Petites missions entre alliés, Acte I

La prêtresse de Sehanine étant une elfe à part entière n’eu pas besoin de toucher l’herbe pour reconnaître l’odeur du sang et étant nyctalope elle n’avais nullement besoin de torche. La présence d’un nain dans le groupe l’avait au début du voyage quelque peu intrigué. Elle n’avait jamais rencontré d’autre membre de son espèce auparavant et elle c’était peu à peu habitué à sa présence. De plus elle était loin de s’imaginer qu’un nain puisse être barde, à la limite un humain mais un nain était des plus saugrenu. Ayant discuté avec lui, Ademara était maintenant des tenants et aboutissants de la quête. Quand ils pénétrèrent dans le camp poisseux de sang elle poussa un petit cri de surprise. Elle serra son bâton des deux mains. Elle était bouleversée. Mais la présence d’Elwin à son côté était rassurant.

- T’en fait pas Elwin tu seras vite au courant si j’ai besoin d’aide.

Montrant d’un signe de tête Zelkior qui les devançait. Elle se demanda qu’est ce que Zelkior espérait en ce joignant à la quête car il n’avait pas le physique d’un mage humain et semblait mieux manipuler de corps à corps.

- Que c’est il passé ici ? Tous ces cadavres, l’auteur de ce carnage ne devrait pas être bien loin nous devrions partir au plus vite.

longé dans les ténèbres les plus pures, zelkior se déplaçait tel une ombre, Il était dans son domaine, il était chez lui et cela lui plaisait. Avec discrétion il se mouvait d’arbre en arbre, passant d’un couvert végétal à l’autre, prêt à donner la mort à n’importe quel instant. Son esprit ne percevait aucune once d’anxiété, au contraire il aimait ça et son corps en faisait les frais. Les battements de son cœur percutaient sa poitrine avec violence, irriguant chaque parcelles de ses muscles.

Mettant fin à ces déplacements, l’illuskien se tenait maintenant tapis dans l’ombre d’un couvert végétal, balayant de ses iris gris pâle chaque recoin du paysage obscur qui se dressait devant lui. Les sens en alertes essayant de percevoir ou d’entendre une quelconque créature. Les doigts sur sa nuque, il ne pouvait s’empêcher d’effleurer sa marque.
¤ Oh ! puissante déesse. Ton serviteur se trouve actuellement en ton royaume. Protège ton fils de tes bras glaciales.¤
Son ouï et sa vue en complète synergie ne paraissaient pressentir aucune forme de danger, ainsi ses battements furent de moins en moins violente jusqu’à reprendre une fréquence régulière.

Continuellement tapis dans la noirceur des ombres il continuait sa progression à travers les arbustes et autres feuillus que constituaient la forêt. Seul, en ces lieux protecteur il laissa son esprit vagabondé, faisant le point de sa situation actuelle. Si il s’était présenté à cet homme, à ce Enil ce n’était que pour le pouvoir qu’il recherchait tant. En contre parti de la requête de cet homme, zelkior pensait recevoir bien plus que de simple piécette d’or auxquelles il n’apportait aucune valeur. Il voulait le pouvoir, le pouvoir de changer les choses, le pouvoir de devenir plus fort, beaucoup plus fort, afin de pousser son Art à son summum, pour ne plus courber l’échine devant plus puissant que lui.
¤ A l’évidence cet homme ne m’apportera rien d’intéressant. Et ces simulacres de compagnons et d’amitié me donne envie de vomir, c’est si pitoyable. Je ne pensais pas que les êtres de la surface étaient si déplorables. Pourtant certains d’entres eux disposent de cette puissance que je recherche. J’ai assez perdu de temps ici, je dois me remettre en route et atteindre Lunargent au plus vite.¤

Revenant sur ces pas, zelkior sortit des ombres de la forêt. A présent il se tenait à l’endroit du carnage qu’avait eu lieu il y a quelques heures déjà. Balayant du regard le groupe et les corps jonchés au sol, il dirigeait à présent son regard au loin, vers la destination qu’il devait atteindre le plus rapidement possible.
-(commun) il semblerai qu’il n’y est aucune traces d’autres créatures dans les alentours. De plus je n’ai que faire de ce carnage et de ces hommes et je n’ai pas de temps à perdre.
Recouvrant son visage de sa capuche, zelkior tourna le dos au massacre et s’aventura seul sur le chemin menant à Lunargent.
…

ce post fais suite à mes jets de perception auditive sous la charge bien entendu de notre cher dragon

Tanis qui fermait la marche c’était mis en garde des lors qu’il vu Zelkior plonger en pleine forêt.
Il ne comprit pas tout de suite ce qui pouvait bien pousser le moine à agir de la sorte, mais s’il le faisait c’est qu’un danger n’était pas loin.
Mais lorsque Elwin se saisie de son arme Tanis pu enfin voir les corps des chevaliers morts, gisant dans leur sang au milieu de nombreuse petites créatures que le barbare n’aurait su compter.
Elwin, s’était préparé à défendre la belle Ademara au prix de sa vie certainement, comme aurait aimé faire Tanis avec Finnel. Mais le sort en avait voulu autrement.

¤ S’il faut que j’prie tous dieux du panthéon pour ne pas r'faire la même erreur, alors je le ferais, c’est la première fois que j’œuvre pour moi et je n’tiens pas à un échec ! ¤

Tanis avança avec prudence, se tournant et retournant pour ne pas être prit pas surpris et se dirigea vers les chevaliers et les créatures qui les entouraient. Il reconnu de suite les chevaliers avec qui il avait commencé le voyage, mais se qui l’intriguait était qu’ils étaient plus nombreux et qu’ils devaient être pressés de quitter les lieux pour abandonner deux de leurs soldats aux charognards.
Zelkior venait de réapparaitre, sortant de la forêt telle une ombre plus sombre que la nuit et s’arrêta à quelques pas du barbare. Il n’avait décelé aucun danger résiduel et semblait pressé de rejoindre Luneargent.

- Eh ! Moine. D’où tu es, tu vois des traces d’un autre chariot, ou de sabots de chevaux ? C’est étrange qu’ils n’aient pas récupérer leurs deux morts, tu ne trouve pas !

Le Téthyrien se dirigea vers le chariot, le convoi transportait des civils et avec un peu de chance il trouverait des survivants dedans. Et à défaut d’hommes il y aurait peu être quelques objets de valeurs ou quelques pièces ?
Du bout de son bâton le tatoué souleva la toile afin de voir à l’intérieur.

Tanis fouille le chariot !

La prêtresse se détendit quand Zelkior revint et elle ne fut pas surprise quant il les devança sur la route pour disparaître dans la nuit que seules quelques étoiles éclairait et la lune baignait d'une lune argenté. Car il lui avait parut associable dès leur première rencontre car c'était le seul qui ne leur avait pas adressés la parole depuis le début du voyage et il semblait toujours à l'écart ne se préoccupant que de lui même. Ademara Regarda d'un air neutre le Moine partir seul. Elle ne n'empêchera pas Zelkior de poursuivre son chemin, elle n'empêchera pas le destin continuer sa route. Elle rangeât sont bâton et se tourna vers ses trois derniers compagnons.

- Sir Sollars, si les compagnons de ces deux chevaliers les ont abandonnées ici c'est qu'il y a une raison à cela. Peut être est ce une de leur coutume.

Ademara se signa en regardant autour d'elle. Elle rajusta sa cape sur ses épaules et frissonnât.

- Je propose de s'éloignez de cette endroit et d'établir un camp pour la nuit. Nous sommes épuisés et une bonne nuit de repos nous fera du bien à tous. Demain nous serons prêts pour reprendre la route.

Elle ferma les yeux et parlas en elfique.

- .

Elle se tourna vers Elwin, Reytar, Tanis et Joinon et leur fit signe de continuer la route avec elle.
Elle s'arrêta devant les deux cadavres imposas les mains, fit une courte prière et se signa avant de continuer son chemin.

Retyar était avec les autres membres du groupe, au milieu des restes de ceux qui avaient été apparemment massacrés. la puanteur des cadavres était encore faible, l'attaque devait être encore récente, car l'herbe était encore collante de sang.

¤Il ne faudrait peut-être pas laisser les corps gisant dans ce lieu, cela est contraire à la décence¤

L'elfe se rappela alors que ce monde n'en avait que faire de la décence, et qu'il fallait d'abord s'occuper de la survie avant de s'occuper des morts, car si eux étaient déjà dans l'au-delà, le groupe n'en était pas encore à ce point, et il était impensable d'enterrer une cinquantaine de cadavres pendant la nuit. Il dit alors:

-Puisqu'il nous faut nous reposer, je prends le premier tour de garde. N'ayant besoin que de quatre heures de repos, cela sera parfait. Ademara, si tu veux bien, tu prendras le second tour de garde, nos compagnons humain, nain et sang-mélé n'ont pas ce privilège et sont fatigués. A moins bien sur que vous n'ayez une objection à soumettre.

Des yeux, Retyar fouilla les environs, ses yeux étaient plus performants que ceux des humains, même en n'ayant qu'une faible luminosité.

Retyar essaie de détecter ce qui se trouve dans les environs.

Ademara attendi que ses compagonos la rejoigne sur le chemin. Elle était tendu. Tous ces chevaliers et créatures mortes sur la route la tourmentais. Ele était fébrile car elle ignorais tout ce qui s'était arrivé et quelle genre de créature avait put faire ce carnage.
Elle se toruna vers Tanis et Ewlin puis vers Retyar.

- Depechez vous, nous devons partir à la recherche un endroit où passer la nuit. Nous n'avons pas le temps de nous occuper de tous ces cadavres. En revanche je sis d'accord avec toi, je prendrait le second tour de garde comme tu viens de le dire.
Il faut également retrouver Zelkior à Lunargent.

Ademara regarda autroud d'elle et fit une courte prière silencieuse à la dame des songes.

Apparement, les opinions dans le groupes étaient loin d'être uniformes, et les réactions diverses et variées. Certainement était-ce à cause de la fatigue physique et mentale du carnage mais ils ne semblait plus vraiment y avoir de communication. L'exemple le plus criant était évidemment celui de Zelkior.

Encore plus qu'à son habitude, il se montrait indépendant du reste de sa troupe. Après une exploration méthodique, mais seul, des arbords de la forêt et du couvert des arbres en bordure qui lui prouva qu'il n'y avait plus de danger immédiat, il reprit sa route calmement et tranquillement comme si ce bain de sang n'était qu'un aléa bien courant sur sa route, ce qui était peut être bien le cas d'ailleurs. Sa route était toutefois difficile à suivre dans l'obscurité grandissante de la nuit qui devenait nuageuse, voire même pluvieuse. Après une bonne dizaine de minutes, le moine avait perdu le chemin balisé et il se mit à pleuvoir, sans compter qu'il était toujours éreinté par sa marche du jour et les blessures sévères qu'il avait reçu durant le combat. Des montagnes à l'est comme de la forêt à l'ouest venaient des cris grave ou aigus, strident ou doux, agréables ou douloureux, mais clairement menaçants.

Les autres restaient globalment plus groupés mais aucun ne faisait la même chose que les autres. Joinon, Retyar et Ademara partageaient le même désir de se reposer, même si le guerrier se croyait capable de se trouver en pleine fome en dormant moins que ses compagnons, mais ils l'exprimaient de façon très différentes. Joinon, qui était véritablement très fatigué, s'éloigna quelque peu de la mare de sang et se coucha et s'endormit quasi-instantannément. Retyar restait debout et scrutait les environs prêt à donner l'alerte si un quelconque danger se profilait à l'horizon et Ademara, suivie de prêt par Elwin qui prennait très à coeur son rôle de garde du corps, cherchait dans les environs un endroit propice à une nuit de sommeil bien méritée. Après une dizaine de minutes, la situation n'avait guère évoluée: Joinon ronflait, Retyar surveillait et Ademara ne trouvait pas de coin où l'odeur de sang soit moins envahissante.

Enfin, Tanis, qui était soit le plus curieux soit le plus téméraire, se décida à explorer le champ de bataille, et plus précisément le chariot. Plus il s'approchait de celui-ci et plus le nombre de créatures augmentait rendant bien vite la tâche d'éviter de leur marcher dessus impossible. Si résolvant, le barbare parvint à grimper dans le chariot en grande partie défoncée. Le sol était, ici plus encore qu'ailleurs jonché d'une multitude de cadavres et nottament de ceux des chevalliers qui n'étaient pas mort à l'extérieur. Les cadavres des chevaliers semblaient former une sorte de cercle autour d'un coffre, cercle dans lequel ne se trouvaient pas d'ennemis. Dans le coffre qui avait lui aussi souffert de la bataille, se trouvait, posé sur une sorte de coussin de velour noir et pourpre, quoique estimer les couleurs fut difficile avec le peu de lumière lunaire que la toile laissait filtrer, se trouvait une dague pointue et taillée avec art.

haque pas qu’il faisait l’éloignait d’avantage du groupe et c’est avec le visage enfouit dans l’ombre de sa capuche qu’il avançait dans son monde, un monde froid et obscur ou sa déesse bien aimé régnait en maître absolu. Les images du carnage précédent déjà gommer de son esprit, zelkior errait dans les ténèbres perdu dans ces pensées. Qu’allait-il faire maintenant !? cette question revenait sans cesse en son sein, cherchant inlassablement une réponse. Zelkior savait déjà que cette mission, confié par cette guilde sans grande importance à ces yeux, il ne pouvait la continuer. Cela ne lui apporterai rien, ni pouvoir, ni force, simplement de simple pièce d’or sans importance. L’illuskian savait que pour le moment il devait seulement rallier Lunargent. De là il verra par la suite. Car tant que son ordre ne l’aura quémandé pour accomplir la volonté de Shar, il errera à la surface, voyageant ici et là, s’abreuvant de combat et de victoire ou la mort peu apparaître à tout moment.

Perdu dans ses pensées zelkior marchait dans l’obscurité de la forêt depuis maintenant quelques temps. Les nuages chargés d’eau, ne tardèrent pas à se déverser. A l’abris de sa capuche, des gouttes martelaient pourtant son visage. L’eau froide l’extirpa de ces pensées, le lâchant brutalement face à face avec les éléments. La pluie et le froid de la nuit cinglaient son corps réveillant ses blessures récentes. L’illuskian devait à tout prix rejoindre Lunargant au plus vite, car il le savait, la situation dans laquelle il se trouvait actuellement n’était guère glorieux. Zelkior était recouvert de bandages de fortune, fait avec les restes de sa robes pourpre, seul son pantalon était resté à peu prêt intacte. Dans l’état ou il était actuellement, le froid se glissait facilement à travers sa cape, faisant ressurgir la douleur de ses blessures.

A travers le bruit de l’eau et du vent, des cris venant de l’est et de l’ouest déchiraient la mélodies que jouaient les éléments. Deux iris gris pâle sortaient de la noirceur de la nuit, balayant le paysage d’est en ouest cherchant la provenance de ces cries pour le moins déplaisant. La synergie des éléments, rendaient que plus difficile l’avancer. Il fallait qu’il se rende à l’évidence, Shar ne lui accorderai pas ces faveurs cette nuit, il devait se reposer et attendre que les éléments se calmes. Cherchant du regard un quelconque abris, le mieux était pour lui la sécurité procuré par la hauteur des arbres. Cherchant du regard l’endroit le plus approprié, il entama son ascension.
…

jet d’escalade (bonus +2)
si le jet est réussi zelkior attend que les éléments se calme. (utilisation d’une couverture pour le foird)

Elwin ne réagit pas face aux paroles de Zelkior. Il cessa juste de tenir sa position prête au combat voyant que le moine n’avait rien repéré. Il lâcha son épée et reporta son attention sur Retyar.

Tandis que celui ci exposait son plan de tour de garde Elwin balayait du regard l’endroit, en même temps qu’il écoutait, pour trouver un endroit sur et confortable où dormir.
Après un court moment de silence il déclara en regardant le Rôdeur de Solonnor :

-Je ne soumets aucune contestation, cela me convient. Cependant si vous voulez que je prenne un tour de garde cela ne me dérange aucunement. Je vous laisse le choix… Termina il simplement.

Par la suite le demi elfe s’avança vers un arbre dont le tronc fut assez imposant, et il retira son sac à dos en le posant sur le coté de l’arbre. Puis écartant un coté de son manteau, Elwin détacha son fourreau de son bassin et glissa son épée sous son sac.
Ensuite, en prenant appui sur ses mains sur l’herbe humidifiée par la pluie, il s’assit contre l’arbre. Une jambe pliée sur laquelle reposait son bras gauche, une autre tendue, le rôdeur novice de la Confrérie commençait à clore ses paupières tout en observant les faits et gestes de ses compagnons de route.

¤ Dormir au cœur de la forêt ! Il n’y aurait rien eu de plus jovial si cette odeur de sang ne souillait ces lieux. ¤

Le barbare sorti du chariot piétinant les cadavres qui jonchaient le sol avec la satisfaction de ne pas avoir perdu son temps dans ses recherches. Même s’il aurait préféré trouver une caissette pleine de pièces d’or et de cuivre ou une belle hache à deux mains, il trouvait sa découverte forte plaisante.
Tenant la dague délicatement entre ses grosses mains, il la détaillait dans les moindres détails, jouant avec le clair de lune afin de la voir scintiller. Puis il la sous pesa, testa son équilibre et sa prise en main.

- Et bien c’est déjà ça ! Une bien belle pièce qui pourra certainement être vendu un bon prix.

Le Téthyrien glissa sa trouvaille à son ceinturon et se dirigea vers le reste du groupe. Traversant le chant de bataille et nullement gêné par l’odeur de mort qui planait autour de lui, il regardait les chevaliers avec un sourire non dissimulé. De prime abord, il avait cru que quelques uns avaient survécus, mais là, au milieu du carnage, il constatait que tous y étaient passés.
L’odeur du sang et la vision des chevaliers tombés au combat, ravivaient en lui d’anciens souvenirs remontant à son adolescence. Il se revoyait en train de courir sur les chants de batailles pour ravitailler en flèches et en eaux les mercenaires qu’ils l’avaient acheté comme esclave quand il était enfant. A cette époque là, il n’éprouvait que deux sentiments, la haine et l’indifférence, car il était toujours plus facile de se laisser guider par ses instincts primaires que de les combattre et également de fermer les yeux devant quelques choses que l’on ne voulait voir.
Sortant de ses pensées, de nouveaux traits étaient gravés sur le visage de l’humain. Ce nouveau visage était plus dur et froid que l’acier et son regard aussi impénétrable qu’une forteresse naine. Il avait rejoint ses compagnons de route et il avait l’air de vouloir passer la nuit ici. Il n’était pas contre quelques heures de repos car ses blessures encore fraiches le titillaient encore un peu. Sans mots dire et comme hypnotisé, il s’éloigna vers l’orée du bois et alla s’allonger au pied d’un arbre afin d’y trouver le repos.

¤ Fini les mièvreries et les faiblesses ¤.