Dans Cormanthor, à la recherche des enfants,, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 2

a main posée sur son épaule fut réconfortante, il était vrai que Floyr était la source première de sa nervosité. Yvhann avait confiance en son familier, plusieurs fois, il s'était trouvé dans l'embarras et il lui était resté fidèle, mais là dans cette épaisse forêt comme jamais le forestier en avait vu auparavant, il ne savait plus quoi penser. Il fit un signe approbateur à son compatriote puis laissa Khell ouvrir le chemin avec Kanabhendril et lui se positionna derrière eux. Sachant Enoriel avec Jereicia derrière lui, il ouvrit la piste du mieux qu'il put en avertissant ses arrières lorsqu'il y avait des embûches pour que ses suivants ne puissent pas trébucher.

Il n'aimait pas ça, vraiment pas, il se sentait comme une proie. Si ses compagnons l'avait aperçu au clair, ils auraient trouvé qu'il ressemblait plus à une bête qu'un elfe, son instinct naturel ressortait le rendant plus alerte; les oreilles à l'écoute du moindre bruit, il reniflait l'air pour y déceler un moindre indice et le regard nerveux scrutant au maximum de sa vision, cette forêt qui se voulait agréable et enveloppante. Une voix douce et connue de lui en son fort intérieur marmonna... ¤Mon être est tout ce que j'ai appris à connaître. Ma vie est la somme de mon corps, de mon mental, de mon esprit et plus encore. Car je suis immergé dans un océan cosmique de vie qui unit ma vie au tout et je deviens tout.¤

Suite à cette méditation il redevint encore plus vigilant, sa sagesse ayant parlé, il avait troqué la nervosité par le calme et la réflexion. Prenant de grandes inspirations il devint comme un tout en cette forêt, se mettant par le fait même en symbiose avec celle-ci. Il visualisa son dragon jaune de protection l'envelopper. Il se sentait plus sur de lui et sa confiance augmenta. Il se concentra mentalement sur Floyr l'appelant sans cesse mentalement et le visualisant au dessus d'eux, prêt à les avertir au moindre danger.

a prêtresse, remercia vivement Enoriel pour sa proposition. il était vrai qu'avec une vision restreinte, il fallait rester prudent, surtout si l'ennemi les observait que ce soit par moyens naturels ou magiques. Ils avaient marché et n'avaient pas encore retrouvé le compagnon d'Yvhann. Jereicia sentait qu'elle était plus un boulet pour ces habitués de la nature, mais elle savait que son utilité viendrait à transparaître plus tard, lorsque la situation le lui permettrait.

Elle n'abandonnerait pas le groupe et le sauvetage en cours, comme leur ancien compagnon de route. Que pouvait devenir le mage, Lasnilus? Etait-il en sécurité ou était-il en danger. La peur l'avait prit, semble-t-il, aux tripes. il aurait dû faire comme elle, faire confiance en sa déesse.

Elle n'osait pas adresser la parole de peur que cela trahisse leur présence à des adversaires que les ombres et l'obscurité pouvaient cacher et protéger en leur sein. La prêtresse suivait Enoriel, elle savait qu'eux pouvaient repérer plus facilement dans un tel environement des ennemis potentiels. Pour le moment, elle essayait de suivre ses compagnons et d'observer ce qui les entouraient. De plus elle n'étaient pas habituée à un tel paysage. Elle comprenait pourquoi les elfes ses ancêtres avaient élu leur domicile ici, il y avait très longtemps.

MJ
près un temps la forêt changea encore de visage, les arbres devaient être certainement plus espacés car la lumière lunaire éclairée un tant soi peu leur pas et après une nouvelle demi-heure où progresser sans bruit relevait du miracle dans cette brume épaisse et se fouillis de fougères en tout genres. Khell avait réussi à guider Khanabendril et par là même les autres aventuriers à travers un grand bosquet d'épicéas morts depuis longtemps. Sur leur troncs squelettiques, il ne restait plus que quelques branches ratatinées et des plaques éparses de mousse verte. Les restes d'autres antiques rois de la forêt pourrissaient sur le sol. Un chêne des marais gisait sur le flanc, éparpillés autour de lui, ses larges feuilles plates évoquaient un immense cimetière de serpents enlassés dans la mort.

Les aventuriers se frayèrent un passage créant un mince sentier dans ce paysage désolé ou leur vision était limité à six mètres pour ceux dont la perception visuelle était un atout. Kana ouvrait la marche le dos voûté pour tenir Khell, suivait Yvhann puis Jereicia et Enoriel qui tentaient de regarder par dessus la tête de l'elfe druide pour avoir une idée de ce qui les attendait. Mais la visibilité était réduite à quelque dizaine de pas. Les bois des arbres gorgés d'humidité reflétaient la lumière lunaire et brillait de façon étrange. L'air humide chariait l'odeur atroce de décomposition. Un nuage d'insectes les suivit un moment et tous se rendirent compte que c'était là les seuls êtres vivant qu'ils avaient remarqué. Il était impossible pour chacun de réfréner leurs inquiétudes et leurs angoisses. Dans des conditions pareilles, n'importe quel ennemi pouvait leur tomber dessus et les mettre en pièce avant qu'ils n'aient eu le temps de le repérer... Sans qu'ils s'en aperçoivent plus que cela, ils débouchèrent dans une petite clairière embrumée de dix pas de rayon au pied d'une colline rocailleuse. Ils s'arrêtèrent net et bouche bée en voyant le spectacle qui s'offrait à eux...

Une dizaine de cadavres humains et demi-elfes étaient empalés sur des lances sanguinolentes plantées dans le sol boueux et piétiné, les visages terrifiés et tuméfiés des malheureux semblaient être connus des membres du groupe, ses visages ils les avaient déjà croisés en ville hier ou avant hier. C'étaient ceux d'aventuriers qui tout comme eux s'étaient à engager à retrouver les disparus la veille de leur départ... Tous morts, plantés là en guise d'avertissement. Soudain un bruissement de feuille attira leur attention sur la gauche, ils n'y voyaient rien mais il y avait bel et quelque chose dans les fourrés de ce côté!

uste après le déjeuner, Mirtzar avait entendu un cri qui avait encore accru la peur qu'il éprouvait. Mirtzar avait fait le maximum pour se persuader qu'il était seulement énervé par sa première mission en tant que membre de la Compagnie et non pas apeuré. Cela faisait une semaine que Mirtzar errait dans cette forêt et il commençait à en avoir marre. Cependant, la Compagnie des marches lui avait donné la mission de trouver une pousse de chêne-carillon et il l'avait acceptée. Heureusement que son ami Rwandral l'accompagnait.

¤On a pas idée de m'envoyer chercher un arbuste. Explorer des repaires ennemis, je sais faire, défendre un marchand, je sais faire, mais trouver une plante, je ne sais pas faire. C'est pas un travail de nain, d'elfe peut être mais pas de nain. Enfin bon, mon maître disait toujours que toute expérience est bonne à prendre alors.¤

Mirtzar était un peu énervé par son travail d'herboriste mais il s'en voulait surtout à lui-même. La vérité était qu'il commençait à avoir peur sous la canopée de la forêt. Il aurait peut-être même été terrorisé si son ami humain ne s'était pas trouvé avec lui. Cependant, malgré son préjugé plus que négatif, il fut plus que surpris par la beauté de certaines fleurs. Cependant, d'après Rwandral, aucune n'était suffisamment rare pour intéresser la Compagnie. Même si Mirtzar n'avait pas une ouïe exceptionnelle, il était certain que le cri provenait du Nord Ouest. Pourtant lui et Rwandral n'avaient toujours rien trouvé et c'étaient fait surprendre par la nuit et maintenant de nombreux buissons épineux ralentissaient grandement leur avancée. Après avoir franchi un dernier obstacle de buissons, ils se trouvèrent à l'orée d'une clairière. Au centre de celle-ci se trouvaient des cadavres empalés. La présence des cadavres fit un drôle d'effet à Mirtzar : premièrement, et il en eut vite honte, l'idée le traversa que s'il y avait des cadavres, il pourrait y avoir des choses à faire plus intéressantes que la cueillette des fleurs, puis il fut désolé pour eux et décida de les venger. Après mûre réflexion, les deux réactions conduisaient à la même chose, il partirait se battre avant de reprendre sa chasse au chêne-carillon.

wandral regardait les arbres quand il arriva dans la clairière, la première chose à laquelle il pensa en voyant les cadavres fut le dégoût, ensuite, il eut honte de n'avoir pas réussi à leur porter secours et se dit qu'il fallait leur donner une dernière demeure et qu'il fallait les venger, baste pour la ceuilleitte des plantes à vrai dire ça ne l'intérressait pas vraiment.

- Creusons une tombe pour ces aventuriers mort comme nous le serions si nous étions partis avec eux, récitons une prière à nos dieux respectif puis partons les venger, nous devons châtier les créatures qui ont fait ça et si tu ne veux pas m'aider je le ferai seul. Rwandral se dirigea vers un corps quand l'idée lui vint de fouiller les corps, il se dégouta de lui même et alla vomir dans un coin sombre. Il remarqua alors que un sang plus sombre et plus collant que les autres : ses compagnons d'infortune n'était donc pas mort sans combattre, ce n'était pas vraîment encourageant car ça voulait dire qu'ils s'étaient battu contre plus qu'eux.

- Ce ne sont pas des créatures supérieures en nombres qui ont tué nos compagnons, c'est une créature bien plus puissante dont on voit le sang ici et là. Qui peut faire un tel massacre? En tout cas nous devons les arrêter. Rwandral allait avoir du mal à rassembler les corps et à les enlever des piques.

irtzar partageait l'avis de son ami humain, on ne pouvait pas laisser ses preux aventuriers sans sépulture. Le nain devait aider Rwandral à décrocher les morts. Mais avant tout, il s'assit calmement joignant les index et les annulaires de ses deux mains sur son visage.

- O grand Clangeddin Barbedargent, maître de tous les guerriers nains, donne moi la force de venger ces pauvres hères tuées par un puissant ennemi et assure toi du repos de leurs âmes. O mon grand dieu, que ta barbe et celle de tous les nains au grand coeur pousse toujours plus longue. Une fois cette courte prière proférée dans la langue du peuple vigoureux, Mirtzar avait dans l'idée d'empiler d'un côté les cadavres et de l'autre les lances...

Il faudrait ensuite allumer un feu avec ces armes mais il réalisât qu'il n'avait aucun moyen d'allumer le feu et que, même si il n'y connaissait rien en forêt, il n'était certainement pas une bonne idée d'allumer un feu qui risquerait de se propager. D'ailleurs il réalisa qu'il n'avait ni pioche, ni pelle pour creuser un trou digne de ce nom où ils pourraient, lui et Rwandral, ensevelir les malheureux aventuriers, et apparemment, son compagnon n'était pas vraiment mieux équipé que lui. Soudain, Mirtzar sentit devant lui comme une présence. S'attendant à être attaqué par un animal sauvage, un loup ou peut être un ours, lentement, le nain posa sa main sur sa hache de guerre, essayant de faire cela le plus naturellement possible. Il était prêt à étriper l'animal qui le guettait. Ses yeux scrutaient l'épaisse brume devant lui sans encore rien pouvoir y voir.

Quelle ne fut pas sa surprise quand au lieu d'un fauve, il trouva un groupe d'aventurier. Parmi ceux-ci se trouvait Jereicia, la demi-elfe qui les avaient accompagnés lors du début de leur mission de recherche du chêne-carillon...

wandral était soulagé de voir qu'un des visages qui était sorti de la brume était connu de son compagnon nain. Un frisson le parcourut quand il pensa à ce qui serait arrivé si ça avait été la bête qui avait tué les cadavres. Il rengaina l'épée qu'il avait vivement dégainé dès que Mirtzar avait entendu du bruit.

- Bonne rencontre à vous compagnons, nous craignions de tomber sur je ne sais quelle monstre ou abomination. Nous sommes soulagé de nous avoir avec nous et je vous demande de bien vouloir nous accepter dans votre compagnie. Vous avez l'air fatigué, comme nous d'ailleurs, je vous propose donc, si vous le voulez bien, de nous reposer et de dormir, si l'odeur des cadavres vous gêne, nous pouvons trouver une autre clairière. Ce crime ne doit pas rester impuni et Mirtzar et moi partirons demain dès l'aube pour venger ses hommes et femmes. Ensuite si votre quête est la même, nous pourrons allez chercher le chêne-carillon ensemble. Rwandral parlait désormais avec plus de facilité et il était moins tendu. Ayant passé plusieurs mois dans une cité elfique non loin de là, il se sentait très bien dans cette forêt.

¤Peut-être pourrais-je aller voir mes amis elfes, Elrinaë en particulier. Non, je ne dois pas y aller, sinon je serais mal reçu. Les elfes m'ont autorisé à venir quand j'aurais fini ma première quête pas avant.¤ Rwandral devenait mélancolique quand il pensait à Elrinaë, s'il pensait à elle, il devenait distrait et rêveur. Il ne pouvait pas s'empêcher de penser à elle quand il voyait des arbres. C'était encore pire quand il voyait une elfe. Aucune femme pour lui n'était plus belle qu'Elrinaë:elle avait les cheveux blonds foncés,de beaux sourcils et des magnifiques traits réguliers. Quand Rwandral s'aperçu qu'il regardait fixement Jereicia,il détourna la tête pour éviter que tous le voit rougir. ¤Elle ressemble beaucoup à Elrinaë,c'est stupéfiant:les mêmes cheveux,la même beauté.Je comprends pourquoi on trouve les elfes si beaux.¤

vhann resta bouche bée. Le spectacle, plutôt l'horrible vision qu'il avait devant lui ne le glaça pas, mais le rendit soudain, autre. Il n'avait pas encore fini de faire le tour de vision de cette clairière cauchemardesque, qu'il entendit des voix, vers sa gauche et exactement à l'endroit où ils avaient entendu des bruits suspects. Là il vit un humain et un... nain! Les étrangers paraissaient les avoir vus, ils semblaient les connaître et même connaître leurs états, ils devaient avoir une bonne vision et connaître la forêt. ¤Tant mieux. Sûrement d'autres aventuriers qui cherche les disparus.¤

Après les dires de l'un des personnages, il ne savait plus quoi penser, il ne s'attendait vraiment pas à cela. Il se détendit quelque peu et en profita pour siffler Floyr, sachant le danger moins pressant. Il lâcha ses cris successifs, la tête vers le haut et tentant d'imiter le mieux possible celui de Floyr... Car il n'avait point écouté leurs dires, il se disait que les autres le feraient. Il laissa le soin de la diplomatie aux autres. Il était toujours soucieux et il n'aimait pas ça. Sa vigilance ne s'amoindrissait aucunement, au contraire, il surveillait le ciel dégagé à la recherche de Floyr et le moindre son suspect qu'il entendait.

Il regarda les malheureux empalé, et pensa que leurs blessures pourraient lui donner des indices, à savoir quel était leur adversaire, animal ou autre, armé ou pas. Il prit la décision de sortir de l'ombre et d'avancer pour y voir plus clair, sur les blessures des cadavres.

irtzar se retourna vers son compagnon et lui sourit quand il entendit sa tirade. Son ami avait beau être beaucoup plus à l'aise que lui dans la forêt, il semblait lui aussi plus que moyennement passionné par l'horticulture. Mirtzar n'était pas vraiment fatigué, au contraire de son coéquipier apparemment. De toute les façons, il faudrait au moins une personne pour surveiller le camp durant la nuit avec la présence de ce ou ces monstres dans la forêt. Il se souvint avoir lu dans un des nombreux livres de son père que les elfes ne dormaient jamais et au moins deux des nouveaux équipiers du nain en était. Dormir semblait donc plutôt inutile au nain cependant il savait grâce à la fréquentation de nombreux lanceurs de sorts de son ancien clan que ceux-ci avaient besoin d'un certain temps de concentration avant de pouvoir renouveler leur quota de sort.

Soudain, Mirtzar s'aperçut que l'un de ceux qu'il avait reconnu comme étant des elfes s'était approché. Le nain se demandait ce que celui-ci allait faire. Tout d'abord, il crut qu'il voulait les attaquer mais il avait l'air trop serein pour que ce soit cela. Puis il pensa qu'il venait leur serrer la main en signe de bienvenue dans leur équipe mais l'elfe passa entre lui et Rwandral sans dire un mot et sans les regarder. Finalement, voyant que l'elfe examinait les blessures des cadavres, il comprit qu'il cherchait à identifier le monstre. Mirtzar se dit qu'il devrait peut être bien aller l'aider avant de comprendre que cela serait inutile. Primo, le nain ne savait absolument pas quel genre de monstre pouvait vivre dans cette contrée et l'étude ne lui apprendrait donc rien. Secundo, ils avaient trouvé les cadavres empalés, ce qui signifiait que leurs ennemis avaient des mains et, vu la taille des lances, qu'il faisait environ la même taille qu'eux.

La présence des elfes lui offrait deux opportunités. Premièrement, il pourrait en apprendre plus sur cette race dont tout ce qu'il savait venait de nains qui n'en avaient pas une bonne image et un peu de Jereicia qui l'était à moitié durant son voyage jusque dans les vaux. Deuxièmement, la présence des elfes, et surtout de celui-ci qui semblait si bien s'entendre avec les animaux, pourrait leur assurer la connaissance du milieu sylvestre qui leur manquait. Mirtzar décida finalement de s'approcher de Jereicia et, après lui avoir fait la bise, de commencer la discussion.

- Salut Jereicia et bonjour à vous tous aussi! Dit-il en se tournant vers les aventurier et en faisant une courbette. Aurais-tu toi aussi abandonné ta mission momentanément? Si oui, que fait tu maintenant? Si votre mission passe par la vengeance de ses pauvres hères, ou si vous comptez en faire votre nouvelle mission, je propose la maigre aide que pourrait vous fournir ma hache, ainsi que semble-t-il, celle de mon ami humain.

wandral était quelque peu amusé par le ton qu'avait pris son ami Mirtzar qui semblait avoir de l'énergie à revendre.

- Je suis de l'avis de Mirtzar, nous serions très heureux de nous joindre à votre si belle compagnie. De plus j'aurais le temps de m'exercer un peu en elfique : cela fait longtemps que je n'ai pas parler cette langue magnifique avec des elfes. Puis-je vous demander d'où vous venez, jusqu'ici, je n'ai connu que des elfes qui habitent près d'ici. Maintenant si vous le voulez bien,je vais allez aider votre compagnon à examiner les corps. Rwandral trouvait évident que c'était des créatures aux formes du moins humanoïdes qui avaient empalé ces personnes.

- Je suis arrivé à la conclusion que ceux qui ont tué ces gens ont une forme humaine ou peut-être gobeline mais ce sont des bipèdes avec des mains. ¤Qui donc aurait pu faire une telle monstruosité, même un gobelin ne ferait pas ça sauf bien sur s'il est sadique, mais je ne rencontre pas souvent des gobelins sadique. C'est vraiment horrible à voir. C'est la première fois que je vois des elfes morts.¤

- Que Torm les accueille en son saint paradis de bravoure et de justice pour l'éternité et qu'ils vivent des jours heureux au ciel. Rwandral versa quelque larmes pour ces beautés de la nature mortes pour rien et récita une prière à Torm. Avoir récité cette prière ne fit que faire couler quelques larmes de plus. ¤Après tout seul un être sans coeur ne pleurerais pas les morts et leur courage.¤