Recherche et récupération, Enquête pour l'assemblée

La nuit s'était passé sans encombre, bien que la morsure du vent eu faillit avoir raison de Khazuk. Seul le feu les avaient empeché de geler vif, lui et son Oncle. Khazuk ne se réveillait pas du bon pied. Il avait fait un étrange rêve durant la nuit, enfin … plusieurs étranges rêves, et cela ne l'avait pas mit de bonne humeur pour la dure journée qui s'annonçait. Il faut dire que le nain n’avait jamais été très doué pour contrôler ses songes, et cela l'avait déservit en plusieurs occasions.

Le premier rêve de Khazuk avait été sans aucun doute le plus horrifiant : une horde d’endives (oui, d’endives, Khazuk avait longuement réfléchit sur le sujet. Après avoir étudié une bonne centaine de parchemins nanesques traitant de la physionomie des oreilles elfiques, il en avait finalement conclu que les elfes n’étaient pas des cornichons, mais des endives. Bref, une grand débat n’allais pas tarder à avoir lieu pour départager les deux hypothèses) Cette horde d'endives l’entourait et lui offrait nourriture, boisson, et logis car il allait épouser l’une de leurs semblables. Un cauchemar horrible pour Khazuk ! Tous ses préjugés concernant les elfes n’avaient pas été confrontés à suffisamment d’arguments pour détruire les différentes théories qu’il avait élaboré.

Son deuxième et dernier rêve avait été à peine moins horrible que le premier. Dans ce rêve, Khazuk voyageait de part le monde et accomplissait des quêtes avec juste sur le corps son armure, une chemise de mailles. Ce rêve, que l’on pourrait définir comme interdit aux jeunes et aux âmes sensibles, était une atteinte à l'honneur nain et aux principes de Khazuk. La forêt devait sûrement troubler les songes nocturnes du nain.

Mais l’heure n’était pas aux rêveries, on avait, durant leur paisible mais glaciale nuit, fouillé leurs affaires. Sûrement à la rechercher de quelques objets précieux à revendre sur le marché noir. Mais nos deux aventuriers, le nain Khazuk et son Oncle Braenor, ne dormaient pas en rase campagne, ou encore mieux, dans une auberge miteuse. Ils dormaient dans un forêt sombre et maléfique sur le lieu d’un massacre … leurs « visiteurs » n’étaient sûrement pas des êtres normaux.

- (Nain) Bon sang Braenor ! A peine réveillé, il faut que tu t’énerves tout de suite ! Repose toi encore un peu, tire donc une bonne bouffée d’herbe de Langoulet, et bois une bonne bière de chez nous avant de t’inquiéter !

Intrigué tout de même, car son Oncle ne s'inquiétait pas facilement il regarda tout de même ce qui tracassait son Oncle. Apercevant que son sac avait été complètement vidé sur le sol, Khazuk se releva brutalement et tourna immédiatement son regard vers l’endroit où il avait posé son sac la veille.

- (Nain) Par la Barbe de Moradin !

Le sac de Khazuk avait été également complètement vidé sur le sol, et en avait également profité pour voler celui-ci. Quelle créature avait pu passer les défenses de son Oncle et fouiller si aisément les propriétés des deux nains sans les tirer de leur sommeil ? Sûrement pas un être normal … et il ne devait sans doute pas en exister dans cette forêt …

[/MJ] Désolé pour mon absence d'une semaine je m'arrangerai pour poster la prochaine fois...


Braenor était énervé, très énervé, non pire... FURIEUX ! Et le plus grave est que cette colère était dirigée en grande partie contre lui même (l'autre partie étant bien entendu à l'encontre de ce satané voleur qui s'était délibérément moqué d'eux). Comment avait-il put s'endormir sans au moins établir un périmètre de sécurité au tour d'eux ! Cette erreur aurait pu leur couter la vie à lui et à son neveu ! Si après avoir accomplit son forfait le voleur avait eu l'idée de mettre deux coup de dagues dans ces nains ronflant, sa aurait été la fin glorieuse des deux aventuriers ! Il savait pertinemment que son sort d'alarme ne durait que deux heures, mais il s'en voulait de ne pas avoir, au moins, compliqué la tâche au fourbe. Il s'amusa brièvement de voir son neveu lui faire la moral sur le même ton que lui-même prenait quand Khazuk avait abusé sur la forte bière naine. Mais la réalité le rattrapa aussitôt. Ce pauvre humain qui était mort sans pouvoir délivrer son message, en le réduisant à un mot énigmatique : "rouge".

Rouge... rouge... Le mage réfléchi intensément... il y avait bien une information qu'on lui avait donné et son cerveau que tous le monde disaient brillant fit le lien immédiatement : une explosion, on leur avait parlé d'explosion... pourquoi pas, après tous, tous les gardes ou presque étaient affreusement brulé...

Sans s'avancer sur son hypothèse il regarda nerveusement les alentour, comme si le voleur était assez stupide pour restait à découvert au moment de leur réveil. Pourquoi le voleur ne les avait pas tués? Quel intérêt avait-il de les garder en vie? Par Moradin, qu'il avait horreur des questions sans réponses!!

Il se tourna vair son neveu et le regarda d'un air interrogatif :

- C'est bon, t'as tout ? demanda t-il par réflexe au moment où il voyait le sac reversé de Khazuk.

- Qu'es-ce que... ? Par ma barbe quelqu'un dans cette sale forêt veut nous provoquer !

Braenor recommença à scruter les environs d'un air qu'il ne voulait pas trop inquiet.

Narration

Tous

Khazuk put vérifier aisément qu'il ne manquait rien, mis à part son sac évidemment. Cependant qui pouvait s'en prendre au contenant et non pas au contenu. Certainement quelqu'un dénué de quelques sentiments concernant la possession matérielle. Mais des questions plus grave pouvaient se poser. Ils avaient été visités en pleine nuit sans mauvaises intentions. Ils pouvaient le déduire facilement car sinon ils ne seraient plus là pour en parler. On leur avait dérobé un objet de peu de valeur et le voleur avait disparu sans rien prendre d'autre. Les regards se dirigèrent tout de suite vers la forêt. Elle se faisait moins dense en cette saison, mais il était toujours impossible de voir clairement plus loin que cinq pas devant soit. Il faudrait donc pénétrer plus en profondeur pour voir si d'éventuelles traces sont apparentes. Et puis il fallait enquêter sur la mission qui leur avait été confiée.
Le jour n'était pas complètement apparu, mais les premiers rayons commençaient à réchauffer l'atmosphère. Cette fin d'Uktar s'annonçait des plus froides. L'hiver approchant s'annonçait comme des plus rigoureux. Cependant un autre problème allait se poser aux deux nains. Comment transporter tout le bardas de Khazuk ?

[/MJ]- Hé bien, nous sommes dans un beau pétrin …

Khazuk venait de s’être fait dérobé son précieux sac en pleine foret. Autant avouer de suite l’originalité du roublard. Voler des nains, en pleine foret, et ne leur voler que leur sac, et seulement un des deux … Il fallait être fou pour effectuer de pareils vols dénués de bon sens.
A présent, un problème grave se posait, ou le fatras de Khazuk allait t’il donc se retrouver ?
L’habilité du nain à se servir des nains n’était pas forcement très légendaire, mais de longues années passes à courir le monde lui avait permis de réfléchir un peu, et de trouver des solutions aux problèmes embarrassants.

Mais le nain n’avait pas de chemise, auquel cas il aurait pu le retirer et nouer les extrémités pour qu’elle forme une sorte de récipient en tissu très rudimentaire. Puis, utilisant sa corde, il s’en serait servit pour créer une sorte de bandoulière assez solide et y accrocher le sac de fortune qui pendrait donc à présent à ses cotés au niveau de sa taille.

Mais le nain n’avait pas de chemise …

Aussi, décida t’il de se tourner vers la seule personne qui aurait pu l’aider en ce moment, Braenor. Le mage devait certainement avoir plus d’un tour dans son sac pour permettre à son neveu de se débarrasser de son fourbi, ou dans le cas contraire, utiliser un peu l’intelligence qu’il avait pour trouver une solution simple et concrète au problème.

- Je pense qu’il est temps pour toi d’utiliser tes compétence, occultes ou nous, pour nous sortir de cette impasse.

Le nain, alors qu’il prononçait ces quelques mots, avait dans son esprit la germe d’une idée, après tout, pourquoi ne pas reprendre l’idée du sac-chemise avec autre chose ? Sa paillasse ou encore la tente. Il s’attela donc de suite à la tâche.

- Pendant que réfléchit mon illustre Oncle, je pense que je vais utiliser un peu mes mains pour faire autre chose que donner des coups de hache. Belle initiative non ?

Après un bref regard, le nain s’assis donc à terre, pris dans le tas que formait la contenu de son sac sa corde de chanvre et juste à côté, sa paillasse. Il commença à tenter de créer un sac-paillasse, et si cela ne marchait pas, il ferait de même avec la tente.

Braenor malgré l'horrible humiliation dont il ressentait encore toute la cuisante douleur, sourit pour la première fois de la journée en voyant son neveu accroupi et concentré, mettant à l'épreuve son habilité et son imagination.
Le nain se senti vaguement coupable de ne pas lui dire qu'il pouvait régler le problème sans difficultés...

¤ Laisse le un peu réfléchir seul, tu ne seras pas toujours là derrière lui ! Il ne faut pas non plus le traiter comme un gosse, ce n'est plus le petit casse coup d'il y a 15 ans ! ¤ se dit le mage qui se sentait un peu vieilli d'un coup.

- Ton illustre oncle a une chose importante à faire. Et en plus tu m'a l'air très bien parti ! dit-il dans un sourire.

Il s'assit donc confortablement assis sur sa paillasse (au confort très relatif), contre l'arbre le plus proche du camp, et resta le plus attentif possible aux bruits l'environnant, guettant le moindre changement.
Puis, il observa un instant Khazuk qui marmonnait en travaillant, enfin il sortit sa plume et son parchemin et se mis à rédiger une lettre. Le nain faisait un bref résumé, clair et complet, des événements de la veille et du matin. Braenor adorait écrire, son écriture était net et bien lisible, sans aucune fioriture inutile. Il relata aussi ses suppositions et hypothèses mais se garda bien de transcrire ses sentiments et d'embellir la réalité. Le but de ces comptes-rendus était d'informer de la façon la plus objective possible le lecteur, pas de faire un roman.

Le mage arrêta sa plume courant sur le parchemin. Il regarda la ligne précédente : Nous décidâmes de monter le camp à l'écart du lieu de l'incendie, mais, exténués par notre dure journée, nous nous endormîmes sans plus de précautions.

¤ Comment raconter le vol du sac de Khazuk ? ¤

Il opta finalement pour une version simple et sans commentaire. Puis il prépara ses sorts habituels, se disant qu'il était grand temps de repartir.

- Ca va? Tu t'en sors Khazuk ? demanda Braenor, mi moqueur mi curieux.

Narration

Tous

Khazuk artisanat 1(dé)-2(comp)=-1 DD=10 échec
artisanat 17(dé)-2(comp)+2(circonstance)=17 DD=10 réussite

Khazuk était concentré sur sa besogne. Au bout d'une vingtaine de minutes et à l'aide de la tente il réussit à faire un sac à peu près honnête. Cela resterait bien sûr une solution provisoire jusqu'à ce qu'il puisse en obtenir un autre plus conventionnel. Pendant ce temps Braenor regardait les environs sans voir quoique se soit de suspect. Occupé à la rédaction de son parchemin, il attendit ensuite la fin du travail de son neveu. Il regarda un peu la disposition du campement sans rien voir d'inhabituel non plus. Les personnes, qui avaient attaqué les gardes d'Eauprofonde, n'avaient laissé aucune trace visible aux yeux du nain. Chose étonnante, il n'y avait aucun assaillant non plus qui se serait fait tuer pendant l'attaque. C'était à se demander si les gardes n'avaient pas été surpris. Braenor observa le ciel et vit que de gros nuages noirs commençaient à approcher de l'endroit où ils se trouvaient tout deux. Des nuages annonciateurs de pluie et même d'orage. Il valait peut-être mieux se dépêcher d'entrer dans la forêt afin d'explorer les environs plus en détails.

Khazuk venait de terminé son ouvrage, et il n’en était pas peu fier, réussir à arriver à un tel sac avec seulement une corde et une tente ! Sans aucun doute, il n’avait pas perdu la main.

- Hum, il va sans doute pleuvoir des haches mon Oncle, continuerons nous notre route, ou devrons nous nous trouver un abri ?

De gros nuages en effet s’amoncelaient au dessus des têtes des deux nains, et ne présageaient rien de bon. Mais quelques cumulo-nimbus n’effrayaient pas plus que cela les deux parents qui en avaient vu d’autres durant leurs longues errances en Feerun. Il était toutefois recommander de ne pas s’approcher des pierres et des arbres lorsque les dieux jetaient leurs lances de foudre sur la terre des hommes pour manifester leur mécontentement.

Mais Khazuk n’avait pas peur des dieux, ils l’avaient déjà assez fait souffrir dans son enfance, lui, ainsi que son Oncle qui avait subit l’exactitude pour son seul attachement à un neveu fautif. Le Paria préférait donc croire au résonnement d’un vieillard qui se nommait lui-même « scientifique » et qui avait comme doctrine que les dieux n’étaient qu’inventions, et que tous les phénomènes étaient naturels et « scientifiquement » explicable. Le pauvre homme était mort, assassiné par des fanatiques religieux que le considéraient comme une hérétique.
Le nain se remémorait son passé, cela le prenait de temps à autre, et dans ces moments, il semblait coupé du monde, l’œil vide, la face maussade et sans expressions.

Mais revenons au présent, il fallais maintenant que Braenor se décide, ou nos deux nains continuaient leur route dans la foret, afin de continuer à enquêter sur les étranges phénomènes dont ils avaient été témoins, ou ils partaient rechercher un abri en attendant que la colère divine passe.

- Tu devrais te dépêcher de réfléchir, pour une fois, nous devons prendre rapidement une décision pour la suite des événements. Khazuk sortait de sa transe commémorative, et remettait ses sens en marche. Pendant que tu te décides, je m’en vais effacer toutes traces de notre passage du camp.

Le nain mit donc son œuvre, un superbe sac de fortune remplit de ses possessions sur l’épaule et partit d’un bon pas vers les restes de leur campement. Il ne fut pas long d’effacer toutes traces du passage des deux nains, car ils laissaient rarement d’indices. Une fois sa besogne terminé, aucun être normal sans quelques pouvoirs divinatoires n’aurait pu deviner que deux nains venaient de camper sur le lieu du massacre. Mais l’élément qui ne pouvait être dissimulé restait celui de la rangée des sépultures que les nains avaient élevé pour les gardes morts au combat.

Le barbare revient vers son Oncle, attendant que celui ci daigne répondre à ses questions.
Il espérait qu’ils continueraient vers la forêt, avec comme objectif d’avancer un peu et de découvrir quelles créatures avaient bien pu dévaster le camp des gardes d’Eauprofonde.
Sans compter qu’il resterait encore à percer à jour la sombre nature de la forêt qui commençait quelques peu à lui peser.

Braenor, regarda un instant les environs et le ciel qui s'assombrissait...
Il adorait la pluie depuis son plus jeune âge où sa mère et mentor lui apprenait la magie. Celle-ci dans l'espoir de renforcer les capacités physiques de son élève, l'avait inscrit à une course à pieds que disputaient les jeunes de son clan. La pluie avait rendue la piste glissante. Et, alors que le petit Braenor, épuisé et bon dernier, entamait son dernier tour de piste, Khotar qui était en tête du troisième et dernier peloton, avait glissé et fait tombé quatre de ses concurrents, lui permettant de sauver l'honneur de sa famille. Le futur mage s'était senti un peu coupable de profiter de la malchance de ses camarades. Il décida donc de ne plus jamais participer à une course, et s'était investi à fond dans ses études de la magie. Mais cet incident miraculeux avait troublé son jeune cerveau et il avait bien faillit entrer comme disciple dans le temple de Moradin. Son grand père, qui croyait dur comme fer à la science et à l'indifférence des dieux à l'égard des mortels, et qui était considéré comme un hérétique par de nombreux prêtres l'avait convaincu de continuer la magie profane.

Le nain souriait bêtement au souvenir de ce passé bien révolu. Il avait longuement réfléchi à la situation pendant que son vaillant garde du corps, toujours très professionnel effaçait leurs traces. Celui-ci s'avança et s'arrêta à côté de lui, attendant que son aïeul prenne la parole. Il se retourna et regarda Khazuk dans les yeux.

- Il faut continuer, nous n'avons plus le choix. Découvrons qui se cache derrière ce sombre massacre ! dit Braenor d'un ton décidé.

Narration

Tous
détection
khazuk 12(dé)+0(comp)=12 DD=15 échec
breanor 3(dé)+1(comp)=4 DD=15 échec
Fouille
khazuk 11(dé)-1(comp)=10 DD=15 échec
breanor 16(dé)+6(comp)=22 DD=15 réussite

Khazuk entreprit de faire le ménage. Avait-il peur de quelque chose ? Se sentait-il coupable d'une mauvaise action ? Quoiqu'il en soit effacer leurs traces n'était pas bien difficile, vu le peu de temps resté sur place. Seules les tombes posaient problèmes. Et encore qui pouvait savoir quelles étaient de leur fait ?
Une fois rassembler leurs affaires, ils entreprirent de pénétrer à l'intérieur de le forêt. Elle avait quelque chose d'inquiétant. On aurait dit qu'à chaque instant, que des yeux invisibles les observaient. Ce sentiment ne parvenait pas à s'estomper. Mais comme apparemment il n'y avait rien de visible et aucune menace non plus, ils mirent ça sur le compte de la nervosité. Tout en marchant vers l'intérieur de la forêt, une chose frappa Braenor. Non pas un coup ou une arme. Mais plutôt la voie qu'il suivait. Des branches basses étaient coupées, et des empreintes de pas pouvaient se voir sur le sol meuble non couvert par les feuilles. Quelqu'un ou quelque chose était déjà passé par ici. Et cela semblait se diriger vers le coeur de la forêt. Il était impossible de dire s'il s'agissait d'un évènement récent ou non. Cela aurait très bien pu être les gardes d'Eauprofonde qui aurait taillé une piste. Mais ce qui inquiéta davantage le magicien, fut les traces de sang sur le sol. Et il constata que ces traces devenaient de plus en plus importantes au fur et à mesure de leur progression.

Khazuk a récupéré 2 pv pour s'être reposé

Le sentiment d’être observé ne quittait plus Khazuk, cette forêt ne cessait de saper son moral, et ni Khazuk ni son Oncle ne pouvait y changer quelque chose. C’était comme si la nature même de la forêt poussaient les nains à la trouver maléfique et oppressante. Mais il en fallait un peu plus que ça pour impressionner Khazuk, enfin juste un peu. Les deux nains, après avoir quitté leur camp sans en avoir pour autant oublié d’effacer toutes traces de leur présence, furent intriguer de trouver sur le sol plusieurs traces de sang. D’autant plus qu’elles s’élargissaient au fur et à mesure que les deux nains, intrigué, avançaient vers le cœur de la forêt.

- Sans doute les créatures qui ont attaqués le camp, lança d’emblé Khazuk, je serais d’avis de les suivre. Apres tout, l’attaque est sans nul doute, relié avec les étranges événements mystiques qui se déroulent ici même.

Les traces devaient être absolument suivit, tel était l’avis de Khazuk. Apres tout et de toute manière, ou qu’ils aillent, les deux nains tomberaient sur d’étrange lieux. Autant suivre la première piste disponible.

- Depuis quand remonte ces traces à ton avis ? Khazuk tentait tant bien que mal de découvrir cette information qui leur serait très utile et qui permettrait de confirmer leurs diverses suppositions. Posant ces main par terre, et malaxant la terre afin d’en déduire si des créatures étaient oui ou non passés par ici peu de temps après l’attaque du camp. Bien qu’il ne soit pas un coureur des bois, ses capacités lui permettait de suivre une piste, mais avec beaucoup moins d’efficacité qu’un rôdeur. Il ferait tout son possible pour réussir tout de même à orienter son Oncle et lui-même dans la bonne direction.

Khazuk utilise pistage.