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L'or et le Sang à Morteneige, Là où on trouve de l'or, tout va mal
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Gardien des Feuilles
Chambre 26
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La bataille était finie. La bataille était finie et la victoire leur appartenait. Pourtant, bizarrement, pour le druide de Cormanthor, cela n'était pas forcément une source de réjouissances. Même plutôt le contraire. C'était la première fois de sa vie qu'il se voyait avoir recours au langage des armes avec des membres de peuples considérés comme bons. La dernière fois qu'il s'était battu et avait fait coulé le sang, c'était en affrontant des Yuan-Ti, et même à ce moment là, le seul qui était mort, était mort des suites des blessures infligées autant par lui-même que par le nain.
Malgré les déplacements autour de lui, Kerlomar ne parvint pas à détacher son regard du milicien étendu sur le sol. La plaie qu'il avait au visage était bien du druide et voir autant de sang coulait le clouait sur place. Il pouvait dire tout se qu'il voulait, il ne s'habituait vraiment pas à voir le sang couler. Alors en être en partie responsable n'allait pas l'aider à alléger sa conscience.
¤ Dis toi que tu l'as fait pour mettre fin à une activité contraire à la loi et à la société. C'est un traitre et il travaillait pour une criminelle. ¤
Cependant, comme il s'y attendait, cette maladroite claque mentale ne l'aidait pas à aller mieux. Il s'en voulait de ne pas avoir été plus convaincant envers le milicien, pour le pousser à se rendre sans se battre, sans risquer de mourir. Aussi étrange que cela pouvait sembler l'être, il ne parvenait pas à en vouloir au soldat qui se vidait de son sang, convaincu d'être seul responsable de son état. En effet, Amur lui l'avait seulement assommé en le frappant à coups de poings, alors que lui n'avait pas hésité à utiliser son cimeterre pour le terrasser. Pourquoi avait il fait cela ? Qui était il pour s'être permis un tel geste ? Finalement, il ne valait pas mieux que les membres de la bande de Vandar puisqu'il répondait aux armes par les armes. Etant du côté du bien, de la loi, il aurait du essayer de résoudre pacifiquement ce conflit. Après tout, Maïlikki n'était pas une déesse guerrière. Mais, songea t-il, même elle prenait parfois les armes pour défendre se qu'elle avait de plus cher. Seulement, y penser ne l'aidait pas à se sentir moins coupable.
Kerlomar fut brutalement ramené à la réalité par Amur qui lui demandait si ça allait. Tout en contradiction, le druide lui répondit par un sourire crispé qui signifiait qu'il allait bien mais que sa blessure lui faisait un mal de chien. En effet, lui-même perdait du sang par sa plaie au bras droit et il se demanda comment il avait pu bien réussir à continuer à se battre en étant blessé au bras directeur. Mais bon, il pouvait toujours se soigner. Cependant, le groupe et la milice de Morteneige avait besoin de toutes les informations que pouvait détenir le milicien, aussi la guérison du valien devrait attendre, la priorité étant cella du soldat maintenant arrêté. C'est pourquoi Kerlomar se baissa sur le corps allongé et le fouilla pour en récupérer toutes les armes et les jeter au loin avant de s'agenouiller et de prononcer quelques paroles dans une drôle de langue tout en apposant ses mains au-dessus du visage du milicien, afin de précipiter la fermeture de ses blessures et favoriser sa guérison. Puis il se leva, cimeterre dans sa main gauche, rangea sa fronde à sa ceinture après l'avoir gardé en main durant tout le combat et tourna de nouveau la tête du côté d'Amur pour prendre la parole.
- Dites, vous ne pourriez pas me verser sur ma blessure ce liquide que vous avez dans la main. Je crois que ça ne peux pas me faire plus de mal.
Fouilles le milicien pour lui retirer toutes ses armes, puis lances soins légers dessus afin de le soigner et le mettre en état pour subir un interrogatoire ou au moins être déplacé.
Que Maïlikki t'ait en sa sainte gardeSorts mémorisés : Niveau 0 : Soins superficiels, Illumination, Lumière, Détection de la magie. Niveau 1 : Soins légers (x2), Enchevêtrement, Insolation. Niveau 2 : Peau d'écorce, Convocation d'alliés naturels 2, Constitution de l'ours. Niveau 3 : Communication avec les plantes, Soins modérés. Tours de Haridian : Chasse, Cherche, Viens, Surveilles, Va chercher, Arrêtes, Gardes, Attaque. Réputation 2Fiche de Kerlomar Ribens
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Frère-Licorne
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Kerlomar semblait quelque peu hagard lorsqu'il répondit à Amur. Celui-ci reconnut le regard et les mouvements saccadés qui accompagnaient un état de choc. Il ne l'avait vu qu'à de rares occasions jusqu'ici, mais la première l'avait marqué à jamais et le reconnaitrait maintenant entre mille. D'expérience, il savait que l'impression première, la sensation de décalage et de perte, passerait rapidement. Le druide semblait avoir quelques épreuves derrière lui, et il ne devrait pas avoir de mal à surmonter celle-ci.
Repliant le pan de tissu pour trouver un coin vierge de sang, il l'imbiba de liqueur avant de se tourner vers Kerlomar, le prévenant :
- Serrez les dents, ça risque de piquer. Respirez lentement ...
Puis, il entreprit de nettoyer doucement la blessure avant d'y appliquer son cataplasme improvisé par petits coups successifs. Des soins rustiques, de ceux dont on devait se débrouiller en l'absence de magie, mais toujours préférable à la gangrène qui s'installait parfois dans les plaies. Heureusement le risque semblait restreint dans leur cas, les soldats et les hommes d'arme avaient l'habitude d'entretenir leurs armes. Une lame rouillée ou des griffes de bête sauvages auraient été bien plus dangereuses. Le guerrier avait même entendu parler, à l'occasion, de guerriers qui frottaient les pointes de leurs flèches avec des gousses d'ail avant une bataille. Après quelques heures, les hommes blessés par ses traits suppliaient leurs camarades de les achever. Il n'avait que trop constaté à quel point les humains pouvaient chercher à se détruire les uns les autres.
A propos d'humains ... le milicien qu'il venait d'abattre semblait apprécier les effets du sortilège de Kerlomar. Avant qu'il reprenne complètement ses esprits, Amur s'empressa de sortir une corde de son sac et d'entraver les bras de l'homme. Sans ses armes, il ne serait plus très dangereux mais il était inutile de risquer un sursaut de désespoir qui les forcerait à l'achever.
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Frère-Aigle
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Le groupe était parvenu à vaincre leur adversaire et à éviter que le traitre ne prenne la poudre d'escampette, une bonne chose. Le combat avait été rude pour la plupart d'entre eux, en témoignaient leurs blessures. Tenant la pointe de sa lame contre la gorge de l'ennemi qui venait de se rendre, le fils de la Forêt des Ombres riva sur l'humain un regard peu amène tout en serrant les mâchoires. Il sentait déjà ses blessures le tirailler un peu, le sang commençait donc à coaguler et à sécher ce qui lui éviterait dans l'immédiat de les panser. Chaque chose en son temps.
- A terre et à plat ventre, les mains bien à plat sur le sol et évite surtout tout geste inutile!
Il doutait que l'homme se risque à commettre l'irréparable et alors qu'il attendait que le malandrin ne s'exécute, Belgos s'adressa au maître de la phalange de l'Ours.
- Kurtik! Ne trainons pas dans les parages, amenons le milicien et retournons dans Morteneige, nous serons plus à l'aise pour questionner le garçon! Mais il faut nous décider vite, rester ici augmente les risques commandant!
En ces lieux, ils n'étaient pas en sécurité, certe ils avaient vaincu mais la loi de Morteneige s'étendait-elle réellement au delà des murs de la cité? De prime, celle qui avait été vaincue, n'allait certainement pas s'avouer vaincue aussi facilement. Kurtik en était certainement conscient, d'autant que le groupe avait essuyé quelques déconvenues qu'un endroit sécurisé leur permettrait d'y voir plus clair. Mais avait-on réfléchit à un moyen de faire retraite? ou avait-on aménager une porte de sortie? Improviser et s'adapter, deux mots que le demi-elfe commenaçit à savoir utiliser avec brio.
Une fois l'homme à terre, Belgos utilise maitrise des cordes pour attacher l'homme avec sa corde en soie puis utilise fouille sur tous les coprs des hommes tombés.
Fidèle à mes origines, fraternel avec mes amis, impitoyable avec mes ennemis. Réputation 7Fiche BelgosPj's: Belgos Dalaèl (Compagnie des Marches) et Télim OsonsaarPnj's: Adrian (Conseiller) Isorion (MG Gardiens Sylvestre), La Guetnorn, Shevarra (Compagnie des Marches.)
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Scribe Officiel
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Treizième jour du Coeur de l'Hiver, année des Dragons Renégats13 martel 1373 (CV)Lieu : Morteneige, Marches d'Argent Temps : nuageux, - 5° Moment : vers 09h25FIN DU COMBATCliquez ici pour dérouler le parchemin... Kebur : sort soins légers sur Aziraphel et Garjzlasa : Aziraphel récupère 8 PV Garjzlasa récupère 8 V Garjzlasa est guéri
Kerlomar : sort soins légers sur le milicien Milicien récupère 10 PV Le milicien revient à la vie
Test de fouille de Kerlomar sur le milicien DD10 : 12(dé) => Réussite
Kerlomar trouve sur le milicien : - cimeterre, - dague - bourse (4 PA, 2 PC) -briquet à amadou
Amur ligote le milicien. Test maîtrise des cordes d’Amur: : 15(dé) + 10(bonus) = 24 vs Test Test d’évasion du milicien 14(dé) => Réussite
Belgos ligote l’archer. Test maîtrise des cordes de Belgos: : 11(dé) + 5(Compétence) + 2(bonus) + 10(bonus) = 27 vs Test Test d’évasion de l’archer 3(dé) => Réussite
Test de fouille de Belgos sur tous les corps DD10 : 8(dé) + 8(compétence) +1(bonus racial) = 16 => Réussite
Belgos trouve sur les corps : - 2 haches de guerre naine, - arbalète légère, - 2 épées longues, - hache d’arme, - bourses contenant au total : 2 PO, 1 PA, 6 PC, - blague à tabac, - 8 carreaux, - 2 dagues, - 1 fronde, - jeu de talis,
Narration Kurtik :Kurtik regarda Kebur soigner Aziraphel et Garjzlasa. Il approuva l’action d’un hochement de tête, content de voir tous ses hommes en bonne forme après ce combat qui aurait pu se terminer d’une manière bien plus dramatique.- Bravo à tous. Vous vous êtes tous bien battus. Vandar est neutralisé. Il contempla Kerlomar qui jetait un sort sur le milicien bien mal en point. Le sort visiblement avait réussi, car déjà l’homme ouvrait les yeux sur son sauveur qui heureusement, avait eu la précaution de le fouiller et ainsi de lui ôter toutes ses armes. Nulle reconnaissance ne brillait dans le regard du milicien. Le nain s’apprêtait à le ligoter lorsqu’Amur le devança. - Tu as raison. Un mauvais coup est à prévoir de ce traître. Il faudrait d’ailleurs l’interroger. Peut-être a-t-il des complices dans la milice. Il se tourna vers l’autre ennemi survivant, l’archer que Belgos ligotait également.- Celui-là aussi, il faudrait l’interroger. Mais pour l’instant, alors que Belgos entreprenait une fouille de tous les corps, Kurtik pensait lui à quelque chose de plus important à ses yeux posés sur l’escalier menant au premier étage.- Ces deux gaillards sont ficelés comme des saucissons. Nous sommes tranquille. Profitons-en pour fouiller le premier étage. Soyez sur vos gardes, intima le chef de phalange en se saisissant à nouveau de sa hache.
Il entreprit de gravir les marches qui grinçèrent sous son poids. Parvenus à l’étage, il contempla le petit couloir faiblement éclairé par une lampe à huile. Six portes apparaissaient, toutes ouvertes sauf une. Avisant la porte la plus proche, il poussa le battant entrouvert et pénétra dans ce qui s’avéra être un petit dortoir où plus d’une dizaine de lits vides s’y trouvaient alignés.
Fichier joint ( Nombre de téléchargements: 153 )
Maison_vandar__1er__tage.JPG
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Gardien des Feuilles
Chambre 26
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En effet, le druide fut bien contraint et forcé de serrer les dents bien fort pour ne pas pousser un gémissement de douleur. L'alcool fort sur la chair à vif n'était vraiment pas une partie de plaisir, même si cela au moins désinfectait la blessure avant que différentes choses peu reluisantes se déposent dessus et dedans. Il vit ensuite le milicien lui faire un bandage et il le remercia d'une petite voix, se plaçant contre le comptoir de bar pour éviter de tomber au sol. Car la perte de sang lui faisait un peu tourner la tête et il avait utilisé son seul sort de soin valable sur ce traitre de milicien qui ne le méritait vraiment pas. Mais comme tout le monde était d'accord sur le fait que le milicien devait être ramené vivant aux autorités de Morteneige afin d'être interrogé, il avait agi de la façon la plus raisonnable possible pour mettre à bien cette mission. Quitte ensuite à serrer les dents pour ne pas pousser de cris de douleurs à cause d'une blessure au bras droit qui le lançait et qui piquait encore plus depuis que de l'alcool avait été versé dessus. D'ailleurs, de tous ceux anciennement trop blessé, il était le seul à ne pas avoir reçu de soins du prêtre nain. Cependant, cela ne le dérangeait aucunement, se disant qu'en disposant lui aussi, il était apte à se soigner tout seul, et puis, la nuit l'aiderait à cicatriser et à récupérer force et santé. En attendant, il avait de légers vertiges mais il allait faire avec. Il avait l'habitude d'être blessé par arme blanche, et d'ailleurs, encore une fois, c'était du à un cimeterre. Cimeterre qu'il ramassa et posa sur le comptoir derrière lui afin que le milicien, même ligoté, n'essaie pas de s'en approcher afin de sectionner ses liens.
- Chef, que fait on pour tout le matériel trouvé sur les morts et les prisonniers ?
Cependant, Kerlomar eut un doute sur l'obtention d'une réponse quand il vit que Kurtik semblait intéresser par l'étage qui servait aux dortoirs. D'ailleurs, le damarien aussi se trouvait intrigué et surtout souhaitait savoir s'il y avait de nouveaux adversaires probables ou alros des objets de contrebande, des objets de valeur, la cache d'or de Vandar ou autre, qu'en savait il. Enfin pour sa part, s'il trouvait la cachette d'or, il comptait bien en reverser son contenu aux pauvres de Morteneige, afin que cette calamité qu'était la découverte d'or prêt d'une cité serve tout de même aux habitants les moins chanceux. Voire même en garder pour participer au financement que la confrérie. Après tout, c'était le moins qu'il pouvait faire pour les remercier de lui avoir fourni presque tout le matériel qu'il avait en ce moment ou chez Dame Piqueglace, ainsi que les dix pièces de platine qui à son arrivée à Morteneige habitaient sa bourse de cuir. Enfin, il ne devait pas mettre la charrue avant les boeufs et voir pour savoir. Néanmoins il s'empara de la dague, des pièces d'argent et de cuivre ainsi que du briquet en amadou et comptait bien revenir prendre le cimeterre avant de repartir afin de le revendre en ville.
- Bon bas allons là-haut voir se qu'il y a alors. Mais quelqu'un devrait quand même veiller sur nos deux loustics, au cas ou ils auraient une mauvaise idée ou un dernier tour dans leur sac.
Lâchant cette phrase tout en donnant l'impression de penser tout fort ou de ne parler que pour lui même, le druide regardait l'escalier, que venait juste d'emprunter le chef nain. Cimeterre en main, on est jamais trop prudent, il monta à sa suite et vit Kurtik entrer dans le dortoir de droite, il avança donc jusqu'au dortoir suivant qu'il fouilla. Il avait vu qu'une pièce semblait fermée, cependant il préférait visiter toutes les autres avant de s'intéresser plus amplement à cette dernière.
Fouille, détection deuxième pièce de droite.
Que Maïlikki t'ait en sa sainte gardeSorts mémorisés : Niveau 0 : Soins superficiels, Illumination, Lumière, Détection de la magie. Niveau 1 : Soins légers (x2), Enchevêtrement, Insolation. Niveau 2 : Peau d'écorce, Convocation d'alliés naturels 2, Constitution de l'ours. Niveau 3 : Communication avec les plantes, Soins modérés. Tours de Haridian : Chasse, Cherche, Viens, Surveilles, Va chercher, Arrêtes, Gardes, Attaque. Réputation 2Fiche de Kerlomar Ribens
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Frère-Aigle
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Les instructions du nain étaient données au grand dam de Belgos qui songeait logiquement aux risques encourus en ces lieux d'autant que les fuyards pouvaient rameuter à loisirs des renforts et revenir en force pour cette fois laminer leur groupe. Ils ne bénéficiaient pas de la relative sécurité de l'enceinte du bourg fortifié et si eux avaient besoin de renfort...autant aller à la chasse au dahu...Mais les ordres étaient les ordres... Belgos récupéra ses affaires, grimaça en sentant sa blessure lui tirailler les chairs, il chassa la douleur de son esprit avant de se concentrer sur ses actions. Il empocha en premier lieu l'argent et vérifia l'état général des armes qui semblaient de factures assez vulgaire, rien d'intéressant. Peut-être que Tymora veilleraient un jour qu'il puisse disposer de cet arc tant convoité. Avant d'emboiter le pas à Kerlomar et au frère des marches, Belgos s'adressa à Aziraphel et Kebur.
- Pouvez-vous restez ici pour surveiller ces deux drôles et s'ils ont assez de force pour parler les interroger, cela nous permettra au moins d'avoir une arrière garde pour nous couvrir au besoin et nous prévenir de toute intervention...inappropriée...et au besoin nous rejoindre à l'étage.
Un léger sourire ourla les lèvres de l'A'Tel'Quess. Il avait songé un instant frapper les deux lascars pour les rendre inconscient et ainsi que tout le groupe soit ensemble pour fouiller l'étage mais le risque encouru était gros de ne pas assurer ses arrières. Toutefois il ne souhaitait pas forcer l'humain et le fils de la pierre à obéir à un ordre qu'ils pouvaient juger inopportun.
- A moins que vous vouliez participer pleinement à la visite du propriétaire mais dans ce cas, attentions à ceux là, dit-il en désignant les prisonniers." A vous de voir, je ne veux en aucune façon vous brider camarade....
Belgos se dirigea vers l'escalier, tout en invitant Amur à le suivre ainsi que Garjzlasa et monta quatre à quatre les marches pour rejoindre le druide et Kurtik qui commandaient déjà à fouiller les lieux. Là encore le rôdeur tiqua. Cinq portes ouvertes, une de verrouillée. Voilà qui était d'ors et déjà plaisant. Alors que le nain et l'humain s'occupaient de fouiller les pièces de droite, Belgos se rapprocha de la pièce qui demeurait verrouiller. Il voulait éliminer tout doute de son esprit avant d'aller plus loin et de limiter aussi les mauvaises surprises. Ce n'était pas le moment d'être bloqué dans un couloir et de chasseur devenir des proies faciles....Il tira sa lame de son fourreau...Devait-il y aller au culot? Amur et Garjzlasa qui devaient le suivre comprendraient-ils sa démarche et l'appuieraient-il? Que de questions mais dont les premières réponses n'allaient pas tarder...
Belgos utilise détection, perception auditive et tout ce qu'il faut tandis qu'il s'approche de la pièce. Une fois arriver sur place, s'il ne détecte rien, il tente de l'ouvrir en frappant à la porte tout en disant c'est moi. Si elle est ouverte, tant mieux si elle est verrouiller, ben il va falloir qu'on l'ouvre. S'ils détectent quelque chose alors il reste sur le qui vive prévient les autres.
Fidèle à mes origines, fraternel avec mes amis, impitoyable avec mes ennemis. Réputation 7Fiche BelgosPj's: Belgos Dalaèl (Compagnie des Marches) et Télim OsonsaarPnj's: Adrian (Conseiller) Isorion (MG Gardiens Sylvestre), La Guetnorn, Shevarra (Compagnie des Marches.)
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Frère-Licorne
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Garjzlasa savait dorénavant qu’un combat pouvait apporter beaucoup : la connaissance, l’expérience, mais aussi le danger, voir la mort. Ici, par exemple, la mort aurai pu passer dire bonjour à l’ensorceleur, et c’est cette proximité qui l’as rendu plus fort. Loin d’un hommage à son dieu, l’humain était ici un survivant plus qu’autre chose. Et il était fier de sa prestation.
¤Le bilan : deux prisonniers, et un établissement non fouillé. Les interrogatoires, ça à jamais été mon fort… On va laisser ça aux gens compétents. Et on va partir fouiller les lieux. T’en pense quoi ? … Ca va pas être dangereux, t’inquiète pas… Et puis de toute façon, tu te planque a chaque fois donc bon… et puis je fais ce que je veux, alors j’y vais ! Et comme ça j’obéis aux ordres, qui pour le coup m’arrangent bien.¤
Discutant avec Sirth sur la nécessité de repartir ou non vers le danger, la finalité fut assez rapidement tranchée. Garjzlasa entama alors son ascension des escaliers, et vint rejoindre Kerlo et Belgos. Le programme de Belgos paraissait suffisamment bien pour qu’on y prête attention, et c’est pourquoi il fut suivi dans sa généralité.
Arrivé sur le palier, l’ensorceleur rechargea son arbalète, ajustant le carreau, et dégaina la dague qu’il avait obtenue à l’armurerie. Tenant l’arbalète chargée dans une main, et la dague dans l’autre, il avança doucement à travers le couloir, sondant la moindre trace de présence dans les chambres. Il n’avait certes pas la perception aveugle des Plus Puissants, mais il se fiait à l’ouie du sang de Bleu qui coulait dans ses veines.
En parlant du Bleu, l’ensorceleur remarqua avec amusement que son héritage n’était pas encore totalement parti, et qu’il aurai l’occasion de souffler une dernière fois. C’était comme si l’énergie profane qui l’alimentait avait resurgie de nul part, et lui laissait ainsi une chance de prouver encore une fois sa valeur. Décidément, que ce soit Hlal ou le Bleu, ils en voulaient plus.
Arrivant à la seconde porte à gauche, l’ensorceleur se pencha sur la porte et l’ouvrit avec le pied, tout en gardant l’arbalète bien en main, prête à abattre un égaré. Si cet égaré dormait, la dague suffira.
Garjzlasa monte, fait perception auditive dans le couloir, puis ouvre avec précaution, arbalète en main et dague prête, la seconde porte à gauche.
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Frère-Aigle
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Le brider ? Que neni ! Jamais un Poindanel n'avait-il été brider ou entraver d'aucune sorte, et ce n'est pas avec la proposition d'un ami que cela allait commencer ! Non, Kebur resterait à surveiller les deux sbires saucissonnés, rien que pour avoir le plaisir de les questionner lui-même, avant les autres - d'en savoir potentiellement plus que les autres pendant un fugitif instant. Aussi le sonnlinor acquiesca, et tandis que Belgos se dirigeait vers l'escalier, il le suivit d'un souffle :
-Fait attention à toi mon ami, que Moradin te protège ...
Puis sans attendre la décision d'Aziraphel, le jeune prêtre se tourna vers leurs prisonniers. De quelques tapes peut-être plus vives que nécessaire, il les ramena dans un état de conscience suffisant, et attaqua, incisif :
-Messieurs, sachez que je n'ai aucune patience avec la lie qui peuple les tréfonds miteux d'une cité comme celle-ci. Toi là, estime-toi heureux que la pitié que tu as demandé t'aie été accordée ! Alors messieurs, vous allez répondre à mes questions, sans hésiter, et en vous rentrant bien dans le crâne que vous jouez votre vie.
Sans même un effort conscient, et sans cesser de fixer les deux lascards, Kebur fit luire une maigre auréole autour de son corps, faible apparition de la bonté qu'il servait ...
-Bien. Alors d'abord, noms, prénoms, ville d'origine. Ensuite, depuis quand servez-vous Vandar ? Et surtout, toi espèce de pourri, combien êtes vous dans la milice qui la servez ? Des noms, je veux des noms !
Apprend de tes ancêtres, n'oublie jamais tes rancunes, hait pour toujours les peaux vertes, apprend à te méfier d'un or qui brille dans le noir. Alors tu seras un vrai nain. Réputation: 10 >Fiche de Kebur<
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Frère-Licorne
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Laissant les prisonniers à la garde d'Aziphrael et de Kebur - qui entamait déjà un interrogatoire en règle - le guerrier emboita le pas à Belgos, montant l'escalier avec précaution. Certes, une armure n'était jamais très discrète, mais ce n'était pas une raison pour annoncer sa venue à grand renfort de grincements de marches ...
Arrivé en haut, un coup d'oeil lui résuma la situation : Kebur, Kerlomar et Garjzlasa vérifiaient déjà les portes ouvertes alors que Belgos s'approchait d'une autre, verrouillée, pour tenter un coup d'esbroufe. Comprenant son plan, le guerrier dégaine doucement son épée avant de se placer à côté de la porte, contre le mur. Si la porte s'ouvrait il demeurerait invisible de l'intérieur et serai prêt à bondir pour prêter main-forte à Belgos. D'un hochement de tête, il lui confirma qu'il était prêt.
¤Et maintenant, voyons si ça marche ...¤
Le guerrier, cependant, plissait le front, pensif. Ils avaient tout intérêt à sécuriser rapidement l'étage car, Vandar s'étant enfuie, ils risquaient de voir arriver rapidement d'autres malandrins. Et si c'était le cas, leur meilleure chance serait de se barricader à l'étage, sous peine de perdre leurs prisonniers. Inutile de seulement espérer du renfort, personne ne viendrait les aider ce soir...
Amur monte l'escalier et se place à côté de la port, arme en main, en utilisant déplacement silencieux.
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Scribe Officiel
Aucune chambre
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Treizième jour du Coeur de l'Hiver, année des Dragons Renégats13 martel 1373 (CV)Lieu : Morteneige, Marches d'Argent Temps : nuageux, - 5° Moment : vers 09h30Cliquez ici pour dérouler le parchemin... Kerlomar fouille la pièce dans lequel il entre. Test de fouille de Kerlomar dans la deuxième pièce de droite DD10 : 12(dé) => Réussite kerlomar trouve dans la pièce : - bouteille de vin vide, - gants de cuir,
Belgos cherche à détecter une présence dans la pièce fermée. Test de détection de Belgos : 3(dé) + 11(compétence) = 14 vs Test de discrétion 10(dé) =>[/SIZE] [color=red]Réussite Test de perception perception auditive de Belgos : 16(dé) + 7(compétence) = 23 vs Test de déplacement silencieux 13(dé) + 5(A travers une porte) = 18 => Réussite
Gazjzlasa cherche à détecteur une présence dans une pièce. Test de perception perception auditive de Garjzlasa DD10 : 3(dé) vs Test de déplacement silencieux 10(dé) => Echec
Kebur cherche à intimider humain 2 Test d’intimidation de Kebur : 20(dé) vs Test de niveau ajusté 5(dé) + 1(niveau) + 2(SAG) = 8 => Réussite
Amur monte à l’étage et se poste en un déplacement silencieux : Test de déplacement silencieux d’Amur : 1(dé) Echec automatique
Narration Amur, Belgos, Garjzlasa, et Kerlomar :Kurtik ne trouva rien dans le dortoir qu’il visita. Il ne le fouilla d’ailleurs que superficiellement, car ce qu’il recherchait, c’était la présence éventuelle d’un homme de Vandar. Et il apparaissait clairement qu’il n’y avait personne ici.
Kerlomar avait suivi son chef, et il fouilla le dortoir d’après. A l’instar de Kurtik, il vit immédiatement qu’il n’y avait personne de caché sous les lits. Mais il insista et trouva une bouteille vide, ainsi qu’une paire de gants en cuir.
Belgos les avait suivi de près. Mais alors que Kurtik et Kerlomar avaient préféré voir ce qu’il y avait derrière les portes ouvertes, le demi-elfe s’était tout de suite intéressé à l’unique porte fermée. Il s’en approcha, tout ses sens aux aguets, et il eut instantanément la certitude qu’une personne au moins se trouvait dans la pièce derrière la porte. Il tendit l’oreille et perçut le bruit feutré d’un déplacement qui se voulait silencieux.- A moi ! chuchota-t-il en faisant des gestes pour attirer l’attention de ses compagnons d’aventure. Garjzlasa était déjà passé derrière lui. Après avoir écouté si des bruits provenaient de la deuxième pièce sur la gauche, l’ensorceleur qui n’avait rien entendu, s’y engagea sur ses gardes.
Le dernier à monter à l’étage fut Amur. Il arriva juste à l’instant où Belgos faisait des signes. En conséquence, il décida de le rejoindre immédiatement, posant chaque pied avec attention afin de s’approcher silencieusement. Il parvint ainsi auprès de la porte, mais à cet instant, une latte disjointe du plancher, grinça fortement sous son poids.
Derrière eux, Kurtik qui s’avançait pour les rejoindre, se figea sur place.Narration Kebur et Aziraphel :Au rez de chaussée, seuls étaient demeurés Kebur ainsi qu’Azyraphel qui demeura silencieux.
N’y allanat pas par quatre chemins vis-à-vis des deux prisonniers, le prêtre impressionna particulièrement le milicien qui ne put que répondre à l’avalanche de questions. Il le fit, la tête basse, d’un ton accablé :- Je me nomme Hérien Baltron. Je suis de Morteneige. Cela fait à peine deux mois que je renseigne Vandar. J’ai pas de complice, je le jure. Faut me comprendre, la solde de milicien suffit à peine aux dépenses de tous les jours depuis que l’or a été découvert. La vie est très chère à Morteneige, et j’ai une femme et deux enfants à nourrir. J’ai paniqué en vous voyant, et c’est pour ça que je me suis battu avec ces filous. Que va devenir ma famille sans moi ? Je pourrais vous aider à démasquer d’autres miliciens si vous voulez, plaida-t-il en sa faveur. Car j’ai bien l’impression que c’est un milicien qui a dit à Vandar que je craquerais peut-être pour de l’argent. Elle semblait bien renseignée quand elle est venu me voir pour la première fois. Alors, pitié, implora-t-il !
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