Para bellum

Abasourdie Ciarodiah regarda les autres entrer dans la cathédrale. Mais qu'est-ce...

Non mais qu'avez-vous l'intention de faire la? Aller voir cet homme et lui poser carrément la question? Il va vous répondre vous croyez? C'est un homme important! on ne l'aproche pas aussi facilement!!

Interloquée elle les suivit néamoins à l'intérieur, non sans lancer un regard de défi au garde qui voulu lui retirer son arme. Elle lui murmura tout bas :

N'ayez crainte, cette arme ne blessera personne en ce lieu de recueillement, seulement, je ne puis me séparer d'elle,ne m'y obligez pas.

Tout le monde était entré hormis Ciarodiah.
Le garde rétorqua après avoir barré la route à la guerrière:

- Je suis payé pour obliger des personnes à se plier aux règles.
Vous ne voulez pas vous en séparer ? C'est votre droit mais je vous empêcherai d'entrer.

Les deux autres acolytes tenuent derrière lui s'étaient avancés.

Ciarodiah s'arrêta, immobile elle les observa avec attention. Ils étaient trop fort pour elle, deux choix donc. Elle prit le plus simple et leur tendit ses armes. Elle nota avec attention où ils les déposaient et entra sans plus leur accorder d'attention. En suivant les autres à l'intérieur elle songea que seul des idiots iraient se lancer dans la geule du loup sans aucune protection. Tel des moutons troussé pour le souper. Elle réfléchi un instant et se trouva aussi folle qu'eux de les avoir suivit. Elle redoubla donc d'attention en observant les alentours, qui sait ce qui leur serait utile.

Zyrm arriva devant les gardes de la précédente rencontre et leur demanda si les membres du groupe, étaient toujours à l'intérieur, il eut l'affirmatif de sa réponse. Il se désarma de sa dague et de son nunchaku et entra.
Il vit au loin le groupe qui était dans l'attente, il se rapprocha tout en observant les alentours grandiose de cet intérieur luxuriant d'or, d'ivoire et multiple richesse accumulé à coup de grande foi et vertus théologales. Il ne dit mots se préparant à la patience. Il se dit à lui même, Sol lucet omnibus.

Après avoir scruter les fascinants alentours, un prêtre aussi sascerdotal qu'un divin dévot vînt les questionner sur leur venue en ce lieu.

- Bienvenue dans notre noble édifice mes enfants. Voilà maintenant cinq bonnes minutes que je vous vois déambuler dans la cathédrale, chercheriez-vous quelque chose de particulier ?

Il avait les deux mains emmitouflées dans chacune de ces manches opposées et sept étoiles sur un fond rougeatre brumeux lui faisait office de pendentif.

Tirée de so emerveillement elle sursauta.

Elle se retourna vers le prètre.


heu.. si j'ai bien compris, il demande une audience aupres d'une personne importante.. mais j'ai pas compris qui ni pourquoi.



Se retournant a nouveau vers l'édifice

Ce lieu est vraiment magnifique... qu'est ce ?
Qui l'a érigé ?

Un sourire froid et triste trainait sur son visage.

elle s'assit alors sur un rocher et pensa longuement.

Glër fit à ce vieil archidiacre son sourire le plus édenté, et s' inclina de la plus hideuse façon. Le voilà désignant Armael d' un doigt et roucoulant d' un ton sucré comme un loukoum :

- Ce Noble personnage saura mieux qu' moi, un pauvre impie aux idées simplistes, vous énoncer nos...modestes doléances. Nous sommes simplement animés d'bonnes intentions. Et not' petite coterie hait tout c'qui est mauvais, ah ouiche, par le Grand Dieu du Ciel. Enfin...je me tais et laisse la place aux plus grands qu' moi.

Glër se mit en retrait, admirant avec patience le décor et comptant joyeusement le nombre de lampées de cervoise que représentait un encensoir d' or brut...

*Kerien se mit sur la pointe des pieds pour voir le nouvel arrivant. Les paladins l'empechaient de le voir car ils étaient grands et bien armurés. Elle sautilla donc sur place puis comme c'était fatiguant, elle finit par s'arreter et à faire le tour des paladins pour s'percevoir que l'on voyait mieux de l'autre côté.*


- Une entrevue ! Oui une entrevue c'est ce que nous sommes venus chercher.

Le prêtre haussa un sourcil quand le mot "personne importante" put atteindre ses oreilles. Il s'empressa donc de poser la question qui était, à ses yeux, la plus évidente :

- Soit, mais... Qui est donc cette éminence ?

Voyant le très peu d'intérêt des autres, Zyrm répondit ...

- L'éminence, le Cardinal, que lui de préférence et en privé.
Pour l'accomplissement puis la donation d'une grande oeuvre et notre dévotion à la vérité, bien entendu!- ( Bluff)

Il lui fit un salut, les mains en croix sur la poitrine, accompagné d'un sourire.