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Intrazil, chap I, Temple de Kiaranzalée, Ombreterre
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Soeur des Marches
Chambre 14
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fficace et décisif, tu parles ... Le regard de la guerrière était sombre, et dans les deux émeraudes de ses iris dansaient un feu infernal : celui qui courait sur toute la jambe et le torse d'un de ces monstres sans vie qui lui faisait face. La tête lui tournait autant en raison de ses blessures que quand elle pensait à ce qu'ils enduraient. Elle leur avait coupé un bras. Un d'eux avait perdu sa tête et continuait à se battre. Même le feu semblait ne leur arracher aucune douleur. Existait-il quelque chose qui ferait flancher ces adversaires, les pires qu'elle ait eu à combattre de sa vie ? Même si elle ne s'avouerait jamais vaincue tant que lui restait un souffle de vie, elle commençait à en douter. Aux pieds de son adversaire, Hermine cracha de la salive et du sang et prit une posture défensive. Elle avait besoin de temps ...- [Illuskan] On n'arrivera à rien comme ça ! On se regroupe ! , cria-t-elle de toutes ses forces à ses compagnons pour tenter de les galvaniser. Puis elle lança, par dessus son épaule, en regardant l'étudiante : « Eli ! Passe derrière moi, je te couvre ! Courage, tu peux y arriver ! » Hochant la tête à l'adresse de l'étudiante, Hermine consacra principalement son attention sur le zombie décapité : il était hors de question que celui-ci profite du mouvement d'Elinor pour l'attaquer, et l'aventurière allait se débrouiller pour défendre son amie en faisant manger le pavé au monstre.
Lorsque le zombie sembla vouloir profiter d'une ouverture, Hermine profita elle-même du trou que le monstre laissait dans sa garde : tout en s'accroupissant pour laisser le champ libre à Elinor, elle mit son bras porteur du bouclier dans son dos pour protéger ses arrières et lança le poing qui tenait son épée en un balayage à hauteur des genoux de son adversaire pour le déséquilibrer.
D'un second mouvement, Hermine se releva en daisant un pas en arrière à la suite d'Elinor, ramena son bras vers elle pour rengainer son épée et, achevant de se redresser, réapprêta sa garde contre le second monstre embrasé. Hermine utilise Expertise du combat [±2]. Hermine retarde son action simple ; condition 1 : Zombie 1 bouge (que cela soit attaque ou déplacement). Hermine retarde son action de mouvement ; condition 2 : Elinor se trouve dans la case au Nord de Rindelboum.
Si (condition 1 est remplie) { .. Hermine fait un croc-en-jambe à Zombie 1 (Science du croc-en-jambe). .. Si (croc-en-jambe réussi) alors Hermine attaque Zombie 1. }
Si (condition 2 est remplie) { .. Hermine fait un pas de placement (case au Nord-Est). .. Hermine rengaine son épée longue. } Ce message a été modifié par Hermine le Lundi 15 Octobre 2007 à 17h28
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Frère Tigre
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Aventurier
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Devant les paroles un peu dures du barde, Nasky se rappela qu'en effet, ce n'était pas vraiment l'endroit idéal pour causer archéologie, ethnologie ou autre science venue d'un autre monde... Alors que la tension était palpable, Nasky réalisa qu'à sa place, s'il avait des amis en danger à quelques mètres de lui, il ne resterait pas là à bavasser ou à souhaiter chanter....Parbleu, il a raison, le barde... On va pas rester comme des champignons ... même lumineux ... Se tournant vers Sinafaye, il lui parla un peu fermement, avec néanmoins une bonne dose "d'ironie affective" accompagné d'un soupçon de tendresse.Bon, si toi, tu veux te suicider, aprés tout, c'est ton droit ... Je ne peux pas t'en empêcher. J'ai d'ailleurs à peu prés voulu faire pareil hier ... mais j'avais de BONNES raisons, MOÂ... En tout cas, personnellement, je ne PEUX PAS rester ici sans agir, à attendre que d'honnêtes aventuriers se fassent massacrer sous prétexte que ce temple a été bâti trop prés de la surface. Et puisque tu ne peux pas ouvrir cette porte, nous allons essayer de la forcer sans plus attendre... Allez, barde, aide moi .. Dorik... tout le monde... au boulot... il y a des vies à sauver. Alors qu'il pensa plus ou moins comprendre le sens par laquelle cette porte s'ouvrait, il essaya de la faire coulisser de toutes ses forces. Si rien ne semble bouger, il prend de l'élan et la défonce.
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Oreille des Marches
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Partie RomancéeLe lieu était sombre, et moite. Trois silhouettes noires se tenaient raides dans des robes sombres sur lesquelles étincelait un symbole d’argent, se découpaient les douces mèches de leurs chevelures blanches. Un autre, plus grand, plus large, au teint plus clair levait lentement une dague aiguisée. Ses cheveux étaient coupés court, ébouriffé comme s’il sortait du lit. A ses pieds gémissaient deux elfes noirs : un male et une femelle à la beauté éblouissante. D’autres se dissimulaient dans l’ombre, et l’on ne pouvait deviner d’eux que la respiration tremblante, comme celle de celui qui craint qu’on le découvre. D’une main le plus grand drow s’empara de la prisonnière par les cheveux. Ses lèvres remuaient, prononçant d’inaudibles paroles gonflées de haine et de rancœur. Puis, violement, il abattit sa dague dans un geste parfait, tranchant la gorge de l’infortunée femelle. Le sang gicla tandis qu’un hurlement désespéré rugit à faire trembler les murs.
Elle ouvrit les yeux, un sourire léger et cruel déformait son visage aux traits avenants. Elle écarta les voiles qui fermaient sa couche, comme un impudique rempart, et se leva doucement. Sa silhouette était gracile et voluptueuse, enrobée d’une robe pourpre qui en laissait deviner les courbes presqu’autant que si elle avait été nue. - Le moment approche murmura elle, faisant signe à l’un de ses esclaves d’éloigner les grands plats d’argile dans lesquelles fumaient encore les essences magiques propices à la divination. Vingt-neuvième jours du temps des fleurs année de la magie sauvage 29 Kyrthorn 1372Lieu : Temple de Kiaranzalée, Grande Faille - Ombreterre Temps : / Moment : après midi(environ 16h38) NarrationDorik, Ephedria, Golek, Naskyrien, VieltalTandis que Dorik approchait des mains noires sculptées dans une pierre plus lisse et plus douce que le marbre, les spirales bleutées qui formaient le halo du portail s’estompèrent peu à peu pour disparaître totalement. Comme il s’y était attendu, ils étaient désormais bloqués dans le Temple.
La disparition du portail n’avait pas échappé à Riark, ni à Ignus, qui s’approchèrent l’un de l’autre. Malgré les différence radicale des deux prêtres, et de leurs croyances respectives surlesquelles ils ne s’étaient étendus ni l’un ni l’autre, une certaine complicité avait éclos entre eux.- Avez-vous entendu ? murmura le gros bonhomme a son confrère « Au dessus de nos têtes se trouve un village de nains. Voyons comment la situation tourne, et dès que nous aurons aidé ces pauvres âmes à se tirer d’ennuis, je propose de nous y rendre. Cela me parait plus sur que de suivre le chemin de la drow, et de nous perdre davantage dans des régions dangereuses. » Le prêtre de Kossuth hocha de la tête, songeur. Avant toute chose, il désirait satisfaire son dieu, dusse t’il endurer mille tourments, mais il ne lui sembla pas pire de quitter l’Outreterre que de continuer sur une route inconnue et éloignée de toute manière de celle qu’il était supposé emprunter au départ.
Le nain des glaces renifla l’air autour de lui. La température, ainsi que la facilité qu’il avait de respirer lui permit de s’assurer que le Temple dans lequel ils étaient réunis n’était pas très éloigné de la surface. Il fit glisser les anneaux, les tourna, les observa avec l’attention d’un chef ingénieur. S’il lui semblait logique qu’un mécanisme quelconque y soit dissimulé, il fut surpris de ne rien découvrir.
Tandis que Dorik se concentrait sur ses observations, Sinafay éprouvait beaucoup de difficulté à réagir à chaque intervention qui lui était lancée, et passait d’un visage à l’autre, sans jamais avoir le temps d’ouvrir la bouche pour répondre. La mauvaise humeur, et l’agacement se lisait de plus en plus facilement dans son regard d’or. Elle choisit sa cible, plongeant son regard trouble dans celui du petit roublard. Celui-ci, bien qu’halfelin, ne put s’empêcher d’être troublé par une telle beauté. | | - Je ne puis ouvrir cette porte ! Mon dernier recourt était de prononcer cette formule, que tu as prise pour je ne sais quelle malédiction, formule sensée désamorcer certains pièges et ouvrir certaines portes de ce Temple. Mais ce n’est apparemment pas le cas ici ! dit elle d’un ton énervé. « C’est la première fois que je pénètre dans ce lieux sacré que je ne connais qu’en théorie. Je n’était pas sensée prévoir que je découvrirai une bande de profanateurs, ou d’aventuriers - peut importe la façon dont vous les considérez – en prise avec l’un des pièges sensé nous protéger des gens de leur espèce ! Le piège se désamorcera uniquement lorsqu’il n’y aura plus de danger : autrement dit quand ILS SERONT TOUS MORTS ! A moins que quelqu’un n’ouvre la porte de l’autre côté, c'est-à-dire LA BAS !!! «
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La première impression que laisse Sinafay lorsque l’on croise ses yeux d’or, est un sentiment trouble de fascination ou la peur se mêle au désir. Sa silhouette frêle et gracile lui donne un air de fragilité, comme une poupée d’ébène que l’on aurait peur de casser, et pourtant son visage porte la marque de ceux qui sont déterminé et auquel peu de chose ne résiste. |
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Elle pointa du doigt le panneau noir, démontrant une fois encore l’absurdité de la situation, et des questions qui lui étaient posées. A ces mots, Naskyrien, prit son élan et sous les yeux ébahit de chacun, sauta à l’assaut de l’imprenable porte de pierre. MiramalMais de l’autre côté, il y avait quelqu’un. Un petit quelqu’un qui venait de vaincre son horrible cape coincée sous la pierre et qui observait avec étonnement les inscriptions qui étaient gravée sur la porte qui avait failli lui ôter la vie, entremêlées de dessins gracieux et terribles a la fois, dégageant une mystérieuse cruauté. Miramal frissonna. Il ne lui plaisait pas de se retrouver seul face à l’inconnu. Même la présence de Tibor ne suffisait désormais plus à le réconforter. Pourquoi avait il cherché a passer au plus vite sous cette porte ? Pourquoi était il séparé de ses compagnons, dont il entendait à présent l’angoisse et les cris. - Nooooooooon !! Hurla t’il frappant la pierre de ses mains, les larmes aux yeux.
C’est alors qu’il ressentit un flux étrange, la magie puissante qui était à l’œuvre et il aperçu des lettres scintiller autour d’une main imprimée dans la pierre. Instinctivement, il plaça sa paume dans l’emprunte. Elle était plus petite, mais il y eut malgré tout comme un « déclic ».- ’ ’ ’ . Lit il d’une voix hésitante.ElinorL’étudiante ne savait plus que faire. Elle avait presqu’envie de s’effondrer en pleurs, de se recroqueviller sur le sol, les bras recouvrant sa tête, et de ne plus bouger jusqu'à ce que tout soit fini. Pourtant, elle restait la debout, vivante, la respiration courte et le pouls rapide, mais elle ne chancelait pas sous la peur. Elle pouvait…elle pouvait y arriver. Alors elle suivit les ordres d’Hermine, quoi que désorientée et n’ayant aucune idée des raisons qui poussait la guerrière a agir de cette façon. Elle se déplaca aussi vite que possible, frôlant les murs, et se gardant bien de s’approcher de l’une des créatures qui hantait le lieu.Dorik, Ephedria, Golek, Naskyrien, VieltalLe choc fut terrible, et si la situation n’avait été aussi dramatique, il est certain que l’action insensée du barbare aurait été sujette d’une hilarité générale. L’épaule douloureuse, Naskyrien se releva péniblement. Non, il était décidemment impossible de défoncer cette porte. Alors que ses genoux craquaient dans un bruit de vieillard, un autre craquement plus fort se fit entendre, suivit d’un raclement, d’un sifflement. Les portes aux extrémités du couloirs se relevaient, lentement, majestueusement, comme une herse qui trouve refuge dans les profondeurs du plafond. La bouche bée de Sinafaye, démontrait son étonnement
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Aventurier
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¤ Coincés … pris au piége comme un vulgaire rat … j’avais des doutes quant à la confiance qu’il fallait accorder à cette drow, apparement, j’avais raison … J’aurais sans doute dû rester et ne jamais traverser ce portail maudit . ¤
Ephedria commença à sentir son cœur battre de plus en plus vite. Jamais de sa vie, il ne s’était retrouvé dans une telle situation … celle-ci échappa totalement à l’esprit du jeune illusionniste. Lui qui avait l’habitude de contrôler les événements sentit pour la première fois de sa vie un sentiment d’impuissance. Quoi qu’il fasse, cela n’aurait aucun impact sur la situation actuelle . En se rendant compte de ça, l’humain commença à voir sa vue se brouiller, et sentit un coup de chaleur – sans doute un contrecoup de la traversée du portail – Il se dirigea lentement vers un mur de la salle pour pouvoir s’adosser . Une fois dos au mur, il pouvait sentir la fraîcheur qui pouvait se dégager de cet imposant mur . Reprenant son souffle doucement il essaya de se focaliser afin d’éviter une syncope .
¤Bon bon bon, restons calme, faire une crise maintenant ne serait vraiment, mais vraiment pas le bon moment . En réfléchissant bien, cela n’est pas si mal que ça … il suffit juste d’attendre que les autres dehors se font tuer pour qu’on puisse sortir sans le moindre mal … à moins qu’ils ne meurent pas et qu’ils arrivent à nous ouvrir la porte . Dans les deux cas, on sort forcément … donc … il n’y a aucune raison de paniquer.¤
Attendre dans l’incertitude est pénible, le temps est lassant, lent et lourd … Alors que le jeune humain observait la salle attentivement pour essayer de voir ce qui pouvait avoir d’intéressant, les portes qui retenait la compagnie se leva de manière totalement inopinée. Après l’étonnement partagé par tout le groupe, Ephedria commença à se redresser d’une manière fière : devant lui se dressait l’aube d’un nouveau voyage.
Le monde n'est qu'une réalité éphémère que je me permet de modifier
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Frère Tigre
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Le visage du barde se tordit dans une expression de douleur sous la terrible tentative du barbare pour ouvrir la porte. Vieltal fut néanmoins soulagé intérieurement : il pouvait compter sur l’aide de Naskyrien pour sauver ces amis... Après les paroles peu rassurante d’une drow énervée, les espoirs du barde s’étaient amenuisés. Autour, la salle semblait se resserrée sur eux. Les quelques âmes qui respiraient de part et d’autres de cette porte reverraient-elles le jour une fois de plus?
Le nordique vacilla légèrement. Portant une main à son front, il décida d’allez tenir assistance au barbare qui se relevait.
« Ce n’est pas la peine... Cette porte est trop épaisse.. »
À ces mots, un bruit retentit dans la pièce, faisant remuer la plupart de ses occupants. Dans une vague de stupéfaction, les regards se tournèrent vers cette fameuse porte qui scellait l’entrée au couloir. Celle-ci s’élevait lentement dans la pierre comme elle l’avait fait pour descendre.
Les bruits du combat gagnèrent rapidement le coeur et l’âme du barde de Tempus. Ce qui signifiait que ses compagnons étaient toujours vivant! Cette fois, il ne raterait pas sa chance. Mais tout d’abord, il fallait s’assurer des intentions de tout le monde dans cette même pièce, surtout de la drow. Détournant son regard de la porte il apercut un jeune homme blond se redresser. Leurs regards se croisèrent et Vieltal su qu’il resterait pour se battre. Il hocha la tête en sa direction pour le remercier discretement. Puis porta rapidement son regard vers la drow toujours stupéfaite... Naskyrien aurait plus de chance avec elle.
« C’est maintenant ou jamais...Le couloir n’est pas bien large il faudra faire attention. Ces êtres sont probablement décharnés comme les goules que j’ai rencontré auparavant, réagissez en conséquence braves aventuriers! »
Gonflé à bloc, le barde se redressa aux cotés du barbare. Il n’avait pas le temps de prendre sa flûte mais le moment était des plus propices... Il entendait déjà les tambours dans ses tempes, et son père... Son père et sa voix de stentor mener au combat une centaine d’homme galvanisé par son chant ancestral...
Sans même y avoir penser, les paroles sortirent de sa gorge en un chant de coeur qui raviva les ardeurs du barde fixant la porte qui continuait toujours de se rétracter dans le plafond.
Oh brave combattant sous les yeux de Tempus,
Le temps n’est pas venu de sonner l’angélus,
Le glas qui résonne ici en notre présence,
Fait vibrer les échos futurs de nos louanges,
Oh brave combattant dans les bras de Tempus,
Que nos ennemis croulent sous la quintessence de notre art,
Que nos bras forts, portent fièrement l’étendard,
De nos ancêtres, dans la vie et dans la victoire!
Inspiration Vaillante
La vie est tout comme un scintillant diamant... De cette façon dont il brille lorsqu'on le polit bien.Vieltal 'Vuurdan
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Aventurier
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Une patte après l’autre, Capucine montait sur cet être, glissant ses griffes dans les moindres entailles, déformations ou trous béant qui couvrait ce corps décharnu. Elle avait sautée de la main de son maître pour atterrir sur la cuisse de la créature ou elle avait pu, miraculeusement, glisser une patte dans un trou probablement causé par une dague et y prendre appui pour entamer son ascension vers sa cible, la tête. Et tandis qu’elle escaladait, une seule pensée hantait son esprit… la survie, la survie de son maître. Plus rien ne pouvait désormais arrêter la marche de cette petite belette, prête à donner sa vie pour son maître et ami, le jeune Rindelboum. Il devait vivre, vivre pour elle, vivre pour lui et surtout vivre pour son talent, car oui, Capucine le savait très bien, son maître possédait un potentiel immense.
Elle grimpa jusqu'à l’épaule gauche de son adversaire qui, prit au dépourvu, ne pu réagir pour contrer l’arrivée de ce passager clandestin. De la, elle se fléchit autant qu’elle le pu sur ses pattes de derrière. Deux secondes plus tard la petite belette avait bondit sur l’oreille du mort-vivant ou elle réussit à s’agripper avec ses pattes de devant et exécuter un mouvement de balancier qui l’envoya tournoyante en plein sur le nez de son adversaire.
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Rindelboum était la, assis sur ce sol froid, la main levé en direction du zombie et une expression hébété sur le visage. Aucun rayonnements magiques n’avait jaillit de sa main. Il ne savait comment réagir, levant les yeux, il ne pouvait qu’observer son adversaire qui, agacé, levait une main en l’air. Tous les mouvements de la salle prirent alors une étrange tournure aux yeux du gnome. C’était comme si tout ce qui l’entourait avait subitement été ralentit. Regardant toujours le zombie, il pu lentement observer cette main qui grimpait en l’air, toujours plus haute, toujours plus lentement. Puis, lorsque celle-ci arriva à son point culminant, elle entama une violente descente qui percuta le petit animal se trouvant au niveau de son visage et l’éjecta quelques mètres plus loin dans un vol plané mortel. Sous les yeux ébahit de Rindelboum, Capucine gémit puis prononça un dernier sanglot avant de fermer les yeux et de perdre connaissance.
- CAPOOUUU !!
Ca y est, elle était morte. Sa belette tant aimé, son compagnon le plus fidèle, son ami le plus loyal… Il ne pouvait pas y croire, elle n’avait pas le droit de le laisser, elle ne pouvait pas le laissait, seul face à son avenir, aussi incertain qu’il soit… Les yeux toujours grand ouverts, Rindel’ respira calmement. C’en était trop, plus qu’il ne pouvait en supporter, plus qu’il ne pourrai jamais en supporter. Il sentait encore sa présence. La belette n’était pas morte, mais elle ne tarderai pas à l’être si personne ne s’en occupait. C’est à ce moment que son corps décida de lui rappeler à lui aussi l’état dans lequel il était. Le coup de pied qu’il avait reçut en pleine poitrine avait dû lui briser deux ou trois côtes. Il sentit sa bouche s’emplir d’un goût amer de sang, se pencha sur son coté droit et cracha une petite quantité de ce fluide rougeâtre sur le sol. Sa vision se troublait et tout ce qui l’entourait bougeait avec une extrême lenteur à ses yeux. Ce n’était qu’une question de seconde pour que le gnome sombre dans les ténèbres, mais apparemment quelque chose en avait décidé autrement. Sa vision s’assombrissait de plus en plus lorsqu‘une lumière presque divine apparut, venant de derrière lui. La porte qui les avait enfermé dans ce couloir de la mort commençait à s’ouvrir et une voie douce et réconfortante se fit entendre. Ces paroles résonnèrent comme un écho inaudible dans la tête du magicien, elles lui paraissaient extrêmement lointaines.
*... ... Le temps n’est pas venu de sonner l’angélus... ... Braves combattant... ... Que nos ennemis croulent... ... Dans la vie et dans la victoire... ...*
Les yeux à demi fermé du gnome se rouvrirent, il sentait ses forces lui revenir. Tous ses délires morbides avaient étés provisoirement écarté de son esprit. Il n’avait plus qu’une chose en tête, Capucine. Le visage fermé montrant une détermination absolue, Rindelboum lâcha la torche qu’il tenait dans la main gauche puis vint placer ces deux mains devant lui, la droite au niveau de son torse, la gauche au niveau de son abdomen et les doigts légèrement recroquevillés, comme s’il tenait une boule d’énergie. Il manipula cette précieuse boule dans une série de mouvements complexes puis tendit les deux bras, paumes des mains l’une en face de l’autre. Dans un mouvement rapide et précis, il écrasa entre ses deux mains la boule qu’il donnait l’impression de tenir, ce qui fit immédiatement jaillir une lueur blanchâtre d’entre ses doigts. Cette lueur ce répandit alors sur tout son corps pour ensuite totalement disparaître.
Il leva alors la tête et jeta un regard emplit de haine au zombie qui lui faisait face, tout était désormais clair, il n’aurai le repos que lorsque le corps inerte de son adversaire jonchera le sol. Son esprit affuté au comble de sa concentration, Rindelboum était désormais prêt à parader la moindre attaque. Il se leva précautionneusement, laissa échapper un second cracha sanglant et se mit en position défensive, attendant l’inévitable coup qu’on lui porterai.
*Chuchotant* - Vous voulez pas la jouer douce, j’suis pas contrariant. Vous voulez la jouer dur, on va la jouer dur.
Rindelboum lance Armure de mage sur la défensive. Rindelboum se lève (sur la défensive aussi ?) puis se met en position défensive.
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Aventurier
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Malgré ses nombreuses tentatives, Dorîk ne parvint cependant pas à découvrir un quelconque mécanisme qui aurait permis l'ouverture de la lourde porte. Rien à faire, bien qu'amovibles, les anneaux ne semblaient pas être reliés aux mécanismes de la porte et il semblait bien, selon les dires de Sinafaye, qu'il n'était pas possible d'ouvrir la porte depuis ce côtè-ci et il faudrait au groupe une assistance venue de l'extèrieur. Assistance qui, au vu des bruits étouffés qui traversaient la porte, était aux prises avec une quelconque horreur, gardienne de ce lieu enfoui. En fait ce lieu n'était pas tant enfoui que ça et selon la pression de l'air et la présence de cette dernière en quantité notable, ils ne devaient pas se trouver à plus de deux cents mètres sous terre. Derrière le groupe, les énèrgies bleutées qui constituaient le portail commençèrent à s'évapporer avant de disparaître complètement. Ares couina un peu et fit comprendre à son maître qu'il avait peur.
Dorîk grommela dans sa barbe quant à la situation plus que précaire dans laquelle ils se trouvaient.-Grmmmbl... Quel est le... mbrmm de... grmml qui m'a fichu une... grmmmb pareille. Faudrait être aussi... grmmmbl qu'un gobelin pour construire un.... mrblmm pareil. Le nain polaîre se tourna vers la drow qu'il dévisagea d'un regard furieux.-Si on doit rester bloqués ici jusqu'à la fin de nos jours, je te promets de patienter moins longtemps... beaucoup moins longtemps. A peine eut-il finit sa phrase que Naskyrien s'élançait, l'épaule en avant, dans une tentative plus que futile de défoncer la porte. Le nain aurait bien rit aux éclats q'ils ne s'étaient pas trouvés dans une situation aussi désastreuse. Ares se mit à s'agiter nerveusement et couina de plus belle sans que son maître en ait compris la raison. Il allait calmer sa bête lorsque le sol se mit à trembler et la porte à s'ouvrir lentement. En quelques instant la massive porte de pierre noire s'ouvrit pour laisser le groupe appercevoir une sorte de gallerie. Les bruits d'un combat proches s'intensifièrent et le sang se remit à pulser dans les veines du nain polaîre qui empoigna fermement la javeline qu'il tenait entre ses mains.
Dorîk n'avait porté aucune attention quant à la cause possible de l'ouverture de la porte mais il était surd'une chose... un combat avait lieu à même pas vingt mètres de lui mais sans lui. Cette simple pensée offensa le nain, encouragé par la chanson au ton martiale du barde, s'élança en avant dans la gallerie, prêt à abattre la moindre cible. Cours dans le tunnel et tire sa javeline sur le premier zombie qu'il verra.
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Aventurier
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Enervé... le barbare était énervé... Assis sur son séant aprés avoir effectué cette essai désespéré , il accueillit bêtement la compassion du barde qui lui disait que ce n'était pas la peine ... mais il fut encore plus idiot lorsque la porte s'ouvrît... Bien entendu, il se dit que les dieux avaient récompensés sa volonté . Certes, l'idée que Sinafaye était plus proche de la vérité en affirmant que quelqu'un l'avait ouverte de l'autre coté lui effleura l'esprit, mais outre le fait qu'il se sentait plus motivé par la premiére solution, il trouva à la drow un air si étonné qu'il se mit encore plus volontiers à penser qu'il n'était pas si étranger que celà à cette étonnante ouverture... Alors que le barde venait de l'aider à se relever et que la porte entamait son mouvement libérateur, il dit :
AHHH, je le savais qu'elle ne serait pas si inutile que cela, mon action...
Alors que tout le monde s'apprêtait au combat et que Vieltrin annonçait la probable rencontre avec des morts vivants, ce dernier poussa sa chansonnette combative... Nasky en fut pétrifé d'émerveillement... cet extase ne l'empêcha pas, bien au contraire, à préparer arme et bouclier, mais il lui fît oublier de vérifier la réaction de la drow. Une seule chose importait dorénavant : se battre... Le chant l'envoutait... Il sentit le gout sanglant de la rage envahir son palet ... des milliers de petits faisceaux sanguins apparurent dans ses yeux... il garda néanmoins ce pouvoir de coté, prêt à surgir dés qu'il serait apte à taper un ennemi évident.. Il savait que, de l'autre coté, il n'y aurait pas que des ennemis à moitié morts, mais aussi des aventuriers à sauver, en espérant que ces derniers ne soient pas complétement morts, ce qui serait d'ailleurs une autre raison possible de cette étrange ouverture... Nasky se laissa imprégner de toutes ses forces par le chant du barde.. et, trés curieusement, il ne pût s'empêcher d'y répondre... A la limite de la transe, il ne sût d'où vinrent les paroles qui sortaient de sa gorge en une étrange mélodie qui répondait en contrepoint fort intéressant et personnel à celle du barde confirmé.
Sous les charmes étranges de yeux dorés Toute une nouvelle équipe s'est formée Aucune porte ne résiste à leur passage Laissez passer Naskyrien le barbare en rage
Serviteur de Lurue, Protecteur de la vie. Etrange est le choix de ses amis Mais Rashémi complet et demi drow Ensemble, sauveront de nombreuses vies
Peut être sous l'effet de cette inspiration mystique de ce début de transe, Nask sentît une trés étrange sensation ... un froid glacial, mais pas inconnu, qui parcourait sa peau qu'il sentît durcir... Il lui revint en mémoire les heures d'endurcissements à la neige que sa grand mére lui avait secrètement fait endurer lors de son enfance... Cette totémisation avait été faite dans le plus grand secret car il n'était pas l'ainé de la famille... et elle n'avait d'ailleurs pas fonctionné... "un jour, tu l'acquèreras" lui avait néanmoins dit sa professeur avant que Nasky quittait la village... ¤ Etait il temps ? ¤ se demanda t'il la hache en main et un début de bave aux lèvres , penché pour observer ce qui apparaissait derriére la porte , prêt à bondir sur tout ce qui paraitrait trop vilain pour laisser planer le moindre doute sur sa nature hostile et surnaturelle.
"Héros héros petit nous tapons. Héros héros petit partageons" (berceuse troll)
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Rôdeuse de Solonor
Aucune chambre
Aucune gemme
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La belle roublarde, le visage perlé de goutte de sueur qui s'étaient glacées devant l'effroit de ses ennemis, ne savait plus quoi faire. Elle avait tenté en vein de brûler le premier zombie qui c'était présenté à elle, mais cela n'avait eu aucun effet. Ce n'était que des corps avançant et prêts à tuer sans s'en rendre compte. Le feu ne les effrayait pas, ils n'avaient donc même pas la peur la plus primaire en eux, mais qu'étaient ces êtres, si on eut pu les nommer ainsi. Devant l'inefficacité de ses moulinets flambés, Ibealia avait opté pour son arme nouvellement acquise lors de son dernier combat marquant. Peut être que cette arme leur ferait plus de mal c'était-elle dit. C'est donc en appuie sur sa jambe droite placée la plus en arrière, et la jambe gauche sur la pointe du pied qu'elle s'abattit sur le monstre. Elle le toucha juste à l'épaule qui tomba sous la déferle de sa lame. En tout état de cause on aurait pu s'attendre à ce que cette chose gémisse, se torde de douleur, s'arrête pour regarder son membre si cruellement et douloureusement arracher, mais il n'en fut rien. La créature continuait à marcher, se rapprochant inexorablement de la jeune demi-elfe qui commençait à s'éprendre d'une peur panique.
- Mais qu'est ce que c'est? Comment allons nous nous en sortir?!
Ibealia avait du mal a comprendre ce qui se passait autour d'elle. L'obscurité du lieu ne lui permettait pas de savoir exactement ce qui se passait pour ses compagnons. Elle entendit Rindelboum crier, apparement son animal de compagnie si adorable avait été gravement touchée à entendre la détresse qui émanait de cet appel. Elle espérait que Rindel allait toujours bien malgré cela. Elle n'entendait ni Hermine, ni Elinor mais au bruit de combat qu'elle arrivait à percevoir, elle savait qu'elles étaient toutes deux en vie. Soudain alors qu'elle s'acharnait sur le zombie le plus près d'elle, elle entendit Hermine. Elle leur disait de se rassembler. C'est alors que la roublarde fonça droit devant elle, c'est à dire droit devant le zombie, moulinant à tout va afin de rompre le reste d'os qu'avait son ennemi et d'en faire de la paté, si il avait encore des chairs. Elle marquait à chauqe pas une pause comme pour marquer son avancée. Bientot elle verrait Rindel et pourra l'aider si le besoin s'en fait sentir. Son regard partant hors du zombie elle crut apercevoir un trait de lumière loin devant elle, et ainsi elle aperçut un peu plus la scène qui se déroulait dans le corridor de la mort. Un sentiment de soulagement envahit alors la Gardienne de Solonor. Une sortie s'ouvrait à eux, il ne lui restait qu'a franchir les ténèbres dont la force s'amenuisait.
La douceur apparente n'est rien d'autre. Garde tes distances et regarde la situation globale. N’utilise la violence et la confrontation qu’en cas de défense ou de problème de temps. Que Sylvanus te garde!
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