Dans Cormanthor, à la recherche des enfants,, et à la poursuite de Rylack. Chapitre 2

ttendons d'avoir le prix d'une nuitée. Si tu n'en as pas les moyens et selon le prix je t'avancerai la somme! Elle porta son regard sur le nain épuisé. Il lui fallait absolument du sommeil avant de repartir. Ils étaient sortis vivant de cette forêt. Et de cela elle en rendait grâce à Aurile. Ils étaient dans une sécurité relative, et une bonne nuit permettrait sûrement un repos que cela soit physique ou mentale, après toutes les épreuves passées. La prêtresse se demandait souvent comment ils parviendraient à rallier les autres. Il faudrait sûrement demander l'aide d'un des valiens mais vu leur réaction, elle doutait qu'aucun d'eux ne désire aller dans la forêt avec eux. ¤Peste soit de leur couardise et de leur indifférence!¤

- Nous dormirons ici et dès demain matin nous rejoindrons Valombre! Un bon repas te fera grand bien, Mon ami! J'en profiterai pour leur poser aussi des questions sur la localisation d'éventuelles pousses de chêne carillons, aux tenanciers de l'auberge. Sinon comme je vous l'ai dit durant notre voyage de retour, ne fondez pas trop d'espoir que des personnes viennent pour nous aider à inhumer ceux qui ont été attaqués par les gnolls... Vu leurs réactions quant à l'annonce de la disparition des leurs... Jereicia ne disait plus mot et marchait en direction de l'auberge. Elle ouvrit la porte et entra, laissant se balader un regard derrière pour voir qui la suivrait, afin de leur tenir la porte. Ensuite elle jeta un regard dans le hall de l’auberge.

e grugach écoutait avec attention les propos de cet homme du nom de Farpo. Puis quand celui-ci parla d'un chaman, ceci lui confirmait une logique sur les déroulements dernier. Yvhann devint le visage dur, le rôdeur en lui et sa sauvagerie l'amenait dans un état autre que celui habituellement, il serra son arc avec plus de détermination. Maintenant il avait un visage sur cette menace qu'ils cherchaient depuis le début, ce n'était peut être qu'une troupe secondaire a la vrai nature des troubles, mais au moins cela plus concret que des morts sur des épieux.

Il s'approcha tranquillement de ce Farpo, ayant en premier lieux, fait signe à Kana de surveiller les alentours, puis inspecta la gravité des blessures dû à cette maladie. Yvhann vit de suite une possibilité à ce que ce soit la variole. La présence de pustule au visage et la faiblesse que cet homme présentait. Il devait avoir été contaminé il y a de cela au moins une semaine. Il fouilla dans sa mémoire, a savoir quel herbe pourrait bien lui être utile... Malheureusement pour cet homme la seul solution se trouvait dans la mélande, mais cette herbe se trouvait, la plupart du temps dans les montagnes et collines, en plus il fallait en trouver en automne ou au primptemps. Mais il en était pas sur... Yvhann se recula et en druidique dit à Enoriel...

- Il est possible qu'il ait la variole, et tu sait comme moi que c'est extrêmement contagieux, il ne faut en aucun cas le toucher ou bien toucher l'un de ses effets personnel et éviter son souffle putride. Yvhann l'observait toujours puis...

- Dit moi, tu saurais par où ils sont partis!? Et cela fait combien de temps, qu'ils ont attaqué, et que tu as cette maladie!? Il repensa à l'histoire que s'est parent lui avait conté lorsqu'il était petit, sur cet humain qui était venu dans leurs clan et qui avait sauvé son père lors d'une attaque d'orques. Il aurait aimé aider cet homme...

Connaissance de la nature, pour la maladie et pour la plante.

a variole? Cela était possible en effet. Effectivement, comme le suggérait son compagnon elfe, il fallait faire attention aux risques de contagion. Il acquiesca aux paroles d'Yvhann lui signifiant qu'il comprenait les enjeux. Il devait y avoir un remède, une plante pour fabriquer une décoction curative mais Enoriel avait du mal à y refléchir à cause de ce que venait de dire le dénommé Farpo. Ainsi donc d'autres gnolls étaient bels et bien présents dans cette forêt... et ils avaient fait d'autres victimes. Mais comment diables ces créatures stupides avaient-ils pu venir à bout d'un magicien expérimenté et de ses défenses magiques? Leur chaman devait effectivement être très puissants et les guerriers en grand nombre. Leur petit groupe de trois ne suffirait pas à combattre un armée. S'ils voulaient suivre cette piste les menant à cette fameuse tour ou à la suite des gnolls, il faudrait qu'ils soient très discrets. De cela dépendait leur vie. Enoriel s'accroupit près de Khell et le caressa et lui murmurant des paroles afin qu'il ne s'approche pas trop du contaminé. Tenant toujours l'animal par l'encolure, Enoriel parla en elfique à Yvhann tout en adressant un geste amical et un sourire à Khanabendril puis lui signifier qu'ils avaient la situation en main :

- Peut-être devrions-nous d'abord gagner cette tour? Nous y trouverons sûrement des indices qui pourraient nous indiquer pourquoi ces gnolls ont attaqués ce mage. D'habitude ces créatures agressives ne sont pas si courageuses... Quelqu'un ou quelquechose doit les pousser à la témerité... Mais si tu préfères suivre leur piste, je te suivrais. La tour du mage me semble juste une étape intéressante. Puis il attendit la réaction d'Yvhann continuant à caresser son ami canidé afin de le rassurer.

noriel tenait un propos censé, trouver la tour serait pour eux un enjeux déterminant pour la suite. Déjà qu'ils tenaient là de bonnes informations, et que leurs ennemis avaient maintenant des visages. Yvhann, sans parler fit un signe affirmatif à Enoriel, puis se leva sans quitter des yeux le pauvre homme, car il attendait de lui, les réponses aux question qu'il venait de lui poser.

Le grugach, à cause de l'attaque sur Floyr, faisait de cette une affaire un peu personnelle, mais il savait qu'à trois ils ne pourraient qu'épier leur ennemis et qu'il faudrait attendre l'arrivée des autres. Intérieurement il aurait aimé, comme il le faisait avec ses amis d'enfance, rendre la vie de ses viles créatures, un peu plus difficile, en les attaquant par escarmouche et en leurs tendant des pièges, mais fallait il pour commencer, comme l'avait suggéré Enoriel, les trouver. Il visualisa son dragon protecteur et s'y enveloppa le corps et l'esprit, dans cette forme draconique qui lui donnait plus de force intérieure. Il deviendrait d'un coup plus renfermé, dur et énigmatique. Il était évident que la sauvagerie de ce grugach, sortirait bientôt pour assouvir sa soif d'équilibre.

MJ
noriel, Khanabendril et Yvhann :
Jet de Connaissance de la nature d'Yvhann DD15 : 16(Dé)+2=18 Réussite.
Jet d'Intelligence d'Yvhann DD15 : 18(Dé)+0=18 Réussite.

Sentant le salut possible Farpo ne se faisait pas prier pour raconter tout ce qu'il savait et tout ce qu'il avait vu. Kana qui ne pigeait que peut de chose à ce que se disaient les druides préféra écouter Yvhann et partit sécuriser les environs proches. Il laissa son sac à dos sur place et avança dans les fourrés sur les traces de Farpo. Après quelques secondes, il disparut dans la végétation et le brouillard pour ne laisser entendre que son furtif déplacement devant le groupe.

- Hier l'attaque à eu lieu hier, trois heures avant le coucher du soleil, c'est en m'enfuyant que j'ai contracté cette saloperie qui me ronge et me fait perdre mes forces... Ma fuite avait été trop facile les gnolls ne se sont même pas lancés à ma poursuite, ils devaient savoir que j'étais condamné... La tour de Fabian a été ravagée et l'endroit maudit par son chaman. J'ai été victime de la malédiction... Ca ne peut être que cela, la maladie c'est développée trop rapidement, en quelques heures j'étais déjà dans cet état... et ça empire d'heure en heure!

En effet, avec une variole, la religion et la croyance avaient une plus grande importance pour tous car on attribuait souvent une guérison bien plus à la prière et à l’intervention des saints guérisseurs qu'à la médecine des herbes souvent tâtonnante. Les redoutables maladies comme la peste, la lèpre, la variole, le choléra et la tuberculose ne se soignait pas avec les plantes c'est pour cela qu'elles causaient souvent plus de mort qu'une guerre, si par chance elles ne l'accompagnaient pas, car les prêtres efficaces étaient la seule solution pour guérirles malades mais ils étaient trop peu nombreux. Toutefois si on ne pouvait guérir la variole avec des plantes, on pouvait au moins en atténuer et soulager les effets visibles et contraignants de cette dernière, une racine de câprier ou des feuilles de noyer cuite dans un peu d'eau ferait l'affaire d'Yvhann dans ce cas, restait encore à les trouver. Le druide n'avait d'ailleurs toujours pas trouvé la moindre baie, alors trouver un noyer serait bien plus difficile. Dans un réflexe innée le grugach jeta un coup d'oeil autour de lui et eut la surprise de tomber sur des mûres, le pauvre bougre ne serait pas soigné mais Yvhann pourrait lancer son sort.

ereicia, Mirtzar et Rwandral :
Avant de suivre Jereicia, Rwandral soulagé mais tout de même assez inquiet quand à l'idée de ne pas avoir d'autres choix que la première taverne trouvé en chemin, se demandait si tout cela était bien prudent. En effet le jeune humain connaissait les réactions prévisibles de nombreux monstres mais deviner les motivations de ses pairs était bien plus compiqué et il savait qu'une simple auberge de campagne pouvait parfois s'avérer bien plus dangereuse que la tanière d'un ours-hiboux. Ne voulant pas inquiéter ses compagnons le guerrier devenu pour un temps méfiant laissa Mirtzar rejoindre la prêtresse d'Aurile jusqu'à la porte et ferma la marche, scrutant une dernière fois la batisse avant de se lancer à l'intérieur à la suite des autres. Rwandral aperçut entre autre que le toit de la petite terrasse s'était effondré sur quelques tabourets et d'épaisses broussailles avaient envahi l'arrière-cour, où un chien apeuré aboya désespérément en tirant sur sa chaîne lorsqu'il l'aperçut.

Ils pénétrèrent à l'intérieur de l'auberge. La salle poussiéreuse paraissait immense car elle était pratiquement vide, il y faisait aussi froid qu'au dehors ou presque et elle était mal éclairée. Quatre hommes au visage sombre et menaçant étaient assis à une table. Les braies qu'ils portaient témoignaient d'une origine modeste. Ils firent signe aux aventuriers d'approcher...

a prêtresse observa un instant les quatres hommes. En étudiant et analysant la situation, il semblait qu'ils n'étaient pas tombés dans un endroit sûr. La bâtisse semblait plus abandonnée qu'autre chose. La demi-elfe plissa son front. Elle parla faiblement à ses deux équipiers.

- Ce n'est pas à quoi je pensais! Soyons prudent, ces lascars ne me plaisent guère. Mirtzar tombait de sommeil et Jereicia avait peur qu'il ne parvienne à se défendre,si cela restait leur dernier recours.

- Rwandral, si cela tourne mal, protèges Mirtzar... La demi-elfe s'avança de quelques pas en direction des quatre hommes en ayant une attitude amicale. Elle réfléchit un instant à l'un des sorts qu'elle pouvait lancer.

- Bien le bonjour à vous... Excusez nous de vous déranger, nous ne sommes que de simples voyageurs qui quémandons un peu de bonne volonté et de bienveillance... De votre part! La jeune femme essaya d'afficher un sourire sur son visage. Elle se posait néanmoins des questions sur l'identité des hommes. Tombaient-ils au mauvais endroit au mauvais moment, sur les mauvaises personnes?

¤Déesse, si ces pouilleux désirent nous empêcher d'amener à bien la mission, leur mort te sera dédiée...¤ Jerecia s'arrêta et observa les réactions des inconnus. Se trompait-elle? Elle le saurait d'ici peu.

e jeune nain d'or commençait sincèrement à se demander si débarrasser le monde d'un danger comme lui ne serait pas une très bonne chose. A cause de son incompétence maladive, il venait maintenant de conduire ses deux amis dans un lieu aussi peu accueillant que les quatre hommes avaient l'air de dryades, Mirtzar ne savait pas vraiment ce que c'était à part que ça vivait en forêt, mais c'était une expression courante de son ancien chez lui. Une nouvelle vague de mélancolie le prit qui effaça celle de culpabilité avant qu'il ait le temps de purger le monde de sa présence handicapante. En vérité, il ne se serait pas suicidé de toute façon, trouvant cela trop dégradant. Moradin et le reste du Morndinsamman lui avaient donné la vie pour qu'il serve ses amis et, par conséquent, se suicider serait allé à l'encontre de leur souhait, et Mirtzar ne voulait pas rajouter le blasphème à la longue liste de ses erreurs.

Ce qui le chagrinait le plus c'est qu'il n'était pas seulement inutile, il était même dangereux pour ses amis. Jereicia se préparait à affronter seule ces hommes, si tant est qu'ils soient des ennemis, pour être sure que lui ne perde pas la vie. Il ne dit rien, mais il savait que si la bagarre devait avoir lieu, il n'hésiterait pas une seconde à fondre sur l'ennemi. Mirtzar n'avait jamais été un théologien, mais il savait que c'était son rôle en tant que serviteur de Clangeddin Barbedargent que de se battre pour la survie des siens quitte à en mourir. D'ailleurs il doutait même que ses quatre personnes représentent un danger réel pour lui et ses amis, il avait combattu des ennemis autrement plus impressionnants qu'eux et pas toujours aussi bien entouré, même si la fatigue risquait certainement de les handicaper.

Un détail revint soudain à l'esprit du nain. Jereicia était une puissante prêtresse d'Aurile, déesse sur laquelle il n'avait rien de spécial à dire, mais elle lui avait retiré toute son aide, alors même qu'elle allait leur être indispensable. Pour Jereicia, tenter d'affronter seule quatre hommes relevait quasiment du suicide, et puisqu'elle se trouvait être la plus proche des trois des humains, elle était celle qu'ils attaqueraient en premier. Mirtzar savait que, tout fatiguer qu'il était, il pourrait encaisser mieux les coups que ne le pourrait son amie prêtresse. Il releva donc la tête, fit un signe de tête à Rwandral pour lui dire que toute discussion était inutile et il se mit en marche. Il finit par s'arrêter juste devant Jereicia.

- Messieurs, je me présente Mirtzar Boucledacier, chien de meute de la célèbre Compagnie des Marches d'Argent. Je vous demande en mon nom et en celui de mes compagnons de bien vouloir décliner vos identités et de nous permettre de nous reposer sous votre toit. Le nain avait fait une petite révérence à la fin de sa phrase de présentation, moins pour les saluer réellement que pour leur montrer qu'il portait une arme de grande qualité et qu'il n'hésiterait pas longtemps à s'en servir s'ils voulaient leur chercher des ennuis. Quand il eut finalement fini de parler, il attendit une réaction de leur part, prêt à leur serrer la main tout autant qu'à serrer le manche de sa hache.

vhann trouvait bien triste, la situation de cette humain condamné, mais rien n'était encore fini et ils avaient, grâce aux précieuses informations de Farpo, put obtenir des indices fort appréciable pour eux. Et...

- Nous avions une prêtresse avec nous, elle est parti avertir les citadins et devrait revenir nous rejoindre, elle va peut être pouvoir t'aider, d'ici là, si nous trouvons des racines de câprier ou des feuilles de noyer, je pourrais ralentir l'effet nuisible de cette maladie sur toi. Faut tenir humain, c'est ton seul salut. Yvhann se leva, et ayant repéré des mûres, alla de suite vers celles-ci et fit en sorte qu'elles deviennent nourrissantes, grâce à un sort naturel et druidique. Par la suite il approcha d'Enoriel puis lui en donna une, s'en prit une, en offrit une à l'humain et en garda une pour Kana. Les autres il les rangeas dans sa petite pochette pourvu à cette effet.

¤Il nous faut trouver ce mage et sa troupe de Gnolls, du câprier, des feuilles de noyer, un chêne carillon, et quoi encore!?¤ Sortant de ses pensées, il inspecta l'endroit où Kana avait pénétré dans la forêt, il écoutait s'il l'entendait toujours... ¤Il ne faudrait pas en plus perdre l'un de nos effectif.¤

Avait-il donné un mauvais espoir à cette homme en lui mentionnant qu'une prêtresse pouvait le sauver, ou bien lui avait il donné le courage de tenir bon!? Le druide espérait qu'il tiendrait bon, et espérait aussi que la troupe avait réussi à trouver leur chemin et qu'ils seraient de retour bien assez tôt.

noriel accepta avec un sourire la nourriture que lui tendait Yvhann. Il mangea la mûre, grossie par la puissance de la nature. Ce bref moment de réconfort lui rappella l'espace d'un instant ses excursions dans la Haute-Forêt, quand il partait, enfant, chercher des baies pour sa tribu, ne se privant pas au passage d'en manger plus que de raison... Il en avait même été malade une fois et s'était juré de ne plus recommencer. Mais les promesses qu'un enfant se fait à lui-même sont de celles qui sont souvent rompues. Ce souvenir heureux lui arracha à nouveau un sourire qui s'effaça rapidement quand Enoriel revient à la dure réalité. Yvhann avait donné à l'homme un nouvel espoir, une raison de s'accrocher. Mais est-ce que Jereicia les retrouverait à temps? Et quand bien même, arriverait-elle à la sauver? Enoriel préféra taire ses doutes pour ne pas décourager l'homme qui souffrait déjà bien assez. Il se tourna vers Yvhann et lui parla en elfique :

- Nous devrions nous mettre en route sans tarder. Peut-être trouverons nous en chemin les ingrédients nécessaires pour apaiser quelque peu son mal. Allons chercher Khanabendril et laissons cet homme nous guider. Khell pourra peut-être nous aider également. Sur ces paroles, Enoriel chercha Khanabendril du regard, ecoutant attentivement chaque son de la forêt.

omme Enoriel, Yvhann ne voulait pas décourager le pauvre homme malade, donc c'est en druidique et tout bas qu'il dit au creux de l'oreille de son compatriote...

- Je suis d'accord avec toi, mais fait bien attention de ne pas marcher dans les traces de cet homme malade, la maladie se propage au toucher et au souffle fétide qu'il dégage. Il s'avança lui-même, vers l'endroit où Kana avait disparut dans le boisé, laissant échapper deux sifflements d'appel, identifiables à un oiseau commun des forêt, sachant Kana un habitué de la forêt, il reconnaîtrait ce sifflet comme un appel, du moins c'est ce que pensa le grugach. Le temps passait et ceci avait ralentit considérablement leurs progression de leurs chasse à l'ennemis. Floyr fatiguait de rester sur l'épaule de son ami, mais le forestier tenait à ce qu'il reste encore un peu, laissant démontrer ainsi son malaise face à la situation. Puis il regarda l'homme et... "Voulez vous tenter de nous guider vers la tour de votre feu maître, messire Farpo!?"