De la chasse à courre à la chasse tout court, Inwën Ut Mathar et Miriel Agarwaen

Les paroles de Lomion étaient sage et la rôdeuse le savait mais ce qui la perturbait était le faite que les elfes prenaient leurs temps et réflexion et dans leurs actions du à leurs longévités. Malgré les paroles apaisantes du Sae-tel, Inwën bouillait, son esprit était en proie à un conflit intérieur que personne d’autre qu’elle ne pouvait résoudre.
Elle reprit son va et viens incessant, ce postant de temps à autre devant la fenêtre espérant décaler la présence de ces meurtriers et pouvant laisser ainsi ses instincts humain prendre le dessus et venger le pauvre homme.

Inwën s’adossa dans un coin de la pièce et se laissa glisser pour se retrouver assise au sol, les genoux repliés sur la poitrine et se tenant le visage à deux mains. Son mal être était visible aux yeux de ses deux compagnons



¤ Ce n’est pas possible! Moi qui clame haut et fort que je suis une elfe et me laisse bouffer et dominer par des sentiments si humain n’est pas dans mes habitudes. Que dirait ma mère si elle me voyait ignorer tous ses enseignements? Par contre il y en a un qui serait certainement fière de moi à me voir agir ainsi. Mais qui je suis. Je suis vraiment une elfe, une humaine?¤

C’est deux mots raisonnaient dans la tête de la jeune femme et lui vrillant les tempes. Elle resta prostrée ainsi quelques secondes puis se releva avec détermination, essuya ses yeux humides et se tourna vers la fenêtre en fixant son reflet dans la vitre.


¤ Je suis Inwën Ut Mathar , une demie elfe avec des sentiments humains et je m’en accommode parfaitement. Cette dualité fait de moi ce que je suis et le fait très bien¤

La demi avait surmontée sa crise pour le moment et c’est regonflée et quelques peu calmée. Elle reprit sa garde comme si de rien n’était. Elle ne regarda pas non plus Miriel et Lomion, de peur de voir dans leur regard, de la pitié.

Vingt Deuxième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage
22e jour du mois d'Eleinte 1372 (CV)

Lieu : Lisière Haute-Forêt .
Temps : Venteux, humide.
Moment : Entre une heure et trois heures du matin

MJ
Narration: Tous

endant l’heure qui suivie, Lorraine, la femme du forestier, soigna l’homme. Il ne portait que des blessures bénignes et quelques contusions, résultats de sa fuite éperdue mais il était extrêmement choqué par ce qu’il avait vécu et demeurait très vague dans ses explications. L’homme se nommait Treb, un fermier qui résidait à une trentaine de lieux d’ici, mais au-delà de son métier, il avait épousé la fille aînée du vieil Herbert. Il se trouvaitchez son beau-père au moment de l’attaque et les elfes le forcèrent à assister à l’exécution de la famille avant de le laisser filer pour qu’il témoigne de cette atrocité. C'était en gros ce qu'il avait expliqué à Ethan mais après une bonne nuit de sommeil, il aurait tout le temps de remettre de l'ordre dans ses idées et d'apporter de nouveaux éclaircissements.

Pour le reste, il s'agissait d'une véritable provocation qui ne manquerait pas de déchaîner les passions d’autant que dans cette région, les relations entre les elfes, les humains et les druides n’avaient jamais été au beau fixe. Ethan confia aux gardiens que les incidents entre les elfes et les humains de Fort Noénar s’étaient multipliés ses dernières semaines et les elfes se montraient particulièrement violents. Le forestier avait fait justement appel à la confrérie et qu’ils enquêtent sur cette affaire et trouve une solution avant qu’il ne soit trop tard et qu’on parvienne à un affrontement armé généralisé.

Isòrion au courant, le gardien de l’harmonie ne doutait pas un instant que le maître de la confrérie avait dépêché des gardiens mais devant ce nouvel incident, il y avait urgence. Il prendrait le temps de contacter Thüldae plus tard.

- Ce que j’aimerai savoir Ethan, c’est pourquoi les miens commencent à égorger des femmes et des enfants, ce n’est pas dans nos habitudes de nous attaquer à des familles sans défense. Nous allons nous rendre sur le lieu de crime et de voir ce que nous pouvons en tirer comme renseignement. Après nous aviserons.

La décision fut rapide. Ethan qui ne souhaitait pas quitter les siens indiqua à Lomìon comment rejoindre la maison où s’était déroulé le crime, de plus, il se pouvait que les agents d ela confrérie arrivent entretemps. Ils étaient donc convenus de revenir aussi tôt que possible.

L’elfe des bois connaissait la région, il leur faudrait à peine quelques heures pour parvenir sur les lieux et il n’était pas dupe, le plus difficile dans ce genre d’affaire, c’était de déterminer quelles pistes ignorer et lesquelles suivre. Il aurait tout le loisir de voir cela sur place.



L’ordre était bref et les elfes s’engouffrèrent dehors. Le temps s’était calmé, toujours aussi nuageux mais on percevait par intermittence la pleine lune. Lomìon resserra autour de lui les pans de son manteau et après un bref regard aux deux novices, ils se mirent en chemin.

Durant le reste du temps où ils restèrent tous trois éveillés, à penser à ce qui avait bien pu se passer, Miriel avait réellement réfléchit au pourquoi d'une telle atrocité....et pourtant, bien que les idées arrivaient en nombre dans son esprit, elle ne trouvait pas le courage, ou peut-être tout simplement l'envie d'en faire part à son maître et à sa compagne.
Depuis fort longtemps, elle n'avait pu reposer son esprit suffisamment longtemps, et souvent il se retrouvait submerger par tant d'émotions en même temps...et malgré ceci, à chaque fois, la rôdeuse les refoulait car elle savait pertinemment qu'elle ne devait en aucun cas se laisser avoir par ce genre de chose...
Toutefois, elle en avait laisser une envahir complètement son esprit ce soir particulier : l'envie de vengeance : ce désir, elle l'avait gardé inextinguible des années durant lesquelles elle a cherché sans relâche les êtres impies de la race à laquelle appartenait l'être qui avait tué son amant, et en une journée, elle y avait renoncé : le jour où elle avait juré serment à la confrérie.
Et là, en un soir, ce sentiment était revenu, mais avec une grosse modulation : elle ne désirait plus tant venger un être cher, bien qu'assassiné, mais plutôt venger ces pauvres gens qui avaient été tués vraisemblablement sans raison apparente...et en plus, par des elfes.

Debout, le regard perdu dans le vague, elle bouillonnait donc d'impatience de partir pour aller voir ce qu'il en était, et heureusement, ce moment arriva vite. Leur maître voulait lui aussi naturellement en savoir plus, et Miriel était contente d'aller avec lui...il aurait très bien pu les laisser dans la maison, après tout...
Dès que l'ordre fut perçu par l'ouïe fine de Miriel, celle ci se sortit de sa torpeur pour aller chercher son équipement qu'elle avait laissé dans un coin de la pièce.

¤Je savais qu'on allait y aller...qui ne voudrait pas savoir ce qu'il s'est réellement produit...enfin, de toute manière, je n'ai pas à m'emporter en quoi que ce soit...Miriel ma chère, surtout, ne te laisse pas déborder ! Surtout pas...¤

Elle rejoignit ensuite le gardien et la demi hors de la maison, arc en main, prêt à servir, déjà. Elle jeta un vif coup d'oeil à la demi, agrémenter d'un sourire, car elle avait bien remarqué que peu de temps auparavant, la demi-elfe avait été profondément retourné par quelque chose, quelques chose d'une gravité et d'une profondeur que la rôdeuse ne pouvait peut-être pas imaginer...mais elle essayerait de soulager son amie plus tard, quand elles auraient le temps de discuter réellement...
Quand le gardien leur intima l'ordre du départ, elle tourna la tête vers lui, et elle lui répondit d'un signe de tête bref, mais franc.

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Vingt Deuxième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage
22e jour du mois d'Eleinte 1372 (CV)

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MJ
Narration: Tous

nwën, du haut de ses dix huit ans, avait réfléchit en l’espace de quelques minutes et alors que le groupe de la confrérie se dirigeait vers la demeure de cet Herbert, elle se décida à faire preuve d’initiative.



L’elfe des bois stoppa presque immédiatement et se tourna vers la rôdeuse. Les sourcils froncés, le gardien de l’harmonie approcha son visage de la jeune femme qui déglutit lentement mais supporta le regard de Sae’Tel’Quess sans hésiter. Lomíon esquissa un sourire.



Inwën Ut Mathar n’hésita pas. C’était le moment ou jamais.

’ ’ ’ ’ ’

La jeune femme parlait avec passion mais avec raison. Sa présence chez les humains permettrait sans doute d’en apprendre davantage sur ce qui se passait dans cette partie de la Haute-Forêt. En tout cas, elle serait plus à sa place qu’une elfe sauvage comme Miriel ou un elfe des bois comme Lomión.

’ ’ ’ ’ …

L’elfe des bois avait toute les raisons de se méfier du caractère plutôt entreprenant de la jeune demi-elfe et parfois au mépris du danger. Ainsi après d’ultimes recommandations et adieux, la demi-elfe fit demi-tour et partit en direction de Fort Noénar. Sa mission, récolter un maximum de renseignement sur les activités des chasseurs et trouver une ou les pistes qui pouvaient expliquer ce regain d’animosité entre les elfes et les humains. Ils se retrouveraient chez Ethan d'ici quelques jours et le loup argenté maintedrait le contac entre eux.

Au même moment, le gardien de l’harmonie et Miriel reprirent leur route, côte à côte. Il leur restait un petit bout de chemin à faire avant de parvenir sur le lieu du crime.

Inwën fit donc demi tour et parti di coté de Fort Noéma afin de glaner quelques informations. Elle était ravi que son maître est accepter de la laisser partir seule, surtout pendant son noviciat et cela lui permis de refluer ses conflits intérieurs dans sa mémoire.

Elle marchait d’un bon pas afin d’arriver au petit matin et aussi pour se réchauffer un peu car le vent s’était levé et l’humidité de la nuit tombée, elle frissonna. La rôdeuse descendit sa capuche bas sur son front, resserra le col de sa cape autour de son cou et accéléra encore le pas.
Il lui fallait une stratégie d’approche pour se faire accepter au sein du fort, parmi les humain. Hormis ses oreilles un peu plus pointues pour un humain, elle devrait pouvoir facilement tromper son monde.

¤ Ça fait bien longtemps que j n’ai pas côtoyée un groupe d’humain mais ce s’ra l’occasion idéal de savoir s’ils n’ont pas entendu parler d’un Ut Mathar qui serait passé par ici. D’ailleurs ça fera une bonne approche! Une jeune fille à la recherche de son père, c’est émouvant! Elle sourit. "Et de là, je bascule sur ce pourquoi je suis là, en disant que j’ai vue des fermes qui avaient été attaquées. Ouais! C’est une bonne idée". Tout en marchant, elle saisie sous le rabat de son sac, le morceau de pain elfique que la Sy’Tel-Quessir lui avait donnée et le mangea doucement. "Hum! Il est vraiment très bon avec ce goût de miel, un vrais délice. J’espère que Miriel va faire ses preuves et être intégrée au sein de la confrérie en tant que membre! Elle le mérite vraiment et avec Lomion comme maître il ne devrait pas y avoir de problèmes. Bon aller, assez rêvassée, il reste de la route"¤.

La demi fini son morceau de pain, resserra les sangles de son sac à dos et parti en petite foulée. Ses pas étaient légers et le vent frais lui caressait le visage et la fit sourire. Elle se délectait de cet indépendance qu’elle aimait tant.

Depuis qu'elle avait appris dans la maison du forestier ce qui c'était passé, à savoir le massacre d'humains apparemment innocents par des elfes, et ce, de la bouche d'un des survivants de ce massacre...
Ce point précis permettait d'ailleurs à Miriel d'être sûre que cela était vrai, que des elfes avaient effectivement perpétués un massacre chez les humains alors même que ces derniers ne les avaient provoqués d'aucune manière.

Bien entendu, la jeune rôdeuse ne pouvait s'empêcher de réfléchir à ça, mais en fait de réfléchir, au fond d'elle, elle en était toujours à essayer de réaliser comment des elfes auraient pu faire une chose pareille, la raison qui aurait pu pousser des êtres si nobles, fiers et intelligents à un tel acte...
Et soudainement, le petit groupe de stopper, dans la forêt...Miriel ne compris pas de suite, mais elle se souvint peu de temps après que la demi-elfe, son amie Inwën, avait prononcé des paroles qui, au fond, paraissaient sensées aux oreilles de l'elfe sauvage. Et plus la brève discussion entre la demi et le gardien s'avançait, plus les paroles d'Inwën sonnaient juste et sage aux oreilles de la rôdeuse.

Dès que l'elfe compris qu'elle serait dorénavant seule avec le gardien accompli qui la guidait et lui apprenait ce qu'il fallait savoir, elle salua Inwën, avant de la regarder s'éloigner d'un pas leste pendant quelques secondes avant de mettre son capuchon sur sa tête et de se retourner vers son maître...

-


La jeune rôdeuse n'était pas sûr de la pertinence de la question, mais il était vrai que depuis longtemps elle n'avait eu à faire à un maître, et il lui faudrait encore quelques temps avant de s'habituer complètement...
Dans son esprit, défilaient alors des centaines d'options possibles, mais aussi de nombreux cas dans lesquels ils auraient à deux, à faire à une poignée d'humains apeurés qui les attaqueraient à vue, à la seule vue de leur ascendance...

Vingt Deuxième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage
22 Eleinte 1372 (CV)

Lieu : Lisière Haute-Forêt .
Temps : Venteux, humide.
Moment : Vers 6h30

MJ
Narration: Miriel et Lomiòn

es interrogation de Miriel étaient légitimes et le gardien de l'harmonie lui adressa un sourire confiant.

Lómion Nerdanel

J'ai confiance en Inwën, je dois dire que je suis seulement un peu déçu de ne pas avoir pensé à cette solution avant de quitter Ethan car je sais qu'aucun elfe ne réside à Fort Noénar et n'y sont pas forcément les bienvenus. J'ai expliqué tout cela à notre future Gardienne Errante et l'idée qu'elle a eut est forcément excellente. une demi-elfe passera certainement plus inaperçu que toi et moi. Nous la recontacterons une fois de retour chez Ethan à moins que ce soit elle qui ne le fasse avant. -------------------- Une des particularitées de Lòmion sont ses cheveux roux qu’ils portent tressés. Calme, serein, Lòmion est doté d’une patience à toute épreuve. Il est chargé de porter la parole des Gardiens Sylvestres là où c’est utile. Il relève uniquement de l’autorité du Conseil de Thüldae.

L'elfe des bois soupira face à la dernière question de la novice.

Lómion Nerdanel

Je ne peux pas répondre à ta question, nous devrons improviser et nous adapter une fois sur place. Mais s'il s'agit bien d'une attaque d'elfe, je doute qu'il y ait des survivants. Le tout est de savoir ensuite qui et pourquoi. Il y a à environ trois jours de marches d'ici une tribu de Sy'Tel'Quessir que je connais, à défaut, nous pourrions leur rendre visite mais avant tout cela, attendons de voir la maison de cet Herbert! Ne perdons plus de temps. -------------------- Une des particularitées de Lòmion sont ses cheveux roux qu’ils portent tressés. Calme, serein, Lòmion est doté d’une patience à toute épreuve. Il est chargé de porter la parole des Gardiens Sylvestres là où c’est utile. Il relève uniquement de l’autorité du Conseil de Thüldae.

Il avait fallut trois heures aux Gardiens Sylvestres pour parvenir à destination. Ils avaient marché dans des chemins ombrageux et boueux, quand le doute s’installait, ils s’arrêtaient le temps nécessaire pour écouter les bruits de la forêt. Mais tout au long du chemin, ils avaient avancés sans jamais se parler, profitant de la paix nocturne, avec un seul objectif, arriver au plus vite chez le vieil Herbert. Les indications d’Ethan s’étaient jusqu’ici révélées exactes. et ils n’avaient rencontrés âme qui vie tout au long de la route, enfin à mis à part quelques animaux, un blaireau à la recherche de quelques lombrics, une laie et ses marcassins qui firent leur apparition furtivement, quelques chauves-souris en maraude ou encore les appels modulés d’une meute de loup qui devait chasser à quelques kilomètres de là.

L’aube allait pointer dans un heure ou deux,et par chance pour les deux elfes, la pluie avait cessé et les nuages chargés d’humidité avaient laissé la place à un ciel dégagé et à la bienfaisante lumière de la lune. Puis, à un moment, les arbres s’espacèrent devant eux, laissant entrevoir un chemin emprunté par l’homme, mais pas d’une façon intensive. Ils continuèrent leur cheminement tout en restant sur leur garde jusqu’à apercevoir une maison se découper dans l’obscurité, baignée par le clair de lune. Une seule et unique chaumière, avec une entrée principale qui se trouvait juste devant eux à une trentaine de mètres. Les deux elfes avancèrent avec prudence en portant une attention particulière à tout ce qui les entouraient pas mais force était de constater que pour le moment, rien ne laissait supposer qu’il y avait un danger particulier.

Tout a fait satisfaite par les réponses que son maître lui avait donné, Miriel était repartie d'un pas vif et leste, dans les traces de son maître.

Durant tout le voyage, à de nombreuses reprises, elle avait cru entendre des bruits qui pourraient provenir d'animaux potentiellement dangereux, voire d'autres créatures qui vivaient dans les bois...mais jamais elle n'eut à se défendre, jamais ils ne furent inquiétés par autre chose que de simples bruissements.

Durant toute la marche, la pluie n'avait cessée, et les vêtement de Miriel regorgeait d'eau, à tordre...surtout sa cape, qui était devenue de plus en plus insupportable et lourde. Alors quand la pluie vint enfin à s'arrêter l'elfe put se réjouir un peu, bien qu'elle ne le montra pas forcément ouvertement. Elle se disait que de toute manière, elle ferait mieux d'avancer et d'arriver au village le plus vite possible pour pouvoir voir enfin le massacre et l'état du village de ses propres yeux, et ce quelque soit la fatigue qui pourrait entraver la vivacité de ses membres et quelque soit le temps auquel ils seraient confrontés.

Quand Miriel aperçu devant un chemin visiblement utilisé régulièrement par les hommes, elle ralentit nettement l'allure, pour faire moins de bruit d'une part, et pouvoir ainsi être plus attentive à son environnement. Au bout de quelques mètres elle vit ce qui les attendait au bout du chemin, une chaumière, certainement celle du vieil Herbert, baignée par le clair de lune.

Aussitôt, la jeune elfe s'arrêta pour regarde alentours et vérifier qu'il n'y avait pas de danger, et dès qu'elle en fut certaine, elle se tourna vers son maître pour savoir ce qu'ils allaient faire. Elle ne parlait pas très fort, juste pour que son maître l'entende, mais pas la forêt...

-


Evidemment, elle attendit la réponse de son maître, et tout en restant sur ses gardes, attentive au moindre bruissement, elle l'observait pour essayer de cerner ce qu'il se disait dans son esprit, mais surtout pour attendre la réponse qui serait sûrement très sage de ce dernier...


Miriel utilise la compétence Fouille dans la clairière pour essayer de détecter les éventuels pièges.


La suite