La Mine de Grundek, suite

La pluie se mit à tomber. C'était une pluie dense et lourde qui transformait tres vite les champs en boue. Les rôdeurs et les deux compagnons furent tres vite trempés. Le feu s'éteignait , dans une fumée grise et des crépitements furieux.Il n'y avait aucun arbre dans cette prairie. Les rôdeurs s'en sousièrent guère, la pluie ne leur était pas hostile au contraire elle leur permettait de laver leur corps usés par les heures de marche.

Les cheveux noirs de julie pendaient lourdement de chaques côtés de son visage comme des rideaux sombres , excepté quelques mèches qui se collaient à son visage. Mais cette pluie était froide. Ils étaient tous mouillés jusqu'au os et n'allaient pas tarder à etre couverts de boue. Meme les cheveux frappaient leurs sabots au sol pour montrer leur mécontentement.

° Il ne manquait plus que ça...Que la Dame des Mystères nous garde...Aaaah...°

*S'adressant à Julie*

- Bien, je crois que nous devrions repartir.

Il revêtit sa capuche, et se tourna vers les rôdeurs.

- Je vous remercie de votre accueil. mais nous devons repartir, il nous reste de la route. A bientôt, j'espère.

Nienor remonta en selle, et Julie fit de même. Malgré le mécontentement des chevaux, il arrivèrent à repartir vers Eauprofonde. Heureusement, le plus gros du chemin était fait, il ne restait plus que quelques heuresd e chevauchée, mais ça ne les empècherait pas d'être trempés en arrivant...

La pluie fouettant leurs visages, le vent les glaçant, ils étaient contents d'arriver à Eauprofonde.Ils grelottaient, et leurs dents claquaient.
Quand elle mis pied a terre elle remarqua que ce n'était plus qu'un sol fait de boue. Et ses pieds fure enfoncé jusqu'aux chevilles dans la boue, il était difficil de marcher. Ils attachèrent leur chevaux sous un avant-toît construit à cet effet avec du foin et de l'eau.

- Allons vite dans une taverne, la pluie n'a pas l'air de vouloir cesser.

Elle sourit , et essayait tant bien que mal de marcher dans cette gadoue.

Nienor était heureux de pouvoir enfin s'abriter quelque part. Il mit pied à terre, eut une pensée compatissante pour ses bottes.

°Enfin un endroit pour se reposer, je n'attendais plus que ça....°

suite ici