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En route pour Eauprofonde, Suite d'une longue traversée
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Vingt-neuvième jours du temps des fleurs année de la magie sauvage(29 Kyrthorn 1372) Lieu : Route entre Padhivers et Eauprofonde. Temps : Ciel bleu grand soleil Moment : mi-journée(environ 12h30)
Quand tous eurent pris leur place dans les carrioles, ils remarquèrent que des objets les attendaient. Arek avait une épée à deux mains superbement ouvragé, Mussel lui avait une épée longue, elle aussi finement ouvragée ainsi qu’une targe en bois de simple artisanat, pour Jahëlo il y avait un sapara et une armure de cuir clouté en peau de requin.
A la requête du druide Cornebois répondit négativement en lui faisant comprendre que tout cela était un plan, pour tromper un ennemi caché dans l’ombre, bien sur seul celui-ci avait comprit le langage secret qu’ils avaient utilisé tous les deux.
Enfin la caravane prit la route à une allure normale, le beau temps aider les voyageurs à ce sentir bien et gai. Pendant la route Cornebois en avait profité pour faire un peu connaissance avec les recrues envoyées par « Le Pouce » il leur avait demandé, d’où ils venaient ce qu’ils avaient déjà vécu etc.…
La matinée passa tellement vite que lorsque Cornebois donna l’ordre de s’arrêter pour faire la pause du déjeuner tous se regardèrent un peu étonnés, mais en voyant la position du soleil dans le ciel et en entendant le bruit de certain estomac ils comprirent vite qu’il était effectivement l'heure de manger.
Une fois la caravane arrêter et le feu allumé, le vieux nain prépara le repas comme il savait si bien le faire, puis il appela tout le monde quand tout fut prêt. Une superbe soupe de légumes et de champignon les attendait.
Pendant ce temps ailleurs sur Toril :
L’homme entra dans la pièce ou se trouvé assis sur un siége en acier un homme d’une cinquantaine d’année, il était entrain de boire un verre de nectar étoilé, il regarda l’arrivant avec un regard accusateur.
-Alors quelles sont les nouvelles ! Et je te préviens si tu m’annonces que vous les avez perdus, je te t’égorge sur-le-champ. A ce moment il se leva et dégaina sa dague et attendit impatiemment la réponse.
-Non votre cruel imminence !!! Il s’était mis à genou en signe de soumission. Ils viennent de prendre la route d’Eauprofonde de plus seul le vieux nain est resté.
L’imminence en question lâcha un rire démoniaque se remit assis et lança. « -envoie un message a notre petit groupe qu’il les empêche d’arriver à Eauprofonde !! »
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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Ŀą Mạġọủị&#
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Kern fut très surpris lorsque le génasis d'eau demanda d'un drôle d'air à faire cavalier seul. Son regard avait perdu de sa froideur, et il semblait vraiment troublé...
¤Bon sang ! Abysse tire une drôle de tronche ! J'espère qu'on aura pas à faire équipe avec un depressif. Aller à Eauprofonde ne m'enchente pas vraiment, j'y ai des dettes. Alors si en plus l'un de nous perd le moral, le voyage risque d'être long...¤
Kern ne fut pas ettonné de la réponse de Cornebois à la requête du druide. Il n'eût pas le loisir de penser plus longuement au génasis, il était trop occupé à raconter son histoire à Cornebois. Il lui raconta sa vie de mousse minable et d'arnaqueur invétéré. Il lui apprit rapidement qu'il ne savait pas nager, et qu'il avait presque toujours erré sans but de port en port jusqu'à son engagement auprès de Monsieur Pouce. Il lui expliqua son enfance : la mort de sa mère, la disparition en mer de son père, et ses débuts dans la magouille et l'entourloupe avec celui qui l'avait élevé. Son enfance n'avait pas été si triste, finalement, et Kern se remémorrait tout en les racontant les bons moments de cette période de sa vie. Après tout, le vieux ne le battaît pas, ils mangeait à leur fin, et l'argent ne leur manquait pas tant que ça. À 18 ans, son père adoptif passa l'arme à gauche, et Kern s'engagea dans la marine. Il était censé y rester 10 ans, mais il était trop indiscipliné. Il était jeune et fougeux, et n'arretait pas de faire des bêtises avec une bande de filous dans son genre. Il passa ses deux dernières années de service en prison : sa bande avait, juste pour s'amuser, convaincu leur chef de réquisitionner le navire le plus rapide du port. Kern n'a jamais su retenir le nom de ce fameux port, mais de celui du navire, ça, il s'en souvient : "La Flèche de la côte". Une fois le navire réquisitionné, la bande se mutinna et vola la flèche. Ils partirent en mer, mais étants bien piètres marins, leurs camarades n'eurent pas besoin de beaucoup de temps pour les ratrapper. Chaqun des mutins fut enfermé à vie dans une prison différente. Kern parvint à s'échapper, au bout de deux ans donc, en se faisant passer pour mort.
Kern n'eût pas le temps de terminer son récit : il était l'heure de manger. Kern s'excusa auprès d'Eluxa d'avoir un peu monopolisé le temps de parole. Il avait un peu honte : il avait manqué au respect des bonnes manières. Il promit à la halfeline de l'ecouter lors de la suite du voyage, et se porta volontaire pour servir la soupe. Ce voyage commençait décidément mieux que ce à quoi il pouvait s'attendre, il en était heureux et en devenait presque serviable !
«Moi, tricher aux cartes ? Comment le pourrais-je, c'est la première fois que je joue !»Réputation 4,5Pour le meujeus : Ma fiche est ici, la dernière mise à jour date du 08/05/2008.
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Pøŭċęŧ
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a miche de pain ne fit pas long feu, avant même qu’Arek se soit mis en position pour conduire la roulotte Mussel avait fini son petit déjeuner. L’homme du nord tardant toujours, Mussel se releva et alla voir ce qui retenait le barbare. Comprendre ce qui l’avait retenu ne fut pas dur.. Il voyait le puissant homme armée d’une autre épée à deux main.. Elle avait un aspect plus neuf et mieux ouvragée que celle qu’Arek avait dans le dos.¤ La chance ! Jeb’ lui a fait un super cadeau ! ¤ Lorsqu’il posa les yeux alentours, il aperçu une épée longue et un rondache de bois.. Pile poil ce qui lui fallait, histoire d’aborder tout le styles de combats.. Manquait plus qu’une arme à allonge et Mussel serait le guerrier le mieux armé du convoi. Quoiqu’il l’était sûrement déjà !¤ Il a penser à ma rondache ! Cool ! Merci Jeb’ ! N’empêche que je m’attendais pas à une épée longue ! Quelle surprise ! ¤ La caravane de tête se branla et tout le convoi suivit.. Arek n’avait pas menti, son expérience fut utile. Mussel regarda attentivement faire l’homme. Imitant parfois ses mouvement dans le vide, ce qui n’était pas sans amusé Arek. Par intermittences Mussel s’absentait pour tester sa nouvelle arme, bougeant dans le vide, parant des épées imaginaires avec sa rondache, améliorent petit à petit le combat avec une arme aussi longue. Ce qu’il perdait en manoeuvrabilité il le gagnait en puissance..¤ Je suis plus habile avec des lames courtes mais cette longue lame doit être capable de faire autre chose que de simples égratignures ! ¤ Il revenait pour tenir compagnie à Arek pour pas que le puissant homme s’ennuie. Ses échauffements, ses passes d’armes et ses va et vient entre l’intérieur de la caravane et la tête de celle-ci pris du temps au petit halfelin qui fut surpris par la vitesse à la quelle l’escale du midi eut lieu.
Néanmoins la miche de pain semblait déjà bien loin et un repas semblait des plus réjouissant. Lorsque tout s’arrêta, Mussel mit pied à terre et s’occupa à la mise en place d’un feu avec tout ceux qui étaient prêt à l’aider. Une fois assit le hin apporta son petit bol de soupe à ses lèvres et ne put s’empêcher de complimenté le nain.- Sire Cornebois, vous êtes un chef ! Je ne sais pas si c’est moi mais j’ai l’impression que c’est encore meilleur qu’à l’auberge si vous me permettez. Et sans attendre de réponse et encore moins l’impression d’en faire trop Mussel continua sa savourer sa soupe tranquillement, mais sûrement.
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ßѓịśę
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lloa avait a bu son bol de soupe avec aussi peu d’appétit qu’elle avait le sourire à cet instant. Ses yeux noisette perdus dans le vague qu’offrait la vue des morceaux de légumes flottant dans la bollée, elle ruminait en elle-même un sentiment de culpabilité aussi insidieux qu’un venin.
Elle n’avait pas eut le temps d’apprécier la douceur du message de Malig, lui rappelant ô combien la nuit avait été douce, que la réaction brusque du génasi l’avait totalement décontenancée la privant d’une joie somme toute légitime. La surprise avait vite fait place à un courroux léger lorsque l’elfe s’était vue abandonnée seule, sur son banc de bois, ne sachant pas même comment conduire un attelage. La bouche boudeuse, et le regard sombre, elle s’était emparée des rennes, bien décidée à ne pas se laisser abattre pour ‘si peu ‘ et à crier un ‘Hue’ retentissant dès que le signal du départ serait lancé. Pourtant Jahelo était revenu, et avec lui un silence glacial s’était installé. Un silence tellement pesant, que même l’or du soleil levant ne parvenait à égailler les cœurs attristés. Car, alors que les chariots s’étaient mis en route, le doute s’était emparé d’Elloa, chassant l’espoir joyeux qui l’emplissait quelques minutes auparavant. Il aurait très bien pu pleuvoir, le temps ce serait seulement accordé à l’atmosphère figée de cet instant. ¤Qu’ai-je donc fait ? Aurais je tout gâché ? Serais ce ma punition pour avoir joué avec l’élément tabou ? Suis-je rejetée par les Esprits au point de ne plus avoir de destinée ?¤ Ces pensées auraient pu plonger la grugash dans un désespoir profond, mais elle était trop pleine de vie que pour cela. Elle était sur les routes à mille lieux de sa foret natale, suivant un convoi pour elle ne savait au juste quelle destination, si elle se sentait abandonnée des esprits qui avaient grandis dans son âme durant 120 années, elle se retrouverait seule face au chaos d’une existence sans fondement et sans raison. De quoi rendre fou le plus solide gaillard. Son tempérament bouillonnant lui commandait d’agir. Alors elle se releva, secouant dans un mouvement plein de grâce sa chevelure chatoyante qui voletait autour d’elle comme des rayons de miel. Elle s’approcha du genasi, doucement, avec une lenteur presque religieuse, et elle posa sur son bras sa main légère. Elle n’avait pas besoin d’explication, elle avait beau ignorer que le vent avait porté les mots de l’ensorceleur jusqu’à ses oreilles aussi, elle savait pertinemment qu’il savait, et d’un geste intérieur, elle balaya sa culpabilité. Un instant du moins…-[Elfe] Ne regarde pas derrière toi Jahelo. La route se dessine droit devant. Ce qu’elle a été derrière toi n’est rien d’autre que ce qui t’a conduit ici même. N’est ce pas un lieu plaisant ? Mmh…peut être pas encore. Peut-être qu’il faut avancer encore un peu...et autant le faire avec le sourire, n’est ce pas ? Elle déglutit péniblement à ces mots. Jusqu’alors, Elloa n’avait jamais regretté le moindre fait de son existence. Et elle espérait secrètement, alors qu’elle tenait ces propos au druide, qu’elle n’allait pas connaître le goût amer du regret aujourd’hui. -[elfe] Nous n’avons toujours pas pu discuter. Pourtant tu devais m’enseigner une chose. Elle fit une pause. Elle devait agir. Prendre le taureau par les cornes. « Peut-être que la leçon est déjà finie, et que j’ai échoué ? Peut être te refuseras tu a m’enseigner aujourd’hui ? « Même si elle savait, elle ne comprenait pas trop ce qui arrivait. Jahelo état un être d’une telle ambiguïté, qu’elle-même ressentait l’effet de sa double nature sur ses propres sentiments, ne sachant comment s’adapter, si elle se trouvait face a un être divin, ou a un être normal…un humain, race qu’elle comprenait déjà à peine.
Réputation: 3.5
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Ạbỷsŝë
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e génasi avait mis un peu de temps à comprendre que Cornebois lui adressait un message. Mais il en avait saisi la teneur. Le Cercle, l’Ouroboros et ses frères étaient toujours là… Mais à cet instant cela n’avait que peu d’importance car il se sentait vidé...
Il était retourné donc d’un pas lent jusqu’à la carriole qu’il partageait avec la belle elfe, et avait grimpé sans un mot et repris les rennes...
La matinée allait être longue et douloureuse.
Elle le fut...
Lorsque la caravane s’était arrêtée, le druide s’était tout naturellement mis à l’écart, et il n’avait pas même répondu à l’appel du repas. Il n’avait pas réellement envie de manger, et à vrai dire, il n’avait aucune envie. Plus de tergiversations, plus de questions, plus de conflits, plus de raisonnements, seule cette souffrance incompréhensible et impalpable l’habitait, son regard était éteint. Pourtant, il avait les yeux ouverts, mais il ne voyait rien, il n’entendait rien. Ce fut seulement lorsque la douce main de l’elfe se posa en un contact léger sur son bras qu’il la perçut, là toute proche. Assis sur le sol, adossé à un arbre, il leva la tête lentement croisant son regard. Il déglutit péniblement et écouta...¤Jahëlo...¤ Tellement peu de personnes l’appelaient ainsi qu’il s’étonna d’entendre son propre prénom. Mais c’était vrai, il le lui avait dit, c’était venu naturellement et sans réfléchir. Mais il en revint au petit discours. C’étaient de belles paroles, mais le génasi constata avec peine, qu’elles n’avaient aucun effet sur la douleur omniprésente. Après une courte pause, elle poursuivit, et une vague de colère le terrassa soudainement. Des mots cinglants furent les premiers à sortir.- [elfe] Nous aurions pu discuter hier... Son ton était froid et lourd de reproches, mais bien vite il détourna le regard fixant le sol entre ses pieds. Alors la peur s’empara de lui, et il attrapa la main d’Elloa avant qu’elle n’esquisse un mouvement de fuite ou de colère. Sa voix s’éleva à nouveau, faible comme un murmure. - [elfe] Je ne veux pas te blesser... Sa phrase sonnait comme une excuse. Puis il s’expliqua. Je ressens une douleur insupportable, mais je ne la comprends pas, et pire encore, je n’arrives pas à la maîtriser. Tout ce que je sais, c’est que c’est toi qui l’as provoquée... Il laissa les mots s’évanouir dans les bruissements environnants. Les secondes s’écoulaient et le silence s’installa, pourtant il gardait toujours sa main dans la sienne. Puis relâchant le contact, il se redressa lentement, inspirant profondément, et appuya sa tête contre l’arbre. Il gardait les yeux fermés et son visage n’exprimait rien. Et avec un ton plus sur, Abysse parla. - [elfe] La leçon n’est pas terminée, et tu n’as pas échoué, car cela concerne le Cercle, Abysse et toi... Il ouvrit les yeux et plongea son regard dans le sien....Brise. Le regard n’était plus tout à fait le même, son intensité semblait avoir faibli, la douleur était bien là. - [elfe] Elloa et Jahëlo... C’est autre chose... Cela s’était à nouveau terminé dans un murmure...
Inlassablement, l'océan donne et reprend...
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Bŗăįlļāřđ
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olnam avait passé toute la matinée à chantonner, il n’avait pas cherché à pousser sa voix, en réalité à part sa voisine, personne ne pouvait vraiment comprendre sa chanson avec le bruit des chariots. C’est d’ailleurs ce bruit plutôt régulier, mélange des bruits de sabot des chevaux et du roulement de l’attelage qui lui avait fourni un accompagnement instrumental pour le moins surprenant. Néanmoins, le talent du nain avait transformé ce vacarme répétitif en une agréable mélodie. Sa chanson était très bucolique, parlant de paysages et de nature, elle plut rapidement à la rôdeuse qui ne pu retenir un sourire serein et léger insufflé par la douce mélopée.
Lorsqu’il ne conduisait pas le chariot, il lui arrivait de prendre sa hache sur ses genoux et de regarder son reflet dans la lame finement travaillée, un regard mélancolique posée dessus.
Quand vint le moment du repas, Braillard l’accueillit par un cri du cœur :- Aaaaah ! Il était grand temps ! Mon malheureux postérieur commençait à me sembler étrangement inexistant ! Du moins par moment car à d’autre il me signifiait bien qu’il était toujours là ! Ahahah ! Se hissant avec mal sur ses jambes il descendit du chariot et commença à s’étirer les jambes. « Ouuuuuh par la barbe de tous les nains ! J’ai les guiboles qui hurlent des injures à en fissurer le ciel et la terre ! Et dire qu’on en est qu’au début… ! Bon… c’est pas tout ça mais j’ai un gouffre à la place du ventre ! » Golnam posa ses fesses sur son nouveau bouclier et son épée à portée de main juste à côté de lui. Ce qui pouvait surprendre était qu’il gardait sa hache sur son dos. Aux premières odeurs du repas, il s’empressa de complimenter son compatriote :- Mmmmm ! Mais ça sent rudement bon ça mon très cher Cornebois ! Cela ne fait qu’aiguiser encore plus mon appétit ! Dit-il en se pourléchant les babines et dévorant déjà la soupe des yeux.
Frangin... tu resteras toujours auprès de moi je te le promet !
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Ļėvỉạ
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Arek avait a peine eut le temps de sortir son bout de pain que Mussel avait déjà tout engloutit.
¤ Je reconnais bien là l’appétit légendaire des Halfelin. ¤
Arek entreprit de faire le tour du charriot avant le départ afin de vérifier que tout allait bien. C’est en passant sur l’arrière qu’Arek remarqua une lame brillante, sa curiosité le poussa à s’en saisir. C’était une épée à deux mains mais sa facture était parfaite.
¤ Par Tempus mais cette arme n’a aucun défaut. Même mon père n’aurait pas put mieux faire. ¤
Il y avait aussi une rondache et une épée longue. Mais au vue de leurs tailles Arek compris que cet équipement était pour Mussel. C’est a se moment que Mussel apparut à son coté et lui aussi put apprécier la beauté de ses nouvelles armes. Le signal du départ retentit. Arek sauta aux commandes et il commença à faire avancer son chariot. Au cours du voyage Arek surprit Mussel essayant de l’imiter.
- Hé bien mon ami, on dirait que tu t’entraines. Si tu veux je pourrai essayer de t’apprendre les rudiments de la conduite d’un attelage. Comme ça je pourrai dormir pendant que tu conduiras et ainsi on pourra se reposer.
De temps à autre, Mussel s’entrainait a manier la rondache et l’épée longue. Il ne semblait pas familiarisé à l’utilisation de cette arme. Mais il se perfectionnait relativement vite et ses gestes devinrent de plus en plus précis et il semblait gagner en puissance. En observant Mussel, Arek eut la confirmation qu’il était un bien meilleur guerrier qu’il ne laissait paraître. De son coté Arek contemplait sa nouvelle épée. Il la tenait prés de lui afin de pouvoir s’en saisir en cas de problème. Quand a son enseigne épée il l’avait rangé juste derrière lui convenablement emballé afin de la protéger. La matinée passa à une vitesse fulgurante et l’heure du repas sonna. Lorsque la caravane stoppa Arek mit pied à terre et il s’étira afin de démêler ses muscles. Il se saisit de son arme et il aida Mussel à rassembler du bois pour le feu puis il aida tout le monde a monté le camp pour le repas.
¤ Tiens Cornebois fait aussi la cuisine. J’aurai préféré de la viande mais je ferai avec. ¤
Arek n’était pas très coutumier de la soupe mais il en apprécia le gout.
- Cette soupe est bonne Cornebois. Je ne connait pas trop la région, mais comme nous devons escorter la caravane, à part des brigand il faut s’attendre à quoi comme danger ?
En attendant la réponse du Nain, Arek continua a déguster sa soupe.
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Pøŭċęŧ
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ertains n’avaient pas encore commencé à boire leur soupe, la laissant sans doute refroidir parce qu’elle était trop chaude ou pour quelconque autre raison, que Mussel l’avait déjà finie. Le temps passait et il trouvait le repas bine calme et peu mouvementé, il ne soupçonner pas le moins du monde ce qui se manigançait entre les deux anciens mais il trouvait leurs regards bien trop sévères. Seul Golnam pouvait arranger ça. A croire que la nuit avait portée conseil au hin puisque celui-ci n’avait plus aucune rancoeur contre le nain. Pourquoi ne l’avait il pas apprécier hier ? Etait ce a cause de Jalyne ? A vrai dire ses questions ennuyaient assez l’halfelin qui ne décida pas de pousser ses réflexions plus loin. Il pris alors la parole, s’adressant au nain.- Sire Golnam, le silence qui vous accable à l’heure du repas est propre à votre race ? Mussel laissa ses paroles quelques secondes en suspend guettant une réaction.. "Je plaisante ! Cornebois, Golnam je vous prie de ne pas tenir compte de mes mauvaises blagues.. J’y peu rien. Je recommence donc. Sire Golnam, dès que vous aurez finit votre repas pourrez vous nous chanter une petite chanson pour nous donner un peu d’entrain ?" En accompagnant ses paroles, le hin essayait de faire comprendre que l’entrain manquait particulièrement à l’homme bleuté et à l’elfe rousse.- Par contre, si vous pouviez m’épargner une chanson sur la bière ! Je doit avoué que ça n’est pas ma tasse de thé.. ¤ Ou ma choppe, plutôt ? ¤ Car même si le début de la journée est passé relativement vite, je trouve que ça manque d’agitation. Veillez néanmoins a ne pas faire trop de raffut, car même si d’entrain nous avons besoin je ne crois pas qu’ameuté les bandits et créatures malveillantes soit bien vu !
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ßѓịśę
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eureusement que le génasi s’était adouci dans ses dernières paroles. Heureusement que sa main s’était resserrée sur celle d’Elloa, sans quoi celle-ci serait partie, pestant et râlant contre lui. Elle n’avait pas pu discuter la veille, car elle avait autre chose à faire. Une chose importante. Une chose qui ne pouvait être remise à plus tard. Quelque chose qui lui était cher car elle transgressait diverses lois par cet acte, lui prouvant à quel point elle pouvait être maîtresse de sa destinée…avant de suivre celle que les Esprits lui avaient choisie. Sans même s’en rendre compte, la jalousie dont démontrait le druide l’énervait au plus haut point. Elloa était un être sauvage et indomptable, toute son âme aspirait à cet espace, cette possibilité de manœuvre sans contraintes alors que de façon paradoxale, c’est cette recherche de liberté qui l’amenait à suivre un chemin pré dessiné... La possessivité inconsciente de Jahëlo l’entravait dans son sentiment d’absolue liberté…et cela ne lui donnait qu’une envie : fuir. Mais les derniers mots qu’il avait prononcés avaient eu l’effet d’une douche froide sur la grugash. « Brise »…Il l’avait appelée « Brise », et cela amena des milliers de questions dans l’esprit de la jeune curieuse.- [elfe] ‘Brise’ dis-tu…Pourquoi ? Elle s’approcha de Jahëlo, oubliant leur dispute, oubliant tout ce qui n’était pas lié au mystère du Cercle de L’Ourobouros, s’agrippant a sa veste légère comme ce geste déterminé allait lui offrir davantage de réponses. Sa respiration se fit plus rapide sous l’excitation du moment, et son souffle tiède caressait la peau humide du genasi, comme lors de ces jours heureux, pas si lointains, ou le vent troubla la face tranquille de l’océan. Elle devait savoir. Si elle avait été de ces minaudeuses intriguantes qui sévissent dans les cour des rois et les bordels, elle aurait sans doute battu des cils, offert une bouche en cœur. Mais Elloa n’était pas de celle là, tout ce qu’elle avait a offrir était une beauté brute sans artifice, comme les fleurs sauvages. Ses yeux sombres étaient grave et plongeaient sans détour dans ceux du génasi. Elle allait savoir enfin…- [elfe] Pourquoi ? Au loin, la voix claire de Mussel se mêlait a celle plus grave de Golnam, tandis que les mouvements sec du barbare essayant sa nouvelle arme fendaient l’air dans un sifflement bref. Mais Elloa voguait déjà dans un autre monde…elle était seule face à celui qui détenait les clefs de son destin.
Réputation: 3.5
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ern était de bonne humeur, et en cet instant la mer ne lui manquait pas tant que ça. Il avait observé Abysse et l'elfle sauvage, mais il ne comprenait pas le moindre mot de leur conversation...¤ Mhhhh... Ils sont bien étrange ces deux là... Comme deux amoureux qui se tournent autour, sans vouloir se rencontrer... Leur discution semble fort interressante, mais aussi très privée! Ce n'est pas à moi de me meller de leurs affaires.¤ Kern se reporta vite sur sa soupe. ¤ Vraiment, la cuisine naine, y a qu'ça d'vrai ! Heheheh ! ¤ Il acheva de la déguster à l'instant même ou le hin farceur cessa de parler. Il semblait vouloir une chanson de Golnam, mais qui n'aie pas pour sujet la bière. Alors Kern répondit d'un ton jovial, ayant déjà mit de côté l'incident de l'auberge : -Allez maître nain ! Le petit à raison ! Chante nous quelque chose ! Puis il ajouta en riant en langue naine : è à Enfin, se souvenant de la remarque d'Arek dans l'auberge à propos de l'utilisation de langues etrangères, il se tourna vers lui et lui dit en langue commune : Ne t'en fais pas, fier guerrier, si j'ai quelque chose de vraiment interressant à dire, j'en ferais profiter tout le monde Le marin adressa un clin d'œil à Arek avant de se tourner en souriant vers Gonam, attendant qu'il entame une chanson
«Moi, tricher aux cartes ? Comment le pourrais-je, c'est la première fois que je joue !»Réputation 4,5Pour le meujeus : Ma fiche est ici, la dernière mise à jour date du 08/05/2008.
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