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Dans Cormanthor, à la recherche des enfants, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 4
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Sentinelle
Chambre 3
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« Tout est bien qui finit bien… » Non il ne fallait crier victoire trop vite. Encore de nombreux obstacles et ennemis s’annonçaient sur leur chemin pour délivrer les enfants kidnappés. Le combat présent avait été rude. Le chevalier de la Seldarine s’en sortait sans blessure et même mieux avec une confiance à tout et preuve, persuadé que le Père des Elfes le soutenait encore plus.
Il alla reprendre son arc qu’il avait délaissé pour s’armer de sa lame gardienne et tenta de récupérer des flèches qu’il pourrait réutiliser pour un prochain combat.
Au passage, il s’approcha d’Ezédryn, son premier compagnon d’humain d’aventure, qui montait de plus en plus dans son estime.
- Vous vous êtes bien battu pour un guérisseur. Sha’tel’quess, soyez en fier.
Puis, il resta à l’écoute des échanges verbaux, notamment du plan d’action à venir. Il n’aima pas le ton de son cousin doré qui intima différents ordres. En effet en tant que noble également d’une célèbre famille, les Symbaern, il n’appréciait guère ce genre d’attitude, même venant d’un prêtre de Corellon. Le regard qu’il lui lança exposa clairement ce ressentiment. Il était inutile d’en rajouter en paroles.
De plus, le plan ne lui convenait pas et il leur exposa le pourquoi :
- Je souhaite vous exprimer après réflexion une certaine réticence à suivre ce plan. S’attaquer à des tours une par une pourrait s’avérer périlleux car nos adversaires auraient la possibilité au premier écho d’une attaque se barricader dans ses tours et donc nous faire perdre un temps précieux pour délivrer les enfants. Il faudrait lancer une attaque simultanée et par surprise. Non ?
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Seigneur de Mythdaë
Chambre 7
2 gemmes
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Aux aguets, et près à faire feu de ses flèches, le dévot de Corellon était attentif à tout ce qui l’entourait. Le descendant de la famille de la maison Aëryndra de Cormanthyr avait bien perçu le regard du Kerymsuoress et il le soutint sans broncher. Comme Shalan n’en rajouta pas, il fit de même. Il y avait plus urgent que de régler des affaires d’égaux.
Mais lorsque le paladin remit en cause les ordres donnés, c’était toute la cohésion du groupe qu’il risquait de faire voler en éclat. Le Mah - Faernsuor n’avait pas oublié la prestation de son cousin lors du combat. Quant ce dernier, contrairement au plan de bataille s’était élancé vers l’ennemi, pour finalement fuir et entraîner à sa suite les Gnolls vers les bois où tous étaient à couvert. Une manœuvre douteuse, qui en avait obligé d’autres à aller s’exposer inutilement au danger des lames. Qu’un nain fonce tête baissée dans la mêlée, le Ar’Tel’Quess pouvait le concevoir. On ne pouvait pas demander à un vigoureux d’être l’égale d’un être bénit par Corellon Larethian lui-même. Mais un paladin du Seigneur de la Seldarine, issue de haute lignée, c’était autre chose.
Tout comme il n’avait pas oublié que Shalan avait confié le sceau familiale à un N’Tel’Quess. Au point qu’Aël’Telàwërith avait cru qu’Ezedrine avait dû assassiner le noble Ar’Tel’Quess ou qu’il avait ramassé cet anneau sur le cadavre d’un membre de la haute famille Symbaern. Quelle n’avait pas été sa surprise en voyant, qu’il n’en était rien. Une chose incompréhensible pour le prêtre-mage. Là encore, il n’avait rien dit pour ne pas porter atteinte à l’honneur du chevalier de Corellon devant des N’Tel’Quess ou même devant des Tel’Quessir de moindre rang.
Mais là, s’en était trop. L’Ana-Sic-Silistri se leva pour se porter au devant Shalan. Il planta son regard droit dans celui de Shalan. Ce qui aurait pu être prit pour un affront, mais Aël’Telàwërith marqua ainsi qu’il était au moins l’égal du Symbaern. A n’en pas douté, ce dernier ne savait pas à qui il s’adressait en agissant de la sorte.
- Mais bien sûr, Sir Symbaern. Croyez-vous que nos ennemis soient complètement sourds ou totalement stupides pour croire un instant que nous allons laisser les tours à leur main. Vous croyez vraiment, que s’il y a quelque âme qui vive dans ses tours, ils ne se soient pas déjà barricadés. Je crois que nous avons fait suffisamment de bruit lors de ce combat pour qu’ils sachent très clairement à quoi s’attendre. Je dirai même que maintenant que nous avons tous été obligé de nous découvrir, ils savent très exactement à qui ils ont à faire.
Le regard perçant du prêtre de la Couronne d’Arvandor était maintenant dur et froid. Le noble elfe doré s’était dressé de toute sa hauteur et se tenait droit et rigide. Aël’Telàwërith arborait un port tête princier face au paladin. Il n’y avait pas si longtemps, il se serait laissé dicter sa conduite par le noble Symbaern. Mais maintenant qu’il savait qui il était et quel était son rang, il en était hors de question. Ses nouvelles responsabilités étaient bien grandes pour ses jeunes épaules. Mais il les acceptait. Et ces dernières allaient bien au-delà de la protection des Tel’Quessir qui constituaient ce groupe.
- Quand au temps précieux que nous allons perdre, il n’est pas aussi précieux que les vies de nos compagnons, que je tente de préserver. Croyez-vous un instant que nous avons les moyens de soutenir un siège ? Nos réserves de flèches sont loin d’être illimitées, quand à l’eau et la nourriture… Si vous voulez tous nous sacrifier, c’est exactement ce qu’il faut faire. Entrons tous, en nous séparant dans les tours sans protéger nos arrières, et nous sommes tous condamnés. Ce n’est pas compliqué, il n’y a qu’une seule entrée, mais également qu’une seule sortie. Il suffit que l’ennemi ne nous interdise de sortir des tours, pour que nous y périssions tous. A moins, bien sûr que vous n’espérez que les Dhaerows accepteraient une éventuelle reddition.
Cette dernière phrase était déjà un camouflait rien qu’à elle seule. Car aucun Ssri’Tel’Quessir ne laisserait repartir un seul des elfes qui constituait ce groupe. Et lorsqu’ils verraient qu’ils ont à disposition non pas un, mais noble Ar’Tel’Quess, se serait pire. La mort, lorsque l’on partait en guerre, on l’acceptait. L’esclavage, c’est une autre chose. Sans parler de la honte qui rejaillirait sur les familles des nobles. Pour autant, Aël’Telàwërith n’en avait pas terminé avec Shalan.
- Votre bravoure et votre courage ne sont pas à remettre en cause. Mais j’ai vu et apprécié votre sens de la stratégie pendant ce combat. Rien ne vous oblige à nous suivre, si les terres d’un temple de Labelas Enoreth souillées et profanées ne vous inspirent pas, libre à vous. Je revendique ces terres comme mienne car elles sont un héritage de ma famille. Et j’ai bien l’intention à les reprendre et de les purifier. Et si Corellon le veut, en préservant le plus possible de nos compagnons. L’île aux gémissements retentira bientôt de ceux des ennemis de Seldarine et ces terres sacrées résonneront du gémissement grandissant l’espoir de voir Cormanthor retrouver sa splendeur et sa grandeur passée. Et je ne suis pas seul pour réaliser cela, car je ne les revendique pas pour moi. Hei-Corollon shar-shevelu.
Malgré tout, le Mah-Faernsuor ne pouvait fermer toutes les portes d'une issue honorable pour qu’un membre d’une grande famille elfique ne perde la face. Aussi fit-il deux pas en arrière et croisa ses bras sur la poitrine en signe de paix.
- Cette bataille a été rude et éprouvante pour tous, notamment pour ceux qui se trouvaient au corps à corps. Et vous avez raison, nous perdons, là, un temps précieux. Les Ssri’Tel’Quessir savent certainement que nous sommes là. J’en veux pour preuve, le soutien qu’on reçu le groupe de ces chiens de Gnolls. Mais, ils nous sous-estiment, et c’est là notre chance. Sinon, ils auraient envoyé toute leur troupe pour nous écraser. Et j’espère bien que cela va continuer le plus longtemps possible. Tout comme j’espère qu’ils pensent que nous là uniquement pour l’île, car s’ils pensent que nous venus également libérer leurs otages, il y a fort à parier qu’ils ne les tuent, à moins que cela ne soit déjà fait. Nous ne pourrons probablement pas sauver tout le monde, alors autant tenter de conserver autant de vie que possible. Vous êtes d’accord avec moi?
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Sentinelle
Chambre 3
Aucune gemme
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e chevalier de la Seldarine soutint le regard de son cousin doré. Il était nullement impressionné par ce flot de paroles. Son père, prêtre de Corellon, qui avait le total respect et admiration de son fils Shalan, détenait un charisme que ce jeune noble était loin d’égaler. Il n’aima guère l’attitude de ce noble qui n’argumentait que pour avoir toujours raison Ses arguments n’avaient que pour but à chercher à lui donner raison et non à rallier les troupes.
Shalan resta ainsi calme et impassible même en entendant phrase de trop « Rien ne vous oblige à nous suivre, si les terres d’un temple de Labelas Enoreth souillées et profanées ne vous inspirent ».Toutefois lorsqu’il prit la parole, il adopta un ton ferme et sévère.- Votre terre ? Vous oubliez une chose. Ce sont nos terres. Il montra du menton tous les autres compagnons d’aventure. - Me provoquer de la sorte en sous attendant qu’un de nos temples souillé ne m’inspire pas est indigne de vous. Mais je vous pardonne d’un tel affront car nous servons la même cause qui est de protéger le Beau Peuple de la Seldarine. Maintenant, j’ai écouté vos arguments et je trouve sain que chacun écoute les siens. Adhérer à des idées est plus efficace qu’obéir à des ordres dont le succès reste discutable. La preuve en est : le nain Mitzar a agi selon ce que son cœur lui dicta, transformant vos ordres comme un écho se dispersant dans les hauteurs…Nous ignorons ce qu’il nous attend là bas. Mais je sais une chose c’est quand nous sommes unis que nous sommes les plus forts. Ensemble nous pouvons parvenir à nos fins et surtout délivrer ces enfants. Maintenant je veux entendre l’avis de chacun et je suivrai ce que la majorité aura décidé. Il fit le même geste que le pretre, reculant d’un pas mains croisées sur les épaules.
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Maître de la Confrérie
Aucune chambre
Aucune gemme
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Quatrième jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage 4 flammerige 1372 (CV) Lieu : Cormanthor Temps : 17°, ciel dégagé, temps brumeux. Moment :12h MJ Narration: Shalan et Aël’Telàwërithl suffit! lança la représentante de la communauté de Brisétoile en entendant le ton monter près d'elle, un ton clairement chargé de testostéroneInaë’wel avança alors entre les deux mâles ar'tel'quessir, son visage exprimant à la fois irritation et profonde lassitude. Ces deux elfes du soleil, l'un natif d'Evereska et l'autre d'Eternelle-Rencontre, avaient une vision de leur monde diamétralement opposée et l'un et l'autre enchainaient des réactions quelque peu incongrue, surtout dans la situation dans laquelle ils se trouvaient. - Messeigneurs, nous sommes tous engagés dans le même combat, un combat qui ne fait que commencer. Alors croyez moi, l'heure n'est pas guère aux conciliabules futiles d'autant que nous nous trouvons dans un lieu quelque peu hostile à nos personnes et dont nous ignorons en grande partie les dangers. Ne nous engageons pas sur une mauvaise pente.... L'elfe lunaire dévisagea ouvertement les deux solaires, bravant les usages sans la moindre hésitation. Son regard s'arrêta une première fois sur Shalan- Seigneur Symbaern, vous avez demandé que chacun s'exprime, je parlerais donc au nom de mon groupe. Je ne peux sciemment mettre en danger les miens dans une attaque frontale et directe sans m'être assurée que nos arrières soient sains et n'offrent pas une opportunité à un éventuel ennemis de nous prendre dans un revers désastreux. Mon groupe suivra donc les instructions de messire Aël’Telàwërith et cela tant que ses ordres ne soient pas folies et qu'ils soient dictés avec raison et sagesse, puis dans un souffle, l'union fait la force, en cela vous avez raison. Puis ce fut vers le prêtre de Corellon qu'elle se tourna.- Messire Aël’Telàwërith, je ne suis pas ici pour défendre ou récupérer un quelconque héritage familiale ! Si je peux comprendre vos paroles et votre position, nous sommes ici pour sauver ces enfants, et cela à vos côtés. C’est au notre seule priorité pour le moment et nous nous y conformerons. Elle avait sciemment accentué le ton sur ses derniers mots pour que tout soit parfaitement claire puis fit volte face en direction de ses hommes. Chacun se tenait prêt. Plus loin, la silhouette du hin se découpait à hauteur des huttes des gnolls.- Notre sagespectre est partit en reconnaissance, il nous faut nous assurer que la première tour ne représente aucun danger. Eriadë, Nériand et Galándel allez-y! Il n'y eut pas de réponses chez les lunaires, ils connaissaient chacun leur rôle et là aussi tant que Inaë’wel agirait pour le bien commun, aucun d'entre eux n'irait contester ses paroles. Avoir l'âme d'un chef n'était pas donné à tout le monde... MJ Narration: Narvartharvarth avait laissé ses compagnons derrière lui, préférant continuer dans l'action malgré les blessures qu'il avait reçues au combat. Dans la situation où ils étaient, mieux ne valait-il pas titiller trop Tymora.....
Il pénétra dans la première hutte pour y découvrir des murs sommairement revêtus de fourrure et de peaux qui laissaient apparaître de larges pans de bois. A l'intérieur planait des senteurs âcres mélange de cuir, de bois, de fumée et de viandes. Ustensiles de cuisine en bois, des couches en rameaux de pins trônaient ci et là. Au fond, une longue tranchée remplie de charbons tièdes faisait office d'âtre. Sur le coup, le hin ne vit rien d'intéressant et quitta la première habitation pour visiter les suivantes. Toutes semblaient avoir la même conception et le même contenu, pas d'armes, pas d'objets que le stricte nécessaire. La quatrième pourtant, lui offrit une indication sur l'une des habitudes alimentaires des gnolls, au milieu de l'âtre improvisé au sol, à moitié recouvert par des cendres froides gisait un crâne, une crâne humain, celui d'un enfant.MJ Narration: Arkh, Yvhann, Enoriel, Ezédryn MirtzarEnoriel et Yvhann utilise soin léger sur leurs compagnonsKhell récupère 11 PV Floyr récupère 11 PVes soins que les Gardiens Sylvestres apportèrent à leur familiers furent dès plus bénéfiques et en particulier pour le faucon d’Yvhann qui reprit conscience après avoir frôlé la mort d’un peu près. Le rapace n‘était certes pas dans une grande forme mais il était vivant. Malgré une grosse léchouille sympathique de la part d’un Khell particulièrement aux petits soins de l’oiseau après avoir été lui-même soigné par Enoriel. Floyr encore hésitant, restait immobile dans les mains protectrices de l’elfe sauvage. C’est pourquoi ils purent profiter pleinement du spectacle, spectacle qui forçait l’admiration cela va sans dire et voilà-t-il-pas qu’ils allaient devoir maintenant prendre position au risque de voir le groupe se désintégrer…
Arkh, Enoriel et Yvhann appartenaient à la même fratrie, ils prendraient une décision commune ou du moins une décision qu’ils jugeraient cohérente avec leurs propres lignes de conduite. Quant à Ezédryn, le médecin vétéran, il s’occupait en ce moment même de porter assistance auprès de Mirtzar. Le nain avait été sérieusement blessé mais il se tenait encore debout, solide comme un roc. L’un et l’autre avaient assisté à ces quelques échanges triviaux entre deux guerriers confirmés. Des échanges très réalistes dans une zone que l’on pouvait considérer comme être une zone de guerre avec tout ce que cela incluait…
Alors que faire ? Simple, il leur fallait prendre position et prendre comme argent comptant ce qu’avait décidé la majorité afin de clore ce sujet et continuer dans l’action….
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Frère-Ours
Chambre 31
1 gemme
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out autour de lui, Mirtzar voyait le résultat de ce combat. Mais, contrairement sans doute à la plupart de ses équipiers, il ne voyait pas la fin de cet affrontement avec espoir et soulagement. Il avait essayé de désarmer certains de ses adversaires à plusieurs reprises, sans succès, hélas. Pour lui, ce qui se dressait devant lui était un charnier, et quoique, à choisir, il dusse avouer qu'il préférait que cela soit les cadavres d'inconnus qui avaient choisit de les affronter plutôt que ceux d'alliés auxquels il pouvait donner un nom, il était considérablement déçu par cette défaite. Il devait devenir plus fort pour empêcher, autant que faire se pouvait, que les gens continuent à mourir près de lui et, trop souvent, à cause de lui.
Certains de ses mouvements étaient douloureux. Mais il avait vu bien pire et il avait déjà plusieurs fois frôler la mort de très près. Il ne s'inquiétait donc pas vraiment de sa santé quand Ezédryn vint essayer de soulager ses douleurs. Le nain d'or lui en était très reconnaissant et, tout en lui souriant, il le remercia chaleureusement de son aide et de sa bonté. Mirtzar ne connaissait pas encore assez l'humain pour pouvoir le qualifier d'ami mais il le trouvait fort sympathique et il l'admirait pour son courage. Aider les gens à se soigner était une tâche très éprouvante et qui conduisait souvent à d'amères déceptions en cas d'échec.
Par contre, il n'aimait pas la tension qui commençait à se former entre les deux elfes du soleil. Honnêtement, il devait avouer qu'il n'avait pas vraiment écouté quel était le plan de chacun d'entre eux et sa réflexion ne pouvait donc s'appuyer que sur ce qu'il avait compris au travers de l'intervention d'Inaë'wel. Ce qui ne faisait pas grand chose. Soit dit en passant, il partageait totalement son avis et ne voyait pas trop ce qu'avaient pu se dire les deux elfes avant qui soit en opposition avec cela. La seule chose qu'il avait compris était qu'on lui demandait son avis. Alors, il tâcha de le donner, même si en fait il ne faisait guère plus que répéter ce qu'on lui avait appris.- Une bataille est comme une carriole tirée par des bœufs. Si un seul animal ne souhaite pas aller dans la même direction que les autres, on ne peut pas avancer. Cela veut dire qu'on ne décide pas d'une stratégie à la majorité, tout le monde accepte le choix d'une personne et s'y tient. Si l'un des bœufs pense à un moment qu'il ne peut pas compter sur les autres, toute la carriole est bloquée. Cela ne veut pas dire que si l'un des animaux voit un gouffre il doit se jeter dedans parce qu'on lui a dit d'aller tout droit, nous sommes tous normalement capables de nous écarter, un petit peu, de la règle pour que les choses puissent avancer correctement.
Etre le meilleur n'est pas un but, ce n'est que le moyen de protéger les innocents.Réputation 5Ma fiche
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Frère Cerf
Aucune chambre
Aucune gemme
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Paillasses, gamelles, combustibles, le contenu des huttes manquait légèrement d'originalité, mais au moins il ne restait pas de gnolls tapis dans un recoin, attendant de jouer un coup tordu au groupe. Une, deux, puis trois huttes quasiment identiques, rien a signaler, rien a prendre qui aiderai le groupe, restait la dernière...
Si seulement elle avait put être comme les trois autres, anodine, vide d'intérêt. Mais non, ici il trouva quelque chose qui aiderai d'une certaine manière le groupe, qui motiverait leur envie d'avancer, qui augmenterait leur ardeur au combat.
Il s'agenouilla devant le tas de cendre, prenant un ustensile trainant pas loin pour remuer lesdites cendres, espérant tout en redoutant d'y trouver autre chose que le triste trophée placé en son centre.
Il jeta la cuillère au loin, pris le crane, se relevant lentement et tout en assimilant les conséquences de sa présence en ces lieux et sous cette forme, il s'en retourna vers le groupe.
Son allure était tendue, ses nerfs s'échauffaient, sa hargne se rapprochait à grand pas. Et comme si ça ne suffisait pas, les fiers elfes étaient en train d'affronter leurs points de vue respectif sur la suite des événements.
Laissant de côté tous les protocoles qu'ils prisaient tant, il se planta a côté d'eux, relevant la main et s'exprimant d'une voix lasse.
-On ne pourrait pas simplement avancer là, plutôt que de perdre du temps inutilement... Pendant que... Il serra les dents. Pendant que ces êtres immondes s'en prennent à des gosses!
Le crane ne laissait aucun doute quand a sa provenance, et à ce qu'il avait subit, aussi il leur ficha tout simplement sous les yeux.
¤Bah! Qu'ils aillent au diable avec leurs palabres!¤ -Dès que ce crane aura trouvé la terre, j'irai dans l'une des tours comme convenu, vu qu'il n'y a plus de danger visible au sol.
Le hin les contourna, s'éloigna du charnier, et gratta le sol avec son kama, histoire de faire un trou assez grand pour y ensevelir le crane. Sa fureur l'aida a effectuer rapidement sa tache. Aussi il se releva, retourna vers le groupe, il était prêt a avancer, si les deux nobles avaient fini de se chamailler.
L'amertume qu'il avait eu de voir tomber qu'un être en lien avec les esprits de ses ancêtres était maintenant complètement balayée, si les esprits guides du peuple hyènes laissaient faire de pareilles abominations, il ne fallait plus s'étonner pour que les gnolls inspirent autant le dégout et l'envie de faire couler du sang. Les esprits de ce peuple ne méritaient pas plus de considération que les êtres qu'ils devaient protéger et guider.
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Novice de la Confrérie
Aucune chambre
Aucune gemme
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Une fois sûr que le combat était bien fini, Arkh se détendit et jeta un regard circulaire tout autour de lui. Cette clairière n'était pas belle à voir, plusieurs demi-douzaines de cadavres étaient étendus autour de lui dans des positions plus ou moins grotesques... enfin grotesques pour des vivants... Il ne regrettait nullement d'avoir tué ces créatures, le spectacle n'en était pas moins désolant. Le druide se surprit même à repenser à son action dans tout ceci. Il en conclut qu'elle fut très modeste en comparaison du prêtre de Corellon ou de son supérieur. Ses prouesses martiales s'étaient également remarquablement améliorées puisqu'il avait réussi à décapiter un ennemi, chose qu'il n'avait jamais faite jusqu'ici. Sa fierté presque enfantine disparue bien vite lorsqu'il se remémora le combat dans sa totalité. Le druide pouvait encore entendre les reproches d'Yhvann... Il aurait à s'expliquer et se justifier pour cela. La simple idée d'une confrontation avec Yhvann le mettait mal à l'aise. Il maudit alors son manque d'adresse pour les armes de jet...
¤ Il va falloir sérieusement s'y remettre...super, quel bon temps en perspective. ¤
Des éclats de voix le ramenèrent à la réalité. Il avait du mal à en croire ses yeux, enfin plutôt ses oreilles. Les deux nobles elfes se querellaient en plein milieu du champ de bataille sous le nez de leurs ennemis. Arkh avait trop fréquenté la noblesse pour s'émouvoir d'un tel comportement, qui, somme toute, était relativement courant. Il aurait toutefois pensé que les elfes montreraient plus de jugeote, que les simples humains dont ils critiquent constamment les actions. Comme quoi...
¤ ... Qu'est-ce qu'ils f... écoute... Encore deux qui croient que gagner une bataille suffit pour gagner la guerre... On va aller loin comme ça...¤
Ne voulant s'en mêler pour rien au monde, Arkh avait d'abord eu l'intention de se rendre auprès de Yvhann pour lui apporter son aide. Il se ravisa, d'une part parce que ce dernier considèrerait surement cela comme une offense à ses capacités et d'autre part car le nain semblait durement toucher. S'approchant de lui, le druide constatât l'étendue de ses plaies qui sans être irrémédiable étaient quand même inquiétantes. Ezédryn s'affairait déjà auprès de lui. Il s'accroupit à côté de lui.
En attendant que le nain est fini de parler le druide défit son sac à dos et l'ouvra délicatement sans pour autant prendre quelque chose à l'intérieur. Désireux de détendre l'atmosphère et surtout d'empêcher le nain d'intervenir dans l'altercation qui opposait les deux nobles elfes, il prit la parole:
- Capable de s'écarter un peu de la règle? Oui, en effet, c'est le moins que l'on puisse dire! Vous nous en avez administré une preuve éclatante! Je loue néanmoins votre courage, cher nain. Toutefois, si vous souhaitez pouvoir recommencer un jour, laissez-moi voir vos blessures.
Le druide attendit que le nain lui donne son consentement. Une fois ce dernier acquis, il sera son médaillon à effigie du père chêne et se plongea dans sa prière.
Arkh lance soit léger sur Mitzar, si ce dernier n'émet pas d'avis contraire.
La Lumière et les Tenèbres ne sont rien l'un sans l'autre, à leur apogée ils finissent toujours pas s'effondrer. L'harmonie ne peut venir que de l'équilibre, c'est cela et uniquement cela qui est important.
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Seigneur de Mythdaë
Chambre 7
2 gemmes
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La pique du Kerymsuoress de Corellon resta lettre morte, le temps n’était pas à de vaine discussions stériles. Le prêtre-mage traita donc cette attaque par le dédain. Mais au fond de lui, il se posait des questions. Si les dirigeants de l’Île Verte agissaient de la même façon que le représentant qu’il avait sous les yeux. Il n’était pas étonnant qu’elle ait autant souffert. Car si les chefs de guerre prenaient l’avis de tous en considération avant d’agir dans des moments aussi critique, c’est la survie même d’Eternelle-Rencontre qui était un miracle. Le natif de la Maison Fortifiée espérait qu’il n’en était pas de même pour Evereska. Sinon, elle était perdue d’avance. Il écouta ce qu’ Inaë’wel avait à dire et si le ton employé ne lui plus guère. Il les accepta car ils étaient sages. Par contre il nota l’insistance avec laquelle elle avait prononcé ses derniers mots. Il opina du chef en signe de compréhension, mais pour lui il s’agissait d’un tout.
Lorsque Mitzar prit la parole, l’Ar’Tel’Quess ne put s’empêcher de sourire. Lui qui fut prit en exemple par le chevalier du Seigneur de la Seldarine pour n’avoir pas suivit le plan de bataille. Le résultat, on l’avait vu. Mitzar avait payé dans sa chaire son écart. Pour autant, le Mah-Faersuor n’ajouta rien. Ce qu’il retint des interventions qui suivirent s’était la nécessité dans la guerre d’avoir un chef et de se tenir au plan élaboré au calme pour avoir une voie à suivre dans le chaos et le fracas de la bataille.
Il allait s’écarté des palabres qui n’aillaient, selon lui, rien apporter de plus si ce n’était une perte de temps inutile. Il fut stoppé net dans son élan lorsque Narvarth exhiba le crâne de ce qui ne pouvait être autre chose que celui d’un enfant. Il sentit son cœur faire un bon dans sa poitrine et son estomac se serrer, presque au point de se révolter. Le regard du Ar’Tel’Quess se durcit encore d’avantage.
¤ Aillesel Seladrie, Ô Couronne d’Arvandor veille sur nous pour faire stopper cette folie ! Que ton bras vengeur nous soutienne pour laver cette profanation de nos terres saintes. Donne-nous la force de stopper ces atrocités. ! ¤
Si l’elfe doré n’était pas aussi sensible que d’autres, au fait que quelques humains disparaissent. Ce qui, pour lui, n’allait pas bouleverser l’équilibre des choses. Le fait que l’on se livre à des assassinats, des tortures et du cannibalisme sur les terres consacrées par Labelas Enoreth était insoutenable pour l’Everskan. Un affront qui allait être lavé dans le sang de ceux qui l’avaient commis. Le dévot de Corellon Larethian ferma les yeux et baissa la tête en posant sa main droite sur son cœur. Il adressa une prière silencieuse pour que l’enfant trouve sa route dans le plan de la Fugue jusqu’à son dieu.
Mais cette fois encore, il n’ajouta aucune parole. Il tourna les talons pour rejoindre le cadavre du Gnoll albinos et entreprit de le fouiller à la recherche d’un éventuel indice sur les forces en présence ou d’un possible objet elfique dérobé au temple. Pour autant, il resta vigilant à ce qui allait se dire et notamment aux mots qui sortiraient de la bouche d’Yvhann. Lorsqu’il eut terminé sa fouille, il en profita pour refaire le plein de flèche et se dirigea vers la porte de la tour. Il nota également qu’il n’y avait plus personne pour assurer la sécurité du groupe.
¤ Par le Luth de Corellon, se couvrir les uns les autres, c’est pourtant une notion simple à comprendre… Grand bien leur fasse, puisque c’est du chacun pour soit… ! Cette guerre est perdue d’avance, si on continue comme ça. ¤
Laissant les discutions se poursuivre, tout en les écoutant. La suite était claire dans l’esprit du prêtre-mage. Tout d’abord, il faudrait aller er devant la tour pour se rendre compte de visu si la porte de cette dernière était ouverte ou bien fermée. Bien entendu, il se tiendrait excentré par rapport à la porte pour ne s’exposer. Ensuite, il lui faudrait chercher la présence ou l’absence d’ une éventuelle inscription ou symbole au dessus de la porte.
Aël’Telàwërith fouille gnoll chaman et récupère des flèches.
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Sentinelle
Chambre 3
Aucune gemme
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e serviteur de Corellon écouta avec attention les propos de la chef lunaire. Il ne prit pas ombrage du ton employé par celle-ci même s'il trouva absurde qu'on ne puisse pas discuter du fonds. Certes, l'unité du groupe était un point essentiel pour la suite du combat. Mais encore faut-il qu'il y ait un chef qui fasse le consensus et qui soit légitime...Si son frère doré avait peut être raison sur le fonds, il n'avait pas su faire adhérer à son idée, à convaincre et à trouver l'unanimité. Invoquer sa seule suprématie noble comme argument était maintenant dépassé. En plus il ignorait la nature chaotique même du Beau Peuple. Certains Ar'Tel'Quessirs, persuadés de leur bon droit à diriger les siens, avaient trahi ainsi la Reine d'Eternelle Rencontre, ne supportant pas qu'une elfe lunaire les dirige, et profané la beauté et la sécurité de l'île. Le paladin avait compris que son Peuple devait changer pour survivre. Il était inutile de palabrer plus car de toute façon son frère était fermé maintenant comme une huître.
L'intervention du nain fit glousser Shalan en espérant que le prêtre de Corellon ne prenne pas de nouveau cela comme une provocation. Il tenait un discours contraire à l'action qu'il l'avait mené à foncer droit sur les gnolls. Il lui répondit en utilisant la même image, avec un ton neutre.- Encore faut-il que le troupeau sache où il va. Si leur chef les mène droit à un gouffre, tous mourront. Nous ne sommes pas des mout... Le paladin n'acheva pas sa phrase, ses yeux dorés fixant le crâne d'enfant tenu par Narvarth. Il écouta sans broncher l'halfelin. Une colère gronda en lui comme un volcan en éruption. Une telle ignominie devait être lavée par la justice du sang. Il suivit l'halfelin, pour assouvir comme lui sa soif de vengeance. Il adressa une prière pour l'âme de l'enfant mort et une autre pour les potentiels survivants. Seul le sang de ses ennemis calmerait le paladin...
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Maître de la Confrérie
Aucune chambre
Aucune gemme
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Quatrième jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage 4 flammerige 1372 (CV) Lieu : Cormanthor Temps : 17°, ciel dégagé, temps brumeux. Moment :12h MJ Narration: Tous Les compagnons récupère toutes leurs flèches en état Arkh lance soin léger sur Mirtzar Mirtzar gagne 10 PVauver les apparences étaient une attitude que de nombreux Tel’Quessir laissaient entendre qu'il s'agissait là d'un comportement typiquement humain, mais à l’instar des n’tel’quess, les membres du Beau Peuple étaient aussi faillibles. En pleine terre du Cormanthor, deux visions totalement opposées d’un monde plusieurs fois millénaires s’étaient opposés sans toutefois dépasser la limite de l’acceptable. Fort heureusement. A des milliers de lieux de là, une reine en deuil, aimée par tout un peuple, avait certes ordonné que les siens reprennent pieds sur le continent mais entre le nécessaire besoin de changer de toute une nation prôné par certain et la nécessité d’assurer la survie d’une race à la fois adulée et détestée, Amlaruil Fleur de Lune avait fait son choix que l’on pouvait résumer ainsi : Oui à l’ouverture, non au suicide, c’est pourquoi les agents missionnée par la souveraine tentaient aussi de trouver un autre refuge, un refuge plus sûr qu’Eternelle-Rencontre....Mais ceci est une autre histoire....
Yvhann et Enoriel ne bronchèrent pas devant les échanges des Ar’Tel’Quessir, refusant de se mêler d’une affaire qui pour eux ne faisait qu’accroitre des dissensions alors au l’unité était de rigueur et que seule l’action comptait. Ils n’avaient pas fait tout ce chemin, ni vécu toutes ces épreuves pour laisser leur égo ou leurs certitudes marquer le pas sur leurs priorités. Non, ce n’était pas le genre de la maison d’autant que depuis qu’ils étaient en chasse de ce maudit drow, la mort avait prélevé son quota, six valeureux compagnons et qu’eux-mêmes avait frôlé à maintes reprises la mort, alors assister à ce genre de désaccord ou de futiles discussions avait de quoi engendrer chez eux un certain désappointement, voir un agacement perceptible. Partageant visiblement le même avis que la représentante de Brisétoile, les Gardiens Sylvestres se mirent en route. D’un côté, Enoriel et Khell rejoignirent à son tour Narvarth tandis qu’Yvhann se rapprocha d’Arkh qui terminait d’apporter quelques soins complémentaires au fils de la pierre grâce à la bienveillance du Chêne Père. Une main sur l’épaule du druide humain, un regard droit et fier posé tour à tour sur Ezédryn, Mirtzar et le jeune novice, l’elfe sauvage dit quelques mots au petit groupe.- Amis, la bataille est loin d’être terminée, il nous faut repartir sans attendre, le ly'Aegisir accentua légèrement la pression de sa main sur l’épaule d’Arkh, une pression amicale, chacun d’entre vous à bien combattu! Yvhann se retira, son compagnon ailé toujours perché sur son havresac pour rejoindre lui aussi le sagespectre non sans récupérer au passage quelques flèches. Pendant ce temps, le groupe de Lunaire qui contre toute attente venait d’ouvrir les portes de la première tour. Pas d’ennemis barricadés, ni de lieux plongés sans l’obscurité, non rien de tout cela, devant pour découvrir un amas de gravât, comme si les étages supérieurs s’étaient tout simplement effondré les uns sur les autres. Une chose était sûre, aucun danger ne résidait dans la structure et ils ne pouvaient guère faire autre chose que déblayer si le cœur leur en disait.
Narvarth venait de rendre hommage au petit être disparu trop tôt, voyait ses compagnons l’imiter chacun à sa façon, chacun selon ses croyances. La découverte de ce crâne d’enfant eut pour effet bénéfique de recentrer les choses sur du concret, un vent fédérateur allait-il de nouveau souffler au sein du groupe ? On ne pouvait que le souhaiter. Le hin était fin prêt pour se lancer de nouveau dans la mêlée. Au loin on pouvait distinguer la seconde tour de guet, plus proche de l'eau. Là était érigé une autre construction en pierre et en bois rassemblant à un ponton massif, où étaient visibles non loin de la tour. Entre les deux tours, un chemin empierré, visiblement ancien et parsemé d’herbe folle s’enfonçait dans les bois, en direction du temple. Près de la seconde tour, aucune activité suspecte n’était visible.
Aël’Telàwërith venait de terminer la fouille l’albinos et ce qu'il y découvrit fut bien maigre. Une petite sacoche en cuir contenant des herbes, petits os, de la poudre, le tout soigneusement rangés dans de petits espaces spécialement conçus. Il nota la qualité du cuir, du bel ouvrage en quelque sorte. Si le gnoll portait quelques colifichets sans importance autour du cou, le prélat s’intéressa plus particulièrement un petit crâne de ce qui semblait appartenir à un rongeur ou quelque chose d’approchant, il était recouvert d’une suie opaque, granuleuse et à l’emplacement des yeux était insérée des pierres blanches. Un talisman ? Pour le moment l’elfe l’ignorait. Quelques piécettes, un bâton de qualité accroché dans son dos, oui, le bilan était maigre. Prélevant les quelques flèches et ce qui l’intéressait, il rejoignit le groupe en même temps qu'Ezédryn qui s'était amusé à prélever quelques flèches en état sur les corps, ne perdant pas de temps à les fouiller. Il les distribua à chaque archer présent. Aucun plan d’action n’était vraiment défini…
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