Quel est votre nom, voyageur ?
Eléasis (VIII) 1373, 2ᵉ chevauchée
   

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> Dans Cormanthor, à la recherche des enfants,, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 2
écrit le : Dimanche 10 Février 2008 à 19h43 par Ana N' Si
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i Mirtzar fut le premier à réagir aux propos de Kanabhendril, ce n'est pas parce qu'il se trouvait le plus prêt de lui, loin s'en fallait, ou parce qu'il était le plus concerné par ce que disait, au contraire, mais parce qu'il était celui qui était le plus libre de se concentrer sur ses paroles.

En effet, Mirtzar était de loin le moins compétent pour élucider les mystères que leur réservait la tour du druide et c'est pourquoi il était le seul qui ne soit pas complètement accaparé par la tâche de chercher à comprendre comment progresser dans cette tour sans risquer de tomber dans un piège grossier. Pour être précis, il était en train de laisser son regard se promener avec les colonnes de fumées sous la porte l'esprit perdu il ne savait pas précisément où. En fait, il était en train de repenser aux enseignements de ses maîtres qu'il avait peu ou prou complètement oublié avec le temps et qu'il ne connaissait pas bien, faute d'application, même du temps où il les apprenait.

Mais la voix du rôdeur humain le fit sortir de sa transe somnolente. Il ne pensait pas pouvoir en apprendre beaucoup plus sur la porte en continuant de la fixer et il avait toujours eu un goût prononcé, comme beaucoup de nains du reste, pour l'observation des pierres précieuses même s'il n'en avait jamais possédé, qu'il était incapable de reconnaitre une émeraude d'une améthyste et qu'il ne savait ni où trouver les pierres ni comment les tailler pour faire ressortir leur beauté naturelle. Il se souvenait avec mélancolie de la hache de la grande statue de Clangeddin ainsi que des yeux de la représentation de Moradin du temple de son clan tous trois serties de pierres énormes et magnifiques. Il ne pouvait repenser à ces statues sans avoir les larmes aux yeux et il doutait de revoir un jour un spectacle aussi beau que le soleil du matin qui, au travers d'une lucarne ménagée dans le toit de la grotte, éclairait la barbe d'argent et le visage souriant du Père de la Bataille. Si ses mains avaient été moins débiles, il aurait même souhaité devenir sculpteur lui-même.

Mais le moment n'était pas au regret de son enfance et de cette carrière qui ne l'aurait sans doute pas mené bien loin. Il était dans une tour où il n'était peut être pas le bienvenu et qui renfermait sans doute des dangers non négligeables. Il décida que son observation infructueuse de la porte pouvait prendre fin sans menacé la sécurité du groupe et il s'approcha de Kanabhendril pour répondre à sa question.


-Mon cher, je pense qu'il vaut mieux attendre l'avis de chacun avant d'enfoncer cette pierre dans cet orifice, nul ne sait ce qui pourrait arriver, rien, sans doute, d'ailleurs, mais mieux vaut être prudent. Cependant je pense que nous devrions tenter l'expérience. Un proverbe de chez moi dit: " ". Ce qui pourrait se traduire par "Qui n'essaie pas ne réussis jamais" ou un truc du genre. je ne suis pas très doué pour la traduction.

Ce que Mirtzar choisit de taire, par contre, c'était que le proverbe contenait une seconde phrase, " ", qui était largement moins encourageante. Parfois, il est bon d'avoir des trous de mémoire. Le nain avait un peu honte de ce forfait, ce qui faisait qu'il devenait presque aussi rouge que sa barbe, mais il estimait que mieux valait parfois un minuscule mensonge pour éviter de gros problèmes. Il pria, quand même, Clangeddin que mettre la pierre dans le trou n'ôte pas la vie à Kana.



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écrit le : Dimanche 10 Février 2008 à 20h28 par Adlareth
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Ainsi donc, il était probable que le Faernsuor, eut raison. Cacher un portail de cette importance derrière une vulgaire porte, aurait été par trop facile. Aël’Telàwërith en arrivait implicitement aux mêmes conclusions qu’Enoriel et que le Bhin (jeune homme humain). La fontaine était très certainement « la » Olin’oth (porte secrète). Et de plus, l’humain semblait détenir la clé du passage. A moins, que ce ne soit la clé d’un piège. Mais le serviteur de la Couronne d’Arvandor ne croyait pas vraiment à cette hypothèse. Même s’il n’était pas exclu que le portail soit protégé par autre chose qu’une entrée secrète. Non, il pensait sincèrement que l’humain détenait la clé qui lui permettrait de rejoindre les terres ancestrales et leurs temples élevés à la gloire de la Seldarine.

Celui que tous appelait Kanabhendril inspectait du regard chacun de ses compagnons à la recherche d’un assentiment à ce qu’il s’apprêtait à faire. Mitzar prit la parole, déconseillant à l’humain d’aller plus avant dans son entreprise. Il donna un à tous un proverbe dans sa langue natale.
¤ Seldarine !! que cette langue est rugueuse.¤ Le Ar’Tel’Quess trouva la manière de penser naine assez simpliste, mais elle n’était pas dénuée de sens. Même si elle était par trop incomplète. Ce proverbe en rappelait un autre au Haut-Elfe. Un proverbe humain mais que ces derniers semblait bien incapable d’appliquer. Ca disait quelque chose comme « qui va doucement, va surement » ou une chose de ce genre là. Mais l’heure n’était pas à ce genre de considération. Aussi Aël’Telàwërith prit à son tour la parole. Son ton était grave, ce qui dénotait les inquiétudes qui le taraudait. ¤ Ainsi donc, les visions de Corellon étaient justes, mais le danger ne viendra pas à moi. Non, c’est moi qui vais devoir aller au devant du danger.¤

- Hum hum… Ne fait pas ça, humain. Du moins ne le fait maintenant. Je ne tiens pas à libérer la chose qui se tient derrière cette porte là-haut, et lui donner l’occasion d’aller fouler les terres elfiques à sa guise en utilisant un portail que j’aurai ouvert.

Au fond de lui Aël’Telàwërith aurait souhaité que l’humain ouvre le portail et, par la même, la voie vers son objectif. Il souhaitait ardemment savoir si les légendes étaient exactes. Mais pas à n’importe quel prix.
L’histoire avait appris aux Tel’Quessir que les portails pouvaient s’avérer très dangereux. Il ne fallait pas les ouvrir inconsciemment. Myth Drannor avait péri à cause des trop nombreux portails qui s’étaient créés ça et là. Libérant le Khov'Anilessa qui devait rassembler l’armée des ombres. Et il ne tenait pas du tout, à ce que son peuple se rappelle de lui comme étant un Athiless (apporteur de fléau). Il ne voulait pas être celui qui aurait permis à ce qui était tapis derrière la porte du haut de rejoindre l’endroit où le prêtre voulait aller.

Il se retourna vers Yvahnn, puisque le groupe l’écoutait, lui.


- Cela ne m’enchante guère Omath’tel’Aethen [chef des autres (non-elfe)], mais je crains qu’il nous faille, d’abord, s’assurer de ce qui se cache derrière cette porte. S’il s’agit d’un danger pour les Tel’Quessir, autant que nous l’affrontions ici, plutôt que de lui ouvrir les portes vers les terres sacrées de nos aïeux. Les Aethen s’en fichent peut-être. Mais je suis certain que vous avez à cœur de protéger les nôtres et toutes les choses elfiques. Et je suis certain également que, tout comme moi, vous ne voulez pas être un Athiless (porteur de fléau). Il nous faut absolument s’assurer, que ce qu’il y a là-haut, ne puisse pas nous suivre là où nous allons.

Aël’Telàwërith irait seul si besoin était. Mais il ne laisserait pas ses craintes et ses doutes en suspens, prenant ainsi le risque de nuire au peuple elfe. Non, il en était hors de question. Il y perdrait peut-être la vie, mais elle ne lui appartenait pas. Il avait, depuis plusieurs années déjà, fait don de sa vie à Corellon Larethian et donc au Tel’Quessir. Et par-dessus tout, il était très conscient, qu’aujourd’hui il portait la responsabilité de ne pas entacher, ni le nom des Eowëlathaèldir et encore moins celui du clan auquel il savait, maintenant, appartenir en tant que descendant de la maison d’Aëryndra de Cormanthyr.



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« Tourmenteurs d'esprits Tel’Quessir, craignez la colère de Corellon Larethian.

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écrit le : Lundi 11 Février 2008 à 14h56 par Yvhann
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Ses recherches sur le planché ainsi que derrière les tapisseries, resté vaines , le druide-rôdeur se tourna prestement, au grognement de Khell a l'endroit de Mirtzar et il y vit les petite effluve de fumé sous la porte qui dansait la danse de la mort, ... Assurément.

Il allait partir pour les escalier quand Aël’Telàwërith s'approcha du ceux-ci pour aller fourrager le corps en putréfaction, investi de pustules purulents et ce, avec sa dague qu'il remit au fourreau sans même la nettoyer. Yvhann eut une grimace de dégoût, le corps affreusement mutilé du vieil homme qu'ils avaient croisé avec Enoriel et Kana ressemblait en tout point a celui du gnoll. Pour le grugach il était persuadé qu'il s'agissait là de la même maladie et il était au courant que certaine maladie humaine pouvait facilement attaquer les elfes aussi même si Aël’Telàwërith en avait dit le contraire auparavant.

Se qui fit changer le faciès d'Yvhann fut lorsque Kana sorti le joyaux de sur lui et qu'il avoua l'avoir prit après la rixe avec les gnolls. Il devint furieux intérieurement, Kana l'humain pour lequel il avait donné quelque peut sa confiance venait de lui prouvé qu'il était en fait un filou d'occasion, car il n'avait jamais parlé de cette pierre. Le sauvageons venait de mettre de coté sa confiance envers Kana, il serait difficile maintenant pour lui de le respecter.

Par contre la découverte d'Enoriel lui fit savourer se moment bien autrement. Il appréciait par dessus tout la présence de son compatriote, il l'avait toujours estimé et là, Yvhann en fut fière et ne manqua pas de lui faire savoir d'un signe druide accompagné d'une félicitations du même acabit.

Au paroles de Aël’Telàwërith, il se tourna vers lui et ...

-Je ne peut rien contre des malédictions, surtout magique, contre les maladies, si je trouve bien sur, les plantes adéquate, je peux tenter de les soigner après les avoir étudier de façon approfondie et encore là, faut il en avoir le temps. Si nous ne tentons pas de franchir cette porte, il n'aura pas d'infection et en parlant d'infection, je vous ai vu toucher le cadavre du gnoll avec votre dague, vous l'avez introduit dans votre fourreau sans même la nettoyer, elle a donc infecter votre fourreau. Et détrompez vous Aël’Telàwërith, certaines maladies peuvent sans problème, attaquer les Tel’Quessirs même si cela, vous ne voulez pas l'entendre et que cela vous surprend. Et de grâce cessez de me donner des titres que je n'endosse pas.-

Le ton employé avait été sévère, mais n'était pas orienté vers Aël’Telàwërith, c'était plutôt le fait de Kana qui l'avait rendu ainsi.

Pour lui la fontaine était la première chose qu'il voulait voir s'actionner, si cela ne fonctionnait pas, il se tournerait vers cette porte qui le révulsait.



La terre, pendant longtemps ma demeure dans l'obscurité de l'hiver, a fléchi sous le souffle d'air du matin. Le plan me presse maintenant de donner mon souffle. Pourquoi suis-je ici? Pour quelle raison suis-je revenu cette fois-ci? Et l'air souffle sur moi sa réponse rieuse. "Tu es la vie. Tu es le tout en train de devenir Un. Fais ton expérience."
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Niv.0:Assistance divine 2x, Résistance, Illumination, repérage.
Niv.1:Détection des collets et fosses*, Enchevêtrement, soin léger*, Grand pas.
Niv.2:Peau d'écorce, Puissance animal*, Soins modérés*, lien tellurien.
Niv.3:Morsure du loup garou, croissance d'épines*, Croissance végétal, Appel de la foudre*.
Niv.4:Soins importants*, Dissipation de la magie.
Niv.1 Rôdeur: Grâce du chasseur 2x, tir assisté*.
 
 
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écrit le : Lundi 11 Février 2008 à 19h06 par Ana N' Si
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vhann n'était pas le seul qui souhaitât répondre aux propos de l'elfe doré. Le nain resta là où il se trouvait, juste à côté d'Enoriel, mais il était certain de pouvoir se faire entendre du prêtre de la Seldarine sans problème. S'il avait décidé de rester ainsi, ce n'était pas par manque de respect envers Aël'Telàwërith, mais parce que, au moment où il s'apprêtait à parler, une autre idée lui vint à l'esprit. Malgré tout, il s'adressa en premier à l'elfe. Il ne savait pas vraiment comment le qualifier sans utiliser un terme soit trop affectueux soit trop irrespectueux qui risquait de ternir encore leurs relations qui ne s'étaient pas ouvertes pour le mieux. Il opta donc pour une formule neutre à défaut de pouvoir se souvenir de son nom.

-Camarade, je ne suis pas certains d'avoir complètement compris votre discours car je dois avouer que je ne suis pas vraiment doué pour les langues et que le langage des elfes ressemble fort peu à celui de mes ancêtres. Mais il me semble avoir compris la majeure partie de votre message. Cependant, avant de pousser plus avant mon intervention je dois vous demander quelques secondes de patience car vous venez de me faire penser à quelque chose.

Le nain se retourna alors et regarda dans les yeux Enoriel. Puis il se baissa jusqu'à ce que sa barbe touche le sol et que ses os craquent assez pour lui signifier qu'aller plus loin serait folie. Il se releva alors et commença à parler au druide.

-Enoriel, je me voit contraint de vous demander un service, ou plutôt un don. Ma paresse naturelle et ma bêtise ont fait que jamais je n'écoutait les conseils de mes parents me conseillant d'apprendre le langage des elfes, pas vraiment dans l'espoir que je me lie d'amitié avec l'un d'eux mais c'est un détail. Et maintenant que me voilà arrivé à l'âge adulte, je souffre de mes erreurs passées. C'est pourquoi je vous demandes humblement de bien vouloir m'enseigner votre langue. Je suis conscient qu'il me faudra sans doute beaucoup de travail avant de pouvoir même comprendre à peine quand vous prendrez la peine de parler lentement et que je ne serait peut être jamais capable de prononcer correctement de nombreux mots mais je souhaite apprendre cette langue qui me fascine. Ainsi, vous n'aurez plus de raison de ne pas me laisser vous nommer mon maître. Mirtzar ne put s'empêcher de sourire quand il dit cela comme il souriait quand il titillait un adulte gentiment, innocemment. Alors, acceptez-vous de me prendre pour élève. Je comprends qu'il vous faille du temps pour réfléchir.

Sur ces mots, Mirtzar salua de nouveau et se dirigea vers là où se trouvait le prêtre de la Couronne d'Arvandor en le fixant.

-Je disais donc que je n'était pas certain d'avoir complètement compris ce que vous vouliez dire mais qu'il me semblait en avoir compris une bonne partie. Vous me corrigerez si j'ai mal interprété vos paroles. Vous pensez qu'une créature se trouve derrière cette porte et que si elle foulait les terres qui supportèrent les pas de vos ancêtres elle les corromprait. Et aussi que de mettre la pierre dans l'orifice pourrait ouvrir un chemin vers ces terres sacrées, est-ce cela? Si je ne me suis pas trompé, je comprends votre anxiété et sachez que je n'aurais jamais de repos si par ma faute ces terres étaient souillées. Si vous souhaitez aller à l'étage et affronter ce monstre, sachez que je préférerait perdre la vie que de ne pas prendre ce risque à vos côtés. Je ne sais si mes faibles capacités peuvent vous être d'un quelconque secours mais, si c'est le cas, vous me feriez un insigne honneur en me permettant de combattre à vos côtés.

Mirtzar n'avait pas prévu de parler ainsi, et surtout autant, mais il s'était laissé emporter par ses sentiments et son message en avait finis par ressembler plus au serment d'un prince à son seigneur qu'à celui d'un soldat à l'un de ses compagnons mais dans l'esprit du nain d'or, l'elfe doré était devenu un supérieur comme avaient tendance à le devenir très vite tout ceux qui montraient une assurance qu'il n'avait pas.



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écrit le : Mercredi 13 Février 2008 à 14h02 par Belgos Dalaèl
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Maître de la Confrérie
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Premier jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage
1er flammerige 1372 (CV)

MJ
Lieu : Cormanthor, Vaux
Temps : Brumeux
Moment : Vers 8h30


Narration: Enoriel, Yvhann Aël’Telàwërith, Kanabhendril, Notar, Jereicia et Mirtzar

Jet de fouille Enoriel DD15: 20 (dé) +1 (comp) : 21= Réussite

user posted imageana se passa des commentaires de ses compagnons, persuadé que l’insertion de la pierre était primordiale. Cela ne fut pas une entreprise ardue pour le rôdeur. La gemme à la couleur ambrée était belle et bien identique et correspondait à l’emplacement laissé libre. Un bruit léger se fit entendre quand la pierre fut finalement en place et là, en quelques instants, le filet d’eau qui sortait de la gueule du Dragon cessa de s’écouler. Le grugash, qui jusqu’ici, était le seul à se préauccuper réellement de la fontaine, approcha son visage de la gueule et il prit la décision d’aller plus loin dans son exploration en plongeant avec prudence sa main effilée dans le trou humide.

Ses doigts palpèrent avec attention les parois de la gueule jusqu’à ce qu’ils rencontrent un anneau de métal. Il l’agrippa et le tira de toute ses forces lvers lui Un nouveau clic sonore se fit entendre puis une série de grincement. Le druide recula tout comme ses compagnons tandis que la fontaine se mit en mouvement d’une façon surprenante en pivotant sur elle-même et découvrant à même le sol un trou béant et un escalier qui plongeait dans les profondeurs inconnus, éclairé toujours par ses globes aux teintes douces.

Le silence se fit pesant pour tous les compagnons, la fontaine avait cessé de bouger, aucun piège ne semblait s’être déclenché et les minutes qui allaient suivre allaient devoir être consacrées à des prises de décision.


Narration: Narvarth

Jet de Connaissance de la nature de Narvarth DD15 : 13(Dé)+3=16 Réussite.
Jet d'Intelligence de Narvarth DD15 : 15(Dé)+1=16 Réussite.


user posted imagelors que les compagnons hésitaient encore à mettre ou ne pas mettre la gemme dans l’orbite de la statue de dragon, Narvarth quant à lui jeta un second coup d’œil au corps du gnoll en prenant en compte les paroles d’Yvhann. Oui c’était bien une sorte de maladie qui avait rongé les chairs du gnoll , une saleté de maladie qui au vue des lésions pouvait s’apparenter à la variole et le rôdeur qui ne pouvait donner un nom au mystérieux mal qui avait frappé l’homme hyène, imaginait sans mal que cette calamité rôdait non loin de là et qu’il était contagieux, la mystérieuse malédiction dont avait parlé les elfes et Kana n’était pas sans rapport avec l’état du gnoll et le hin imaginait sans mal que passer la porte pouvait libérer ce mal. Pour lui, c’était clair, il était hors de question que le groupe passe cette porte, le hin en était persuadé. C’est à ce moment là qu’il entendit la statue pivoter libérant un passage secret.



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L’aventure est dans chaque souffle de vent.
Pj's: Belgos Dalaèl (Compagnie des Marches) et Télim Osonsaar
Pnj's: Adrian (Conseiller), La Guetnorn, Shevarra (Compagnie des Marches.)
 
 
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écrit le : Jeudi 14 Février 2008 à 00h38 par Adlareth
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Les paroles d’Yvhann troublèrent le Ar’Tel’Quess. Et si…et si il se trompait. Et s’i ne s’agissait pas d’une maladie, mais bien d’une malédiction. Le doute s’empara de l’esprit du Haut-Elfe. Les maladies humaines n’avaient que peut de chance, de frapper les elfes qui faisaient montre d’une réelle résistance. Lorsque ces dernières arrivaient à infecter les Tel’Quessir, le temps et leur faculté de régénération faisait le reste, à moins qu’elles ne se révèlent fatales. Mais dans le cas présent, Aël’Telàwërith ne voulait pas passer son temps, dans l’attente d’une guérison. Même s’il doutait d’une possible contamination. Un autre paramètre devait être pris en compte. C’est qu’il ne s’agisse pas d’une maladie. Mais bel et bien d’une malédiction. Quand était-il dans ce cas ? Il devait bien l’admettre, il n’en savait rien. Aussi à ce doute, il devait appliquer un principe de précaution.

Le prêtre de Corellon Larethian s’en voulait. Il avait été négligeant, l'avertissement d'Yvhann était probablement judicieux. Et Aël'Telàwërith ne pouvait pas ne pas en tenir compte. La mort dans l'âme, il savait ce qu'il lui restait à faire. Il en était là, de ces réflexions, lorsque Mitzar prit la parole.

Décidemment ce nain était plein de surprise, vraiment. Son peuple devait être fier de pouvoir compter des membres tel que lui parmi les siens. A son image, le serviteur de la Couronne d’Arvandor ce dit que le Coronal Eltargrim avait vu juste. Ce nain était près à risquer sa vie, pour protéger un peuple qui n’était pas le sien, alors qu’aucun des Tel’Quessir n’avait réagi en ce sens. Cela toucha l’elfe doré, plus qu’il ne voulait l’admettre. Il était fort probable que l’inverse n’aurait pas été vrai. Aël’Telàwërith n’aurait certainement pas risqué sa vie pour le peuple nain. A cette pensée, il n’en éprouva aucune honte. Mais elle le laissait perplexe. Pourquoi, pourquoi ce nain était-il prêt à affronter la mort au coté de quelqu’un qu’il ne connaissait pas, et pour une cause qui lui était étrangère ? Etait-ce de la bêtise, de la naïveté, une inconscience suprême du danger ?

Tout cela était incompréhensible pour le Ar’Tel’Quess. Ce qui l’était moins, en revanche. C’était de comprendre l’honneur que pouvait ressentir un nain, de combattre au coté d’un elfe du soleil. Et cela aurait dû, dans l’esprit du prêtre, en être de même pour chacun des êtres présents dans cette tour. En tant que modèle, Aël’Telàwërith se devait d’encourager ce genre d’attitude.


- Maître nain, votre sollicitude me touche et cet acte sera tout à votre honneur, et par vous à tout votre peuple. Je vais faire de mon mieux pour que vous puissiez me comprendre. Mais j’ai parfois du mal à trouver mes mots dans cette langue, si primitive, qu’est le commun. L’Espuar traduit à la fois des mots mais aussi des pensées, et des sentiments qui sont quasiment intraduisible. Et qui ne peuvent être complètement comprit que part les Tel’Quessir.

C’est à moment là, que le prêtre du premier de la Seldarine entendit une série de cliquetis et de grincement, suivit du raclement caractéristique de la pierre contre la pierre. Il n’eut pas besoin de se retourner pour comprendre, ce qui se passait. Un silence de plomb tomba dans la grande salle de la tour pourtant déjà silencieuse.

Le regard que posa le Ar’Tel’Quess sur l’humain était noir et emplit de reproche. Déjà l’humain aurait pu être la cause de la mort prématuré de Mitzar de part son impatience, et cette fois encore il venait de faire preuve d’une incroyable irresponsabilité.
¤ Nulle doute que si cette race pullule encore, c’est parce qu’ils se reproduisent presque aussi vite que les rats. Ils sont complètements irréfléchis. Ne pensent pas un seul instant aux conséquences de leurs actes. Pourquoi cette fontaine n’était-elle pas piégée ? Elle nous aurait débarrassé d’un être à l’inconséquence dangereuse pour tous. ¤

Cela a été plus fort que vous humain, n’est-ce pas ? Vous vous contrefichez pas mal de la conséquence de vos actes. Vous avez déjà manqué d’être la cause de la mort de votre compagnon Mitzar. Lui qui n’aurait pu vous laissez aller seul au devant du danger. Et vous persistez dans vos erreurs. Je ne vous félicite pas humain.

Le Ar’Tel’Quessir venait de parler sans colère, mais il était dépité par tant inconscience. Il soupira profondément, afin de chasser ses sentiments propres.

- Ce qui est fait est fait. Mais maintenant que ce passage est ouvert, il n’est plus question d’éliminer la menace qui se trouve derrière la porte. Si tant est que nous en soyons capables. Le risque de perdre, en laissant ce passage ouvert est trop grand. Et les conséquences pourraient en être désastreuses.

Les questions et les hypothèses s’enchaînaient dans l’esprit de l’elfe. Il était clair qu’il fallait s’engager dans la descente qui béait devant eux. Mais fallait-il trouver un moyen de refermer le passage au risque de se retrouver prisonnier ? Fallait-il au contraire laisser ouvert, au risque de laisser n’importe qui ou n’importe quoi pénétrer derrière eux ? Fallait-il tenter de refermer le passage et tenter d’éliminer la menace derrière la porte, au risque ne plus pouvoir rouvrir en cas de victoire ? Toutes ces question s'entrechoquaient dans l'esprit du Haut-Elfe.

L’elfe avait besoin de temps, pour était-ce pour cette raison, ou pour passer ses nerfs soumis à rude épreuve avec l’humain. Toujours est-il que Aël’Telàwërith s’éloigna et se dirigea vers un mur, toute en remettant son épée longue dans son étui. Il défit sa ceinture et la posa à terre, de telle manière à ce que le manche de la dague repose sur le mur et la pointe du fourreau sur le sol. Il posa son pied sur le fourreau de sa dague, et tira sur la ceinture pour en dégager l’objet potentiellement contaminé. Ceci fait, il remit sa ceinture. Il se mit alors à murmurer.




Aël’Telàwërith donna un violent coup de pied sur le milieu de la lame, pour la briser. Il ne serait pas celui qui apporterait cette malédiction avec lui jusque dans les terres elfiques ancestrales. Ca non !



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« Tourmenteurs d'esprits Tel’Quessir, craignez la colère de Corellon Larethian.

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écrit le : Samedi 16 Février 2008 à 19h30 par Enoriel
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Enoriel haussa les sourcils. Il ne se rappellait pas avoir vu l'humain récupérer ce joyau au moment qu'il citait. Le rôdeur avec des compétences de roublardises impressionnantes. En tout cas, celà tombait à pic. Il ne faisait en effet aucun doute que le joyau était la réplique de celui encasté dans l'oeil du dragon. Il allait donner, pour sa part, son consentement quand l'elfe du soleil pris la parole... Il encouta en silence mais sentant une nouvelle fois, sa colère monter en lui contre cet elfe qui ne leur disait pas tout. Alors qu'il fulminait et essayait de contenir en lui même ses envies de violences, il entendit prononcer son nom. C'était Mirtzar le nain. Au fur et à mesure qu'il lui parlait, ses yeux s'écarquillèrent de plus en plus. Après sa "déclaration" d'amitié envers le nain, ce dernier n'avait rien tenté d'autre à son égard. Il faut dire aussi que les événements allaient vite et que ce n'était pas un milieu propice que cette aventure mouvementée pour poser les bases d'une connaissance mutuelle. Et voilà que le nain voulait qu'il lui apprenne la langue des elfes ! Le druide ne put répondre de suite et se contenta d'un sourire maladroit que le nain sembla comprendre puisqu'il lui laissa le temps de réfléchir avant de replonger dans la discussion avec l'elfe du soleil.

Quand ce dernier s'en prit au rodeur, Enoriel ne tint plus. Il prit le ton le plus neutre possible et :


-Ne soyez pas dur avec lui. Celà fait bien plus longtemps que vous que je voyage avec cet homme et je n'en ai que trop rarement connu d'aussi respectueux de la Nature et de l'Equilibre. Depuis que vous êtes avec nous, nous nous epanchons en parole plutôt qu'en actes. Et ce n'est pas les dires qui vont sauver les enfants. Même si j'ose à peine imaginer combien vous est égalle la vie d'humains... Je ne suis peut-être pas savant ou instruit. Mais je sais reconnaître la valeur d'un être sur ses actes. Et même si je reconnais volontiers qu'il ait pu commettre des erreurs, personne n'est infaillible. Mon père, Rilifane le garde, était un des plus puissants guerriers que j'ai connu. Pourtant, celà ne l'a pas empêché de mourir contre un ours-hibou. L'action de Kanabhendril, bien que certainement trop rapide, ne nous met pas en danger. A moins que vous nous cachiez des informations et que vous savez avec exactitude où mène cet escalier... Je ne vous fais pas confiance. Et je n'hésiterais pas une seule seconde entre vous et le maintien de l'Equilibre. Vous meprisez Jereicia car elle est n'est pas un sang-pûr, vous meprisez notre compagnon rôdeur parce qu'il est humain. Et bien sachez que je vous méprise, bien que nous arborions des traits semblables. Je vous abhorre car vous êtes arrogant et d'un irrespect envers les races qui peuplent Féérune. Vous ne pensez qu'à vous et aux intérêts de votre lignée, écartant toute autre aspects comme étant une donnée secondaire. Vous ratez votre existence, votre vie est fade car finalement vous êtes seul. Vous... vous...

Enoriel s'arrêta soudain, comme prenant conscience de l'état dans lequel il était. Ses mains étaient blanches à force de serrer son bâton et il remarqua qu'il s'était rapprocher de Aël’Telàwërith sans même s'en apercevoir. Même Khell semblait inquiet pour lui et geignait aux pieds de son maître. Il se retourna prestement, ne souhaitant e croiser aucun regard et à fortiori celui du maître nain. Sans dire un mot, il s'enfonça d'un pas décidé dans le trou, descendant les marches, ignorant la peur et les dangers qui pouvaient le guetter...



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écrit le : Samedi 16 Février 2008 à 22h21 par Jereicia
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ereicia, devant l'arrogance de l'elfe du soleil, aurait voulut le gifler. Elle avait gardé en elle quelques répliques cinglantes à l'encontre de cet elfe qui ne cessait de jacasser. Mais devant l'avancé spectaculaire qui venait de se réaliser grâce à l'initiative de Kanahendril, il fallait mettre de côté pour un temps leur divergence. Aurile saurait pourvoir en son temps le sort de ce misérable elfe. De plus la tirade que venait de décocher Enoriel fit esquisser à la demi elfe un sourire. Voilà que l'attitude d'Aël’Telàwërith faisait sortir de ses gonds Enoriel.
La prêtresse aurilite espéra que la mise au point émise par l'elfe sauvage n'ai pas attiré l'attention de quelques ennemis qui se trouvaient au loin derrière le passage secret car sinon, la surprise ne serait plus avec eux mais contre eux.
Les paroles d'Yvahnn ne troublèrent point Jereicia puisque sa déesse veillait sur elle.


- "Bon, je crois que le temps des palabres est terminé !"Souffla-t-elle en voyant l'elfe s'engouffrer dans les escaliers.

La demi elfe passa devant l'arrogant elfe et ne lui adressa qu'un regard dédaigneux puis un regard chaleureux à l'encontre de son ami nain. Elle n'en avait pas l'habitude mais elle sentit un devoir de le faire.
Soupesant sa masse d'arme dans sa main droite, elle la serra comme pour se rassurer. Elle déglutit puis se décida à suivre son compagnon elfe.
¤Qu'Aurile guide mes pas et me permette de lui prouver ma foi !¤
Jereicia savait qu'elle n'avait pas perdu les faveurs d'Aurile et qu'elle ne la laisserait pas tomber durant les batailles à venir. Rassurée par cette pensée, la demi-elfe descendit à son tour.



Quand la mort survient sans crier gare, les forteresses les plus inaccessibles ne l'arrêtent pas. Augmenter la garde est pathétique...
 
 
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écrit le : Dimanche 17 Février 2008 à 15h18 par Narvarth
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La réalité mise à nue par Yvhann fit frissoner le hin, il était pris de dégoût rien qu'a s'imaginé contaminé par une maladie aussi viscieuse que celle qui avait terrassé la créature à terre devant lui. Il se détourna du macchabé, en redescendant les escaliers afin de rejoindre le groupe en pleines palabres.

-Attendez, ne vous engagez pas encore là dedans.
Il avait plus ou moins écouté ce qui ce disait en bas, au niveau de la statue, et même si il était plutot en accord avec les critiques faites à l'elfe du soleil, il jugeait son avis comme raisonnable.
-Ce qui a ainsi infecté le gnoll se trouve au dela de la porte, ce qui nous met provisoirement hors de sa portée, seulement, aucun de nous n'a vérifié si cette porte était condamnée ou pas. On ne peut effectivement pas s'engager ainsi dans l'inconnu en laissant cette menace dans notre dos. Il faut faire quelquechose, si cette porte est ouverte et si la créature qui a ravagé le corps du gnoll est un tant soit peu intelligente, elle passera cet obstacle sans grand problème et rien ne l'empêchera alors de nous rejoindre. Nous devons condamner cette porte de notre mieux. Mieux vaut être trop prudent que pas assez, vous ne croyez pas?

Tout en disant cela, Narvarth était retourné au plus près de l'entrée de la tour, balayant les environs de son regard, avide de trouver un tronc ou n'importe quel élément suffisament lourd et encombrant pour comdamner la porte.
Lui qui peu de temps avant cherchait à presser ses compagnons d'avancer pour retrouver les enfants était maintenant la cause d'un éventuel ralentissement.



Si tu veux être obéi, donne des ordres raisonnables.

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Fiche niveau6 de Narvarth
Narvarth, Ascha Cheynn
 
 
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écrit le : Dimanche 17 Février 2008 à 16h19 par Notar
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
 Il n'y a pas d'objets
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Jusqu'a présent le gnome n'était pas intervenu dans quoi que ce soit, se contentant de surveiller l'entrée de la tour afin de s'assurer que personne ne les suivait. Son manque d’expérience et sa petite taille poussaient Notar à se considérer comme un inutile fardeau.

Ses sensibles oreilles étaient choquées par le ton que prenait la conversation autour de la fontaine. Jugeant qu'il était temps d'intervenir il décida de prendre la parole en faveur de son compagnon elfe du soleil.


- Je ne pense pas que nous devrions prendre à la légère les paroles du prêtre. Il me semble qu'il soit le plus informé sur ce qui peu nous attendre. S'il nous dit pas tout c'est peut être pour le bien du groupe. J'ai voyagé avec lui plus longtemps que vous, et sais que son comportement peut parfois être choquant. Mais jusqu'a maintenant ça ne m'a pas porté préjudice. Aussi je vous demande de lui accorder plus de confiance.

Notar n'en revenait pas il venait de prendre la défense de quelqu'un qui le considérait comme une sous espèce de serviteur. Mais quitte à le regretter plus tard, il avait sa conscience pour lui, il avait fait ce qu'il devait faire.

Les paroles du hin étaient tout à fait représentatives des pensées du gnome. Il se plaça aux côtés de Narvarth afin de pouvoir aider à déplacer des masses afin de bloquer la porte.


- Oui il doit bien y avoir des troncs ou des pierres qui permettraient de bloquer cette porte. Il prit soin de jeter un coup d'oeil à l'orée de la clairière à la recherche de moindres indices indiquant la présence éventuelle d'intrus.



La perfection n'est pas chez les gnomes, mais souvent dans leurs intentions.
 
 
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