle avait eu l’impression que le Psion se jouait d’elle et l’avait … très mal pris.

Une dernière serveuse, les paupières lourdes de sommeil offrit néanmoins à Sphinx l’opportunité d’un bain dans l’arrière salle, là où elle les prenait elle-même quand elle en avait l’occasion. Si la demi-elfe avait du aider à transférer l’eau des lourds sceaux vers le baquet qui tenait lieu de bain, elle aurait fait bien plus pour le bonheur de se plonger dans le liquide tiède chassant la plus grande part de l’odeur pestilentielle des égouts, incrustée dans sa peau, dans ses cheveux.

La serveuse lui offrit de même une chemise de nuit pour lui permettre d’utiliser cette même eau pour nettoyer ses vêtements, lui promettant qu’elle pourrait revenir à l’aube se changer là et que ceux-ci seraient secs pour le compte, puis était partie dormir à son tour.

Sphinx trouva une place dans une chambre commune, lit laissé libre et payé d’avance par un marin qui n’avait plus donné signe de vie depuis - lui avait expliqué sa bienfaitrice-, et s’endormit aussitôt, plongeant dans un rêve étrange mettant en scène ce vieil ami dont elle voulait venger la mort et un démon, à la peau couleur rubis, lui proposant son aide. Mais dans son rêve Darèk était en vie, debout à côté d’elle et n’avait donc plus besoin d’être vengé pour quoi que ce soit et au moment où elle voulut le dire au démon face à elle, elle se rendit compte qu’elle était un rat, blanc comme la neige qui tombait à l’extérieur. Quand elle tourna son petit cœur de rongeur vers son ami, il avait disparu.

Elle se réveilla en sursaut mais ne tarda pas à replonger dans le sommeil, une seconde fois, sans qu’aucun songe ne la trouble plus.


Fairïe

Qu’avait-il pu dire pour s’accorder soudain le désaccord de la demoiselle à laquelle il avait proposé jusqu’à son lit ? Il y avait fort à parier que Fairïe n’en eut cure et il rejoint sa chambre, débarrassée de son baquet.

Neuvième jour du mois de Nuiteuse, année de la Magie Sauvage (9 Nuiteuse 1372)
Lieu : Luskan, Taverne du Coutelas
Climat : Nuageux, légères averses de neige fondante
Température: environ 2°C
Moment: Aube naissante


Sphinx

La pale lueur de l’aube illuminait à peine l’Orient tandis que du Septentrion continuait de souffler un vent froid et humide, charriant des flocons qui ne parvenait à recouvrir les bâtisses mais déjà changeaient les chemins de terre en boue froide, mordante. Une certaine animation reprenait pied dans l’établissement, un co-locataire de Sphinx était déjà levé et, malgré une certaine attention à ne pas faire plus de bruit que nécessaire, l’avait réveillée en ouvrant le coffre, au pied de son lit, dans lequel ses affaires personnelles avaient été rangées la veille.

La clé que la serveuse de la veille lui avait donnée pendait autour de son cou sous la chemise de nuit. Aussi discrètement que possible, elle eut vite fait de rejoindre l’arrière salle et de s’y changer pour retourner prendre ses affaires dans son coffre. Rien n’avait bougé, l’odeur d’égout avait presque disparu.


Sphinx & Fairïe

Dans la grande salle, quelques buches avaient été placées dans le feu, les braises attisées eurent vite fait d’en grignoter les contours, conservant l’agréable chaleur qui n’avait qu’à peine diminué pendant la nuit. Ceux qui y avaient passé la nuit évacuaient les dernières vapeurs d’alcool et de songes pendant que la vie y reprenait cours.

Bansh était déjà là, à sa table de la veille, habillé d’un curieux manteau noir, ouvert à l’avant, qui laissait voir une véritable armure de cordes et au centre de celle-ci, au droit du plexus, un cristal d’un pouce de diamètre couleur émeraude. Sur la table, il avait ouvert une carte de vélin représentant la Côte des Epées annotée de centaines d’inscriptions diverses écrites dans une belle collection de langues différentes.

Arumn était déjà derrière son bar également, surveillant les clients qui prenaient plus de temps à se réveiller ou qui auraient risqué espérer quitter les lieux sans payer leur note.



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