Entre "surprise désagréable" et "trahison"...

* Avec les connaissances de la ville et ses nombreux contact auprès des garde de la ville, Aurèl, avec la description que Xar lui avait fait de la troupe fût en possibilité de savoir où était la troupe. Un des garde se souvenait qu'il avait parlé à une femme, qui elle lui avait demandé d'être averti du moment qu'il apercevrait le guerrier et le nain, il leur donna l'endroit exacte ou la troupe logeait.
Xar et Aurèl prit le chemin et trouva l'endroit, y entra puis vit Ohossa et un homme qui partait.*

- Ha, voilà Ohossa, Xar présenter Aurèl, lui aider moi à venir trouver toi. Maintenant, Ohossa tu as contre poison et or à Xar?-

* Il avait l'air bien content de la revoir, il ne paraissait pas être de mauvaise humeur.*

rmael regarda le demi-orque en sortant et entendit qu'il s'adressait à ohossa. Il fit demi tour et s'adressa a Xar.

Tu est qui toi?

* Xar se tournant regarda l'homme droit dans les yeux et dit...*
-Moi être Xar, moi être ici pour avoir or que Ohossa doit a Xar contre dague de drow, et toi qui être?-

Armael regarda Ohossa. Il n'aimait pas les demi-orques, ces sales hybrides était pour lui la lie de l'humanité. Il se rappela pourtant les préceptes de Torm "juge un ètre quel qu'il soit par ces actes et non par son apparence".

Hum d'ou vient tu?

um... laisse tomber l'palouf...

elle sorti une petite fiole
Tiens voila ton antidote...

Et une bourse
Et voila l'argent.. y a que la moitie, mais ca valait bien le prix de l'antidote...

* Xar avait un sourcil qui venait de baisser accompagné d'un soupir.*

- Moi venir d'où Ohossa partir.
Toi poser question a Xar, mais toi pas répondre à question de Xar. Toi qui être pour poser question a Xar?-

* Aurèl fit quelque pas pour aller chercher à boire.*

Armael regarda Ohossa et ignora Xar.

Bien je te laisse à tes affaires j'y vais.

Il sortit pour de bon.

Ciarodiah était appuyée à la fenêtre de sa chambre et observait les alentours. Dans un jour, elle aurait accomplit sa vengeance. Elle tremblait à cette seule idée. Après tant de temps...Mais le tuer suffirait-il? Elle haussa les épaules. Elle accomplirait sa vengeance. Soudain elle entendit un voix famillière à l'extérieur, provenant de la chambre où ils avaient discuté avec Orlpar. Elle sortit de sa chambre et s'y dirigea. Elle vit Ohoosa, vraisemblablement revenue de sa mission d'espionnage. Elle entra dans la pièce et se pencha sur les plans dessiné pas Ohoosa sur la table.

Tu sais qu'elles chambres seront libre quand Il viendra? Celles qui ne seront pas louées à des résidents?

- Xar voir que pratique de Ohossa être fiable, toujours quelqu'un pour vérifier arrière, mais bref... -

* Il prit l'anti-poison et la bourse il regarda à l'intérieur et demanda à Aurèl de compter. Se qu'il fit et affirma a Xar qu'il avait bien 25 po à l'intérieur. Xar mit la bourse dans son pagne et l'anti-poison dans son sac.
*
-Xar être heureux, même si Ohossa pas tenir parole sur or, cela prouve a Xar que demi-orque être plus bête mais plus honnête que humain. Xar, lui avoir parole et avoir mémoire, Xar se souvenir de moitié que toi lui devoir encore-

* Aurèl arriva avec le boire, il en offrit a Xar et s'assit à une table.*

La journée se déroula comme à sa grande habitude. Ce qui se résume à une animation débordante qui avait le désagréable pouvoir d'octroyer les passants d'un mal de crâne carrabiné en un record de temps.

Au crépuscule de la seconde soirée, veille de l'irracible mission, le stresse était à son comble. Tout de même, ce marchand était aussi important qu'un roi dans un domaine des plus illégaux...
Pour personne, la mission n'était gagnée d'avance et la peur ainsi que le doute prenait le pas sur la raison. Le nain accompagné du guerrier étaient passé les voir dans l'après-midi et leur humour agaçant les avait tout de même détendu. Ils avaient appris que le rendez-vous du marchand aurait lieu aux alentours de midi avec un agent du Zentharim. Si l'on se souvenait des dires, la chose était étrange...

Un matin commun, monotone même... c'est ainsi qu'il aurait été qualifié si l'attention l'aurait capté. Ils se préparèrent... bien plus moralement que matériellement car passer inaperçu était le mot d'ordre de la journée.
Douze coups sonnèrent. Poussant la porte taverniale, Ciarodiah vit expressément le guerrier au côté de Glër siroter un quelconque mélange susceptible de couper l'appétit à la pire des divinités. Ceux-ci n'avait pas remarqué l'entrée du groupe, discutant de divers blasphèmes néophytes et autres réparties espiègles néfastes aux groupuscules "communs".

Elle scruta... rien. Personne ne lui rappelait l'affreuse bedaine de l'inchâtiable négociant. "Etrange..." se dit-elle, visant l'une des chaises de manière à s'asseoir près des deux bougres.