Une petite chasse spéciale, Périples et retrouvailles improbables

Vingt quatrième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage
24 Eleinte 1372 (CV)

Lieu : Dans la forêt
Temps : Entre 5 et 7°
Moment : Nuit

roxigar, Inwën et Rak avaient convenu rapidement de la marche à suivre et surtout trouver des vêtements même si cela pouvait se révéler une démarche quelque peu hasardeuse et dangereuse. après tout, ils n'allaient pas survivre longtemps en restant comme cela. L’heure n’était donc pas aux tergiversations, mais l’épisode de l’eau conjuguée à la fatigue engendrée par les derniers événements commençait à peser sur les trois compagnons, la fatigue était là et elle allait en s'accroissant. Leurs corps nus et ruisselants, frissonnaient littéralement sous le coup des légers appels d’air glacés qui régnaient en maître en ces lieux souterrains.

Il n’y avait pour l'instant aucune trace de vie et durant une dizaine de minutes, ils continuèrent leur avancée, marchant presque au pas, les oreilles aux aguets. Ce qui leur fit découvrir une foule de son. Tout ici prenait une autre dimension: Clapotis, ruissellements, gouttes à gouttes, bruits de tambours. Des tambours ? Tout le monde se figea. Devant eux, ils pouvaient distinguer une intersection éclairée elle aussi par plusieurs torche. Une galerie partait à droite et une seconde à gauche.

Rak, s’il n’était pas habitué à divaguer dans le plus simple appareil, était par contre un grand connaisseur du monde souterrain, il était dans son monde. D’un geste de la main, il fit signe à ses compagnons de ne pas bouger tandis que lui allait plus loin en repérage, les poings serrés prêt à utiliser toutes ses ressources physiques en cas de danger. Ce n'était pas la peine car là encore, il n’y avait aucun garde de visible. A la droite du nain, la galerie montait légèrement tandis qu’à sa gauche, la galerie semblait s’enfoncer encore un peu plus, c’est de là que provenait le son des tambours quand soudain le bruit cessa et un hurlement se répercuta à travers les parois, pas un hurlement de terreur ni de peur mais le genre de hurlement que l’on poussait en cas de victoire sur un ennemi honni entre tous…

Rak frissonnait dans le courant d'air qui ne semblait jamais vouloir cesser au sein de cette galerie.

¤ Qu'est-ce que je donnerais pas pour des habits ! Et ma hache ! Si je mets la main sur le salopard qui a ma hache, je lui tranche la tête. Heu... Non... Faudrait mieux qu'on rencontre personne et qu'on sorte vite d'ici ! ¤

Tout en progressant, le guerrier serrait très fort les poings, à la fois pour combattre le froid et les frissons, à la fois pour avoir l'impression de disposer d'armes.

¤ Le premier que je trouve, je l'assomme. ¤

Restait à savoir si le hanicap de ses bras courts ne l'empêcherait pas de porter des coups. Il chassa cette pensée. Il lui fallait positiver. Actuellement en tête du petit groupe en raison de ses yeux qui lui assurait un déplacment furtif au sein de l'obscurité, il n'avait pas droit à l'erreur. Avoir réussi à quitter leur cellule était un miracle qui ne se reproduirait pas. Alors autant assurer !

Le hurlement glaça le sang du nain d'écu. En arrêt à une intersection, il n'eut pas à réfléchir pour savoir s'ils devaient emprunter la galerie qui descendait, ou celle qui montait. C'était du bas que venait les bruits de tambours, et ce cri qui ne présageait rien de bon.

N'ayant rencontré aucun garde, et puisqu'il ne fallait pas traîner dans le coin, Rak retourna sur ses pas pour rejoindre ses deux amis.

- Vite ! Venez ! Il y a une gallerie qui va vers le haut. J'ai vu personne. Les tambours eux sont en bas. On dirait une sacrée fête !

Sans plus perdre de temps, le guerrier retourna à l'intersection.

Aussitôt le son des tambours perçu et le geste de la main de Rak vu, Inwën se figea, s’accroupissant sur le sol le long de la paroi. Elle se doutait bien qu’ils n’allaient pas continuer à déambuler comme ils le faisaient jusqu’à présent sans rencontrer d’obstacles.
Elle ne savait pas combien de lieues ils avaient parcourus mais leur prison troglodyte était loin derrière et au vu des intersections, la grotte devait s’étendre à des miles à la ronde.

La demie ne distinguait du nain qu’une ombre fantomatique plus clair se détachant sur les parois noires. Il semblait s’être arrêté un instant puis se remit en mouvement pour revenir vers ses compagnons et décrire ce qu’il avait vu.

¤ Une fête! Non mais j’te jure, ces nains ne pense qu’… ! S’il avait raison et qu’ils célébraient le sacrifice de Crâne d’œuf? ¤

Elle allait faire part de son idée, que déjà le nain était repartit en direction de l’intersection. Il voulait prendre le boyau qui remonte et laisser les problèmes derrière lui, ce qui était tout à fait censé et la rôdeuse inspirait à la même chose. Mais d’un autre coté, elle ne pouvait se résoudre à abandonner le moine s’il était encore en vie. Il fallait qu’elle en parle.
Se tournant vers Broxigar, elle lui chuchota.

- Broxi! Le raisonnement de Rak est légitime, mais je pense que ce que l’on entend peut être le sacrifice de notre ami le moine! Il faut qu’on aille voir ça de plus près. Je n’pourrais plus me regarder en face, sachant que j n’ai rien tenté.

Sans attendre une réponse, elle tourna les talons et alla rejoindre le guerrier avant qu’il ne s’éloigne de trop. Elle devait lui dire la même chose.

Vingt cinquième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage
25 Eleinte 1372 (CV)

Lieu : Dans la forêt
Temps : Entre 5 et 7°
Moment : Nuit

Etat préjudiciable : Inwën, Rak et Broxigar sont fatigués

'humain comme le nain furent catégoriques, ils ne souhaitaient et ne voulaient pas rester plus que nécessaire dans ces cavernes surtout après tant d’efforts de déployer. Broxigar, une nouvelle fois s’imposa en demandant gentiment mais fermement au nain de prendre les devants et de les guider. Puis il se détourna vers la demi-elfe.

- Nous ne pouvons revenir en arrière, il en va de notre survie, il est temps que nous mettions le plus de distance possible entre les elfes et nous, et vite !

Broxigar n’osait imaginer le sort qui avait été réservé à leur compagnon d’aventure, mais toujours-est-il que maintenant, c’était leur propre survie qui était en jeux et quitte à choisir entre une fuite éperdue et rester tranquillement à ce qu’on en finisse avec eux, la première solution était de loin la meilleure. C’est donc avec une pensée pour le moine que le brasier emboita le pas au guerrier des Marches. Mais alors que les deux compagnons s’étaient engagés dans la galerie opposée, Inwën, fidèle à elle-même, se détourna et tenta le tout pour le tout en s’engageant en courant dans le tunnel qui descendait. Elle voulait en avoir le cœur net, elle allait l’avoir.

Rak et Broxigar se détournèrent au moment ou la silhouette gracile de la jeune femme disparaissait dans l’autre galerie….

Rak poussa un juron retentissant :

- Par Marthammor Duin, qu'est-ce qu'elle fait, elle est folle !!!

Se traitant d'idiot pour s'être exprimé si fort, le guerrier s'arrêta net.

- Broxi, elle descend ! Elle veut sauver Crâne d'Oeuf. Et avec quoi ? Ses mains nues ?

Mais au fond de lui, il savait pertinemment qu'une petite voix lui soufflait de faire demi-tour pour rejoindre Inwën.

¤ Tu es un guerrier ! Un fier guerrier nain ! Tu ne peux pas laisser ton ami mourir sans lever le petit doigt ! Tu ne peux pas laisser une frêle demi-elfe tenter de le sauver tout seul. ¤

- Broxi, il faut aller l'aider. Toute seule, elle mourra. C'est certains. A trois, on pourra peut-être s'en tirer. Et j'ai mes poings ! assura-t-il en brandissant ceux-ci d'un air vindicatif. Continue à monter si tu veux. Moi, je vais essayer de la rattraper.

Sur ce, le nain d'écu reparti en sans inverse, puis s'engagea dans la galerie qui descendait.

¤ Rak, mon vieux, tu es fou ! ¤

Courrant presque dans l'espoir de rattraper la demi-elfe, le guerrier écoutait les tambours qui n'annonçaient rien de bon. Cela, il en était sûr.

Se retrouvant seul au milieu de cette sombre galerie, Broxigar était rageur.

¤Mais pourquoi veulent-ils toujours jouer aux héros ? Nous sommes nus, sans armes, épuisés, perdus et faces à une troupe d’elfe armée jusqu’aux dents et en colères mais ils veulent tout de même aller affronter le danger… ¤

Finalement, il prit la même route que les autres, descendant aussi vite qu’il le pouvait vers une mort certaine. Regrettant son choix, il se posait des questions sur ce qu’il venait de faire : était-ce vraiment pour les faires changer d’avis qu’il avait prit ce chemin ou bien était-ce la peur de continuer seul qui l’avait empêché de prendre l’autre ?

Mais il chassa les doutes qui le hantaient et préféra attiser la rage qui l’habitait quelques instants plus tôt. Il aurait souhaité crier à Inwen de s’arrêter, de prendre au moins le temps de discuter et de réfléchir. Mais cela revenait à prévenir les elfes de leur présence. D’un autre côté, comme il descendait aussi vite qu’il le pouvait, il faisait déjà beaucoup de bruit. Il osa donc l’appeler sans trop élever la voix :

- Inwen, attend nous ! On arrive. Il faut qu’on s’organise.

A vrai dire, le fidèle de Kossuth ne comptait pas se battre dans l’immédiat, il comptait surtout rejoindre la rodeuse, la faire changer d’avis et remonter à l’air libre. Mais cela, il ne lui dirait que plus tard.

Elle regarda ses deux compagnons la rejoindre dans le boyau qui descendait, avec un air de culpabilité non dissimulé. Toute gardienne Sylvestre qu’elle était, elle ne pouvait se permettre de laisser un ami dans les ennuis si il y avait la possibilité de le sauver et jusqu’à preuve du contraire, rien ne laissait envisager que Crâne d’œuf avait rejoint son dieu. Elle espérait et aurait aimé que l’on fasse la même chose pour elle.
Accroupit contre la roche, elle tapa sa torche par terre pour l’éteindre une fois Rak et Broxigar proche d’elle et demanda au prêtre de faire de même avant de se raviser.

- J’sais que c’est pas ce que vous comptiez faire, mais mon appartenance à ma guilde m’empêche de partir sans être sûr que le moine est mort. Je n’compte pas attaquer qui que ce soit sans arme et nue comme un ver, mais je tenterais tout pour le sauver s’il n’est pas trop tard!
J’aimerais assez que vous remontiez à la surface. Nous n’avons pas besoin de risquer nos vies ensemble! Et puis j’aimerais, je vous le demande comme une faveur, que vous trouviez des armes et des vêtements et avec un peu de chance, que vous retrouviez un groupe de gardiens Sylvestre qui peut se trouver dans le coin! Dans le groupe, il y a une Sy-Tel … enfin une elfe sauvage qui s’appelle Miriel, c’est une amie. Dites lui où je me trouve, elle pourra nous aider ou ramener mon corps si … enfin, elle saura ce qu’il faut faire! Je vous promets que s’il n’y a rien à faire je remonte vous rejoindre très vite. Allez s’y maintenant! S’il vous plait.

Elle caressa la joue des deux hommes en même temps afin de renforcer ses propos et se détourna pour s’enfoncer à tâtons dans la galerie obscure.

Heureux d’avoir rejoindre la rodeuse, Broxigar comptait lui rendre la raison. Même alors qu’il reprenait son souffle, celle-ci prit la parole en premier. Il l’écouta attentivement et ses mots le rassurèrent :

¤ Elle semble savoir ce quelle fait. Au moins elle ne se jettera pas tête baissée dans un combat sans espoir. Et puis son raisonnement tient la route. ¤

Le prêtre réfléchit un moment, Inwen partirai discrètement voir si il était encore possible de sauver Cranedoeuf. Il n’aimait pas trop l’idée de se séparé, mais n’étant pas d’un naturel très discret, il pourrait mettre en danger tout ses compagnons en se faisant repérer. Et puis si vraiment des gens venaient à leurs secours, ils auraient peut être besoin d’aide pour trouver l’entrée de la grotte. Ainsi il pourrait tout de même se rendre utile.

Ce rôle lui convenait. C’était celui qui lui semblait le moins dangereux et la demi elfe semblait totalement consciente de ce qu’elle faisait. Si il lui arrivait quelque chose, il aurait fait tout ce qu’il avait pu pour l’en empêcher. Comme elle était déjà partie il se tourna vers Rak :

- Pour ma part je crois que je vais faire ce quelle nous a conseillé. J’aimerai vraiment pouvoir faire quelque chose pour notre ami, malheureusement je ne vois pas en quoi je pourrais aider. Je vais essayer de trouver la sortie et de rencontrer les secours dont elle nous as parlé. Tu es libre de faire ce que tu veux…

Le fidèle de Kossuth espérait vraiment que le guerrier l’accompagnerait car il ne tenait vraiment pas à se retrouver seul dans ce guêpier, mais il ne souhaitait pas influencer le choix de son ami. Il avait déjà assez à faire avec sa propre conscience, il ne voulait pas être responsable en plus de celle de ses compagnons.

Vingt cinquième jour de la Flétrissure-Année de la Magie Sauvage
25 Eleinte 1372 (CV)

Lieu : Dans la forêt
Temps : Entre 5 et 7°
Moment : Nuit

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Etat préjudiciable : Inwën, Rak et Broxigar sont fatigués

Test de connaissance Inwën (Exploration souterraine) DD20 : 7(dé) +2= 9 : Echec
Test de Survie Inwën Ut-Mathar DD 20 : 10 (dé) + 9= 19 : Echec
Test de discrétion Inwën Ut-Mathar DD 15 : 18 (dé) + 3= 21 >< Test de détection Sentinelles : 8 (dé) + ???= Réussite

Test de connaissance Broxigar (Exploration souterraine) DD20 : 20(dé) +0= 20 : Réussite
Test de Survie Broxigar DD 20 : 17 (dé) + 3= 20 : Réussite
Test de discrétion Broxigar DD 15 : 14(dé) + 1= 15 >< Test de détection Sentinelles : 5 (dé) + ???= Réussite

Test de connaissance Rak de Delzoun (Exploration souterraine) DD20 : 20(dé) +0 = 20 : Réussite
Test de Survie Rak de Delzoun DD 20 : 20 (dé) + 0= : Réussite
Test de discrétion Rak de Delzoun DD 15 : 8 (dé) + 3= 11 >< Test de détection Sentinelles : 14 (dé) + ???= Echec

ak n’écouta pas le fidèle de Kossuth, il était hors de question qu’il abandonne une sœur d’arme dans l’adversité car plus jamais il ne pourrait se regarder en face. Face à l’honneur et la fierté d’un nain, rien ne pourrait le faire changer d’avis, le prêtre de Kossuth le savait et l’acceptait à regret. D'un simple geste de la main, ils se dirent adieux et Broxigar remonta vers la surface tandis que ses compagnons s’enfonçaient sous terre. Enfin presque.

Une vingtaine de minutes passèrent, Broxigar était fatigué mais s’il sentait ses muscles s’engourdir, il avait une féroce volonté de s’en sortir. Kossuth veillait sur lui, car il ne rencontre personne le long de son cheminement et quand il sentit une légère brise fouetter son visage, il inspira un grand coup. Au fond de la galerie se découpait le ciel nocturne de la Haute-Forêt. Il s’avança, lentement, avec prudence. Il longea une des parois, évita un boyau qui semblait lui aussi s’enfoncer dans les profondeurs et s’immobilisa pour passer juste la tête, histoire de quelques secondes. Son regard accrocha immédiatement un feu de camp ou trois silhouettes étaient assises, deux hommes et une femme, des elfes, des sentinelles. Ils discutaient entre eux et comble de malchance, ils bloquaient le seule passage vers la sortie et la liberté.

De leur côté le nain et la demi-elfe composaient un bien étrange équipage, car si la demi-elfe semblait déterminée, elle n’en était pas moins très mal à l’aise dans ce milieu qu’elle ne connaissait pas, contrairement à Rak. Elle pensait pourtant bien se débrouiller mais au bout d’une dizaine de minutes, elle s’avoua vaincu. C’est donc le soldat des Marches qui en profita immédiatement pour s’imposer comme un guide confirmé. Confirmé à tel point qu’il ne parla pas à Inwën de ses plans, plans qui consistaient bêtement à reprendre le chemin de la surface dans l’espoir de rattraper Broxigar. Eux aussi, la chance leur souriait un peu, personne se trouvait pour le moment sur leur chemin....


Le vigoureux s'avéra redoutable pour guider son amie, mais il fallait dire que comparé à sa région natale, ces galeries naturelles lui permettait de ce repérer facilement. Et au détour de plusieur couloirs, tunnels boyaux et gallerie, tourner et retourner, virer et revirer, ils rattrapèrent effectivement le prêtre de Kossuth pour la plus grande surprise de la demi-elfe.

C’est Rak qui le vit le premier plaqué contre une paroi, près de l’entrée de la gallerie qu’ils parcouraient depuis cinq bonnes minutes. Il sentait l'humain aux aguets et il voulu avancer sans faire de bruits. Ils accélèrent le pas. Malheureusement le pied du nain ripa et accrocha une pierre qui se détacha su sol en roulant un peu. C'ets là que la soeur de Tymora décida de venir mettre son petit grain de sel. Car si à l’extérieur ce bruit pouvait être léger, ici à l’intérieur d’une grotte, le son prenait des dimensions disproportionnées. Broxigar détourna la tête, le visage presque défait. Inwën la main devant sa bouche et Rak qui haussait les épaule. Et là, à ce moment précis, une voix fusa, au timbre elfique :

Rak pouffa dans l'obscurité. Il jouait un tour à Inwën, mais plus ils s'enfonçaient dans les profondeurs de la forteresse elfe, plus leur tentative lui semblait stupide. En conséquence, sans en avertir son amie, il décida de reprendre le chemin de la surface, avec l'espoir de retrouver Broxigar.

Les tunnels défilaient, tournaient, viraient.

¤ Ca va finir ?... Ah ! Broxi ! ¤

A la vue de son ami, le nain d'écu éprouva une joie profonde. Mais l'attitude du prêtre laissait présager des difficultés. La sortie était-elle impossible ? Si près du but, cela était frustrant. Dans sa précipitation, le guerrier accrocha une pierre du pied, déclenchant un bruit qui résonna dans ses oreilles.

¤ Oups ! ¤

Mécontent de sa maladresse, Rak se demanda s'ils étaient découverts. Le doute ne persista pas longtemps.

¤ Un elfe ! ¤ comprit-il même s'il ne saisit pas le sens des paroles.