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Douce Fortune
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Capitaine
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Seizième jour du moi de nuiteuse année de la magie sauvage (16 nuiteuse 1372)Lieu : Luskan Climat : sec et froid, alternance de nuages Température: froid, environ -8°C Moment: MatinL'homme pris un air dépité, comme déçu. Mais ne sembla pas perdre un brin de son assurance. Il dévisagea le nain qui venait d'arriver à son tour, ainsi que les nombreux regarde tourné vers lui. Il semblait apprécier cela, être le centre d'intérêt et l'idée que l'on ferait venir un garde spécialement pour l'interroger à son sujet le fit plus largement sourire.- Allons allons, je pensais que vous étiez de preux et vaillant chevalier venus sauver de pauvres hères réduit à l'esclavage et voilà que pour un homme honteusement recouvert de chaîne on joue les timorée. Vous allez même faire plus confiance à un garde de mes geôlier que vous venez de combattre plutôt qu'à moi. Je suis si mortifié, mais je vous pardonne mes bons amis. Et je serais bien ingrat ma petite dame si je vous réduisait immédiatement ». Il sembla à Kipepéo qu'il avait prononcé ce mot de façon étrange. « à l'état de bouillie infâme juste après que vous m'ayez libérée... » S'en suivit une très mauvaise imitation d'un pleur de dépit.- Vous me demandez mon nom, mais vous me laissez, pauvre Baltimore que je suis, réduit à cet état. Partout où que j'aille j'attire toujours de honteuses supposition. Ah, triste triste monde. Même le bien en est réduit à la plus infâme méfiance. » Sur ces entrefait, le garde arriva. Pressé de toute part, et à deux doigts de se faire lincher par la foule d'esclave armée. Il fallut même le protéger à un moment, ce qui vallut quelques protestation de la part des esclaves. On lui posa enfin la question. Le garde hébété, effrayé, parut l'être plus encore à la simple vue de l'homme.- Ce... ce type est un fou ! Il s'en est pris aux gardes... il... avait commencé à manger l'un d'entre eux quand on est arrivé. C'est un mage très puissant. » Baltimore, qui avait à l'origine, dès l'arrivée du garde un large sourire, fit soudainement la moue, comme un prince particulièrement déçu devant la performance d'un acteur. Et laissant un léger temps de silence, particulièrement glacial, répondit deux simples mots d'un ton qui sonnait comme une sentence de mort.- Il ment. » Au même instant, un grand bruit se fit entendre par la salle d'où ils étaient entrée dans les sous sols. Comme si l'on avait basculé un poids important sur la trappe de bois. Plus loins, un autre bruit plus étouffé se fit entendre. Difficile à déterminer à cette distance d'ailleurs. Baltimore semblant soudain tourner l'oreille à ces bruit, et les identifiants sans doute plus rapidement que le reste de la troupe.- oh, il semble que votre expédition vienne de rencontrer un tournant fâcheux. Dépêchez vous de décider mon sort si vous ne souhaitez pas me rejoindre. » Juste après ces propos, la panique et l'inquiétude semblat gagner la foule des esclaves.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Frère des Marches
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Les informations contradictoires n'aidaient pas Norim, mais il fallait prendre une décision rapidement. Finalement, la logique et la haine des esclavagistes prirent le pas sur la raison, peut-être, mais il fallait bien choisir, et aucun des choix ne paraissait bon à long terme. Il indiqua donc à Kipépéo avant de partir voir ce qui se passait à coté, la hache à la main :
- Libère-le, il a tout intérêt à nous aider s'il veut sortir d'ici, et on va avoir besoin de toute l'aide possible.
Bien sur, il allait falloir garder l'oeil sur lui, car il était évident qu'il était quelqu'un de puissant, pour être gardé ainsi, et qu'il avait quelque chose à cacher, sans quoi il leur aurait d'hors et déjà donné son nom complet et ce qu'il était capable de faire, au lieu de se contentait de se dire que le garde mentait, ce dont Norim ne pouvait ni valider ni infirmer. Mais s'il disait la vérité, avoir un puissant magicien dans leur rang serait un atout, tant qu'il ne se tournait pas contre eux.
Il n'y avait plus qu'à espérer qu'il ne faisait pas une erreur, et que si des dissensions éclataient, ce ne serait qu'une fois tout le monde à l'abri, et qu'il leur suffirait de se séparer pour les régler, du moins jusqu'à la prochaine rencontre. S'il se trompait, ils étaient bons pour avoir un ennemi de plus, et un puissant. Pour éviter cela, le nain ne pouvait que prier le Morndinsamman et les dieux de la chance.
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Chuchoteur
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¤Ca .. ni .. bale ? ¤ Sans qu'aucun son ne sortit de sa bouche, la petite halfeline avait résumé le "commençait à manger un garde " proféré par le garde. Elle entendait bien que cet homme pourrait faire d'elle qu'une petite bouchée au petit déjeuner en plus, mais elle le pensait plus métaphoriquement que matériellement. Elle réfléchit rapidement, le temps pressait. Un peu bêtement elle répondit machinalement : il avait peut-être faim. Après tout vos prisonniers sont bien mal nourris par ici ... Notez Messire Baltimore dit-elle en tournant son regard d'ambre vers lui, que vous ne faites absolument rien pour que l'on vous considère sous un angle un peu plus comment dire, abordable. Manger les gardes nous serait agréable pour l'heure, vous l'avez bien compris. Mais il faut vous ranger à ce fait : vous faites peur, et je le dis honnêtement, vous me faites peur. Kipepeo regarda Norim un dernière fois pour s'assurer que c'était bien son intention de libérer cet homme, puis soupira ¤ On a bien des pirates qui libèrent des esclaves, alors pourquoi pas un mage nécromant cannibale et surement très puissant désireux d'aider à s'échapper de sa prison tout en nous aidant nous ? Brandobaris ! Dans quelle galère m'as-tu conduit ! Bon d'accord, je m'y suis fourrée toute seule ! ¤ - Je décide de vous libérer, rien que parce que même si vous êtes un être mauvais, aucun être humain mérite un tel traitement. Et puis on pourrait encore venir dire que c'est de votre faute que tout les esclaves sont libérés... E lle s'approcha de l'homme et entrepris à le libérer, lentement, sentant la proximité de sa puissance magique. Instinctivement elle chercha sur ses mains la présence possible d'une aura magique. Il avait peut-être préparé un sort, quoiqu'il n'avait pas de grimoire. Mais certains lanceurs de sorts n'en avaient pas besoin. Tout en s'affairant pour le libérer la petite tête de l'halefine travaillait à toute vitesse. Elle se rendit compte en fait qu'elle avait une capacité un peu étrange qui naissait en elle ... Elle voyait la magie ... et sans lancer de sort particulier ... ¤ Nom d'un nain sans poil ! ¤ pensa-t-elle mi-effarée mi-ravie Utilisation de son tout nouveau pouvoir de classe ... Détection de la magie
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Capitaine
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Seizième jour du moi de nuiteuse année de la magie sauvage (16 nuiteuse 1372)Lieu : Luskan Climat : sec et froid, alternance de nuages Température: froid, environ -8°C Moment: MatinL'homme laissa échapper un soupir d'affliction tandis que Kipepéo retirait les chaînes de ce dernier. Il semblait vraiment avoir mal pris les propos de l'Halfeline. Une fois libéré, il ne put s'empêcher de s'adresser à cette dernière- Toutes ces remarques désobligeantes et ce temps perdu pour de malheureuses chaînes. J'espère au moins que grâce à cela vous vous sentez un peu plus héroïque et dans le camps du bien que précédement. Histoire que cela ai été utile. » Ce qui dérangea plus Kipepéo ce n'était pas vraiment les propos grinçant de ce dernier, surtout que contre toute attente, elle ne détectait rien de particulièrement magique chez lui, du moins, rien de très puissant, elle sentait bien que c'était un jeteur de sort, mais il n'avait sans doute pas put lancer le moindre sort depuis un moment. C'était un brin agaçant et déconcertant après toute ces chaînes, ces propos du garde effrayé.
Non, ce qu'elle trouva plus effrayant encore, c'était l'espèce de rire gras qu'elle entendais venant d'au dessus. Elle ne savait trop d'où ça venait, avec l'écho, cela rebondissait un peu partout. Le garde captif paraissait terrorisé, et suppliait qu'on le laissa ici, enchaîné s'il préféraient, mais avec les portes closes. Surtout les portes closes.
Au même moment, un des hommes de Norim revint de la salle par où ils étaient entré, où de son propre chef il avait été prospecter.- Ils ont verrouillé la porte derrière nous. Enfin verrouillée… ils ont mit quelque chose de très lourd dessus je pense. Ça a l'air de les faire rire. » Ne laissant pas même le temps a Norim de répondre, ou à qui que ce soit d'autre d'ailleurs, Baltimore se permis un commentaire.- Je ne sais pas qui est votre capitaine, mais une chose est sûre, il va absolument falloir se mettre en mouvement tout de suite. Je crains que plus nous tergiversons, plus nous risquons de retrouver les chaînes. Puisque la porte des gardes est fermées, nous pourrions toujours en tenter une autre. Même si à vrai dire je ne sais pas vraiment où elles se trouvent. Mais vous êtes une fine équipe de justicier libérateur non ? Vous devriez savoir où se trouvent les dîtes sorties. Avançons avançons… »
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Frère des Marches
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Leur retraite était coupée, et il y avait de bonnes chances qu'ils ne tardent pas à bloquer toutes les autres issues. Déjà, cela voulait dire qu'ils savianet qu'ils étaient là. Il fallait faire vite et ne plus se poser de questions. Levant sa hache bien haut, le nain en appela à ceux qu'il avait amené avec lui, et à ceux des prisonniers qui voudrait le suivre :
- Combattant ! En avant !
Et sans attendre de voir si des gens suivaient, il se rua sur vers l'autre porte de sortie, à l'autre bout du couloir, l'épaule en avant et sans même se poser la question de savoir si elle était déjà ouverte ou non. Il pourrait ainsi surgir, ses alliés sur les talons, espérait-il, dans la salle où des gardes pouvaient potentiellement les attendre et les prendre malgré tout par surprise, et peut-être même en faire tomber un ou deux avant même qu'ils ne puissent réagir et que ses alliés ne joignent le combat. Dans le pire des cas, il les ferait au moins avancer un peu et n'aurait plus qu'à continuer de la même manière sur la porte suivante. Il ne resterait alors plus qu'à conduire les ex-esclaves, l'étrange homme inclus, jusqu'à la sortie par le chemin qu'ils auraient creusé au milieu de leurs adversaires, en espérant que leur force et leur volonté suffiraient pour faire cela sans perte de leur coté.
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Chuchoteur
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Kipepeo prit la remarque de l'ex prisonnier assez mal. Une ombre de colère passa dans ses yeux habituellement habités de douceur. Elle regrettait déjà de l'avoir libéré : Vous trouvez ma prudence héroïque ? Je pense que j'aurais été bien plus héroïque de vous passer l'épée dans le corps. Mais je manque le courage de le faire, alors remerciez les dieux que vous adulez messire Baltimore de ma manifeste lâcheté... Sa diatribe fut interrompue par ce drôle de rire qui résonnait dans la cellule comme si une chose indépendante du prisonnier se manifestait. La première idée de Kipepeo fut qu'il fusse ventriloque, mais quelque part ça ne collait pas. Aussi se tourna-t-elle vers l'hypothèse d'une possession, mais ça c'était aller chercher un peu loin. Elle scruta les coins et les recoins, sachant déjà qu'elle ne verrait sans doute rien du tout. Une vague d'appréhension la saisit, alors que le garde était visiblement terrorisé. Elle chercha dans les bagages de son savoir et de ses arts magiques quel genre de pouvoir pouvait engendrer cette sorte de ventriloquie.
Il est vrai qu'ils perdaient du temps et que si ils voulaient sauver la majorité des esclaves il était grand temps de prendre ses jambes à son cou. Kipepeo laissa le soin de faire passer Baltimore devant, afin qu'elle puisse le surveiller à tout temps : avoir les yeux posés sur un danger ferait peut-être qu'elle le verrait venir. Restant prête à toute éventualité, la jeune halfeline suivit le groupe en courant. Spontanément elle laissa éclater toute sa volonté dans un chant de guerre, afin de donner à tous le courage de foncer dans le tas et ainsi honorer la grande vaillance de son ami Norim :Je sais à présent Pourquoi tes yeux sont si brillants Je sais aussi maintenant Pourquoi cela a été réduit à néant Une étincelle résiste pourtant Au vent de la morosité balayant Ne demandant que luire prestement Et embraser ce feu dès à présent Trace ton chemin, ouvre les yeux, regarde partout, Histoire de ne pas tomber dans un trou Avance sans rien chercher du regard, Sans essayer de percer le brouillard Et peut être qu'a la fin du sentier, De ton trajet tu pourras t'en émerveiller.
Savoir bardounette et Arts de la magie. Inspiration vaillante à plein poumons et surveillance au corps de ce Baltimore
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Capitaine
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Seizième jour du moi de nuiteuse année de la magie sauvage (16 nuiteuse 1372)Lieu : Luskan Climat : sec et froid, alternance de nuages Température: froid, environ -8°C Moment: MatinTandis qu'ils avançaient, la petite Hin inquiète chercha dans tout son savoir d'où pouvait bien provenir ce rire. Elle passa en revu sortilège et effet magique, et la seule explication était un son illusoire bien maîtrisé… du moins si l'on restait dans le domaine de la magie. Car plus ils avançaient, plus les bruits de rire, de cris et de coup porté en rythme sur les bancs se faisait fort. Il lui devint vite évident que les rires étaient porté par l'écho.
Le soldat qui avait reconnu Baltimore était de plus en plus paniqué. Il pria qu'on l'enferme dans une cellule, portes close, puis voyant qu'on le délaissait, s'en alla en courant tambouriner contre l'accès condamné par les gardes.
Le groupe, pendant ce temps, se dirigea à la suite de Norim. Contre toute attente, il n'y avait rien à l'embranchement où lors de leur échappée précédente ils avaient croisé une première résistance des gardes. Tout était vide, c'était inquiétant, d'autant plus que la salle menant aux arène était laissée grande ouverte. Cette fois ci, la provenance des bruits et du tapage fut évidente pour tout le monde, elle provenait de l'arène. Il n'y avait rien de magique là dedans.
Il y avait là quelque chose d'étrange.
Mais le chemin était libre, alors ils continuèrent. C'était assez simple, tout droit pas d'embranchement à prendre, et une fois au cul de sac, la porte.
Seulement voilà. Le cul de sac n'était plus au même endroit. Et les esclaves paniqués commençaient à crier en tout sens. Après en avoir calmés quelques uns, ou conversé avec ceux qui avaient gardé la tête froide, ils apprirent le point suivant : l'accès avait été remblayé et condamné ces dernières semaine par l'un des groupes d'esclaves eux même. Tout le couloir avait été remplis de pierre et un mur fraîchement cimenté placé devant.
La voie était close.
De tout le groupe, un seul homme semblait parfaitement conserver son calme, et son sourire arogant. Baltimore. Kipepéo en avait bien conscience et cela continuait de l'agacer. Elle avait toutefois conscience que son chant était ce qui permettait à beaucoup de ne pas craquer. La carte actualisée
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Frère des Marches
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Voyant le chemin fermé, Norim serra les dents :
- Merde ! Lâcha-t-il même sous le coup de la colère. Ils nous ont bien eu sur ce coup-là !
Il allait falloir agir vite et être efficace s'ils voulait survivre, et surtout avoir de la chance. Désignant deux des hommes d'armes et les prisonniers les mieux en point, même s'il doutait que ces derniers puissent être très utiles, Norim leur indiqua :
- Retournez dans la pièce précédente et bloquez toutes les portes possibles avec les tables. Kip, gère les s'il te plait, que toutes soient bien bloquées. Et si tu peux en plus en verrouiller quelques unes, ce sera parfait. Si des hommes arrivent, fuyez-les, reculez petit à petit, en les canardant si vous le pouvez, mais ne prenez pas de risques. Ils sont en supériorité numériques, placez vous dans un coin où il n'arriveront qu'à un ou deux de front, comme derrière une porte, de préférence de manière à ce qu'ils ne puissant pas vous tirer dessus avec leurs arbalètes.
Il s'arrêta un instant pour respirer et désigna les autres combattants :
- Vous ! Avec moi ! Personne ne me dépasse et tout devrait bien aller. Les autres, suivez-nous à distance raisonnable, vous ne voulez pas être impliqué dans un combat.
Il se dirigea dès lors vers la seule porte ayant une chance de donner sur l'extérieur, celle à l'extérieur de la courbe, et l'ouvrit pour foncer de l'autre coté, prenant juste le temps de vérifier quel bouclier il avait au bras, pour finalement prendre le plus volumineux, même si ça devait le ralentir encore un peu. Ils n'avaient pas le temps de penser à d'éventuels pièges, mais il était aussi bien d'avoir une grande surface pour arrêter des projectiles, et puis, ces couloirs n'avaient pas été construits sans intention derrière, des gens devaient donc bien passer par là, limitant la présence de déclencheurs à activer par erreur.
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¤ Brandobaris ... ¤ pria la petite halfeline le coeur serré d’appréhension ¤ Tu vois ta petite préférée dans un sacré tas de merde là. Pourrais-tu m'insuffler une idée de choc pour me sortir de là, quitte à y laisser quelques plumes, mais bon pas trop quand même, déjà j'en ai pas beaucoup... ¤ Ce n'était sans doute pas la prière qu'un dieu voulait entendre, mais Brandobaris devait maintenant en avoir largement l'habitude, du moins si il se penchait sur cette petite Kipepeo qui était tout sauf grande prêtresse habituée à converser en direct avec lui. - Je t'ai entendu Norim, j'y vais de ce pas cria-t-elle se dépêchant d'aller remplir sa mission. Toi là le grand dadais qui fait peur à tout le monde, va donc aller effrayer les troupes qui pourraient s'opposer à notre sortie. C'est le moment de jouer les grands méchants bouffeurs de gardes ! Mais les gardes seulement hein ! Elle n'avait pas trop envie de le laisser filer hors de sa vue, mais quand le pire venait à l'urgence de plus pire encore, il fallait accommoder les chaussettes et surtout ne pas mâcher les mots.
Faisant demi-tour elle encouragea les hommes à la vitesse d’exécution, telle un garçon qui jouait du tambour pour faire avancer les troupes au combat. Sa voix exhortait au courage et à l'acharnement. Elle s'occupa elle même à saboter ces quelques portes qui avaient du mal à trouver une fermeture convenable, s'aidant des choses que les hommes apportaient pour bien les fermer et prenant en exemple sur les pirates et son maitre de roublardise. Ses pensées défilèrent rapidement tour à tout à chercher à couvrir leur avancée et de même trouver peut-être cette porte secrète qu'ils avaient loupés dans leur courses. Peut-être que cette fois-ci quelque providence les garderaient en vie quelques minutes de plus voire une petite heure de plus ? Toute à son affaire, Kipepeo n'arrêta qu'une fois satisfaite du résultat. Puis elle exhorta tout le monde à filer aux trousses de Norim.
Le coeur battant, les jambes tricotant à toute vitesse, elle y retourna, espérant qu'elle ne tomberait pas sur un monceau de cadavres et un grand dadais occupé à les bouffer ¤ Allons ma fille ¤ pensa-t-elle ¤ Aie la foi et la foi t'aidera ! ... Non c'est pas exactement ça mais ça va le faire tout aussi bien ! ¤ Essaye la compétence sabotage pour empêcher les drôles derrières nous d'entrer. Cherche en même temps voir si un pan de mur ne serait pas du genre branlant en utilisant la fouille vite fait hein. Edit : attend ma nouvelle fiche stplaiiiit
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Capitaine
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Seizième jour du moi de nuiteuse année de la magie sauvage (16 nuiteuse 1372)Lieu : Luskan Climat : sec et froid, alternance de nuages Température: froid, environ -8°C Moment: MatinNorimLa porte fut enfoncée, et le nain s'attendais à subir de nombreux pièges à son encontre, il eu cependant la présence d'esprit (sans doute lié à sa longue espérience des batailles) de conserver les yeux ouverts malgré la possibilité de coup et autres sorts magiques déclenchés par les pièges. Cela l'empêchat de tomber dans le trou. Ou plutôt, la fosse.
Car la salle ne menait nulle part, ce n'était même pas une salle comme les autres de maçonerie, mais creusée à même la roche. Elle empuantissait la mort. Et cela pour une simple et bonne raison.
Cette salle, c'était le charnier, là où l'on entassait les esclaves morts. De simples trou anonymes, démesuré, loin d'être remplis, mais à l'effroi du nain, déjà bien plein, et pour certains cadavres, le corps semblait avoir été à moitié dévoré.
À part les fosses et les cadavres… rien. Il devait y avoir une autre sortie. Du moins, c'est ce que tous espéraient.
Baltimore, qui respectant le souhait de Kipepéo auquel il n'avait répondu que par un simple et maigre haussement d'épaule, et s'était contenté de suivre le groupe armé de loin, ne put empêcher un rire lugubre devant les dépôt de cadavre. Ainsi que d'un commentaire cruels.- hé bien, mes chers libérateurs, j'espère que ce n'est pas là le type de sortie que vous nous avez prévus. J'aurais tout aussi bien put l'attendre tout seul au fond de ma cellule. » KipepéoCoordonner la masse des esclaves effrayés ne fut pas une mince affaire. Heureusement, avec son chant, elle avait déjà empêché la panique de se répandre, aussi avait-elle surtout affaire à des personnes hébétée de terreur plutôt qu'à des fou atteint de panique. Certains se montrèrent même plein de volonté et efficace. Ils avaient l'occasion de s’échapper, et comptait bien de mettre cette chance à profit.
Saboter les portes fut vite fait. Et Kipepéo lors de son retour, si elle ne trouva pas de porte ou passage secret supplémentaire, nota bien qu'il y avait une porte qu'ils n'avaient toujours pas exploré. Une attaque pourrait survenir de là. Elle était encore devant cette porte lorsqu'elle entendis soudain trois choses.
La première, fut le rire lugubre de Baltimore. Devant elle. La seconde, comme étouffée loin derrière la porte, des cris d'appel à l'aide, d'agonie et de lugubre grognements. La dernière, et sans doute la plus terrifiante. Quelque chose de fort avait brièvement mais violemment tenté d'ouvrir l'une des portes qu'ils avaient saboté dans la salle. Elle ne savait pas si cette tentative avait été couronnée de succès, ou si simplement, la personne à l'origine de ce choc était passé à autre chose.image actualisée
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