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Douce Fortune
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Frère des Marches
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La salve eu l'effet escompté, même si Norim ne put s'empêcher, honte suprème, qu'il faisait parti de ceux qui avait raté leur coup à cet occasion, même si la chose passa inaperçu parmi ses camarades. Descendant avec les autres pour cacher les corps, Norim se sentait un peu honteux, il avait tout de même mis au point un plan pour abattre sans leur laisser une chance de se défendre. Si cela n'avait pas été des esclavagistes, jamais il n'aurait autorisé de participer à un plan aussi lâche, mais ces gens étaient pire que des gobelins, qui souvent ne faisaient que chercher de quoi se nourrir. Les corps cachés plus ou moins bien, le nain sortit sa hache et son écu alors que les groupes se constituaient. Vérifiant que son groupe était prêt au combat, il prit la direction de la salle des gardes, prêt à y rentrer en force dès que tout le groupe serait prêt, espérant ainsi à la fois surprendre les gardes avant qu'ils ne soient prêt à se battre, mais aussi attirer l'attention de ceux qui était prêt, évitant ainsi au second groupe, qui prenait le plus de risques, de devoir trop se battre alors qu'il se devait de prendre la majorité des combattants avec lui, pour éviter d'avoir des pertes en faisant les choses au plus vite, même si cette répartition pourrait changer une fois que la salle de garde serait sécurisée.
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Chuchoteur
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Kipepeo était bien contente que le plan du nain avait fonctionné. Elle n'était pas peu fière en fait, elle avait parfaitement coordonné le tout et ils avaient pu descendre pour investir les lieux. C'était là une des choses qui la tourmentaient le plus, entrer. Bon l'autre serait de sortir, et là il y avait encore pas mal de boulot. Elle fit signe aux hommes de cacher les cadavres tout frais et de les fouiller. Avec un peu de chance, ils trouveraient des clés ouvrant les cellules ou tout autre chose qui pouvait se révéler utile. Puis fallait effacer les traces le mieux possible. Cela leur achèterait du temps.
Elle s'approcha de Norim et lui chuchota à l'oreille : - Essaie de rester discret le plus longtemps possible hein. Il nous faut du temps pour libérer tout ce petit monde, et j'espère que la plupart d'entre eux sauront se laisser convaincre. Elle pensait que certains feraient des difficultés non pas par envie, mais surtout par crainte, la peur panique de se faire reprendre et de subir la punition de leur tentative d'évasion. Elle n'osait penser aux possible punitions que ces pauvres gens pourraient subir. Après s'être assuré que tout le monde était prêt, le coeur battant, elle laissa partir Norim et s'occupa de sa propre mission.
Kipepeo, tendant l'oreille s'apprêta à rejoindre l'aile des esclaves sexuels. Elle n'aimait pas trop l'idée des rires étouffés et du bruit qui se faisait entendre. Il y avait peut-être des innocents dans cette histoire... Elle prit à parti les hommes avec elle et leur murmura : attention : si il y a des clients, et si c'est possible, assommez-les, attachez-les et mettez leur un bâillon. Je n'aimerais pas nous faire passer pour des assassins. Je préfèrerais passer pour une héroine ... soupira-t-elle pensant que ce serait bien difficile. D'un pas mesuré elle se dirigea vers l'aile afin de libérer les esclaves. Avant d'entrer dans le couloir, elle jeta un coup d'oeil pour s'assurer que personne n'y était. Elle ferait la même chose à chaque porte, avant d'y entrer...¤ J'espère ne pas trop tomber en plein milieu d'ébats qui requièrent l'intimité ¤ pensa-t-elle brusquement ¤ Je ne peux pas fermer les yeux genre ... si ? Que Brandobaris me vienne en aide ...¤
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Capitaine
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Seizième jour du moi de nuiteuse année de la magie sauvage (16 nuiteuse 1372)Lieu : Luskan Climat : sec et froid, alternance de nuages, lune claire (croissant ascendant) Température: froid, environ -10°C Moment: un peu avant l'aubeLe groupe se sépara en deux. Norim se rendit directement en direction du hall d'entré et des salles de repos des gardes. Là où la petite équipe de Kipepéo investit l'aile des « plaisirs » comme elle devait sans doute être nommé par les odieux commerçants.
En tout cas, elle fit bien de jeter un oeil. Un garde se tenait dans le couloir, effectuant sa ronde. Pour le moment, et par chance, il leur tournait le dos. Mais arrivé au bout du cours couloir, il allait soit tourner prendre un escalier lourdement décoré. Soit, il reviendrais vers eux... Il fallait le neutraliser.
Coup de chance toutefois se dis Kipepéo, les lieux étaient silencieux. S'il y avait eu des ébats ou des soupirs. Cela avait dû finir il y a un moment, investir la place à l'aube avait cet avantage que même dans ce cadre là, la plupart des gens devaient soit dormir, soit être passé aux confidences sur l'oreiller. Les lieux étaient globalement silencieux, mis à part les pas du garde, le bruit du vent à l'extérieur, et celui des ronflements plus ou moins sonore. Les rires avaient lieux dans un autre bâtiment semblait-il.
De son côté, Norim avec le gros des troupes se tenait maintenant devant la porte menant au hall principal, et surtout à l'aile de repos des gardes. Il ne faisait aucun doute que derrière la porte, en temps normal, plusieurs gardes attentifs seraient de faction. Et a priori une entrée discrète semblait impossible, à moins d'avoir un plan.
Mais peut être justement lancer un début de chaos et de cris d'alerte faisait partie du plan? Norim savait qu'il se tenait face à un choix crucial, qu'il avait déjà anticipé, et peut être planifié, mais toujours la demi seconde avant la prise d'un tel choix était délicate. Le genre de situation qui peut vous faire capoter toute une mission. N'oubliez pas vos point d'action
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Frère des Marches
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Aidant à cacher les corps, Norim regarda rapidement si la planque pourrait résister à une fouille visuelle rapide, avec des conditions visuelles qui s'approcherait de ce qu'il y avait actuellement. Satisfait, surtout vu ce qui allait suivre, Norim rangea son arc, il n'allait plus en avoir besoin, car en intérieur, mieux valait compter sur sa hache. Sortant cette dernière, ainsi que le plus gros des boucliers qu'il avait acheté peu de temps auparavant, il indiqua, à voix basse, aux autres qui l'avaient suivi :
- Les choses se corsent, il va falloir se battre. Voilà comment on va faire. J'ouvre la porte, le bouclier en avant pour accueillir d’éventuels projectiles. Et vous derrière, vous leur tirez dessus autant que possible, en vous cachant derrière moi. Et vite, on avance, vous lâchez les arbalètes et vous passez sur les armes blanches. Deux d'entre vous passent au plus vite à travers la salle, attention à ne pas se faire tuer tout de même ! Préférez être plus lent et arriver en vie. De là, vous allez tomber sur le couloir vers les chambres des gardes, chargez-vous en tant qu'ils ne sont pas prêt.
La morale du nain l'obligea à ajouter :
- Mais contentez-vous de vous assommer s'ils ne sont pas armé, nous valons mieux qu'eux et nous n'avons pas de raison de leur en vouloir, ils ne font que leur travail, ce sont leurs patrons que nous voulons avec la tête au bout d'une pique, comme tout justice digne de ce nom la leur mettrais au terme d'un procès juste et équitable, mais nous n'avons pas le temps de le leur organiser.
Il se plaça puis demanda :
- Prêt ? Allons-y.
Dès que tout le monde lui fit signe qu'il était prêt, le nain ouvrit la porte.
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Chuchoteur
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Furtive comme seule une halfeline pieds-nus pouvait l'être, la petite barde réfléchit un instant que faire à propos de cette sentinelle qui arpentait le couloir. Deux solutions s'offraient à elle : soit elle attendait que celui-ci monte l'escalier et lui laisse le temps de mettre un homme au bout qui attendrait qu'il revienne pour l'empêcher de donner l'alerte ; soit il revenait vers elle et l'attaquerait dès qu'il fut assez près d'eux. De deux choses l'une pensa la petite barde ... ¤ Mince y en a une troisième : le bougre reste au milieu. Mince de chez mince, je déteste les couloirs ainsi... A moins que la première porte ? Passer de porte en porte ? ¤ Kipepeo chercha vainement une solution lorsqu'une idée lui traversa l'esprit. Elle confia un instant son arbalète à un voisin et entreprit à tisser un sort à voix basse. Une fois prête elle rejeta un oeil pour voir où se trouvait le larron.
Attention fit-elle en murmurant son plan à ses compagnons je vais lancer un sort qui rendra glissant une partie du couloir, puis me montrer. Dès qu'il sera à terre le bonhomme vous en profiterez pour le faire taire. Et je ne veux pas savoir comment. Laissez le là où sa glisse hein, ainsi on pourra passer par dessus et éviter de tomber à notre tour. Il fera office de pont.
Kipepeo n'en menait pas large. Elle voulait sauvegarder le plus possible les gens autour d'elle, les esclaves et même les gardes. Après tout étaient payés pour ça les pauvres. Avant de se lancer dans son action de sournoise elle leva une prière au Père des Halfelins ¤ Brandobaris, je sais que je te sollicite souvent pour le moment, mais pourrais-tu veillez sur ces gens qui m'accompagnent et qui me font confiance, et puis donner la force aussi aux esclaves que j'aimerais libérer. Merci Papa Brandobaris, j'espère que t'es pas trop occupé ...¤ Elle ouvrit la porte et mit son plan en action. Après avoir lancé le sort elle ouvrit la porte à la volée et héla le garde :
- Hé Monsieur ! Tu viens t'amuser un peu ? L'air ingénue, les pieds nus, les bras croisée dans son dos, elle le regarda avec un grand sourire malicieux. Toi tu seras le gros vilain chat et moi la petite souris !
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Capitaine
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Seizième jour du moi de nuiteuse année de la magie sauvage (16 nuiteuse 1372)Lieu : Luskan Climat : sec et froid, alternance de nuages, lune claire (croissant ascendant) Température: froid, environ -10°C Moment: un peu avant l'aubeLe plan de la Hin pris de court les membres de son équipe, et à dire vrai, il s'en fallut de très peu pour que cela tourne au massacre dans leur propre camp. Lorsqu'elle commença à incanter... hé bien, le garde l'entendis, et se retourna alors que le sort faisait effet. Du coup, lorsque Kipepeo apparut devant lui, elle le vit déjà le cor d'alarme a la bouche pour alerter les environs.
Mais la chance était décidément du côté de la Hin, l'homme surpris, ne sut maintenir son équilibre, alors même qu'il n'avait que peu bougé. Ce dérapage le fit tomber à terre dans un fracas métalique et son cor rebondit au loin. Ni une ni deux, les différents membre du groupes se jetèrent sur le garde pour l’immobiliser avant qu'il ne songe à crier plus fort. La tache ne fut pas aisée avec toute cette graisse, et deux autres personne se retrouvèrent à terre. Pas tous heureusement. Et d'un coup de pommeau, le garde fut assommé.
S'il y avait des gardes au dessus, ils avaient déjà entendu le bruit. Mais au moins, ceux des autres parties du bâtiment n'entendraient rien. Déjà, on entendais des bruits de pas vers les portes. Sans doute certains esclave plus vif, ou plus récemment captif que les autres s'étaient approché de leur portes, intrigués.
De l'autre côté du bâtiment, les choses se passèrent bien plus comme prévu. La porte ouverte à la volée, et avant que le garde ne réagissent, certains avaient déjà un carreau planté dans le dos, le bras ou la gorge. Des trois gardes, deux s'écroulèrent, et le dernier se trouva vite encercler. Tandis que quatre (et non deux, mais au vu des circonstances c'était là un esprit d'initiative plus qu'adéquat), se précipitèrent vers les chambres des gardes.
Le garde encerclé, cherchant sans doute à sauver sa vie, jeta son arme et son cor au loin. Et d'une voix pas trop forte ajouta et s'adressant au Nain.- Ola du calme... Bon, il semblerais que ce soit mon salaire dû par mon patron, ou ma vie. Et j'estime ma vie plus que quelques centaine de pièce d'or le mois. Je suis mercenaire. Je me rend. Mais si vous le souhaitez, et contre bon salaire. Je peux gonfler vos rang. En plus je connais les lieux. Ça vous dis? Dans les couloirs derrières, on entendais déjà les premiers sursaut de surprise. Les coup mat des pommeau s’abattant sur les crânes, ou celui, plus rude aux oreilles du nains, du fer perçant la chair, du gargouillis de sang dans la gorge ou les poumons. Certains avaient suivit ses directives. D'autre se révélaient déjà avide de sang, ou peut être de vengeance.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Frère des Marches
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Voyant le mercenaire se rendre, Norim se dirigea vers son arme pour être certain qu'il ne s'en servirait pas, et indiqua aux autres restés avec lui :
- Attachez celui-ci et les autres qui se rendent, désarmez tout le monde, y compris les morts, on pourra équiper les prisonniers avec ça pour la suite du plan, et on est certain qu'ils ne les ramasseront pas pour se battre en changeant d'avis. Je n'ai pas assez confiance en quelqu'un qui vient de se battre contre moi pour m'en faire un allié. Toutefois, nous les libèrerons avant de partir, sans quoi il finiront à la place de ceux que nous allons sortir des geôles pour leur échec.
Sans attendre plus longtemps et partant du principe que ses directives seraient suivies, le boiteux se dirigea vers le couloir pour arrêter les fous sanguinaires, leur rappelant pourquoi ils étaient là, c'est à dire pour libérer les prisonniers, et non pour massacrer des gardes désarmés qui, s'ils n'étaient pas totalement innocents, n'étaient pas responsable de cet état de fait. Si jamais ils tombaient sur de plus grands pontes de l'organisation, Norim lui-même n'était pas certain de se contenir, surtout que la chose serait certainement bénéfique pour les étrangers des environs, au moins le temps que les survivants se battent pour les places laissées vacantes, décimant ainsi leurs propres rangs sans que personne n'ait à les traquer.
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Chuchoteur
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Kipepeo remercia vite fait Brandobaris qui avait choisit de semer quelques graines de bonne fortune et de chance sur sa petite et chaotique fidèle. Elle donna rapidement les ordres. Elle connaissait les lieux et même l'agencement des chambres pour avoir visité certaines d'entre elles. Elle avait aussi repéré la clé que le garde utilisait pour les ouvrir. Elle délesta le garde assommé, bâillonné et ligoté pour aller ouvrir l'une d'entre elle, un esclave d'une belle prestance et dont les muscles ne seraient pas trop inutiles.
Elle se souvint que celui-ci lui avait fait forte impression et devait d'ailleurs faire forte impression à pas mal de coeur féminin. Taillé comme ces statues dans le temple de Sunie, il avait en outre des dents parfaites (on le lui avait montré) et des cheveux de couleur de soleil. Mais trêve de rêveries puériles, il ne sera jamais son esclave ... La porte ouverte elle se para d'un charmant sourire (on ne sait jamais) et rapidement le calma, le repoussant dans la chambre. Les hommes y tirèrent le garde, s'engouffrèrent avec elle et refermèrent la porte pour laisser un couloir désert, sans aucune trace si ce n'est un petit carré plus luisant que les autres, là où la graisse que Kipepeo avait fabriqué avec sa magie attendait les pas des autres soldats.
Priant avec ferveur que ceux-ci tombe dans le piège, au pire pensa-t-elle ils ne feront que passer aller voir plus loin quoique qu'elle put imaginer pire encore mais tant pis, c'est pas le moment. Elle attendit près de la porte, l'oreille aux aguets, prête à en découdre. Cherchant le regard des hommes avec elle, elle espérait qu'ils étaient jusqu'à présent satisfait de sa roublardise.
¤ J'espère que je ne vais pas virer mauvaise moi. Dans cette cité ça craint vache. Un faut pas et on se retrouve à adorer Loviatar sans même le faire exprès ¤ Là j'investis mes points pour connaissance ultérieure de l'endroit et observation rapprochée et des chambres et de la clé et du bel esclave mode Spartacus *_*
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Capitaine
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Seizième jour du moi de nuiteuse année de la magie sauvage (16 nuiteuse 1372)Lieu : Luskan Climat : sec et froid, alternance de nuages, lune claire (croissant ascendant) Température: froid, environ -10°C Moment: un peu avant l'aubeNorimLe nain vit le visage dépité du mercenaire. Celui-ci avait semble-t-il réellement espérer rejoindre le camp des vainqueurs. Le nain surpris une expression de haine quand le guerrier se fit passer les menottes et le baillons. Ce qui certifia au nain qu'on ne pouvait lui faire confiance. Puis soudain, juste au moment où on lui passait le bayon, il poussa un hurlement tonitruant qui rompit le calme de la nuit, avant de se faire assommer par l'un des hommes de Norim.
Tout s'accéléra. Au bout d'un couloir, on entendit des bruit d'homme surpris suivit de pas de course. Un des anciens esclave libéré qui était partit de son propre chef en éclaireur revint en vitesse.- Il y avait des sentinelles derrière ce qui semble être la cuisine. Il est partit en courant s'engoufrer dans un escalier. Nul doute qu'il y a là bas une seconde salle de garde. Que fait-on? » C'était maintenant qu'il fallait tenir. Le nain savait cependant qu'au dessus d'eux se trouvaient les chambres des esclaves. Avec sans doute un ou deux gardes patrouillant dans les environs. Toutes les chambres du rez de chaussé avaient été neutralisés. D'après les armes rapportées, Norim reconnus les arbalétrier d'élites contre lesquels ils avaient eu affaire lorsqu'ils s'étaient échappés.- Ils vont sans doute tenter de nous prendre en tenaille en passant par la cuisine, et par la cours. On aurait dû bloquer les portes du grand hall, et des différents lieux. Ils se seraient retrouvé coincé et nous n'aurions eu qu'un front. Enfin, le temps qu'ils ouvrent tout et fassent le tour, on aura un peu de marge. A vrai dire, je crains plus pour l'autre groupe... » Tous attendaient les ordres de Norim. Mais peut être ce dernier avait-il plus d'un tour dans son sac?KipepéoTout alla comme sur des roulettes. Ou du moins presque, le bel éphèbe fut surpris, mais ne poussa pas un cris. A vrai dire, il se contenta de s'évanouir à la vu du garde assommé. Le beau sourire n'avait sans doute pas suffit. Mais bon... quand même, songea la barde, il aurait put tenir sur ses jambes, même elle était capable de tenir sur ses jambes...
Heureusement, il revint vite à lui, surpris, un peu effrayé, et heureux, heureux de se savoir bientôt libre. Dans le couloir à peut près au même moment, il y eu un appel, quelque pas, un jurons, et puis un fracas de métal. Le second garde était tombé dans le piège. Ni une, ni deux, toute la troupe vint lui faire son affaire. Non sans mal pour certains qui se retrouvèrent eux aussi au sol. Puis, ce fut le silence.
Il n'y avait visiblement que deux gardes dans cette partie ci du complexe. La voie était-elle libre?
Il y eu un cris au loin. Sans doute du côté de Norim.
Et tout proche, des murmures, ceux des esclaves, à l'instar de l'éphèbes tous exprimaient les même sentiments, peur, espoir, surprise, étourdissement de quelque chose trop longtemps souhaité pour être réellement espérés. En parlant de ça, le bel éphèbe était toujours aussi surpris, et à vrai dire, personne n'avait pris le temps de lui expliquer ce qui se tramait. De fait, il pris rapidement l'initiative... en chuchottant.- Par Waukyne, vous venez nous sortir de là? Vous êtes qui? Que nous voulez vous? » Une chance peut être pour Kipepéo, ou peut être un très bon déguisement à l'époque, mais le bel éphèbe ne la reconnaissait pas.Kipepéo 2 points de missions consommés : la clef était sur le garde, et c'était bien l'esclave que tu as vu.
Carte du rez de chaussé 1er étage Sous-sol connus
Pour le rez de chaussé, en bleu, c'est vous. La tache brune, c'est le sort de graisse. Kip, l'escalier en g12 ne va qu'à l'étage. Norim l'escalier en V38 ne va qu'à l'étage, tandis que celui en C10 ne va qu'au sous-sol. De même que celui en R48.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Frère des Marches
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Entre le regard et le cri du mercenaire, Norim fut plus que content de sa décision, car si l'homme avait sonné, plus ou moins, l'alarme, il n'avait pas pu leur faire grand mal, en se retournant contre eux lorsque les ennemis leur faisaient face par exemple. Et il était aussi certain de ne pas regretter sa décision après ce genre d'action, dommage pour lui. Prenant le temps de donner quelques ordres avant de monter pour commencer la libération d'esclaves de son coté, Norim indiqua que toutes les portes, ou presque, devaient être bliquées, par exemple à l'aide des literits des gardes. Deux exceptions s'imposaient toutefois : la première, c'était leur voie de sortie, la porte principale, qui devait être fermée, mais devait pouvoir être ouverte à tout moment pour leur permettre de se disperser dans la ville et ses souterrains. La seconde, elle, devait rester ouverte, mais bien gardée. C'était celle qui permettrait à l'autre groupe de les rejoindre le moment venu. Enfin, quelqu'un devrait rester à surveiller tant qu'ils n'étaient pas parti, la porte au fond du couloir, même si elle était bloquée, pour donner l'alerte si on tentait de la forcer. Les ordres donnés, Norim prit la direction de l'étage, avec quelques autres combattants et ceux qui savait y faire avec les portes verrouillées, talent indispensable tant qu'ils n'auraient pas les clefs. En haut, ils se séparèrent en deux groupes, une minorité, deux tout au plus, se dirigeant vers l'infirmerie, le reste prenant d'assaut le couloir, Norim en tête et les libérateurs en sécurité derrière.
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