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Dans Cormanthor, à la recherche des enfants,, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 2
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Seigneur de Mythdaë
Chambre 7
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Cette fois le jour était tombé sur le groupe d’aventurier, et la fraicheur s’installait doucement mais surement. Une fraîcheur étrange étant donnée la saison en ce premier de Flammerige. Normalement il s’agissait d’un des mois les plus chauds, et si les journées étaient agréables le soir venu était particulièrement frais. Un froid n’incommodant pas vraiment le Haut-Elfe, grâce au sang divin qui coulait dans les veines des elfes. La nuit serait claire et la chaleur emmagasinée par le sol ne resterait pas longtemps présente. Les bruits nocturnes avaient prit le pas sur ceux du jour, et une certaine humidité ambiante faisait ressortir les senteurs forestière.
Le natif d’Evereska passa la première partie de sa nuit, comme il avait terminé sa journée, isolé du reste du groupe. Il continuait à médité sur son avenir proche et ce qu’il allait faire. Il se changea un peu les idées en tirant de son havresac, un vieux grimoire qu’il étudia plusieurs heures. Puis lorsque les premiers membres du groupe d’Yvhann commencèrent à aller se coucher. L’elfe doré commença à veiller de son coté. Il participa à la garde du campement de fortune. Lorsqu’il choisissait de patrouiller dans les alentours immédiats du camp, il appelait Notar pour qu’il l’accompagne. ¤ Ce n’est qu’un gnome, mais il fait preuve d’une grande fidélité envers ses engagements. Et cela est tout à son honneur, espérons qu’il ne soit pas aussi inconstant que les humains. ¤ Aussi, lorsque la majeur partie, des membres du groupe dont ils venaient de faire la rencontre, furent couché. Il entraina le rodeur sous les frondaisons du grand arbre, pour y établir leurs couchages à l’opposé de l’ouverture qui permettait d’entre dans l’abri naturel. Une fois leur paillasse et couverture étalées, le Ar’Tel’Quess posa une main sur l’épaule du gnome. C’était le premier contact physique entre les deux êtres, et il le regarda dans les yeux, comme s’il fouillait l’âme de l’être mètre. ’ Pour l’elfe du soleil, comme pour l’ensemble des Tel’Quessir, la chose la plus importante après la recherche du bonheur, était bel et bien la liberté. Il était hors de question pour le prêtre de Corellon, de priver qui que ce soit de cette notion primordiale. Il semblait à Aël’Telàwërith que Notar avait déjà fait son choix, qu’il suivrait l’autre groupe. Si tel était sa Dharasha (destiné), le Haut-Elfe ne voulait pas l’en détourner.
Quant à lui, il partagea son temps entre méditations contemplatives des Daoine (étoile) et du beau Lateu (croisant de lune). Le prêtre y voyait là, un signe du père de tous les elfes. Il pria beaucoup ce soir là, afin que celui à qui il avait donné sa dévotion le guide sur le bon chemin à suivre. Au plus profond de la nuit, lorsqu’elle fut la plus noire et que la lune brillait à son zénith, Aël’Telàwërith se tourna vers la constellation « Corellian » et récita la longue prière à son dieu afin qu’il lui fasse don d’une partie infime de sa puissance. Puis, hotta son armure de cuir elfique, et se coucha. Fatigué, il ne tarda pas à se laisser glisser dans la rêverie.
La peur, le combat, le sang, des maelstroms de magie puissante et destructrice, et la mort, la mort partout rodant, n’attendant que le moment du relâchement de trop pour frapper venant de l’ombre. Et s’y enfuyant dès son œuvre achevée, la disparition des victimes partant pour Arvanaith ou se perdant à jamais dans le vide. Les pleures et les cris de ceux qui restent, et la peur d’être le prochain. Toutes ses sensations s’opposant à la résistance, fière et inébranlable, l’espoir de vaincre, et de survivre, l’espoir de tenir encore un jour de plus pour trouver la faille chez l’ennemi. Et l’obscurité, l’ombre omniprésente comme une couverture que l’aurait tiré sur le visage du Ar’Tel’quessir empêchant les rayons de lune ou ceux soleil de passer et faire naitre la lumière. La rêverie d’Aël’Telàwerith était semblable à celles qu’il faisait depuis plusieurs mois. Il ne pouvait expliquer ses sentiments qui l’assaillaient maintenant à chaque nuit. Au départ, il ne s’agissait de crainte, d’inquiétude mais tout cela c’était mué lentement d’abord, puis de plus en plus en plus rapidement pour devenir presque intournable. L’empêchant de se reposer normalement, interrompant même sa rêverie. Il était aujourd’hui obligé de rêver une heure de plus qu’habituellement pour ne pas souffrir du manque de repos. Heureusement, de temps à autre, il y avait des répits. Sa jeunesse lui revenait avec ce qu’elle avait eu de bonheur et de douceur. Cette nuit, il se rappela ses longues heures d’étude dans la grande bibliothèque d’Evereska. Où il recherchait des pistes, des témoignages, des indices sur le passé de sa famille. Aussi, il lui sembla qu’il avait omis quelque chose, oublié d’aborder sa question sous un angle auquel il n’avait pas encore pensé.
Il se réveilla de bon heure, il était reposé, mais toujours inquiet. Il en était certain un grand malheur allait arriver, à moins qu’il ne fut déjà là. Mais il n’avait aucun moyen de pouvoir l’identifier, ou de le localiser. ¤ Seldarine !! suis-je à ce point irréfléchi ? J’ai pensé à la magie, la religion, mais pas à l’histoire. Ô Labelas Enoreth, gardien du savoir Tel’Quessir, puisses-tu me pardonner de n’y avoir pas pensé plutôt. ¤ L’elfe du soleil commença par remettre son armure, attaché son ceinturon, auquel pendait sa magnifique Thal’Baeli’Ath’L’nu (lame gardienne d’espoir). Le Haut-Elfe ramassa ses affaires, en tâchant de faire le moins de bruit possible. Le Kerinsuoress était maintenant prêt à commencer sa journée. Il se dirigea de nouveau devant la tour. Aël’Telàwerith observa à nouveau le blason qui trônait au dessus de la voute, Il l’avait déjà vu bien sur, puisque c’était grâce à lui qu’il avait su qu’il était au bon endroit. ¤ Mais à qui appartenait-il ? Quel était l’histoire de la famille à laquelle il se rattachait ? Test connaissance de l’histoire.
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Frère-Ours
Chambre 31
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ne sorte de petit souffle frais agita la barbe du nain, ou en tout cas en eut-il l'impression, ce qui le réveilla. En temps normal, il n'avait pas vraiment le sommeil léger mais il n'était pas habitué non plus à dormir dans un arbre. Un bref regard autour de lui lui permit de vérifier que ses compagnons de voyage étaient encore assoupis et qu'il avait quelques minutes devant lui.
Il en profita pour se résumer mentalement le déroulement de la veille. Il n'avait jamais été particulièrement vif que ce soit dans ses réflexes ou dans sa compréhension et c'était la solution que lui avait proposé sa mère pour l'aider à ne rien oublier d'important. C'était donc une habitude qu'il avait plus ou moins perdu depuis que sa vie se limitait à une errance sans fin que ce soit en quête d'un abris ou pour réaliser la mission que lui avait confiée la Compagnie des Marches d'Argent.
Comme souvent, son résumé de la journée précédente était plus que laconique, terme qu'il n'aurait sans doute pas employé de crainte de ne pas l'utiliser correctement, mais elle n'avait pas non plus été particulièrement palpitante. En gros, il avait marché toute la journée. Cependant, la fin de la journée méritait plus d'attention et il y réfléchit avec plus d'attention. Ils avaient rencontré deux promeneurs, c'était le terme qui convenait le mieux à Mirtzar car il n'était pas certain d'avoir compris exactement pourquoi ils se trouvaient dans cette forêt, dont son esprit avait noté qu'ils n'étaient pas dans l'arbre qui leur avait servi de lit. Ensuite, ils avaient mangé et compté ce qui leur restait comme réserve de nourriture et d'eau, tâche à laquelle Mirtzar n'aurait jamais pensé de lui-même. Enfin, il avait surveillé le camp avec Narvarth en silence, autant que possible, pour ne pas empêcher les autres de dormir. Puis il était allé se coucher après avoir réveillé, assez gentiment espérait-il, Yvhann et Enoriel qui devaient prendre le tour de garde suivant. Puis il avait dormi.
Comme le soleil semblait se lever au-dessus de la forêt, Mirtzar estima qu'il n'était pas trop tôt pour qu'il se lève et qu'il ne devait pas être assez tard pour forcer les autres à se réveiller. Il s'assit donc sur l'herbe verte, le dos appuyé contre l'arbre dans lequel il avait dormi et récita une prière dont il n'était pas certain de l'exactitude car il ne l'avait plus entendue depuis son départ de la demeure de ses ancêtres.- Puis il rouvrit les yeux et quitta les cavernes étincelantes de joyaux pour se retrouver dans la forêt ou se trouvaient ceux pour lesquels il en avait appelé à l'aide de son dieu. Soudain, ses yeux se posèrent sur l'elfe qu'il avait croisé la veille. Il n'avait pas vraiment l'impression que celui-ci fut particulièrement ouvert mais, de prime abord, Enoriel et Yvhann lui avaient parus assez froids et maintenant, après quelques jours à peine, il commençait à les apprécier. Il décida donc de tenter l'expérience aussi avec lui n'hésitant pas à faire une révérence.-Bonne journée à vous, maître elfe.
Etre le meilleur n'est pas un but, ce n'est que le moyen de protéger les innocents.Réputation 5Ma fiche
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Ly'Aegisir Gardien Errant
Chambre 24
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En voyant leur maigre ration, le grugach regarda Enoriel puis Khell, et regarda en direction de Floyr... * Il va nous falloir aller chasser si l'on veut tenir!* Se dit il pour lui même et au même moment, il laissa sa pensée sortir en verbes et ce, aux consonances druidique pour que son compatriote puisse l'entendre.
Narvarth lui inspirait confiance, l'on pouvait voire, si l'on portait attention que le sagespectre en avait vu d'autre et que la peur ne semblait pas le toucher, du moins il était resté serein jusqu'ici, parlant peu et toujours sur une certaine vigilance. Comme Mirtzar, le courage leur donnait bonne impression.
Durant son tour de garde avec Enoriel, il avait assemblé les gourdes des aventuriers et avec l'aide de Sylvanus, il en empli l'ensemble, d'une eau fraîche et doucereuse, huit litres d'eau nouvelle. Bien sur, il avait averti chacun du groupe, pour qu'ils puissent boire le restant de leur gourde avant qu'il les remplissent et ce, avant qu'ils ne s'endorment.
Suite a sa rêverie, il entra en son Sanctuaire intérieur et en parfaite harmonie avec Sylvanus, il se laissa guider par son coeur, ainsi, sa force intérieur lui donna la piété nécessaire pour le choix de l'aide que le dieu humain de la nature lui offrirait.
Il avait remarqué que Aël’Telàwërith et son suivant Notar, avait resté a l'écart. Le druide-rôdeur en fut peiné. Il aurait espéré que le représentant haut elfe puisse comprendre la base de la survie en Cormanthor mais ce dernier la jouait solo... Une impulsion sauvage vint l'envahir, il aurait mit un terme a ceci mais encore une fois sa sagesse lui rappelait que chacun était libre de choix. Et de plus Yvhann savait très bien qu'il aurait fait la même chose.
Se qui le préoccupait encore plus était l'avertissement que leur avait donné le vieux maladif sur la malédiction de la tour. Avait-il attrapé cette maladie en entrant dans la tour ou tout simplement en s'en approchant? Donc quand il vit Aël’Telàwërith s'en approcher il ne put, ne pas l'avertir. Rapidement il se leva et s'approcha de la tour et lança dans l'aube fraîche, après que Mirtzar ait salué le nobliau, ...
-Nous avons eut une missive a propos de cette tour, une malédiction y serait rattaché. Nous n'avons pas encore vérifié cette dernière, mais vous êtes bien parti pour nous le faire savoir.-
Il avait encore une fois parlé en commun et continua sur le même ton...
- D'ailleurs la maladie avait rapidement évolué lorsque nous l'avons rencontré, il était défiguré et couvert de pustules purulents. A toute première vu, c'était la Vérole. -
Aël’Telàwërith dût le trouvé encore une fois effronté et rustre, car il le regardait droit dans les yeux arborant un léger sourire narquois. Yvhann était équarrit, il n'avait jamais eut le temps de se poncé de belle manière, il préférait les tatous et les cicatrices, au lieux de beaux habit et de bijoux, il préférait la franchisse qu'au détours mielleux des verbes artistique des bardes.
L'avertissement passé, il siffla Floyr pour qu'il puisse faire sortir un lièvre ou deux des basses herbes et lui les embrocher de l'une de ses flèches. En message druidique il fit savoir a Enoriel qu'il allait a la chasse et ce, seulement le temps que les autres se réveillent et soit prêt. Bien entendu Il comptait bien ramasser quelques herbes utile et baies nourrissantes. Il remercia de suite et intérieurement, l'animal qui s'offrirait, pour les nourrir.
[COLOR=green] (Détection de faune et de la flore) et si il trouve des baies (Baies nourricières.)[COLOR=green]
La terre, pendant longtemps ma demeure dans l'obscurité de l'hiver, a fléchi sous le souffle d'air du matin. Le plan me presse maintenant de donner mon souffle. Pourquoi suis-je ici? Pour quelle raison suis-je revenu cette fois-ci? Et l'air souffle sur moi sa réponse rieuse. "Tu es la vie. Tu es le tout en train de devenir Un. Fais ton expérience."Fiche Yvhann Niv.0:Assistance divine 2x, Résistance, Illumination, repérage. Niv.1:Détection des collets et fosses*, Enchevêtrement, soin léger*, Grand pas. Niv.2:Peau d'écorce, Puissance animal*, Soins modérés*, lien tellurien. Niv.3:Morsure du loup garou, croissance d'épines*, Croissance végétal, Appel de la foudre*. Niv.4:Soins importants*, Dissipation de la magie. Niv.1 Rôdeur: Grâce du chasseur 2x, tir assisté*.
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Seigneur de Mythdaë
Chambre 7
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La nuit avait malgré tout permis à l’elfe du soleil de faire faire le point, sur sont devenir immédiat. Bien sur, il serait bien resté encore un jour ou deux à se poser des questions du genre que faire, qu’elle décision dois-je prendre, qu’est ce qui est le plus important, et surtout comment puis-je mener, de front, autant d’engagement ? Lui qui avait des siècles devant lui pour y répondre était dans le cas présent obligé de prendre des décisions rapidement. Allait-il poursuivre seul sa route pour sa quête personnel du savoir ancestral, ou allait-il s’allier à ce groupe hétéroclite pour chasser le Dhaerowathil (fléau drow) et rendre un peu de pureté à cet antique domaine elfique en la nettoyant des souillures qui la parcourait librement. S’il choisissait cette voie, Aël’Telàwërith aiderait et protègerait deux Sy’Tel’Quess et leur Ary’sar (noble quête). Il montrerait au N’Tel’Quess la voie à suivre face aux Drows. Une seule chose est envisageable avec ces Tel’Quess’Biir (elfe déchets), la mort. Les renvoyer tous et au plus vite rejoindre leur divine araignée noire, Lloth. Le prêtre en était là de ses réflexions, lorsque le nain nommé Mitzar se présenta à lui. ¤ Comment ose-t-il venir troubler ma médita…¤ Ce fut le premier réflexe du Ar’Tel’Quess, mais il se reprit juste à temps, avant de répondre au nain que lorsqu’il aurait besoin d’entendre le son rocailleux de sa voix, il le lui ferait savoir. Mais si ce Mitzar s’était réellement lancé sans contrainte à la chasse au Drow, alors il méritait mieux. Veuillez pardonner, je crois que vous pourriez traduire cela par Heureuse rencontre Favorable soit notre rencontre, pour que nos cœurs soient lumière et que nos épées restent au fourreau, nous portons la paix dans nos mains et c'est la lumière qui nous guide. La veille au soir, Aël’Telàwërith n’avait pas suivi la séance des soins prodigués. Il s’était plongé dans une réflexion profonde. Il était resté distant à tout ce qui s’était passé entre temps. Mais il avait été présent lorsque l’inventaire des vivres et des boissons fut révélé. Il avait hésité. Il avait le moyen d’aider ne serait-ce que pour la pénurie d’eau. Mais il s’était abstenu. Aujourd’hui, fort des ses réflexions introspectives, il allait tenter de refouler ses instincts et de s’ouvrir au règles qui régissaient jadis le Cormanthor, au rêve de son Coronal Eltargrim Irithyl, ainsi qu’aux conseils de sa sage ascendante. Aussi l’elfe du soleil tentait-il de mettre en pratique ses bonnes résolutions. Mais il savait que la route serait longue, et difficile avant que ce comportement ne lui devienne, si ce n’est naturel, du moins coutumier. Puis se fut au tour du Grugach de se présenter devant la tour. Lorsqu’Yvhann lui dressa la parole, Aël’Telàwerith fut troublé. Le nain avait été bien plus courtois en lui que ne l’était son propre cousin. ¤ Ces Sy’Tel’Quess sont tombés bien bas en vérité.¤ Aussi L’elfe du soleil lui fit-il remarquer son manque de tact lorsqu’il eut finit de le mettre en garde.-Alae Yvhann De Yössmar, E’Sum Tel’ Ysmaë de Yössmar E’Sum Maëll Illsdram Aillesel Seldarine M’ Tyss. (Heureuse rencontre Yvhann De Yössmar, fils de Ysmaë de Yössmar fils de Maëll Illsdram, que la Seldarine nous protège.) Que la paix de Corellon soit sur toi aussi. Pourrais-je savoir d’où vous vient cette missive si alarmante ? La vérole vous dite ! Mais de quelle vérole parlez-vous ? S’il s’agit de celle que les humains se redonnent entre eux alors n’ayez crainte. Il y a fort à parier qu’elle n’aura aucun effet sur vous. Mais quoi qu’il en soit, je vous remercie de votre sollicitude à mon égard. Je vous rassure, Corellon veille sur mes pas et sur ceux de ses enfants. Le moment venu, il saura me dire si nous risquons quelque chose, ou pas, à pénétrez dans cette tour. Car, si vous êtes ici, c’est dans ce but non ? La poursuite de la chasse aux Drows passe bien par là n’est-ce pas ? Aël'Telawerith avait pour la première fois parlé en commun. Par là, il prouvait sa bonne volonté, et le fait qu'il avait prit en considération ce que le lui avait dit le Sy'Tel'Quess. Les mots avaient du mal à sortir, mais l'effort était réel.
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Frère Cerf
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(Commun): -Excusez moi de vous rejoindre dans votre conversation messires. Le halfelin après son réveil, s'était levé se dégourdire les jambes et n'avait pu s'empêcher d'entendre les recommandations d'Yvhann. Comme la discutions tournait sur le avenir proche, le sagespectre ne vit pas pourquoi il n'y participerai pas. -Je doute que tout ce que nous recherchons se passe en ces lieux, en cette tour. Certains détails de ce qu'avaient dit les gardes de la clairière avant d'être combattus étaient repassés dans la tête du hin pendant sa surveillance nocturne.
-Je ne pense pas que cette histoire soit ciblée uniquement sur cet endroit, les gardes que nous avons rencontrés avant de vous retrouver, il avait orienté son regard sur l'elfe sauvage, ont parlé d'un poste de garde et d'une chouette neigeuse, ni l'un ni l'autre n'ont leur place en ces lieux, je crois. Même si il n'était pas originaire de la région, il se doutait plus ou moins de son fonctionnement, en tout cas ces bois semblaient trop chauds pour le chasseur nocturne qui avait servi de messager aux gardes.
Ces éléments avaient déjà été exprimés le premier soir de retrouvailles des deux premiers groupes, lais le hin estimait que ça ne ferait pas de mal d'en reparler à leurs nouvelles connaissances, ne serai-ce que pour avoir de nouveaux avis.
Se rendant compte d'un oubli de politesse, Narvarth repris briévement la parole pour saluer ses interlocuteurs, s'en voulant de ne pas l'avoir fait avant de s'exprimer.
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Maître de la Confrérie
Aucune chambre
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Premier jour de La Marée Estivale, Année de la magie sauvage 1er flammerige 1372 (CV)MJLieu : Cormanthor, Vaux Temps : Brumeux Moment : 7h00-8h00 Narration : Tous . Jereicia lance détection de la magie : Pas de trace de magie Jereicia détection DD15 : 20 + 3= 23 : Réussite Jet de connaissance Histoire Aël’Telàwërith : DD 12 : 7( dé) + 2(comp) 9= Echec Jet de Survie Yvhann DD12 : 9 (dé) + 8 (comp)= 17 : Réussiteéreicia s’était levée et s’était isolée pour prier la vierge des glaces en cette aube nouvelle avant de préparer avec soin ses affaires pour continuer leur périple. Elle était déterminer et surtout elle ne voulait plus perdre du temps. Elle s’avança donc d'un pas vif vers la tour accompagnée de Kana.
Dans la tête de l’aurilite, il lui fallait accomplir au plus vite la mission que la Compagnie lui avait assignée mais aussi de retrouver les enfants et particulièrement Clothilde. Elle avait entendue la question du haut-elfe. Elle laissa le soin aux autres de répondre, elle, elle avait autre chose en tête, surtout en voyant Yvhann qui comptait user de ses talents pour rassembler de la nourriture pour le groupe. Pour sa part, elle comptait elle aussi se rendre utile. Il fallait donc en priorité préparer le chemin et pénétrer dans cette tour, c’est pourquoi elle gravit le perron et sans daigner s’occuper de l’elfe du soleil, elle s’approcha de l’embrasure de ce qui avait été une porte tout en lançant une rapide incantation qui ne mit rien en évidence. Les ténèbres ne laissaient donc rien paraître de magique, c'était rassurant. Elle se concentra un peu plus.- Il n’y a rien de magique, au moins devant nous. Rien de rien. Mais il y a quelques chose devant moi, à cinq ou six mètres. Kanabhendril se rapprocha.- Tu es certaine qu’il n’y a rien de magique? L’homme que j’ai rencontré avec les elfes était pourtant sûr de lui ! Il disait qu’il y avait une malédiction sur cette tour La demi-elfe secoua la tête et avança de quelques centimètres avec prudence sans passer la porte. Elle plissa les yeux pour bien voir à l’intérieur et elle remarqua au centre une fontaine ornementale, surmontée d'une tête de dragon, l'eau jaillissait de la bouche de la statue et s'écoulait dans le bassin, porté par le corps d’une griffon de pierre. Pour pouvoir en savoir plus, elle devait en entrer mais Kana l’en empécha . Mieux valait-il que le groupe agisse de concert. Elle informa ses compagnons qui se trouvaient non loin de là du résultat de son initiative et attendit avec impatience que des choses soient décidées.
Prés de là, Aël’Telàwërith avait entamé la discussion avec certains compagnons, mais son esprit cherchait toujours. Il ne parvenait toujours pas à se souvenir l’origine du blason qui trônait au dessus de l’encadrement en ogive, ni de son histoire. Sa mémoire lui faisait-elle défaut ? Toujours est-il qu’il restait persuadé d’avoir vu quelque part ce blason.Un peu plus loin, Enoriel et Khell, restaient volontairement à l’écart du groupe, attendant le retour d’Yvhann. Un retour qui ne tarda pas d’ailleurs puisque le gardien errant revint au bout d’une trentaine de minutes les bras chargés d’une quinzaine de baies et tenant par les oreilles un gros lièvre bien dodu. La chasse avait été bonne. Décidemment cette journée s’annonçait sous les meilleurs auspices.
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Frère Cerf
Aucune chambre
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¤Alors nous allons y aller.¤ N'étant pas à l'aise avec ce qui touchait à la magie, le barbare sagespectre avait observé d'un oeil méfiant Jereicia entreprendre ses vérifications. ¤Elle sait ce qu'elle fait.¤
Entendant son résumé, le hin fit ce qu'il avait à faire pour ne pas retarder le groupe, il retourna en trotinnant à l'abris de l'arbre, en direction de ses affaires qu'il avait déja rassemblé à son reveil, il boucla son sac, conservant à portée de main ses armes et minutions, il fit le tour de ses billes, triste bilan en vérité, devant ses yeux, ils n'y avait plus que cinq billes de fronde et six de ses pierres ricoches. Cela faisait longtemps qu'il n'avait eut l'occasion de se réapprovisionner. Même dans la bourgade où ils avaient fait étape peu de jours avant, les événements précipitant la situation l'avaient empêché de voir avec les habitants où il pourrait trouver de ses munitions habituelles. Il glissa tout de même ses quelques billes dans sa ceinture prévue à cet effet, dans laquelle il glissa sa fronde et sa dague. Il placa son kama sur le bord de son havresac, là d'où il pourrait le retirer rapidement au besoin. Son sac ficelé, il replaça sa maigre possession de cluir clouté sur ses épaules, par dessus laquelle il mit son sac. Il caressa du doigt sa chevalière de la Compagnie avant de la dissimuler sous ses gants de même composition que son armure. Il était prêt pour prendre la route. En fait non, pas si prêt que ça, le surplus de poids occasionné par la tente alourdissait considérablement le sac du petit-être, et s'encombrer ainsi pour visiter l'inconnu n'était pas la meilleure des solutions. A son grand regret, Narvarth reposa son havresac à terre, l'ouvrit pour en ressortir la tente qu'il déposa un peu plus loin dans un recoin de leur abri nocturne, ¤C'est bien domage, mais je vais devoir me passer de ce confort.¤ Et il remit son sac à sa place sur son dos.
Maintenant il était prêt, prêt à s'engager dans l'inconnu, prêt à faire façe au danger et prêt à se montrer digne des siens. ¤Puisse cette journée ignorer la malchance et les lourdes pertes.¤ C'est en adressant ses pensées à la mère des Halfelin que Narvarth rejoignit le groupe devant la tour, quelques maigres instants avant le retour du chasseur.
Ce message a été modifié par Narvarth le Mardi 15 Janvier 2008 à 16h04
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Gardien Errant
Aucune chambre
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Seul Yvhann faisait quelquechose d'utile et quand il lui signala ses intentions, il lui répondit d'un signe de tête et d'un sourire. Il reconnaissait volontiers en lui un meneur intelligent et sage qui ne le décevrait pas. Mais Enoriel était fatigué. Non pas physiquement mais des élucubrations incessantes de certains membres du groupe qui leur faisaient perdre un temps précieux. Surtout si ces vaines paroles étaient destinées à établir une politesse malvenue avec cet elfe arrogant. Enoriel n'était pas dupe et il savait très bien que l'elfe du soleil était des plus hypocrites quand il tentait de converser en commun ou d'établir des relations amicales avec les membres du groupe. Mais il ne lui ferait pas le plaisir de tomber dans ses filets mievreux. Il ne laisserait aucune chance à cette pucelle de leur faire subir ce que Rylack, le drow, avait déjà fait auparavant. Il ne revenait toujours pas de la crédulité de ses compagnons... Comment pouvaient-ils accorder si aveuglement leur confiance après tout ce qu'ils avaient vécu et souffert de la traitrise des autres ? Une chose était certaine, au moins faux pas de l'elfe ou de son compagnon, qui à défaut d'avoir sa confiance, semblait au moins plus sincère et moins méprisant, il les tuerait.
Une fois Yvhann revenu victorieux de sa chasse, Enoriel dut retenir Khell pour qu'il ne lui chaparde pas sa prise. Il regarda d'un air soucieux son compagnon à poils qui semblait avoir faim... Il jeta un coup d'oeil aux autres et comme seuls le rôdeur et la maudite prêtresse semblaient avoir envie d'aller de l'avant, il décida de laisser Khell aller chasser. Après tout, lui aussi avait le droit de folâtrer. Il murmura donc des paroles apaisantes aux oreilles de son ami et le regarda aller chercher son repas. Sans un regard pour le reste du groupe, mis à part un signe en langage druidique à Yvhann signalant qu'il avait laissé partir Khell, il s'assit en tailleur, prenant le temps de se mettre en harmonie avec la Nature, d'écouter, de sentir... Bref se sentir revivre et ignorer les tracas du moment...
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Frère-Ours
Chambre 31
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orsque le nouvel elfe avait daigné lui répondre dans la langue commune que, finalement, ils partageaient, un sourire était apparu sur le visage du nain. Il avait eu raison, cet elfe n'était pas aussi dédaigneux que ses premières actions et paroles pouvaient le laisser croire. Puis les autres étaient venus saluer à leur tour, sauf Jereicia qui semblait ressentir une certaine rivalité avec l'elfe et Enoriel dont Mirtzar, sans vouloir être hâtif dans son jugement, avait compris qu'il préférait se montrer prudent ce qui était sans doute la voie de la sagesse. Le compagnon de l'elfe lui aussi était resté muet et Mirtzar n'était pas certain qu'il soit encore à proximité ne se souvenant pas de l'avoir vu depuis qu'il s'était levé.
Mais maintenant, quelques minutes étaient passées et Mirtzar commençait à perdre patience. Il n'était pas dans ses habitudes de s'énerver, et d'ailleurs il n'était pas vraiment énervé, mais il trouvait que les choses ne se passaient pas comme elles auraient dues. Ne sachant rien de la convenance des relations interracial, il choisit de s'exprimer comme il l'aurait fait si tous ses compagnons avaient été des nains. Il commença par se racler la gorge pour essayer d'attirer l'attention à lui et il se mit à parler.-Je crains que mes paroles ne fassent que démontrer une fois de plus mon ignorance mais j'ai l'impression que nous sommes en train de faire des erreurs. Des personnes, et en particulier des enfants, sont en ce moment prisonniers de ceux que nous cherchons, il me semble. Et le chemin qui conduit à eux se trouve devant nous et passe par cette tour. J'ai bel et bien compris que ce vieillard vous a dit que cette tour était la source de sa maladie et qu'elle était maudite, soit, mais que cela soit vrai ou non, nous devons avancer et cela le plus promptement possible la survie des prisonniers en dépend. Ce n'est pas en attendant et en discutant stérilement devant les murs de cette tour que la malédiction hypothétique disparaîtra. Alors je pense que nous devons entrer et prier les différentes forces qui règnent sur nos vies que ce vieillard ne fut aussi fou que malade et que cette tour ne soit en aucun cas liée à son état. Qu'en pensez-vous? Le nain d'or avait parlé beaucoup ou, en tout cas, en avait-il l'impression et sans s'arrêter pour reprendre son souffle ou déglutir. Au fur et à mesure qu'il parlait, il se sentait plus convaincu de ce qu'il disait qu'avant qu'il ne commence à s'exprimer mais il n'était pas certain que cela fut suffisant. Il espérait que son discours suffirait à décider tout le monde qu’ils devaient entrer dans cette tour au plus vite ou, à défaut, que ceux qui n'en avaient pas le courage, ce qui n'était pas une tare dans l'esprit du nain, laissent les autres faire leur devoir.
Etre le meilleur n'est pas un but, ce n'est que le moyen de protéger les innocents.Réputation 5Ma fiche
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Seigneur de Mythdaë
Chambre 7
2 gemmes
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Revenant de l’entrée de la tour, la Bhan (jeune humaine) déclara fièrement qu’il n’y avait aucune magie dans l’entrée de cette tour. Un talent gâché inutilement, suivant le Ar’Tel’Quess qui avait fait la même chose qu’elle, la veille au soir. Aël’Telàwërith trouva qu’il était dommageable que la femme aux cheveux de feu ait usée de sa magie pour rien. Et il n’allait pas se privé de lui dire, ces humains sont tellement irréfléchis. Ils ne prennent jamais le temps de la réflexion, ni de s’informer avant de se lancer la tête la première. ¤ Toujours trop pressé, toujours trop vite, mmm quelle impatience.¤ A la déclaration de la jeune prêtresse, il déclara simplement, en secouant lentement la tête de gauche à droite, et de droite à gauche, en signe de dépit.- Je le sais, humaine. Vous n’avez vu aucune magie dans l’entrée de la tour. Mais cette tour renferme de la AdoFaer. Pardon, de la magie, j’en suis presque certain. Il doit même s’agir d’une puissante magie, qui devrait être pacifique. Le bruit d’un sourd raclement rocailleux, d’une vulgarité écœurante se fit entendre. Le nain par ce stratagème dégoutant tentait de d’attirer l’attention sur lui avant de s’exprimer. Le résultat fut qu’effectivement il obtint l’attention du Haut-Elfe, et une moue dégoutée s’inscrivit sur le visage du serviteur de Corellon. Aël’Telàwerith trouva les propos du représentant du peuple vigoureux presque irrationnels.- Vous souhaitez retrouver rapidement les agresseurs des enfants. Moi je pense qu’il faut être encore de ce monde pour retrouver ces Ssri’Tel’Quessir. Foncer tête baissée comme un Orque en pleine charge ne vous mènera pas loin. Apprenez la patience maître mitzar. Avancez lentement mais sûrement, est le seul moyen d’arriver à destination. Comme le dise nos cousin Lytari, que l’on pourrait traduire par dépêchez-vous lentement. C’est la seule façon d’arriver en force là-bas et d’éradiquer cette menace de la forêt de Cormanthor. Ou tout moins la renvoyer en Outre-Terre d’où cette engeance n’aurait jamais dû partir. Le Ar’Tel’Quess n’était pas pressé, la vie des enfants humains ne lui importait guère. Après tout, vu la vitesse à laquelle ces derniers se reproduisaient, ce n’était pas une poignée de plus ou de moins qui ferait une grande différence. Cette obsession chez Notar et Mitzar était difficilement compréhensible pour le Faernsuor (prêtre de la couronne d’Arvandor). Pour lui, les N’Tel’Quess faisait une erreur de jugement et dans le classement des priorités. Mais une chose était maintenant certaine, l’ensemble des personnes présentes autour de cette tour, allait entrer dedans. Aël’Telàwërith devait prendre quelques dispositions avant que les N’Tel’Quess n’entrent. - Lorsque tout le monde sera là, il faudra que je vous parle. Et que vous m’écoutiez attentivement. Je ne sais pas si cette tour est maudite ou pas. Par contre, je connais une légende à son sujet. Je vous en ferais part, dès que mes cousins seront ici. En attendant, je vais aller prendre mes affaires, et me préparer au départ. L’elfe du soleil se retourna vers l’arbre et s’en alla vers lui, afin d’y récupérer son havresac, laissé au pied de celui-ci.
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