Le retour de Kerlomar en Haute-Forêt, avant un nouveau départ vers les Marches

Troisième jour de la première Chevauchée de Marpenoth, Année de la Magie Sauvage (1372 CV)

Narration : Kerlomar
Temps : Très humide (10°C)
Moment : Début de soirée

Kerlomar reçoit 10 po ( Récompense octroyée par la garde de Sundabar pour les informations divulguées)
Kerlomar reçoit des vêtements neufs
Kerlomar perd 3 po pour la promenade en barque.
Kerlomar gagne une fronde et achète un lot de billes.

erlomar avait quitté Sundabar deux jours après son arrivée dans l’ancienne citadelle naine. Un officier des Ecussards l’avait interrogé lui et ses compagnons sur les événements auxquels ils avaient participé, notant consciencieusement chaque détail de leur récit. Paralléllement, le druide avait tenté d’avoir des nouvelles de Celestia, sans vraiment de résultat, c’est donc résigné que l’agoraphobe Kerlomar reprit la route de la Haute-Forêt. Il avait déniché une place au sein d’un convoi fluvial affrété par la légion d’argent en direction d’Everlund. Un voyage qui n’était pas gratuit bien évidemment et le novice des Gardiens des Feuilles négocia son embarquement en obtenant un prix préférentiel (pouvait-on dire) en devant un rameur occasionnel sur l’une des embarcation menée par de vigoureux hommes du nord et protégé par des hommes de la légion en majorité des guerriers nains peu communicatifs. Le voyage se révéla long, très long car Everlund n’était pas la porte à côté, distante de cent quatre vingt lieues, il allait lui falloir faire oeuvre d epatience et de sérénité à lui et à sa compagne ailée. Le convoi fit halte la veille de l’équinoxe messale à Port-Lhuven, une petite cité marchande située sur la Rauvin, pour le druide, c’était jour de fête car de jour-là on fêtait l'arrivée de l'automne. Kerlomar avait gouté les joies de la navigation tranquille avec comme seules sources de distractions, l’art de faire des nœuds avec un marin demi-orque, participé à une petite escarmouche contre des maraudeurs gobelours un peu trop entreprenant ou encore pêché avec Haridian. Une des rares rencontres qu’il avait apprécié fut celle avec Norémus Astraguan, un halfelin vaillant rieur, aux mains certes baladeuses et à l’humour décalé mais qui demeurait d’une compagnie appréciable. Ce dernier avait embarqué lui aussi à Sundabar et se rendait à Everlund pour y rencontrer des cousins.L’être mètre s’était distingué lors de l’embuscade en faisant mouche presque systématiquement avec sa fronde de guerre, qu’il maniait avec une telle efficacité que le druide en fut si impressionné qu’il demanda humblement à l’halfelin s’il pouvait bénéficier de son enseignement même si une fronde de guerre halfelin n’avait rien de commun avec une fronde commune.

Néanmoins, Norémus se prêta bien volontiers au jeu et enseigna au jeune homme les rudiments de la fronde. Un des marins que le petit homme connaissait, accepta de céder à l’humain une fronde et quelques billes contre quelques pièces sonnantes et trébuchantes. L’entrainement pouvait débuter et le druide apprit vite, si bien le soir où ils accostèrent dans le petit port, il pouvait se vanter de pouvoir lancer une bille à plus de deux mètres.

Kerlomar ne participa pas aux festivités liées à l’arrivée de l’automne. Fidèle à son habitude, il préféra se retirer dans un endroit isolé pour communier avec la Reine de la Forêt et fêter à sa manière cette nouvelle saison. Le lendemain, le convoi quitta le port pour continuer sa route. Et c’est ainsi qu’au terme d’une douzaine de jour de voyage, le convoi arriva dans la cité d’Everlund. Fraichement débarqué,il quitta son petit ami pour rendre la direction de la Maison Verte, le temple de Maïlikki qu’il savait avoir de bon contact avec la confrérie. Isòrion Sil-Amanièl avait répondu au message envoyé par le novice, Kerlomar avait reçu ce dernier le lendemain de leur étape fluviale.

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lenretarf te eldi erdnetta y’t ed dnamed ia iul e ediurdtuah el girel rertnocner y’d nifa ro al ed ema al ed lacol elpmet el etre nosia snad etnesrp ares leruta ud esuetnoc son ed enu enillocetua eniamrah selliue sed etuh al ed siom ud sruoj sreimerp sel snad dnulrev eillar xuep el ut i egayov not recroma te tneiasopmi’s iuq snoisicd sel sirp tnemeniatrec sarua ut egasqsem ec arvecer ut dnauq suon srev rinever siamrosd tuaf et l tnas ennob ne te eiv ne riovas et ed xuerueh semmos suon ramolre

Il fut acceuillit par un vénérable druide, Alerig. Ce fringuant septuagénaire fut heureux d’accueillir dans ses murs un enfant de Thüldae, un de plus précisa-t-il, ce qui ne manqua pas de titiller l’interêt de Kerlomar. Une curiosité vite assouvie puisque à l’entrée du temple végétal apparut la silhouette d’une halfelin que le novice avait déjà entre-aperçu dans la cité du Saule Argenté. Comme Linwëline, Charmaine était versée dans la diplomatie et oeuvrait pour Thüldae. D’une voix douce, c'est la petite femme qui prit la parole en premier, son regard scrutateur posé sur l'homme.

Charmaine Hautecolline

Kerlomar Ribens! Une heureuse nouvelle que voilà! Isòrion Sil-Amanièl avait raison, tu as pris les bonnes décisions. -------------------- Charmaine est une Sagespectre qui a connue la destruction de son clan près des Monts Etoilés, voici déjà plusieurs printemps. Depuis, sa route à croisée celle des Gardiens Sylvestres dont elle sert fidèlement la cause. Malgré la douleur de la perte des siens, vous ne verrez jamais une quelconque trace de mélancolie ou de tristesse chez elle. Toujours le sourire aux lèvres, elle régale les habitants de Thüldae de ses histoires et ses chants.

La Maison Verte. Kerlomar la voyait enfin et il poussa un soupir de soulagement en y entrant. Surtout que le druide qui l'accueillit le fit avec beaucoup d'égards et le druide damarien ne put s'empêcher de sourire quoiqu'il s'étonna aussitôt en apprenant qu'il n'était pas le seul envoyé de la Confrérie présents dans ces lieux. Et ainsi, il se retrouva avec une jeune femme halfelin devant laquelle il s'agenouilla pour ne pas lui donner l'impression de la dominer et s'inclina autant que sa position basse le lui permettait.

- Bonsoir à vous mademoiselle. Je ne pourrais dire avoir pris les bonnes décisions, mais au moins visiblement j'ai pris celles qui me mèneraient à bon port. Et je suis heureux de revoir des habitants de Thüldaë, je craignais de ne jamais revoir la cité du Saule Argenté.

Repenser aux décisions qu'il avait prise pour arriver jusqu'ici fit sourire le druide des Vaux. En effet, il n'osait pas l'avouer mais le fait de ramer pendant prêt de douze jours, même si cela l'avait exercé et sûrement musclé légèrement, lui laissait des courbatures et un mal de bras assez important. Il avait d'ailleurs l'impression d'avoir deux pierres à la places de ses membres supérieurs. Mais il ne regrettait pas ce voyage et ce mode de transport. Car même si cela lui avait été parfois pénible sur le plan physique, il en avait retiré beaucoup plus qu'il n'avait pu en subir. Il savait désormais faire des noeuds de marins, même sans tous les connaître, et surtout, il avait fait une rencontre aussi étonnante qu'instructive. Lui qui n'arrivait pas à se lier avec les gens, qui l'avait prouvé maintes fois dans sa prison à lutter contre les yuans ti, montrant constamment son déplaisir à être avec les deux semis elfes qu'il aurait volontiers abandonné ou même réduit en bouille à la place de leurs gardes chiourmes. D'ailleurs, en regardant la jeune femme qu'il avait devant lui, il se demandait si elle appartenait à la même ethnie que Norémus Astraguan. Personnellement, il ne savait pas du tout comment reconnaître telle ou telle ethnie chez les hins.

Tout en repensant à son camarade de traversée, Kerlomar se saisit de la fronde qui pendait à sa ceinture et la passa entre ses doigts. Cela ne faisait que peu de temps qu'il possédait une telle arme et encore moins de temps qu'il savait la maîtriser de façon suffisante, du moins il l'espérait, pour pouvoir se battre avec.

Se battre. Personnellement, il espérait ne pas avoir à combattre de nouveau, même s'il savait qu'il allait devoir recommencer à plonger le cimeterre qui pendait à sa ceinture, sans fourreau, dans la chair d'un être vivant. Il répugnait à ôter la vie d'êtres vivants même si après se qu'il avait vécu, il savait que cela se trouvait parfois être une nécessité. La preuve lui en avait été une nouvelle fois apportée lors de l'embuscade tendue par des gobelours, créatures qu'il voyait pour la première fois, et il devait bien se l'avouer s'il en restait à l'esthétique et à l'odeur, il ne désirait pas rencontrer de nouveau.

Son regard se posa de nouveau sur l'halfelin quand il se redressa avant de se relever complètement. Il la regarda en souriant puis lui demanda d'une voix chaleureuse et enjouée.

- Alors, quelle est la suite ?

Troisième jour de la première Chevauchée de Marpenoth, Année de la Magie Sauvage (1372 CV)

Narration : Kerlomar
Temps : Très humide (10°C)
Moment : Début de soirée

a suite ? Charmaine le lui expliqua. La réalité s’imposa rapidement au novice des Gardiens des Feuilles, on ne lui permettrait pas pour le moment de rentrer à Thüldae,car une nouvelle fois, on réclamait l’aide de la confrérie et pour une mission peu ordinaire pour le druide qui allait faire œuvre de diplomatie et de patience. En effet, le prélat qui accompagnait Charmaine avait sollicité l’aide de la confrérie pour accompagner un envoyé de la Maison Verte auprès d’une jeune communauté forestière répondant au nom de Vifbois qui s’était installée à proximité du Bois d’Argent à proximité des Landes Eternelles.

Charmaine Hautecolline

- Le bois d’Argent faisait autrefois partie de la Haute-Forêt mais au fil des siècles, les bûcherons qui travaillent dans les bois sur les deux côtés de la route qui relie Everlund à Yartar ont taillé une plaie de trente kilomètres de large dans la forêt. Vifbois est une communauté récente qui sera peut-être éphémère mais en attendant, elle vit du commerce du bois. Ses dirigeants font au moins preuve de jugeote et ont demandé conseils et assistance à la Maison Verte d’Everlund et qu’il leur prodigue des conseils sur la faune et la flore de cette région afin d’éviter les imprudences. Une démarche intelligente pour une fois. Tu accompagneras donc Alerig ici présent, cela va te permettre en plus selon les propos de notre cher archidruide renforcer ton instruction. -------------------- Charmaine est une Sagespectre qui a connue la destruction de son clan près des Monts Etoilés, voici déjà plusieurs printemps. Depuis, sa route à croisée celle des Gardiens Sylvestres dont elle sert fidèlement la cause. Malgré la douleur de la perte des siens, vous ne verrez jamais une quelconque trace de mélancolie ou de tristesse chez elle. Toujours le sourire aux lèvres, elle régale les habitants de Thüldae de ses histoires et ses chants.

Instruction ? Oui, il était toujours utile de connaître la faune et la flore de la région dans lequel on évoluait d’autant que le druide ne connaissait que très peu cette région, plus habitué de et Kerlomar, d’évidence n’en avait pas terminé avec les Marches d’Argent et les régions frontalières, c’était ce que laissait en tout cas présager sa discussion avec la Conteuse du Naturel.

Charmaine Hautecolline

- Cette mission devrait te tenir éloigné trois ou quatre chevauchées, pas plus, enfin pour le moment dit Charmaine tout en dévisageant Kerlomar et d’esquisser un léger sourire, je parle, je parle, Alerig t’a fait préparé une chambre et une collation. Il me tarde de connaître tes péripéties avec pour que je puisse les rapporter à Thüldae -------------------- Charmaine est une Sagespectre qui a connue la destruction de son clan près des Monts Etoilés, voici déjà plusieurs printemps. Depuis, sa route à croisée celle des Gardiens Sylvestres dont elle sert fidèlement la cause. Malgré la douleur de la perte des siens, vous ne verrez jamais une quelconque trace de mélancolie ou de tristesse chez elle. Toujours le sourire aux lèvres, elle régale les habitants de Thüldae de ses histoires et ses chants.

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Précédé par le maître des lieux, l’enfant vert et l’humain se rendirent jusqu’à une pièce qui servait de salle commune, une grande table ovale entourée de chaise trônait en bonne place non loin d’une grande cheminée qui rayonnait d’un bon feu de bois, une marmite en fonte était disposé plus haut et répandait dans la pièce l’odeur d’une soupe au choux et aux pomme de terre. Sur la table une corbeille de fruit de saison attendait le bon vouloir des convives. Charmaine monta sur un tabouret rehaussé spécialement pour les êtres de sa taille et attendit que le druide prenne place et lui narre par le détail ses dernières aventures.

Kerlomar écouta très attentivement se que lui dévoila sur sa prochaine mission la femelle hin et il la regarda un peu plus gravement qu'il ne l'aurait voulu à la fin de la diatribe. Ainsi, il allait être renvoyé en mission, même si celle-ci était sensée être plutôt calme, juste accompagner un homme dans ce village, Boisvif, dont il ne connaissait rien, afin qu'il leur livre des conseils pour continuer à exploiter la nature sans la détruire définitivement.

$ S'ils comprennent qu'ils peuvent prendre à la nature mais lui donner également, on est peut-être enfin tombé sur des êtres intelligents. Puisse leur exemple se faire connaître partout. ¤

Seulement, Kerlomar ne voulait pas se laisser aller à la joie et à la tranquillité. Il avait été chargé d'accompagner l'archidruide de Thüldae et de l'escorter, et il s'était retrouvé dans une prison tenue par des gardes chiourmes des plus étranges, des Yuan Ti. Le druide n'en avait jamais vu auparavant mais il se disait que maintenant, plus jamais il ne pourrait les oublier. Penser à eux le poussa d'ailleurs inconsciemment à porter sa main droite à son coude gauche, là où pour le restant de ses jours, il porterait une cicatrice due à une blessure qui avait failli lui couper le bras, s'il n'avait pas eu la chance de son côté. Et Charmaine Hautecolline voulait qu'il lui raconte se qui lui était arrivé, sûrement pour ensuite tout raconter à son tour au guildmestre. Mais Kerlomar devait s'avouer qu'il n'en avait pas vraiment envie. N'ayant jamais été d'un naturel bavard, il allait devoir se forcer à parler, même s'il savait qu'il pouvait tirer un certain plaisir à raconter tout cela à une barde. Si seulement il avait voulu connaître la gloire, il l'aurait fait dans ce but à défaut d'un autre. Mais bon, il le ferait au moins pour se retirer un poids.

Cependant, une fois de plus, il reporta le début de son récit en entendant son interlocutrice lui dire qu'il avait une chambre et lorsqu'elle l'amena dans une pièce chaude où plainaient des odeurs délicieuses de soupe. Kerlomar en avait l'eau à la bouche et s'était à peine s'il se mettait pas à baver tellement il était affamé. Mais, faisant montre d'un minimum d'éducation et de savoir vivre, il se tourna vers la jeune femme et lui dit dans un demi sourire.

- Je crains malheureusement que mon histoire soit aussi courte qu'inintéressante. Je n'ai guère le talent des bardes et je ne sais pas parler de moi. Mais puisque vous le souhaitez, je vous la raconterai en mangeant.

Troisième jour de la première Chevauchée de Marpenoth, Année de la Magie Sauvage (1372 CV)

Narration : Kerlomar
Temps : Très humide (10°C)
Moment : Début de soirée

harmaine attrapa quelques noix qu'elle décortiqua tout en écoutant la réplique du novice, son visage ne trahissait nulle émotion et quand ce dernier eut terminé, elle le dévisagea.

- L'art et la manière de conter une histoire ne m'interesse nullement Kerlomar, soit rassuré. Mais le contenu de ton histoire lui par contre peut être riche en enseignement. D'autant que les dangers qui résident dans les Marches d'Argent ont une fâcheuse tendance à rejaillir sur la Haute-Forêt d'autant que nous avons eu à souffrir déjà de la présence de ces reptiles.

Charmaine se garda bien de dire qu'inversement, la réalité était aussi vraie. Au même instant, une jeune femme pénétra dans la pièce et commença à fair ele service. Kerlomar et l'enfant vert se retrouvèrent très vite devant une bol de soupe contenant des légumes taillés grossièrement. Une cruche d'eau et des gobelets en terre cuite complétaient le tableau avec en prime une miche de pain gris. Le repas pouvait débuter. C'est ce qui se passa dans un silence presque monacal.

- Très bien, donc je suppose que je n'ai plus de raisons d'essayer de m'esquiver.

Kerlomar se tût en voyant arriver une femme qui fit le service et posa devant lui un bol de soupe ainsi que du pain. Malgré la présentation de la dite soupe, Kerlomar dut se retenir de se jeter dessus pour ne pas paraître trop malpoli aux yeux de Charmaine, bien qu'affamé comme il l'était, il aurait pu dévorer la table avec.

Cependant, il mangea avec appétit, profitant de tout se qu'on lui avait servi. Lorsqu'il eut fini, il ne lui restait plus une miette dans son assiète ou alentour et il se servit un verre d'eau, faisant un signe à la jeune femme l'accompagnant pour lui demander si elle en désirait elle aussi. Puis, reposant la cruche de terre cuite, il reprit la parole en regardant la femelle hin, réfléchissant à se qu'elle lui avait dit auparavant.

- Je n'ose imaginer pour quelles raisons des Yuan Ti viennent jusqu'ne Haute Forêt. Enfin bon, je me lance. Kerlomar se racla la gorge pour se donner courage ou un peu plus de contenance et commença son récit. Un peu après avoir quitté Gosterotti, j'ai marché vers l'est pour aller au Bois Froid ou nous devions aller cueillir certaines plantes endémiques nécessaires au Haut Druide. Pendant la premième journée, j'ai fais la rencontre d'une femme qui avait la même destination que moi et nous avons fait chemin ensemble. Elle s'appelait Astria. Mais le soir, après avoir décidé de camper à l'abri d'une falaise pour la nuit, j'ai été réveillé par une lame sous la gorge et un " homme " pour préciser son doute, le druide damarien fit le signe des guillemets à l'aide de ses doigts en prononçant ce mot sur moi pour m'empêcher de bouger. Ils m'ont mis un sac sur la tête et emmener dans une bâtisse dans laquelle ils m'ont enfermé dans un filet suspendu et où j'ia pu voir que je n'étais pas seul dans ce cas là. Il y avait trois autres prisonniers vivants avec moi et un couple décédé en train de se faire dévorer. On a profité, un nain nommé Horïn et moi, de brutis de combats dans une salle au-dessus de la notre pour s'évader et tuer le gardien. Puis on a été rejoint par une femme et un prêtre/druide qui se battaient plus haut et on a tous ensemble tout fait pour s'échapper. Puis, une fois dehors, j'ai envoyé un message à Isorion comme vous devez le savoir et ensuite on a été trouvé sur la route de Sundabar par une patrouille montée. Il me semble d'ailleurs que sundabar soit décidée à aller purger cet endroit de tous ses habitants. Reprenant un peu sa respiration, son souffle, Kerlomar regarda charmaine en souriant légèrement et attendait qu'elle reprenne la parole. Voilà, c'est fini.

Au fait, quand dois je partir pour Vifbois ? Dès demain matin ?

[font=Optima][color=purple]Narration : Kerlomar

out se passa très vite, Kerlomar passa une nuit bien reposante et repartit sur les route dès le lendemain avec Alerig. Arrivé sur place, il apprit la patience et l'humilité en étant à l'écoute des populations et se mettant en service des autres. Un mois d'une vie riche en rencontre et en expérience où comme à son habitude il prit sur lui, énormément sur lui.

Au terme de ce mois, le duide était de retour à four Olostin, vengé de fatigue, mais certainement heureux d'avoir beaucoup apprit. La confrérie allait lui confier déjà une autre mission. Il allait retrouver sur place Linwëline.

Xp à jour et missions envoyé par MP dans le courant de la semaine prochaine avec correction fiche.

Fin d'aventure.