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Le Fâcheux et l'Imprévu , (Début de quête pour Nice Dirinnac)
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NARRATION
Deuxième jour de la Marée estivale année de la magie sauvage (2 Flammerige 1372) Lieu : Luskan Temps : Ciel Nuageux, vent léger. Moment : Matin environ 11h00
Alors qu'elle souhaitait sortir discrètement du "magasin", puis de la rue de la demi lune, elle constata avec dépit que la seule bouche d'égouts située à proximité ne pouvait plus être emprunté. Visiblement le marchand d'un magasin de la grande rue, déchargeait trois chariots, et une partie des caisses et tonneau se trouvaient sur la bouche d'égouts. Elle devait donc se rendre beaucoup plus loin avec les regards scrutateurs de la guilde des arcanes sur le dos.
Mais les dieux avaient décidé qu'aujourd'hui était un mauvais jour pour Nice. Et alors qu'elle allait changer de rue, on l'appela.
«Holà, mademoiselle, Mademoiselle!»
Il y avait peu doute c'était à elle que l'on s'adressait ainsi, le son de la voix, la direction des pas allaient vers elle. Tout en continuant d'avancer, Nice jeta discrètement un coup d'œil rapide autour afin de voir si c'était bien à elle que l'on s'adressait. Mais des deux constats qu'elle put faire, le premier fut qu'elle était l'unique jeune femme dans la rue. L'autre constat concernait la personne qui l'appelait ainsi, il n'était pas très loin, elle ne pourrait le semer, il était très richement vêtu, fardé comme un clown et…
«Ah, que ne dois-je vous courir après jeune dame, mais votre éclat m'attire comme un aimant, ou amant devrais-je dire.»
… et peu doué pour ce qui est des compliments ou jeux de mots.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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écidément, la dame de la chance avait du lui donner de la chance uniquement pour réussir à rallier la guilde des Exilés. Car avant comme après cette rencontre plutôt plaisante, tout semblé aller de travers. Elle n'avait même pas eu le temps de se réjouir de sa première réussite au sein de sa nouvelle vie, que toute la malchance possible semblait lui tomber dessus en quelques instant. D'abord la bouche d'égout obstruée, puis maintenant elle qui prônait toujours la discrétion, se retrouvait en pleine rue en train de se faire aguicher par un freluquet tout clinquant.
Puis un doute lui vint à l'esprit. Elle venait juste de sortir de chez les Exilés et voilà que comme par hasard, un homme essayer de l'aborder. La bouche d'égout passait, après tout une coïncidence était possible, mais deux en à peine quelques secondes étaient une sacré énormité tout de même. Il n'y a que trois possibilités pensa t'elle :¤Soit ce freluquet fait partit des Exilés et il s'agit d'un nouveau test. Soit c'est un agent d'une autre guilde venu s'en prendre à une jeune recrue comme moi afin retirer quelques informations. Soit, j'ai réellement la guigne de plaire à un parfait crétin.¤ Elle décida donc de continuer son chemin le temps que celui-ci la rattrape. Cela lui laissera le temps d'essayer de se rappeler si le visage de ce clown, lui rappeler un de ceux qu'elle aurait croisé en ville soit parmi ces poursuivant qu'elle avait repéré, soit parmi les personnes de la taverne du "Coutelas".
Et puis si celui-ci posait la main sur elle pour l'arrêter, il serait reçu comme elle avait l'habitude de renvoyer ses camarades de la tribu du Poney Céleste lorsque ceci étaient trop entreprenant avec elle. Après tout, elle n'avait pas vécu ces dix dernières années avec eux sans avoir appris les mœurs de ses consœurs sur la façon d'offrir de magnifiques râteaux version barbare. Rien que l'idée que cela arrive faillit lui ramenait un sourire au lèvre. Quelque soit le cas de l'intrus, il serait surement fort surpris de sa réception auprès d'elle.
A moins qu'elle ne puisse se servir de lui? Après tout ce qui lui était arrivée aujourd'hui, peut être que bellâtre puisse lui apprendre quelque chose. Et puis, si ce n'était pas le cas et bien elle aviserait. De s'être fait rouler d'une telle façon par les membres des Exilés, lui avait appris ses limites, mais l'avait également rendu un peu paranoïaque. Elle se devait de se calmer et d'aviser les choses lorsqu'elle se présenterons à elle.Nice essait de se remémorer le visage du bellâtre. Pensant à un déguisement.
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NARRATION
Deuxième jour de la Marée estivale année de la magie sauvage (2 Flammerige 1372) Lieu : Luskan Temps : Ciel Nuageux, vent léger. Moment : Matin environ 11h00
Nice [Détection] 14 (1d20) +4=18
Continuant à avancer elle jeta de petits coups d'œil en arrière. Mais le visage de l'homme ne lui disait rien de particulier, ni au coutelas, ni parmi les poursuivant qu'elle avait repérée. Il avait un regard mêlant désir de défit, démence, et celui d'un enfant capricieux. Les seule chose qu'elle put ajouter c'est que visiblement c'était un homme riche, car couvert d'objets en toujours dont une bonne partie très certainement enchantés, il devait être aussi assez agile car en quelques pas il l'avait rattrapé. Toutefois l'homme conservait une certaine prestance dans son attitude, et les vêtements bien que de couleur criarde possédaient une coupe de qualité tout comme le choix des tissus. Et pendant un court instant elle se dit que l'éducation de l'homme devrait lui permettre d'échapper à la claque barbare.
Mais éducation ou pas, l'homme montra une absence totale de manières. Et il la saisi au bras la tirant presque en arrière pour la ralentir.
-Ah je sens que vous aimez être désirée, un geste de v… Un grand Schlak retentit dans la rue, le pauvre homme avait a peine eu le temps de finir sa phrase que Nice lui avait fait cadeau du plus bruyant râteau de l'histoire de Faêrun, ou tout du moins beaucoup le conterait ainsi.
Mais à peine satisfaite de son coup qu'elle constata avec une certaine inquiétude que la plupart des habitants partaient se cacher. Seul une troupe d'hommes vêtus aussi pompeusement restaient hilare au milieu de la route. Elle ne connaissait aucun de ces quatre hommes, aucun d'entre eux ne fut à un moment ou un autre à ses trousses, même en leur retirant la barbe, en allongeant les cheveux, ou tout autre modification. L'un d'entre eux lança à l'homme qu'elle avait frappé.
-Je te l'avais dit Bedwinet sans tes sorts de charmes tu es incapable de séduire une femme quelconque. Même les barbares désespérées ne veulent pas de toi.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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ice qui venait de remettre en place ce blanc bec par une claque fulgurante, alla en plus le ridiculiser verbalement, lorsqu’elle s’aperçu de la fuite de la quasi totalité des habitant étaient parties se cacher loin de la scène. Seul était resté quatre hommes vêtus dans le même style que celui qui était à présent marqué par sa douce main. Lorsque l’un d’eux s’adressa à celui qui tenait encore son bras en parlant de sorts de charme, elle comprit qu’elle risquait de se retrouver dans une situation très compliquée. Elle se savait vulnérable au charme magique, le shaman du clan lui ayant toujours fait payer ses petites facétie par ce genre de charme l’obligeant à aller réparer ses erreurs souvent contre sa volonté.
Elle venait d’humilier un homme qui risquait à présent de lui faire payer chèrement son geste. Elle aurait pu lui mettre sa dague sous la gorge avant même qu’il ne bronche, mais ses quatre condisciples risquaient fort de ne point aimer ce genre de blague. De plus, elle pourrait alors oublier toute discrétion dans la cité. Il lui fallait donc trouver une solution « pacifiste » pour régler ce différent. Le meilleur moyen serait de réduire l’humiliation de l’homme, mais cela s’en s’excuser de son geste. Car elle était après tout dans son droit pour une telle réplique de sa part, de plus elle était « actuellement » une barbare et devait par conséquent agir de la sorte.
Se tournant vers les quatre hommes et plus particulièrement vers celui qui avait pris la parole, elle dit : - Vous avez tort messire, votre ami pourrait séduire sans ses sorts. Seul son geste brusque pour m’arrêter à entraîner la gifle que je lui ai mise. Je l’avais entendu, mais même une barbare comme moi aime qu’on lui courre après, je comptais même discuter un peu avec lui en continuant ma balade, seul sa façon de m’arrêter à stopper son charme. Puis se tournant vers l’homme qu’elle venait de gifler, elle mit sa main sous son menton et lui tourna sa tête vers elle.- Messire Bedwinet n’écoutait point les moqueries de vos compagnons, vous pourriez charmer de nombreuse donzelle rien qu’avec vos multiples bijoux. Bien que je vous déconseillerais ce genre de femme, car elle n’en aurait qu’à vos finances. Puis remontant sa main vers celle qui la tenait encore, elle l’invita à lui lâcher le bras, tout en continuant à lui parler.- Le seul conseil que je pourrais vous donnez, serait d’approcher la prochaine dame avec plus de délicatesse. Les femmes aiment recevoir des compliments certes, mais pas à les recevoir à tue-tête dans une rue. Et encore moins se faire attraper pour se faire arrêter en pleine marche comme vous l’avez fait sur moi. Restant discrètement sur ses gardes afin d’agir, à la moindre action belliqueuse ou bizarre de l’homme ou de ses compagnons, Nice attendit que l’homme lui lâche le bras.
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NARRATION
Deuxième jour de la Marée estivale année de la magie sauvage (2 Flammerige 1372) Lieu : Luskan Temps : Ciel Nuageux, vent léger. Moment : Matin environ 11h00
L'homme qu'elle venait de gifler se releva tout doucement. Contrairement à ce qu'elle s'attendait, la marque de sa main n'était pas rouge sur un visage blanc et pâle. Mais une marque blanche sur celui d'un visage rouge de colère. Il lâcha son bras et touchant l'un de ses bijoux il tendit subitement le bras en arrière, dans la direction de celui qui venait de se moquer de lui. Un puissant courrant d'air se fit sentir entre le bras du mage et celle de sa cible. Celui-ci qui l'instant d'avant était resté rieur, pris subitement une mine déconfite et tenta un sort de protection. Hélas pour lui il ne fut pas assez rapide, et il se retrouva suspendu dans les air, le regard hébété, comme assommé.
- J'en ai plus qu'assez de tes remarques Felds, mais vois-tu la différence entre nous deux c'est que moi je n'ai pas besoins d'user d'un diminutif stupide pour t'humilier. Depuis que je maîtrise cette babioles je suis invincible, tu entends, Invincible. Et il hurla presque sur ce mot. Puis d'un geste brusque de la main il renvoya l'autre au sol. «Ta stupidité me seras encore utile minable, mais songe à rester dans la prostration et l'humilité devant mes nouveaux pouvoirs!»
Un instant tout se fut calme, et l'on entendit presque un soupir de soulagement du côté des habitants. Le mage semblait se ressourcer et tenter de se calmer. Alors que le dénommé Felds plus loin reprenait son souffle et ses esprits, Bedwin tourna son regard vers Nice. A la vue de son regard et de la courte discussion à laquelle elle avait assisté elle compris sa regrettable et infime erreur. Si visiblement son discours avait été écouté avec une certaine attention, elle l'avait nommé par un diminutif, diminutif qui de plus était jugé humiliant par le mage.
- Quand à toi, idiote de barbare, je vais t'apprendre à m'insulter de la sorte! Mais tu as de la chance d'avoir tenté de te rattraper.» Un sourire mauvais apparut sur le visage de Bedwin. «Alors comme ça j'aurais put te séduire si je n'avais pas été aussi brutal, hé bien nous verrons bien. Dans tout les cas je compte bien te couper l'envie de me donner des leçons. Si tu souhaites être pardonnée tu devras me suivre où que j'aille jusqu'à demain même heure. Et pour que cela soit plus amusant, je n'userais pas de charme. Tu feras tout ce que je te dirais de manière consciente. Mais ne te fais pas d'illusion, au moindre écart, c'est à moi que tu auras affaire. Et n'espère pas pouvoir m'échapper!»
Le regard mi lubrique, mi sournois qu'il lui jeta n'augurait vraiment rien de bon.
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orsque le courant d’air partit du bras de l’homme, Nice sentit son corps frémir d’excitation. Même si elle n’aurait souhaité pour rien au monde être à la place de celui qui se prénommait Felds, elle adora ressentir les vibrations de l’air que le sorts avait créées. Mais en voyant les pouvoirs du bijou de celui qu’elle venait de gifler, Nice comprit qu’elle se n’était pas trompé. L’homme pouvait se révéler dangereux, du moins tant qu’il posséderait ses objets magiques. Elle fut bien tenté de lui chiper subtilement ses jolis jouets, mais même si elle y parvenait. D’une, ses compères agiraient aussitôt. Bien que d’après qui venait de se passer, elle n’était pas sur qu’il agirait contre elle, mais peut être bien contre ce tyran qui s’amusait à faire souffrir ses compagnons. Mais le fait que l’objet puisse rendre soit disant INVULNÉRABLE son possesseur, risquait d’attirer sur elle tout les mages ou voleurs de la cité sur son dos. Et de deux, elle pouvait dire adieu à sa couverture de barbare, ceux-ci ayant plus l’habitude de voler les corps de ceux qu’ils ont occis, plutôt que les gens qui vivent encore.
Néanmoins ce qui venait de se passer, venait aussi d’offrir une possibilité de manipulation par la suite sur ses comparses. Qui de toute évidence n’appréciaient guère de se voir ainsi dominer par une personne qui ne devait pas être leur chef depuis longtemps, vu le diminutif que l’un d’eux avait utilisé pour l’interpeler. Sans l’objet magique qu’il détenait, cet homme ne pourrait pas avoir une telle domination sur eux. Même si elle ne pouvait immédiatement son plan en action, elle savait maintenant où elle pourrait trouver matière à semer la zizanie au cœur de ce groupe d’individu.
Puis vint une deuxième remarque de l’homme, remarque qui cette fois était pour elle. De toute évidence l’homme n’appréciait guère de s’être fait remettre à sa place. Pas plus que Nice n’aima se faire traiter d’idiote. En plus, il avait le toupet de lui demander qu’elle lui obéisse au doigt et à l’œil, il risquait voir d’être déçu. Même parmi les Poney Céleste, jamais aucun des barbares n’avaient réussi à avoir autorité sur elle, alors ce n’est pas un blanc bec qui se croyait dieu tout puissant grâce à un objet magique qui la dominerait. Néanmoins, elle tenait pas non plus à se voir éliminer par cet imbécile juste pour une altercation dans la rue. Aussi, elle lui rétorqua sur un ton calme.- Messire, vous voulez que je vous suive pour me faire pardonner. Et de quoi, je vous prie ? Pour ce qui est du diminutif, je ne pouvais savoir que votre ami se moquer de vous. JE ne puis donc être mis en cause. Quant à la baffe que vous vous êtes prise, vous devriez admettre que vous la méritiez. Vous êtes sans nul conteste grâce à votre objet magique Appuyant sa voix sur l’Objet magique plus puissant qu’aucun d’entre nous, surtout que je ne pense pas qu’il soit le seul que vous possédez. Mais cela ne vous empêche pas d’avoir des manières plus civilisé, même moi barbare, je me serais pas conduite ainsi en ville. Lui laissant à peine le temps de digérer ses dires, qui elle n’en doutait pas l’énerverait encore plus. Après tout, il venait de lui dire qu’il n’avait pas apprécié qu’elle lui donne des leçons et elle lui en remettait une couche. Elle reprit la parole.- Si vous tenez parole et que vous n’utilisez point vos charmes magiques, j’accepterais de vous suivre car je dois avouer qu’un homme avec autant de pouvoir ne peut point être inintéressant à connaitre. Néanmoins je ne suis au ordre de personne, et ne comptez pas faire de moi votre esclave. Je sais au vu des réactions de la populace que vous êtes un homme qui peut être dangereux pour moi, mais plutôt mourir que de perdre ma liberté. Alors si vous m’acceptez tel que je suis à présent, je resterais volontiers à vos cotés jusqu’à demain et peut être plus si cela me convient. Laissant ses mots faire leur effet, Nice fit mine d’attendre la réponse de son interlocuteur. Mais elle se tenait prête au cas où il tenterait une action belliqueuse à son égard.J’aimerais que Nice fasse un jet de psychologie pour essayer interpréter les sentiments apparents des comparses par rapport à l’homme.
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NARRATION
Deuxième jour de la Marée estivale année de la magie sauvage (2 Flammerige 1372) Lieu : Luskan Temps : Ciel Nuageux, vent léger. Moment : Matin environ 11h00
Nice [psychologie] 11+0= 11 vs DD? Échec
Bedwin resta un long moment perplexe, visiblement il était à la fois outré et conquis par les propos de Nice. Mais du coup il semblait ne pas savoir quel comportement suivre. La colère? Mais elle venait de lui donner la victoire sur ses quatre "amis", et de plus d'une certaine manière c'était comme si elle avait obéi. Faire comme s'il avait remporté la partie? Elle venait de lui faire la morale, comment pouvait-il le tolérer?
Il jeta un court instant son regard derrière lui, mais mis à part Felds qui tentait de se remettre, tous semblaient aussi abasourdis que lui. Nice elle-même ne sût pas dire quel était le point de vue des autres mages vis-à-vis de Bedwin. Etaient-ils impressionnés par son courage d'avoir répondu à leur tyran, et en même temps outré parce qu'elle venait de donner la victoire à celui-ci? Ou alors étaient-ils outrés parce qu'elle avait insulté leur ami, et ravi qu'elle lui offre ainsi la victoire? Dans tout les cas tout le monde ici attendaient la réaction de Bedwin et celle-ci se fit attendre. La tension était à son comble, personne ne savait vraiment ce qu'il allait se passer.
Soudain un sourire s'afficha sur le visage de Bedwin. Et se tournant à nouveau vers ses comparses il leur adressa en ricanant.
- Alors? Même en me comportant comme un goujat je suis capable de séduire une barbare que j'ai froissé et le tout sans user de mes sorts de charmes! Lequel d'entre vous peut prétendre pouvoir faire de même? Certainement pas toi Felds!
Aucun sens de la répartie non plus, décidément ce mage avait bien des tares dans tout ce qui relevait du comportement social. Puis souriant avec sympathie à Nice il ajouta.
- Je ne sais guère si je commets une erreur ou non, mais je pense devoir vous remercier d'accepter ainsi ma requête malgré son défaut de forme. Aussi je vous demande de bien vouloir m'accompagner à l'auberge du haut griffon. Bien évidement je vous invite.» Puis son regard devint subitement plus acide. « Toutefois je vous préviens, si vous me faîte encore une seule fois la morale, ou quelconque insulte, ou remarque qui me déplaît, je ne laisserais pas passer. De même si vous pensiez pouvoir prendre la fuite pour me duper vous n'avez aucune chance, je vous rattraperais. Et croyez moi je serais bien moins compréhensif.»
Reprenant un air plus commun et digne, il tendis son bras à Nice, avec un peu de grâce. Toutefois il était clair que ça n'était pas dans ses habitudes de se comporter ainsi.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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éduite? Il prenait ses rêves pour des réalités ce type, mais il fallait bien avouer qu'il n'était pas n'importe qui pour en imposer autant à ses compagnons et surtout au citadins qui avaient tous fuient la scène sous leur terreur des conséquences que cette rencontre plutôt musclé. Au moins, cela semblé prendre un bon chemin du moins l'espérait elle. Elle avait quand même tenté le diable en le reprenant une deuxième fois, mais il était hors de question qu'elle se laisse marché par quiconque aussi puissant soit il.
Lorsqu'il se retourna en souriant vers elle, elle fut partiellement rassurée. Au moins, il n'utiliserait pas ses objets magiques contre elle, du moins pour l'instant apparemment. Mais lorsque celui-ci lui parla de l'inviter à l'auberge du haut griffon, elle faillit s'étouffer. Elle ne connaissait pas encore tout Luskan, même si elle avait parcourue la cité de bout en bout pendant une semaine, avant de comprendre ce qui se tramait dans cette cité et d'essayer de rejoindre les Exilés. Mais l'auberge du haut griffon était l'auberge la plus riche de la cité. Jamais elle n'aurait imaginé y mettre les pieds. Les tarifs y étaient très loin au dessus de ses maigres moyen et même si elle les avait eu, jamais elle n'y aurait était gaspillé autant d'argent.
Elle en fut même si étonnée que c'est à peine, si elle avait pris garde au regard acide que l'homme lui avait lancé en lui précisant qu'il n'aimerait pas recevoir d'autre leçon de morale ou si elle essayait de lui fausser compagnie. Et lorsque celui-ci lui présenta maladroitement son bras, elle ne réagissa pas de suite. Elle était encore en train de comprendre ses derniers mots. Comprenant d'un seul coup que l'homme risquait de mal prendre le fait qu'elle ne lui prenne pas le bras, elle trouva vite son excuse.- Euh, pardonnez moi messire, mais je ... Enfin, cette auberge est la plus chic de toute la cité. Je ne puis m'y présentais dans ces guenilles, je risquerais de vous faire honte en vous y accompagnant ainsi. Et j'avoue que je serais moi même gênée de m'y présenter ainsi. Puis réfléchissant un instant, elle trouva une idée qui lui plairait surement, autant qu'à elle.- A moins, vous accepteriez de m'accompagner jusqu'à une boutique de la cité afin que je puisse trouver un habit qui siéra mieux à un tel endroit et surtout qui siéra mieux pour accompagner un homme comme vous. S'arrêtant soudain, puis lui demandant.- D'ailleurs, je m'aperçois que je ne connais pas votre véritable nom, puisque de toute évidence celui de toute à l'heure n'était qu'un sobriquet plus que déplacer. Et je ne tiens plus à me fâcher avec vous en réutilisant celui-ci.
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Deuxième jour de la Marée estivale année de la magie sauvage (2 Flammerige 1372) Lieu : Luskan Temps : Ciel Nuageux, vent léger. Moment : Matin environ 11h00
L'homme pris un sourire plus agréable que ceux précédent, et après avoir invité d'un signe de la main "ses amis" à le rejoindre il se tourna vers Nice.
«Pour une barbare vous êtes bien civilisé, c'en est agréable. Quand à moi je me nome Sir Bedwin de Galynèdes, étudiant à la grande école de magie de la confrérie des Arcannes. Et ceux là y sont aussi étudiants.» Dit-il d'un ton quelque peu méprisant à l'encontre des ses collègues étudiants et en les désignant d'un geste pas plus glorifiant pour eux. Et c'est d'un ton plus enjoué et respectable qu'il ajouta. «Quand à vos vêtement laissez moi vous mener dans une échoppe à deux pas d'ici, le gérant y est d'un raffinement exquis, et les tenues qu'il vend vous conviendrons très certainement. Bien évidement je vous paye la tenue, ainsi que le restaurant, vous êtes mon hôte pour cette journée. Oh et ils ont même de la soie de Shou, vous verrez, les tisseurs de Kara-Tur font des merveilles!»
Il la mena d'un pas décidé dans la grande rue vers une échoppe de tailleurs dont le nom "à l'aiguille d'or" et la devanture raffinée, indiquait aussi bien les tarifs que la qualité des vêtements. Malheureusement pour Nice, cela l'écartait un peu plus légèrement du port. Et alors que songeuse elle réfléchissait à une solution pour s'en sortir, elle remarqua derrière elle que deux des "amis" de Bedwin discutaient à voix basse. Les bruits de la ville, ainsi que les cris des commerçants masquèrent le contenu des propos. Tout deux furent surpris par l'arrivé soudaine de Felds, qui larmes aux yeux s'aplatissait presque de signe d'éloges et de soumission envers Bedwin.
- Mon cher Bedwin, je t'en conjure pardonne moi, l'emporte véritablement sur tout les domaines. Aussi je t'en pris pardonne mon arrogance précédente, nul autre que toi peut prétendre briller comme le soleil, et ta puissance n'a d'égale que celle du grand maître de l'école. Il m'es avis que tu iras loin aussi, je te prie de pardonner l'immonde et faible cloporte que je suis, et peut être de m'apprendre un peu de ta puissance afin que je puisse te glorifier par la suite.
C'était tout bonnement infect de faux semblant, de phrases élogieuses masquant des ambitions démesurée tant de la part de Bedwin que de Felds. Mais visiblement cela ne sembla pas marquer Bedwin outre mesure, celui-ci afficha même un sourire satisfait, visiblement habitué à ce genre d'éloge ainsi qu'aux codes et signes que cela indiquaient. Puis, tournant la tête un instant et d'un geste condescendant indiquant sa toute puissance Bedwin anonça.
-Tu est pardonné cloporte, mais ne rêve pas au-delà de tes moyens, comme tu l'as dit tu es faible et moi tout puissant. Et quelle gloire un Lion a-t-il à tirer à aider un cloporte? Va rejoindre les autres, je t'invite tout de même a ma table. Il ne sera pas dit que Sir Bedwin manqua de manières.»
«Même dans ta clémence tu es trop bon Messire Bedwin le mage des souffles.» Mais parmi tout ces discours pédant et sournois, Nice surpris quelque chose qui clochait. Enfin supposa-t-elle qu'il en était ainsi. Au moment où Felds partit rejoindre les autres, son sourire changea, Bedwin ne le regardait déjà plus. Mais elle vit son air triste et soumis se changer en un sourire victorieux et satisfait. Quelque chose n'allait pas, ça n'était pas normal, quelque chose avait dû lui échapper à elle ou à lui. Mais elle n'eût pas le temps de se poser d'autres question que Bedwin continua immédiatement.
- Au Fait madame je vous demanderais de bien vouloir me fournir votre nom. C'est en effet quelque chose qui se révèlerait fort utile à la conversation. Surtout que je vous devine d'une culture bien plus élevé que vos accoutrements laissent paraître. Je ne savais pas les barbares si cultivés, mais après tout avec le contact civilisateur de la ville…
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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ice fut bien ennuyée de se voir ainsi éloigner du port et par conséquent de l'auberge du « Sabre d'abordage » ou elle devait normalement prendre contact avec le tavernier. Celui-ci devant lui indiquer le nom du navire sur lequel elle allait devoir embarquer, mais également de l'horaire de départ de celui-ci. Et même, si elle fut ravi de se voir ainsi guidé vers une boutique où elle pourrait se faire payer des tenues qu'elle n'aurait jamais eu les moyens de se payer sans se démunir de beaucoup d'autres choses, elle aurait de loin préférait aller voir rapidement ce tavernier afin d'être fixée sur ce qui l'attendrait dans son futur voyage.
Alors qu'elle était encore à ses pensées, Bedwin se présenta à elle. Lui confirmant ce qu'elle pensait déjà, depuis l'utilisation de son objet magique, qu'il faisait partie de la confrérie des Arcannes. Et même si cette rencontre était peut être un hasard, elle ne pouvait prendre le risque de rester trop longtemps entouré de membres de cette confrérie. Elle observa d'ailleurs toutes les émotions que montrait Bedwin, afin de déterminer si celui-ci, essayer de se jouer d'elle ou si cette rencontre était vraiment un accident.
Au moment où Nice voulu essayer de convaincre Bedwin de les ramener vers le port et vers le Sabre d'abordage, le dénommé Felds intervenu. Au début, Nice crut qu'il voulait s'excuser auprès de son tyran d'ami afin de remonter dans son estime et par conséquent d'avoir de nouveau ses grâces. Tant de léchage de botte faillit la faire vomir. Puis elle s'aperçut que quelque chose clochait, Felds qui jouait les chiens battus devant Bedwin repartit hors de sa vue avant de sourire sur un air de méfait accomplit, ce qui échappa à Bedwin mais pas à elle. Elle examina correctement son « porte feuille » de compagnon de bas en haut à la recherche de quelque chose de changer. Soit Felds lui avait dérober quelques choses, soit il lui avait fait quelques choses qui pourrait lui jouer des tours, sans quoi il n'aurait pas eu cet air réjouit.
Elle était encore en train de l'examiner lorsque celui-ci se retourna vers elle, lui demandant son nom et appuyant le fait qu'il avait constaté qu'elle était bien plus cultivée qu'une barbare ordinaire. Mais ce fait ne la dérangea pas vraiment, après tout elle était vraiment membre d'une tribu barbare. Et elle pouvait expliquer ce fait sans réellement mentir. Une fois son examen sur Bedwin finit, elle lui répondue.- Effectivement messire Bedwin, le fait d'être au contact de la civilisation a permis à la femme de tribu barbare que je suis, d'avoir un peu plus de jugeote que la plupart de mes semblables. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai pu survivre et aider mes compagnons dans un sens. Ceci ajouté à un bon sens de l'observation, me permette de vivre plus facilement. Voyant là, une possibilité de convaincre l’homme de la ramener vers l’auberge du « Sabre d’abordage ». - Par exemple, en logeant à l'auberge j'ai réussis à ne pas payer ma nuit, en surprenant le tavernier parlant d'une course qu'il n'aurait pas le temps de faire. Je me suis proposée de la faire à sa place en échange du prix de ma première nuit dans son établissement. S'arrêtant soudainement d'un air dépité. Elle mit la main à sa poche où se trouvait la boussole « emprunter » à la boutique du 5 rue de la demi-lune. Nice savait qu’il faudrait d’abord que l’étudiant en magie lui fasse confiance. Il fallait donc qu’elle lui fasse part de ses observations discrètement, afin qu’il croit qu’elle était totalement de son coté, vu qu’elle lui faisait par d’une possible traîtrise de ses « amis ». Elle se lança donc en regardant Bedwin d'un air souriant et gêné, puis s'approcha délicatement de son oreille pour lui chuchoter :- Même si parfois, je ne me montre pas maligne, … Marquant un léger temps d’arrêt J'ai omis de lui ramener sa course. Il me faudrait, si cela ne vous dérange pas, repasser par l'auberge. Puis reprenant un air sérieux, toujours en chuchotant. En revanche, j'ai été assez maligne de surprendre une conversation entre deux de vos amis, avant de voir Felds s’aplatir devant vous, et un sourire malicieux de celui-ci lorsqu'il est sortit de votre champ de vision après vous avoir singer des excuses. Je pense qu'il vous a joué un mauvais tour ou plutôt qu’ils vous ont joué un mauvais tour, même si je n'arrive pas à savoir lequel. Votre puissance les rend jaloux, vous êtes, à n’en point douter invulnérable en combat, mais je crains qu’ils veuillent vous avoir par traîtrise. Mais je pense pouvoir vous aidez à les prendre à leur propre piège. Puis elle se recula lentement avec un air choqué. Puis se réavançant vers son oreille : - Laissez moi, être accompagné par deux ou trois de vos compagnons vers mon auberge sans vous. Pendant ce temps essayer de voir discrètement ce qu'à pu vous faire Felds durant ses pseudo excuses.Je compte jouer, avec votre aide, un petit jeu qui les mettra en confiance pour me parler, je pense. De plus, ce petit jeu, vous plaira sûrement autant qu’à moi, surtout son commencement. Puis sans attendre son accord, elle recula et lui dit sur un ton plus que sec :- Si c’est cela que vous voulez pour me laisser faire un simple aller retour, vous l’aurez. Mais sachez que vous avez de la chance d’être si puissant, sans quoi vous auriez connu ma colère. Sur quoi, elle lui pris vivement la tête et l’embrassa en pleine bouche. Ce baiser dura un bon moment, Nice voulait que Bedwin prenne plaisir à ce baiser. Suite à quoi, elle le relâcha son visage, lui disant : - Cela vous suffit t’il comme acompte à notre pacte ? Puis je à présent faire ce petit aller retour avec votre accord ? Suite à quoi, elle attendit la réponse de Bedwin. Elle espérait qu’il marche dans son stratagème. Elle se dit même que si elle apprenait que son bateau ne partait pas avant un jour, elle accepterait même l’invitation de Bedwin et passerait la journée avec lui. Le tout en déjouant, la vilénie de ses « compagnons ». Apres tout, il faisait partit des membres d’une guilde adversaire et pourrait un jour lui servir d’informateur à son insu. Il était connu que les confidences sur l’oreiller pouvait être d’une valeur inestimable. : Désolé pour le roman.
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