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Un très long voyage, mission pour la compagnie des marches
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Aventurière
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atis descendit à terre et récupéra son sac et son arme. Elle se dirigea alors vers le cheval de trait et lui caressa l’encolure pour le remercier de son travail. ¤ Brave bête, il y en a des moins résistants que toi parmi nous… ¤. La chaleur de l’équidé et la douceur de ses poils filaient entre ses doigts tandis que sa main parcourait l’animal. L’apaisement qui s'ensuivit enleva de son esprit son agacement envers le porte-parole qui avait perdu ses moyens. Calmement, elle lança à Mäodhron : "Emmène donc Benoubi et la charrette à l'écurie" . Il s’agissait plus d’un ordre que d’une demande mais son irritation envers l’ensorceleur catatonique lui avait fait oublié qu’elle devait respecter les autres membres du groupe en tant qu’égal. Du moins, en apparence.
Puis, s’adressant à tous, elle leur dit, d’un ton mi-amusé, mi-sérieux : « Je ne me familiariserais jamais avec vos villes ni avec leur accueil. A chercher tant d’informations, j’en venais à croire qu’ils s’attendaient à d’autres personnes que nous. Peut-être des gobelins habilement déguisés… ». La mulane ne savait pas à quoi ressemblait des gobelins mais puisqu’ils vivaient dans ses montagnes enneigées, ils devaient être poilus, blancs et abominables.
Par cette phrase, Satis exprimait ses doutes sur les sentinelles et leur comportement étrange. Pendant que Faen parlait de sauterelles, elle avait cherché chez les deux shaariens un signe d’étonnement devant l’insistance des gardes. Seul Xoralundra montra, une fraction de seconde, un semblant de manifestation physique. Mais cela était probablement causé par le mensonge de Faen plus que par son instinct animal.
Après avoir salué Benoubi d’une petite tape, Satis suivit les pas d’Erya et entra à son tour dans l’auberge, relativement confiante. La présence d’une personne si vivante ne pouvait que réchauffer l’atmosphère inhospitalière des lieux et surtout d'eventuels ennemis ne feraient pas long feu.
« Celui qui a obéi devient quelqu'un à qui l'on obéit. » Ptah-hotep
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Frère des marches
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ans sa précipitation à vouloir entrer dans l'auberge, sa cousine se laissait encore aller à ses habitudes…- [Sharaan] Je passerai la nuit ici, cousine. Affirma-t-il d'une voix sous-entendant le danger juste avant qu'elle ne rentre dans l'auberge. Bien sûr, elle savait qu'il dormirait dans l'écurie mais l'accent était mis sur le fond et non la forme.
Laisser sa monture paître sans surveillance devant la yourte d'un membre d'une tribu alliée voire neutre pendant qu'on discutait avec celui-ci était considéré comme normal. Se penchant un peu plus qu'à l'accoutumée sur l'encolure de son cheval, le druide attrapa une mèche de crin afin de mettre pied à terre sans difficultés en glissant de son cheval. Il attrapa les deux chevaux par leurs brides puis les guida vers les stalles tapissées de pailles en soupirant intérieurement. Ce qui s'entendit peut-être dans le sifflement suraigu qui appela son compagnon Oubidoub à le suivre.
Erya faisait preuve d'assez de dégoût pour éviter villes quand elle le pouvait mais pas assez pour se méfier de ses habitants une fois à l'intérieur. Les chevaux shaariens vivaient en semi-liberté, on ne les attachait jamais le soir et chaque matin ils revenaient vers leurs compagnons de route. De par leur nature, les vols étaient restreints. Il allait sans dire que s'emparer des biens de son propre clan était une aberration. Quant aux les raids venant d'autres tribus, ils étaient de toute façon trop rares pour être une raison d'entraver la liberté des bêtes que les hommes et les femmes chérissaient.
Arrivé à l'endroit voulu, il commença a s'occuper de la jument noire de jais et du hongre gris suivant la routine qui lui permettrait de réfléchir un peu aux récents évènements. Il commença par défaire les brides et repensa à l'énormité du mensonge de Faen qui lui avait fait hausser un sourcil d'étonnement. Ces mots l'avaient poussé à se défaire de l'analyse de la palissade de la bourgade pour écouter plus attentivement la conversation. Observant du coin de l'oeil la réaction du garde, quelque chose l'avait perturbé, on les avait laissé entrer mais cette sensation de malaise perdurait. Le garde attendait des mots précis, impossible de savoir si cela avait un lien avec leur mission mais la remarque mi-figue, mi-raisin de la prêtresse montrait qu'elle avait aussi perçu quelque chose d'inhabituel.
Vint le moment de les desseller, il se tourna vers Mäodhron pour voir s'il n'avait pas besoin d'aide avec le harnachement de l'imposant Benoubi. Oubidoud se débrouillerait dans une écurie comme s'il y était né et comme il ne portait pas d'équipement sur le dos, il pourrait immédiatement se reposer.
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Frère des Marches
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A la fois content et satisfait que son mensonge ai si bien marché, Faen ne prit pas le temps de s'interresser aux comportements étranges de ses compagnons. Il avança donc en tête de la colonne et rentra dans le village. Pendant qu'il traversait la rue principal, il ne croisa personne sur le chemin et ce calme ne perturbait personne. Arrivé devant une maison plus imposante que les autres, le rôdeur et ses compagnons apercurent une grosse enseigne en bois avec les contours d'un coq. Comme tout le reste des maisons de ce village, on pouvait deviner que ce n'etait pas la premiere préocupation des gens du coin de tenir leurs habitats en hautes estime. En effet, il n'y avait aucune décoration ni aucune plante qui pouvait indiquer un minimum d' attachement à ces batisses de pierre. Devant L'auberge, ses compagnons prirent la parole.
L'intervention d' Erya ne surprit guerre l'illuskien qui commençait deja à s'habituer au comportement impulsif de la jeune guerrière. Les paroles de Satis lui passèrent complètement au dessus et il ne se rendit pas compte que derrière sa petite blague se cachait une interrogation qui la dérangeait. En fin de compte, c'était Xoralundra qui l'avait le plus marqué. De mémoire de compagnons de voyage, c'était la première fois qu'il enchainait plus de 3 mots de vocabulaires. Au fond de lui, Faen essaya de s'imaginé la part d'humanité qu'il pouvait y avoir dans cette étrange personne. Pendant que ses pensées se remettait à divaguer, il donna au druide son cheval Oubidoub après lui avoir donné une petite tape amical dans le cou.
Après avoir fait un signe de la main rapide en direction du druide, Faen suivi le chemin de ses compagnons et d'un pas décidé, il ouvrit la grosse porte en chêne massif.
La nature est ancienne mais nous surprend tous...
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Scribe Officiel
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Narration
Satis, Faen, Erya
L'entrée fracassante d'Erya eut au moins le mérite d'annoncer leur venu à tous ceux qui pouvait se trouver à l'intérieur. La foule de client n'était pas des plus importantes. En fait elle n'était même composée que de deux personnes. Erya et Faen qui s'était fait prestement éjecter du passage lorsque la tueuse de rapaces était entrée avec la finesse qui la caractérisait à cet instant. Il n'y avait personne à l'intérieur, pas même un chat. En fait c'était à se demander si c'était bien une auberge. Une fois tout le monde à l'intérieur, Erya se dirigea au comptoir et tapa du poing dessus appelant d'une voix assez forte et capable de réveiller un gros dormeur. Quelques secondes plus tard, une femme au physique de bûcheron arriva sur place visiblement mécontente d'avoir été dérangée.
"(commun) Inutile de faire tout se bruit. Je vous avais entendu entrer. Alors combien êtes vous et combien de temps restez-vous ? Chambre de deux places disons deux pièces d'argent pour la chambre et deux de plus si vous avez des chevaux. Payable d'avance bien sûr !"
Le langage un peu rustre allait de paire avec la démarche un peu gauche de la femme. Cela pouvait expliquer le peu de clients dans l'établissement.
Xoralundra, Mäodhron
Les deux hommes se dirigèrent vers l'écurie où ils placèrent les montures de tout le monde. Elle était convenablement entretenue et correctement fournie en fourrage. Au moins il n'y avait aucun soucis de ce côté-ci. Xoralundra repéra même un endroit où il serait assez bien installé, enfin autant qu'il soit possible de l'être dans un village. Il aurait une vue directe sur le ciel largement dégagée et presque compatible avec ses désirs. Il remarqua d'ailleurs que ce dernier commençait à se couvrir de nuages gris sombres. Non loin de là, un homme les rejoingnait en marchant.
"(commun) Ah enfin ! L'aide de Sundabar est arrivée. Vous en avez mis du temps. Cela fait presque deux mois que le garçon a disparu. Autant dire que vous n'avez aucune chance de le retrouver maintenant. Toujours pareil, tant que ça ne concerne pas les gens nobles, on ne s'en occupe pas."
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Frère des Marches
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Au moment même ou le rôdeur ouvrit la porte, il recut une vague de chaleur qui lui parcouru l'échine. L'habitude de vivre au grand air avait eu pour effet d'oublier la fournaise que procurait ce genre d'endroit. Le temps de fermer la porte derrière lui et l'humain commencait deja à sentir les goutes de sueur qui coulait le long de son front. A la réflection, Faen avait horreur des auberges, qui était souvent le refuge de sombres idiot alcoolique. La seule maison qu'il avait pu un jour aimé était loin dans ses souvenirs et il n'essaya pas de les refaires apparaitre à la surface. Quand il sorti de ses pensées, la grosse femme qui venait d'aparaitre un instant plus tôt était en train de parler affaire avec Erya qui s'était, elle, précipité en avant sur le comptoire.
La situation le fit sourire: ¤ depuit qu'on est parti, personne n'a osé parler de la sorte à Erya, j'espere que cette femme sait ce qu'elle fait par ce que moi je sait ce que notre jeune guerriere peut faire quand elle est bien énervé ¤ Le souvenir de l'attaque lui fit rapeler l'engagement qu'il avait tenu envers la guerrière quelque temps auparavent. S'il faut s'entrainer, ce sera avec elle que le rôdeur progressera le plus rapidement.
Se raprochant un peu de la guerrière d'un pas discret mais décidé, il lança doucement pour que seule Erya l'entende: " Ca te dirai un petit entrainement dans la ruelle comme on en avait parler ce matin? Puis plus fort pour que tout le monde entende, Satis s'occupera de payer la patronne de l'auberge et de définir le nombre de nuit que nous passeront dans ce village. En se retournant vers Satis, il rajouta avec un clin d'oeil dans sa direction, On sait que tu est mieux qualifié que nous pour converser avec ces gens la. Tu n'aura qu'a venir nous rejoindre."
Attrapant Erya par le bras, Faen esperait qu'elle le suive sans résistance d'aucune sorte. Il s'engagea vers la sortie.
Ce n'était peut etre la le bon moment de faire ce combat mais l'illuskien préferait ne pas attirer l'attention sur eux si jamais la guerrière commençait à se défouler sur la serveuse. Il priait maintenant pour qu'elle ne se défoule pas sur lui...
La nature est ancienne mais nous surprend tous...
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Frère des marches
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'apparition d'un homme qui se trompait manifestement de groupe n'interrompit pas les activités de Xoralundra. A peine lui avait-il accordé un regard afin de vérifier son armement avant de rehausser les étriers de Scoubi. Se baissant un peu, il desserra la boucle de la sangle ventrale et porta la première selle jusqu'à une poutre qui traînait manifestement à cet effet.
Le poil gris laissé sous la selle durant la journée était luisant de sueur, il lui faudrait donc bouchonner sa monture à l'aide d'une brosse. Puis nettoyer de la face interne de ses sabots de toutes les concrétions accumulées durant leur voyage. Il faudrait recommencer ce travail avec la jument à la robe noire corbeau, le cheval de trait et son propre compagnon Oubidoub.
Cela faisait beaucoup de travail, même avec l'aide de Mäodhron… D'ailleurs, qu'attendait donc ce dernier pour dissiper le malentendu ? Se pouvait-il que l'ensorceleur hésite entre l'aide promise à un membre de son clan d'adoption et l'aide à un inconnu qui affirmait déjà qu'ils n'avaient aucune chance de retrouver un enfant perdu ?
Tout en brossant le poil humide de sa monture, le druide fixait la silhouette du porte-parole aphone. Il le scrutait d'un air aussi sombre que les nuages d'orage qui se formaient non loin...
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Soeur des marches
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Observant la grosse femme s’approchée d’elle, Erya pensa qu’elle devait être porteuse d’un nouveau née ou que le manque d’exercice chez cette … sédentaire était flagrant. Elle eut peine à cacher un sourire qui faillit se transformer en rire. La guerrière écouta attentivement le baragouin de l’aubergiste mais n’en comprit pas un mot. Néanmoins une notion, nouvelle pour elle, lui sauta en plein visage… payer…
« Quoi ! Payer pour dormir dans cette me… ! »
Elle s’arrêta dans son élan, extrêmement surprise par la demande de Faën qui semblait avoir retrouvé tous ses moyens. Cette proposition bienvenue la fit sortir de sa rage soudaine et se tournant vers le rôdeur elle lui dit calmement. - Hmm très bien … Voyons ce que tu sais faire sans tes lames. A ses mots, elle décrocha d’une main ferme la prise sur son bras, semblant ainsi montrer à son interlocuteur qu’elle le suivait pour son bon vouloir et qu’il n’avait aucune sorte d’autorité sur elle. Elle lui emboîta donc le pas.
Bien que l’idée de combattre dehors dans une telle puanteur ne la réjouissait pas, elle pensait pouvoir en faire abstraction pendant un moment de concentration intense, tel que l’est l’art de combat rapproché. Si Faën voulait tâter des griffes de la farouche shaarienne, il allait être servi. La petite escarmouche contre les rapaces avait été un bon échauffement et Erya se sentait en pleine possession de ses moyens.
Sortant d’un pas décidé, elle posa contre le mur extérieur de la maison de pierre son épée enroulée dans son fourreau de tissu, ôta patiemment sa chemise de maille reluisante et encore intacte qu’elle plaça soigneusement au pied de son arme. Puis, sans faire attention à ce qui se passait à l'extérieur, elle marcha jusqu’au centre de la ruelle à quelques mètres de son adversaire.
La jeune femme était resplendissante, enveloppée dans ses maigres morceaux de tissu couleur rouge sang qui lui servaient de vêtements au niveau de la poitrine et de la taille, à tel point qu’elle jurait avec l’environnement autour d’elle. Prenant une position de garde, les poings à hauteur du menton, elle s’adressa à son partenaire d’entraînement et tout en parlant, lui fit signe d’approcher. - Bien mon cher ami ! Je suis prête ! lui annonça-t-elle avec un sourire trahissant le plaisir qu’elle prenait à cet instant et qui annonçait celui qu’elle allait prendre d’ici peu.
La vie : une course contre la mort... Le meilleur ne gagne pas. Réputation 8.5
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Aventurière
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¤ On parle d’argent et voilà qu’ils s’esquivent…¤ Seule une crispation passagère trahit les émotions de Satis. Non qu’elle ne voulait pas se plaindre, mais Faen ne lui en avait pas laissé le temps. A peine était-elle sortie de l’observation des lieux pour comprendre ses paroles, que celui-ci quittait la pièce, suivi d’Erya.
¤ Mieux qualifiée pour converser avec ces gens là ? Me prend-il pour une vulgaire marchande ? Croit-il qu’il peut me donner des ordres pour satisfaire sa pingrerie et cela sous couvert de me respecter ? S’il imagine que je devrais payer pour eux alors que je ne fais même pas partie de cette guilde ! Ingrat ! J’ai usé de mes forces pour te soigner, j’ai prié le grand Seth pour tes blessures bêtement reçues et j’ai même attaqué l’un des rapaces qui te menaçait ! Ignorant ! Grippe-sou ! ¤
Alors qu’une foultitude d’injures déferlait dans ses pensées, Satis arracha de sa bourse une pièce d’or qu’elle déposa brusquement sur le comptoir, face à la grosse dame. Elle s’autorisa quelques secondes pour se calmer puis lui dit : - Nous ne resterons qu’une nuit. Ce sera donc 4 pièces d’argent pour des chevaux et une chambre pour moi et la guerrière. Une pause se fit tandis qu'une évidence s'imposait à son esprit . "Avec vue sur la Lune, si possible." Sa main toujours posée sur la pièce et de façon à ce qu’on en voit la valeur, Satis attendait que la dame lui présente la monnaie et la clé. On pourrait lui reprocher d’être avare mais pas de manquer de galanterie.
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Frère des Marches
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Pendant qu’il enlevait sa ceinture, son épée et sa protection en maille, Erya faisait la même chose. Il était content de la manière dont les choses avaient tourné. En effet, le pire était derrière eux, comment expliquer aux gardes du village que la patronne de leur cher établissement Au Cri du Coq était en ce moment même évanoui derrière le comptoir avec un œil noir et les dents étalé sur le planché.
¤ Ce n’est pas avec une histoire de sauterelle que j’aurais pu expliquer la situation ¤
Bref l’importance du combat, même pour un entrainement, allait le mettre dans une situation embarrassante. Faen n’avait jamais frappé de femme, et encore moins des femmes de la trempe de celle-ci. Pourtant, vu le sourire sur et impatient de la jeune guerrière, il n’y avait pas d’autre alternative… Il fallait qu’il frappe.
A peine dans la ruelle, la guerrière était déjà en position, les points devant son visage et lui faisait signe d’approcher. L’illuskien ne pu s’empêcher de regarder la magnifique créature qu’il avait en face des yeux. C’était la première foi qu’il la voyait sans son armure et sans ses armes, et en plus de la beauté des couleurs vifs de ses vêtements, on pouvait apercevoir ses formes généreuses en dessous de ses atours.
¤ Elle n’est en fait pas aussi barbare qu’elle le fait croire, mais il ne faut pas que je me laisse impressionner par sa féminité. ¤
S’armant de courage, il enleva sa chemise pour être torse-nu, la lança sur son tas de vêtements et avança dans l’arène de la rue spécialement réservé pour ce combat. Les points devant son visage, il suivi le conseil d’Erya et avança exagérément doucement. Arrivé à 3 mètres d’elle, il joua sur l’effet de surprise en accélérant brusquement ses mouvements et sa vitesse pour décocher son gauche en direction de son estomac qui n’était pas protégé.
Sa dernière pensée avant le choc fut pour Satis qui était probablement en train de régler la note de la grosse dame en le maudissant de l’avoir laissé toute seule en si charmante compagnie…
Faen accélère et attaque Erya Au bas ventre de son point gauche
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