Une arrivée mouvementée..., Shalan, Arkh, Eladote et Ezadryn

Deuxième jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage
2 flammerige 1372 (CV)

Lieu : Tour de Fabian, Cormanthor
Temps : /
Moment :/
MJ

MJ
Narration: Shalan et Arkh

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JS de Réflexe Shalan DD 20 : 11 (dé) +1 = 12 : Echec
JS de Réfléxe Arkh DD 20 : 14 (dé) + 5= 19 : Echec
Jet de constitution Shalan DD15 : 16 (dé) + 0= 16 : Réussite
Jet de constitution Arkh DD 15 : 20 (dé) + 1= 21 : Réussite

on, il ne restait pas un glyphe à découvrir et si celle représentant le nom mille fois bénis de Corellon Larethian faisait bel et bien parti de l’énigme, il en restaient quelques unes à découvrir au préalable hélas pour les deux des aventuriers. Instinctivement, Shalan se crispa en se rendant compte qu’aucun déclic arriva, pire, en une fraction de seconde le sol se déroba sous leurs pieds, ils n’eurent pas le temps de sauter en arrière pour en réchapper et furent happer vers l’inconnu. Quelques secondes plus tard le Chevalier de la Seldarine et le protecteur de la nature entrèrent avec violence dans une masse liquide qui les engouffra littéralement. Incapable de savoir où ils se trouvaient, l’elfe et l’homme cherchèrent désespérément à remonter à la surface pour aspirer goulument cet air si vital à leur survie. Ils y arrivèrent malgré le poids de leur équipement. Difficilement car ils étaient ballotés de gauche à droite par un courant puissant d’un cours d’eau quelconque. Une fois la tête hors de l’eau, ils n’avaient plus aucun repère, autour d’eau de l’obscurité, la plus noire, la plus totale, ignorant réciproquement où l’un ou l’autre se trouvait… Ils furent de nouveau happés par l’eau, vers le fond….

MJ
Narration: Eladote

es yeux ronds, Eldote vit ses compagnons disparaitre par le trou d'une trappe déorbée, n’en croyant pas ses yeux, elle assista impuissante à leur disparition mais le pire n’était pas encore arrivé, le sol retrouva sa forme originale de façon à ce que la moniale qui s’était précipité pour tenter de les secourir trouve « porte close ». La fosse était indécelable et face à elle une porte qui restait obstinément fermé avec des glyphes qui avaient reprit leur place initiale…..Elle était seule.

e chaos, le tumulte, le désespoir, la panique, la douleur, la suffocation et la mort…Le serviteur de Corellon vivait un enfer, sa résistance vaine face au courant inébranlable de ces ténèbres aquatiques. Son armure sensée le protéger contre le mal devenait son propre ennemi, faisant sombrer l’Ar’tel’Quess sous son poids telle une ancre d’un navire. Combattif et doté d’une foi inébranlable envers le Père de la Seldarine, il n’avait pas l’intention de mourir sans offrir aucune résistance et pourtant à quoi bon…Il n’aurait bientôt plus la force de retenir sa respiration…

Il paraitrait d’après le témoignage de certains rescapés de la mort que lorsque les griffes de la mort les agrippent ceux-ci revivent des instants du passé tel des flashs et des images. Le temps s’était d’abord arrêté pour Shalan avant de revivre certains instants du passé. Cela commença par un oppressant silence et la vision d’images floues avant de prendre une forme connue. Il était maintenant chez lui, dans son île de beauté. Les parfums floraux l’enivraient. Les oiseaux flutistes jouaient un concerto aérien. Il courait à travers champs à la poursuite des taquins papillons. C’était encore un enfant. Puis l’image devint floue, prenant une autre forme. Son père était là, une longue épée à la main, exécutant des pas de danse du bretteur avec la gestuelle précise et gracieuse d’une finelame. C’était le souvenir de son premier cours d’escrime. Puis il entendit la douce voix de sa mère lui narrer l’histoire du Cormanthor, son glorieux passé avant la tragédie…

¤ Tant que la magie sera dans nos cœurs, le beau Peuple transcendera le temps et tous les âges…¤

Non !

Ce fut le dernier sursaut combattif de l’Ar’tel’quess. Il n’était pas concevable que sa destinée fut de mourir ici. Il lui restait encore un dernier espoir que sa mère venait d’éclairer. Il détenait l’anneau du mage à son index de la main droite. Sa magie pouvait encore être activée. Parvenant à sortir la tête de l’eau, il poussa ce dernier cri avant d’être happé de nouveau vers le fonds.

- Arkh accroche toi à moi !

Il tourna l’anneau deux tours vers la gauche, priant de revenir dans la chambre secrète du mage…


Actionne l’anneau.

Eladote était frustrée de ce qu'il venait se passer, Comment deviner que le sol allait se dérober sous les pieds de ses compagnons. Elle était seule maintenant, seule en ce lieu qu'elle ne connaissait pas, sans aucune créature en vie avec qui parler, avec qui tenter d'unir ses forces pour passer les obstacles qui se présentait à elle. La jeune moniale regarda un moment la porte et ses glyphes, se demanda ce qu'elle allait faire.

¤ Je ne comprends pas un mot de cette énigme, difficile de la résoudre. Surtout quand on ne connait pas grand chose à l'histoire de ses elfes, pourquoi n'ai-je pas écouté ce que ce maudit elfe racontait tout à l'heure, il aurait pu m'éclairer¤

Eladote regardait cette porte avec désespoir, sentant bien qu'elle n'y arriverait pas par ses propres moyens, il fallait faire appel à quelqu'un, quelqu'un qui sait tout ...

Elle s'assit devant la porte, croisa les mains et entama une prière.
- Mon dieu, aidez moi dans la résolution de cette énigme, et sauvez mes amis, je ne peux rien faire seule, envoyez moi de l'aide.

Elle releva les yeux et cherchait maintenant dans ses souvenirs de moine, des fois qu'une intervention divine lui révèle la solution. Sinon il ne lui resterai qu'une solution, rebrousser chemin. Pas question de se lancer à corps perdu dans ce piège sans savoir si elle survivrai.

Arkh s'était senti un peu absent, pour quelqu'un qui aime toujours chercher l'aiguille dans la botte de foin, il était resté étrangement quiet. La raison est des plus simples, le panthéon elfique lui était presque inconnu. Certes les grandes divinités font partie de ce que l'on pourrait qualifier de culture générale, seulement ici, son imprécision et ses lacunes pouvaient leur attirer la mort. Reconnaître ses faiblesses est aussi une vertu. Le silence était de rigueur.

Bizarrement, le druide se demanda pourquoi il était resté si près de l'elfe sachant ce qui pouvait arriver. Manque de prudence ou preuve irréfutable du soutien apporté à son compagnon? Perdu dans ses pensées, il n'entendit pas Shalan actionner le dernier glyphe, pas plus qu'il ne remarqua le sol se dérober sous ses pieds. La tête dans la lune, c'était parfois un peu trop vrai...
La douche fut froide, le réveil mouvementé. Arkh parvient sans trop savoir comment à remonter à la surface. Toutefois, le répit fut de courte durée tant le courant fut puissant. Privé du temps nécessaire à toute réflexion, le druide commença à hésiter. L'hésitation entraînant la panique et la peur, il fut emporté, incapable de contrôler ses sentiments...il allait sombrer. Une voix forte le ramena à la réalité. Il eut tout juste le temps d'obéir, tendant le bras vers celui de l'elfe.

Deuxième jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage
2 flammerige 1372 (CV)



Lieu : Tour de Fabian, Cormanthor
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MJ
Tous

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Eladote tente de se souvenir de ses connaissances sur le panthéon elfique.
Test de connaissance Eladote DD 15 : 8 (dé) + 3= 11 : Echec

Arkh tente d’attraper le bras de Shalan
JS de réflexe Arkh DD20 : 17(Dé)+5= 22 : Réussite

Shalan parvient à utiliser l’anneau.

ucune intervention divine ne vint illuminer l’esprit vif de la moniale. Pourtant, elle qui avait vécue en Aglarond où enfant, elle avait fait la connaissance d’un, première entrevue surprenante avec un tel’quess qui fut suivie d’un longue série de rencontres, en cachette de sa mère, elle rendait visite à ce jeune elfe apprenant peu à peu l’espruar et quelques us et coutumes du Beau Peuple. Etrangement, tout ce qui avait rapport avec la Seldarine lui échappa, pourtant le panthéon elfique était intimement lié aux enfants de Corellon. C’est pourquoi elle demeura figée devant cette porte de longues minutes, sans vraiment savoir quoi faire, les mains sur la hanche.

ans le feu de l’action, les réactions des individus pouvaient se révéler surprenante surtout quand leur propre vie était en jeu. Le novice des Gardiens des Feuilles réussit in-extrémis à attraper Shalan, mais ce ne fut par son bras qu’il accrocha mais tout son être auquel il se raccrocha, fermement enlacé à l’Ar’Tel’Quess, c’était là une question de survie. Et grâce à Shalan, ils échappèrent à l’étau aquatique qui les entourait pour se retrouver couchés dans une mare de sang à moitié séchée qui appartenaient aux cadavres des gnolls que les compagnons avaient occis la veille. Une terrible odeur régnait dans la petite pièce mais fort heureusement pour Shalan comme pour Arkh, cette fois, cette téléportation ne déboucha pas sur une rencontre…inamicale. Se relevant péniblement, trempés, salis, la tête emprunte de quelques vertiges, le druide et le paladin allait tenter de reprendre contenance.

Arkh aurait voulu être ailleurs. A cause de la mauvaise nuit de la veille, il se sentait encore faible et la subite montée d'adrénaline n'avait rien arrangé. Il était las et fatigué, il aurait voulu dormir, avoir un vrai sommeil réparateur, tout comme pouvoir prier à nouveau, un absence des plus malvenues en ces moments de détresse... toutefois, le sol dur et froid, tout comme cette odeur de mort lui rappelèrent les réalités du moment, il avait échappé à la mort, une noyade horrible… et il le devait à l'elfe, à sa rapidité de réflexion et à ses réflexes. Cet elfe dont il s'était méfié depuis le début venait de lui sauver la vie. Cela fait réfléchir et sans être ingrat cela force le respect.
Le druide se releva et remarqua qu'il n'avait pas subit de blessures supplémentaires, excepté le fait d'être trempé qui comparait au reste semblait bénin. Il tendit sa main à l'elfe

- Merci l'ami, je t'avais mal jugé, tu es un camarade précieux. Je te dois la vie, je ne l'oublierais pas.

Laissant quelques secondes à l'elfe pour souffler, il continua

-Que fait-on maintenant d'après toi? Je serais d'avis de retrouver Eladote, seulement comment savoir si elle est toujours devant cette maudite porte? Je serais quand même d'avis d'y retourner ne serait-ce que pour être sur.

e serviteur de Corellon fut du même avis que l’humain. Il fallait rejoindre la moniale. Avec la prudence qui s’impose, ils regagnèrent l’endroit de l’énigme. Pendant le trajet, il resta silencieux, absorbé d’abord par les paroles de l’humain puis par cette fameuse énigme…

¤Merci l'ami, je t'avais mal jugé, tu es un camarade précieux. Je te dois la vie, je ne l'oublierais pas¤ Il répéta cette phrase dans sa tête sans la commenter verbalement. L’humain n’eut qu’un silence comme réponse. Pour l’Ar’Tel’Quess, c’était son devoir et il n’avait pas besoin de remerciement. Toutefois il nota que l’humain avait porté un jugement négatif sur lui…
Il marqua son étonnement d’un haussement de cils en découvrant la moniale assise devant la porte.

- Vous priez pour le salut de nos âmes ? je crois que c’est un peu hâtif…Alors cette porte, elle ne va pas s’ouvrir toute seule. J’ai du oublier quelques glyphes. Récapitulons, il y a : le Loup solitaire de Fenmarel Mestarine, Arbre géant de Rillifane Rallathil, l’arche de Shevarash...ou plutôt l'arche de Séhanine nous l'appelons aussi la déesse nocturne, le Cœur d’Hanali, le printemps symbolisé par trois cercles dans un triangle d’Angharradh et le symbole lunaire de Corellon Larethian. Alors on retente ?

La jeune moniale aimait de moins en moins cet instant, seule en face d'une énigme dont elle ne comprenait rien. Aucune indication pouvant la mettre sur le voie, il semblerait que le seul moyen de passer soit d'essayer toutes les combinaisons possibles. Et le fait de repenser à se qui s'était passé précédemment n'arrangeait rien. Ses compagnons probablement perdus dans cette trappe dans une oubliette, ou un autre piège mortel. Il ne fallait pas réitérer la même erreur, il fallait qu'elle s'attache. La jeune moniale chercha alors, un moyen d'attacher un bout de tissu, et essaya d'identifier la marque sur le sol de la trappe. Voir si il lui était possible d'activer les glyphes sans être exposé au piège.

¤ Si jamais je trouve un moyen d'attacher un tissu, je vais chercher ce maudit tapis pour l'y attacher ¤

Eladote ne savait vraiment pas quoi faire, finalement, ses compagnons était peut être plus utiles qu'elle le pensait, elle versa une larme en pensant a eux tout en remontant les escaliers en direction du tapis.

Deuxième jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage
2 flammerige 1372 (CV)

Lieu : Sous sol de Tour de Fabian, Cormanthor
Temps : /
Moment :/

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Narration: Shalan, Arkh et Eladote

près une baignade forcée, trempés dans un état pitoyable, Shalan et Arkh rejoignirent sans encombre une Eladote particulièrement pensive et désabusée. Elle sursauta même devant l’arrivée de ses compagnons, les yeux écarquillés, incapable de prononcer sur l’instant la moindre parole laissant l’elfe doré à son affaire. Shalan Symbaern ne l’avait pas encore remarqué mais la chevalière d’Alessandro avait désormais un aspect terne. Mais il fallait dire à sa décharge que l’esprit du serviteur de Corellon était à mille lieux de ces considérations et qu’il n’avait qu’un objectif passer cette porte et aller encore plus loin et surtout éviter un plongeon désagréable.

Se présentant seul devant la porte, l’Ar’Tel’Quess n’était pas fébrile et c’est d’un geste sûr qu’il aligna les glyphes. Chaud échaudé craint l’eau froide ? Certainement car il était prêt à bondir en arrière malgré le poid de son équipement et l’eau qui dégoulinait de tout son être. Fenmarel Mestarine, Rillifane Rallathil, Séhanine, le Cœur d’Hanali, Angharradh et enfin il termina pas le glyphe de sa divinité tutélaire. Il retint son souffle. Aucune trappe ne déroba sous ses pieds, à l’inverse, un bruit résonna bientôt dans le couloir comme si des barres de fers étaient tirées le long d’une paroi dans un crissement qui ne manqua pas d’hérisser les poils des bras de nos aventuriers. Des loquets furent tirés et quand le bruit cessa, la porte s’entrouvrit soudainement sous le regard soulagé du paladin. Un silence incroyable s’installa alors durant un long moment parmi eux, ils étaient dans l’expectative, tous prêt à réagir. Eladote s’était soudainement relevée, l’agile et la vive moniale se tenait prête tout comme Arkh. Rien. Oui rien ne se produisit. Sans attendre, Shalan saisit la porte et l’ouvrit en grand.

a pression diminua en intensité. Face à eux, un couloir étroit et venteux, obscure, taillé à même la roche s’enfonçait dans les ténèbres. Proprement surprenant. Arkh s’approcha, et inspira profondément, la légère brise qui soufflait sur le visage n’avait rien à voir avec l’air aseptisé qui régnait dans les pièces de marbre de cette tour, mêlée d’une certaine humidité, cet air était emprunt de senteurs sylvestres. Le druide en fut ému, il n’en dit rien. Mais là devant lui, la promesse d’une rapide retour à l’air libre et à la nature se dessinait enfin. Fouillant dans son sac une torche qu’il alluma et qu’il tendit à la moniale. le druide emboîta le pas à Shalan, qui avait prit les devants sans plus attendre. L’heure de la satisfaction viendrait en temps voulu. Eladote fermait la marche, soulagée d’avoir pu s’extirper de la contemplation d’une porte…

Après une dizaine de minutes d’une marche prudente, la galerie fit un coudesur une modeste caverne de roche sombre inondé en partie d’un éclairage naturel qui provenait d’un puit de lumière qui ne laissait aucune doute sur son origine. C’était la lumière du soleil qui s’insinuait sous terre. Devant eux, à une trentaine de mètre une sorte de galerie beaucoup plus étroite continuait au-delà de la caverne.

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Test de perception auditive Arkh DD 16 : 15 (dé) + 5= 20 : Réussite
Test de perception auditive Shalan DD 16 : 12(Dé) +4= 16 : Réussite
Test de perception auditive Eladote DD 16 : 9 (Dé) + 5= 14 : Echec

Alors qu’ils s’approchaient du bout de la galerie de pierre, Arkh et Shalan perçurent simultanément un bruit récurrent de sussions, sur la droite de la salle souterraine, comme si on se gavaient de nourriture. Arkh se raidit, il avait la nette impression d’avoir avoir à quelques rongeurs en train de se sustenter, des rats ou quelque chose d’approchant en tout cas, plusieurs créatures à coup sûr. Alors qu’ils se tenaient immobile légèrement incommodé par l’odeur de suif qui se dégageait de la torche, le bruit de sussions cessa subitement.

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La jeune moniale était bien contente d'avoir retrouvé ses alliés, encore une fois, sans eux il aurait été difficile pour elle de continuer. Elle était maintenant décidé à les laisser passer devant, plus question de prendre une initiative démesurée. Elle restait donc en arrière, à l'abri de la cuirasse de Shalan qui ne l'avait pourtant pas tant protégé lors du dernier combat.

Ses deux compatriotes semblait s'être arretés brusquement, dans cette caverne, ne sachant pas pourquoi Eladote leur addressa la parole

- Qu'y a t'il ? Pourquoi s'arrêter ici ? Vous savez, je doute que ce soit le moment de réfléchir, surtout qu'il ne doit pas y avoir que des amis en ces lieux. Bien que je doute que beaucoup soit arrivés à passer la trappe de la porte a part des elfes.


Eladote resta néanmoins derrière ses deux amis, pour ne pas se faire prendre par on ne sait quels pièges, il semble que la zone soit l'oeuvre de quelqu'un qui souhaite que personne ne s'y introduise. De toute façon, ne sachant pas ou ils étaient, la question du retour ne se posait toujours pas. Il fallait retrouver les membres de la confrérie et trouver un moyen de s'en aller rapidement.