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Promenade dans les Landes, Chapitre 1: Sur la route
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Maître de l'Art
Chambre 31
1 gemme
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Marek et Drank Hun:
Vigueur:6(Dé) +5(Vigueur) contre DD 20=Échec
Le guerrier eut beau chercher du regard dans tous les recoins de la taverne, il ne trouva trace de jolies danseuses nulle part. C'est donc un peu déçu qu'il commença à manger sa commande. Le plat du jour était une sorte de poisson plat et long, doré par la cuisson et délicieux à manger avec son petit arrière goût d'herbes aromatiques. L'alcool aussi était délicieux même si Arek doutait que ce fut réellement de l'alcool de pomme, en réalité il aurait plutôt pensé à un vin délicieusement boisé. Puis soudain, le guerrier vit danser quelques choses juste devant lui mais ce n'était pas des jolies petites danseuses comme il s'y attendait mais des sortes d'énormes points noirs et blancs brillants ou incroyablement sombre. Marek voulut se relever mais ses jambes eurent déjà du mal à lui fournir l'impulsion nécessaire elles ne purent pas le soutenir et il tomba tête la première sur la table, le nez dans son assiette avant de glisser jusqu'au sol en se tenant le ventre de douleur.
Lorsqu'il se réveilla, le natif de Luskan était attaché les mains et les pieds dans le dos mais pas dans une geôle normale comme il en avait connu de nombreuses, non sa prison cette fois-ci était une cage en bois transportée par un chariot tiré par deux énormes bœufs et il faisait nuit. Il n'était d'ailleurs pas seul dans cette cage, à ses côtés se trouvaient le druide qui lui avait sauvé la vie la nuit précédente et un homme à la musculature plus que prononcée. Devant et autour du chariot chevauchaient sur des chevaux encore plus noirs que la nuit sans lune qui les entouraient quatre humains en arme portant tous sur leur cape le même dessin: la patte d'un animal sauvage aux ongles rougis par le sang.
Elgoan et Balden:
Elgoan: Réflexe: 13(Dé) +1(Dextérité) contre DD15 = Échec Dégâts:3 Balden: Réflexe: 16(Dé) contre DD 15= Réussite Elgoan: Vigueur: 17(Dé) +1(Vigueur) contre DD15= Réussite Balden: Vigueur: 18(Dé) +2(Vigueur) contre DD15= Réussite
Les marins contribuaient de s'activer sur le pont du navire en train de sombrer dans un fol espoir. Le capitaine avait répondu au jeune paladin que les chevaux ne survivraient pas jusqu'à la côte, même sans personne sur leur dos, car le courant était trop fort, et que, de toute façon il n'abandonnerai jamais son navire adoré.
La neige continuait de tomber et toutes les personnes présentes sur le navire devaient faire des efforts immenses pour ne pas sombrer dans l'inconscience causée par le froid renforcé par l'humidité. Les éclairs continuaient de tomber frappant de plus en plus prêt du bateau.
Soudain, tout fut perdu. Deux éclairs vengeurs frappèrent et annoncèrent la fin prochaine des passagers et des marins. Le premier tomba droit sur le pauvre marin maniant le bâton pour éloigner les plaques de glaces flottantes, le tuant sur le coup. Le second frappa un peu plus haut sur le rempart de pierre dans lequel ils s'étaient engagés dans la matinée, quand le soleil était encore visible au travers des nuages dans le ciel. Cet éclair tomba dans une fissure naturelle de la roche décrochant un énorme bloc de grés qui vint tomber directement sur le navire, écrasant de son poids l'un des voisins d'Elgoan qui n'eut pas le temps d'éviter réellement le rocher qui projeta des morceaux de bois qui vinrent le blesser en de nombreux points. Balden quand à lui avait eu le temps de plonger et ainsi de sauver sa vie se retrouvant couché sur le pont en grande partie gelé maintenant. Toutefois, ce roc ne fit pas que tuer ou blesser une grande partie de ceux présents sur le navire, il le coula aussi. Sous le choc, la coque explosa complètement projetant toute les personnes se trouvant à bord dans l'eau gelée du Rauvin.
Lorsqu’ils se réveillèrent, les deux membres de la Compagnie des Marches étaient couchés sur une plage de galets. A leur côté se trouvait le capitaine assit, pleurant la disparition de son bateau qu'il aimait comme son âme, de ses marins qu'il aimait comme ses fils. Le dernier marin encore vivant, celui qui était occupé à réparer les avaries dans la cales gisait sur le sol, bleus comme les glaçons glissant encore ça et là en suivant le courant du Rauvin. Dans le ciel, les nuages avaient laissé place à un soleil étincelant.
Svent Kosj et Qualindra:
Les deux amis se relevèrent et s'attachèrent pour être surs de ne pas se perdre. De devant eux, venaient les soldats de la ville chargeant dans le désespoir les drows qui pénétraient dans la cité. Nombreux étaient ceux qui, terrassé par un carreau ou un sort destructeurs, ne verrait plus jamais leur femmes, leurs parents, leurs enfants, leurs amis, et ne pouvaient même pas arracher la vie à un elfe noir avant de partir pour le domaine de Kelemvor. Debout sur les remparts, Arga pleurait. Elle même ne savait pas si c'était de la rage de voir sa cité tomber au mains des drows, de la tristesse de voir ses amis mourir à ses pieds sans pouvoir rien faire pour les sauver, de joie car derrière elle se dressait l'origine du bruit du cor, l'armée coalisée des nains de Mithril Hall, des svirfneblins de Blingdenpierre et des barbares humains de Pierrecalme.
Mais les deux amis ne voyaient pas les larmes coulant sur les joues noires de la gnome, pas plus qu'il ne voyaient les visages des svirfneblins tombants en héros dans les rues de la cité qu'ils avaient construits de leurs mains et qui ne serait peut être bientôt plus qu'une ruine. Non, dans l'obscurité éternelle de l'Ombreterre, la seule chose que les deux voyaient était la seule chose qui peut encore briller de mille feux dans le brasier obscur de la guerre, l'espoir. La seule chose qu'ils voyaient était le port qui se rapprochait incroyablement lentement mais qui se rapprochait. Ils étaient tout deux dans leur propre monde: Ne voyant plus que le bateau encore à quai qui pourrait leur sauver la vie, n'entendant plus que le bruit des vagues de l'immense lac sur le ponton d'amarrage et la coque du bateau, ne sentant plus que la sueur des marins préparant le navire à son départ, ne goûtant plus que l’amer plaisir de la survie dans la défaite.
Enfin, le petit halfelin et la frêle elfe purent monter dans le navire qui appareilla laissant derrière lui Pierrehumide en proie aux flammes. La cité ne serait jamais au drows car l'armée de Mithril Hall était largement plus nombreuse mais quel est l'intérêt de rester maître d'un tas de poussière et de cendres. Aujourd'hui, Pierrehumide venait de mourir la dernière cité gnome des souterrains de la région venait de tomber. Le peuple svirfneblins en entier était maintenant les locataires des nains de Mithril Hall. Les gnomes des roches n'était plus souverain, le peuple gnome des roches n'était plus rien.
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Habitant des royaumes
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Une fois arrivées sur le bateau seine et sauve Qualindra reprit son souffle, la rapidité du trajet l’avait exténuée. Après quelques secondes elle regarda en direction de la ville qui brûlait de part et d’autre, des larmes coulaient le long de ses joues en voyant un tel désastre, puis elle eut une pensée pour Arga qui était resté sur les remparts, elle qui allait lutter jusqu’au bout pour défendre son village. * Corellon Larethian protège cette femme qui est prête à donner sa vie pour sauver les siens, aide là à tenir. *
Enfin elle reprit ses esprits, elle dénoua le nœud qui maintenait la corde autour de sa taille, une fois cela fait, elle la tendit à Svent pour qu’il puisse la ranger. -Merci !! Sans toi je crois que je serais resté pétrifié la bas, je serais peut être déjà morte à cette heure ci. Elle se baissa et embrassa tendrement le joue de l’halfelin. En se relevant, elle regarda autour d’elle pour essayer d’apercevoir la personne qui avait le commandement du navire, elle voulait savoir où se dirigeait cette embarcation.
Ils étaient peut-être encore en vie grâce à ce peuple, mais ils n’étaient toujours pas sortit de ces souterrains. Soudain elle interloqua la première personne qui passa prêt d’elle. -Excusez-moi, mais où allons-nous comme cela ? Allons nous nous retrouver à l’air libre ? Sa voix se voulait douce, calme et chaleureuse. Elle attendit patiemment une réponse, elle espérait du fond de son cœur qu’ils allaient bientôt revoir la lumière du jour.
L’écriture est un art qui permet de faire rêver les gens qui vous lise.
Sorts niveau 0 (4/jours) - Lecture de la magie - Choc électrique - Lumière
Sorts niveau 1 (3/jours) - Identification - Bouclier - Comprehension des Langues - Décharge Eléctrique
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Aventurier
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Empoisonné, au beau milieu d'une taverne en plus. Marek se retrouvait tipiquement dans le genre de situation qu'il abhorait, l'impuissance physique. Ce qui le mit immédiatement en rage. Il faisait jouer sa musculature pour tenter de forcer les cordes.
Il commença par étudier brièvement la situation. Il était dans une cage sur roulettes, avec ce druide qui l'avait accompagné et un demi-orque ballafré, il était clair que la présence de ce demi-orque était un mystère. Quant à sa propre présence dans cette cage, il l'expliquait simplement. Ces gens là devaient avoir quelque chose contre le druide et, l'ayant vu marcher en sa compagnie, l'avait prit pour cible, surement de peur qu'il ait appris quelque chose qu'il n'aurait pas du. Son regard se portant sur ses ravisseurs, il vit ce symbole, cette patte rougit par le sang... Cherchant dans sa mémoire un symbole du même type, il ne se souvint de rien de similaire, mais si on supposait qu'il s'agissait d'un symbole divin, il pensait immédiatement à Malar le dieu des bêtes et des lycanthropes ! Si ce n'était pas Malar il ne voyait pas ce que ça pourrait être.
-Bande de chiures de malarites ! Vous allez voir quand je s'rai libre, vous me supplirez de vous tuer tellement vous aurez dérouillé ! Malar aura l'air d'un de ces peignes-culs de clercs de Sunie comparé à moi !
Il savait qu'il n'arrangeait pas, loin de là, sa situation en leur parlant de la sorte mais c'était plus fort que lui, il fallait qu'il leur signale qu'il ne se soumettait pas, qu'il leur montre qu'ils ne l'intimidaient pas. Mais il était clair que s'il en avait la possibilité, il ne serait pas tendre avec eux...
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Gantelet de l'Amasstarte
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Il ne savait pas comment, mais ils avaient réussit à réchapper à cet enfer. Alors que tout s’agitait autours de eux, le Chaos se déchaînant dans la cité en ruine, ils vainquirent les ombres et les tourments qu’auraient pu leur causer les sombres elfes. Sur le pont, il tentait de reprendre un rythme cardiaque normal. Le combat n’était peut être pas fini, même si tous le laissait prévoir. Une fois les éléments se résorbant et lui-même se calmant, il pu enfin remercier sa déesse. Elle les avait sauvé, et pour une fois il était sûr que c’était bien elle.
¤Mask, sombre dieu, tes adeptes ont réussi à vaincre cette fois-ci, et cela aurait pu être au dépend de ma vie. ¤
Même si celui-là n’avait peut être rien à voir avec la défaite des gnomes, il lui en voulait réellement car il avait frôlé la mort. Elle qu’il abhorrait tant. Ainsi il se plongea dans une longue prière à sa déesse. Il ne se souciait pas de la ville en cendres, ni même des gnomes. Son cœur ne semblait pas même ressentir de la peine. Etait-ce dû à son séjour qui avait trop longtemps duré dans les souterrains ou à quelques choses qui avait changé en lui. Non, les gnomes et les drows s’entretuaient éternellement et cela semblait logique. Pourquoi, les svirfneblins, les avaient ils aidé ? Cela ne lui venait même pas à l’esprit. Lorsque Qualindra vint poser un baiser sur sa joue, il fut brutalement sortit de sa longue prière. Puis s’apercevant qu’elle lui avait parlé, ces derniers mots lui revinrent à l’esprit. Ils les avaient entendu sans les écouter.
« Euh mais de rien, c’est tout naturel. On est ami » , il lui sourit « d’ailleurs merci de m’avoir fait aveuglement confiance… »
Son plan avait été risqué. Il suffisait qu’un deux glisse, qu’un drow surgisse, qu’une boule de feu….Ils s’en étaient sorti, il ne fallait plus y penser. Svent n’était pas un de ces bardes racontant d’innombrables fois la même scène et légende. Puis une fois séparé de son ami, il se dirigea vers les hommes d’équipages. S’il pouvait se rendre utile, il le ferait. Dans ces moments les hommes valides devaient manqués.
[Commun]« Hey, j’peux vous donner un coup d’main ? »
Il essaya de mimer du mieux qu’il pouvait ce qu’il cherchait à faire comprendre. Les gnomes des cavernes ne parlaient pas forcément sa langue. Cela il le regrettait.
Entr' les flammes des démons, dans la gueule d'un dragon, venez donc m'attraper, mais évitez ces crocs d'aciers. Réputation 3,5
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Aventurier disparu
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Elgoan ouvrit soudainement les yeux. En effet, le froid pénétrant l’avait tiré assez violemment de son inconscience, et lorsqu’il se leva, il put constater diverses contusions sur son corps ainsi qu’un sacré mal de tête. ¤ Au moins, ces blessures superficielles ne me feront pas trop souffrir, étant donné que je ne sens plus grand-chose à cause de ce froid incessant. ¤
Reprenant peu à peu ses esprits, Elgoan s’assit et regarda autour de lui. La dernière chose dont il se souvenait était une ombre imposante s’écrasant sur lui, suivi d’un grand craquement. Visiblement, cette dernière vision pouvait expliquer la disparition du bateau. ¤ Et bien, nous voilà bien mal parti…¤ Il vit le capitaine désespéré, assis sur les galets froid, Balden qui n’avait pas l’air d’avoir totalement reprit conscience, et enfin le corps d’un marin. ¤ S’il ne reste que cela des membres d’équipage, la situation est pire que je ne le pensais…¤
Or, le froid s’intensifia encore. Il paraissait désormais évident que s’ils restaient là à pleurer les morts, ils ne tarderaient pas à les rejoindre. L’elfe se leva tant bien que mal, puis alla rejoindre le capitaine :
« Quel destin funeste que les dieux nous ont laissés… Bien que la perte de votre navire et de vos hommes vous afflige grandement, je vous conseille de ne pas rester ici plus longtemps. En effet, nous sommes tous mouillés et gelés, et je crains que si notre condition ne s’améliore pas, le froid nous emportera rejoindre ces dieux. Je n’en ai pas encore parlé avec mon compagnon, mais je pense que la nécessité première est de se faire un feu, de manière à nous réchauffer et à sécher nos vêtements. Après seulement pourrons nous chercher de quoi manger, un abri, ou encore dans le meilleur des cas une ville ou un village.
Avant toute chose, comme vous connaissez mieux les lieux que quiconque ici, je vous demande où trouver une forêt et du bois pour le feu. Une fois que cela sera fait, il vaudrait mieux quitter la plage où l’humidité règne. Je pense qu’avec ce grand soleil, nous n’aurons pas de mal à trouver une place bien exposée, de préférence rocheuse. »
Elgoan montra alors d’un regard le corps du dernier marin.
« Bien entendu, si vous voulez qu’il survive, s’il est encore vivant, il faudrait s’activer rapidement, si vous voyez ce que je veux dire. Alors montrez-moi un chemin menant à un bois. »
L'ennemi est bête, il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui... Réputation 4
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Aventurier
Aucune chambre
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Balden était étalé sur les galets comme tous les survivants, qui se comptaient sur les doigts de la main. Ses mains, le naufragé ne les sentait plus, pas moins que ses orteils d’ailleurs. Les yeux fermés (et se demandant s’il pouvait les ouvrir), Balden se remémorait les affreux moments qu’il venait de vivre. Un rocher, qu’il estimé gros comme la moitié du navire, c’était écrasé sur le pont, balayant une bonne partie de l’équipage. Le miraculé se souvenait de cris persans, exprimant la douleur fatale des marins écrasés. Il se rappelait également d’un saut qu’il avait fait pour éviter le roc. Les yeux toujours fermés, Balden se demanda si son compagnon avait survécut et comme si les dieux lui répondaient, il entendit la voix de l’elfe, qui se chargeait une nouvelle fois d’activer le groupe.
Entendant parler de lui, il se réveilla et se redressa tout doucement. Il observa rapidement son corps et fut surpris de voir qu’il ne souffrait que de quelques égratignures. Il se leva avec précaution, la tête encore endolorie par la température glaciale de l’eau. D’après Elgoan, il était nécessaire de faire un feu pour sécher leur équipement et quitter au plus vite cette plage maudite. C’est avec horreur que Balden remarqua le corps immobile du dernier marin et se demanda s’il était encore possible de le sauver : seul Ilmater le savait. C’est donc avec la volonté d’aider le groupe de naufragés que le paladin décida de se mettre au travail. Il s’approcha d’Elgoan afin d’organiser les choses avec lui :
« J’ai cru t’entendre dire qu’il fallait impérativement faire un feu, afin de sécher nos affaire et quitter ce lieu. Je crois qu’il me reste quelques allume-feus, qui sont malheureusement encore bien humides. Sans attendre les conseils de l’elfe, Balden posa ses richesses sur un galet exposé au soleil, puis reprit son discours : En attendant de trouver du bois, je vais voir si je peux faire quelques chose pour le marin inconscient. »
Le paladin s’approcha donc de l’homme en question. Il n’était pas habitué au contact avec les blessés et fut donc surprit de la couleur de la peau et de la mocheté des plaies. L’estomac accroché, il se mit à examiner le malheureux, essayant de mettre en œuvre ses quelques savoirs en médecine.
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Drank-Hun se réveilla au milieu de ces deux personnes qu'il n'avait jamais vu! Dans cette prison sur roue, il tenta de se souvenir pour quelle raison il avait terminé ici mais il n'y arrivait pas!
¤Qu'est ce que je fait ici, moi? Comment j'ai atterri ici? étrange!!¤
Le demi-orque regarda tout autour de lui, il y avait un druide et un humain enfermé aussi. Il avait mal derrière la tête, il en conclu qu'on avait dut le frapper par derrière. Drank-Hun déteste les lâches. Il se souvint tout à coup de ce rêve étrange qu'il avait fait. Ses souvenirs étaient bref, il était question d'une elfe qui avait besoin d'aide pour sauver ses terres qui était sujet à une étrange aridité provoqué par un cercle d'humain. Il ne savait rien de plus, mais il ressentait que ce rêve avait des vertues prémonitoire sur sa future vie d'aventurier. Les souvenirs de ce rêve revenaient petit à petit. Il lui était malheureusement impossible de se souvenir comment il était arrivé jusque ici. Il regarda le guerrier prêt de lui et chuchota :
- Calme toi, je ne sais pas pourquoi je suis la, toi non plus on dirait! On finira bien par s'arrêter et c est la que tu aura besoin de toutes tes forces.» Drank-Hun montra du regard ses points serrés pour montrer qu'il avait aussi la rage mais qu'il savait la canaliser pour l'utiliser au bon moment. En tout cas il était prêt à mourir s'il le fallait mais en se battant!
Qui s'y frotte s'y perce....
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Maître de l'Art
Chambre 31
1 gemme
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Marek et Drank Hun:
Le jeune guerrier de Luskan était toujours en train de hurler des insultes à la tête de ses geôliers lorsque l’un de ceux-ci s’approcha de lui, un énorme sourire sur les lèvres. Il portait comme les autres une tunique rouge sang et une cape noire portant tout deux le motif facilement reconnaissable des adorateurs de Malar mais les siennes étaient parcourues de motifs verts et ors montrant qu’il était le véritable chef des quatre cavaliers. Au côté de Marek se trouvaient toujours Endor, qui semblait assoupi, sinon inconscient, et le barbare au nom inconnu. L’homme s’approcha donc et commença à parler d’une voix forte et claire :
-Monsieur, vous pouvez continuer à houspiller le grand Malar tout votre sou cela ne nous fera pas réagir. Je vais en profiter pour vous expliquer quel est votre destin. Demain à l’aube, nous arriverons à la lisière de la Haute Forêt. Nous vous laisserons ensuite une heure pour essayer de vous enfuir avant que la chasse commence. Si vous avez des questions sur la façon dont vous aller mourir à me poser, n’hésitez surtout pas.
Puis, il se remit à rire en s’éloignant de la cage. Un autre des cavaliers, un homme plutôt grand et exhibant une barbe de quelques jours, s’approcha de la cage prêt à répondre aux questions du puissant guerrier ou du barbare.
Elgoan et Balden :
Balden: test de premiers secours: ?(Dé)+2(Compétence) contre DD ? = ? Elgoan : test de fouille : 9(Dé) +2(Compétence) contre DD 10 = Réussite
Le capitaine se tourna vers le guerrier elfe, les yeux encore humides des larmes qu’il venait de verser sur la mort de ses camarades et amis et sur la disparition de son navire bien aimé et se dirigea vers un petit chemin escarpé grimpant sur le versant le plus éloigné du fleuve. Pendant ce temps, le paladin s’approcha du corps du marin pour essayer de lui sauver la vie. Il ne savait pas trop comment faire pour essayer de sauver la vie mais il s’attela à cette tâche pendant qu’Elgoan partait en compagnie du capitaine. Il se plaça au dessus du corps inanimé du marin et plaça sa tête au dessus de sa poitrine pour voir si le malheureux respirait toujours, ce qui n’était visiblement pas le cas. Il posa alors deux de ses doigts sur sa gorge pour essayer de voir si, au moins, son cœur battait toujours. Et, surprise, en effet son cœur battait, lentement certes, mais il battait tout de même. Ce fut donc plein d’espoir que le paladin commença à faire un massage cardiaque, comme il avait appris à le faire durant sa courte éducation aux premiers soins, en alternance avec de la respiration assistée. Les deux exercices étaient très difficiles et délicats : le massage cardiaque risquait, si Balden faisait un faux mouvement, de tuer le marin déjà en piteux état et le bouche à bouche était rendu fort désagréable par la froideur de la peau du blessé et le flot d’eau sortant de sa bouche à chaque aspiration du paladin. Après près d’une demi-heure de cet effort, Balden fut contraint à abandonner, tant par la fatigue que cet exercice lui imposait que par le fait que, maintenant, le pouls du pauvre marin avait disparu.
De leur côté, Elgoan et le capitaine mirent plus d’un quart d’heure à escalader plus qu’à grimper cette côte de rochers inégaux et tranchants. Arrivés en haut, ils tombèrent sur ce que le capitaine avait estimé être un bois et qui n’était en réalité qu’un petit bosquet d’une dizaine d’arbres, des épicéas et des sapins d’après ce qu’Elgoan put voir. Le capitaine s’excusa de sa voix faible et larmoyante.
-Excusez-moi, maître elfe. En réalité, je ne connais des gorges du Rauvin que le fleuve lui-même et je ne sais où nous pourrions trouver un bois digne de ce nom. Par contre, ce que je sais c’est qu’il existe non loin d’ici une sorte de chemin suivant le cours du fleuve et utilisé par les marchands à cheval ou à montés sur des animaux résistants bien au froid voulant se rendre à Everlund sans emprunter la voie fluviale.
Sur ces quelques mots, ils s’engagèrent dans le bosquet où ils se mirent à essayer de trouver des branches mortes tombées des arbres. En réalité, leur travail fut plutôt très simple car les éclairs ne s’étaient pas abattus seulement sur leur navire et ils trouvèrent des monceaux de branches brisées provenant d’arbres auxquels la foudre avaient été fatale, ou qui n’avaient pas survécus aux chutes de rochers. Toujours est-il qu’ils trouvèrent largement de quoi allumer leur feu.
Svent et Qualindra :
Svent : test d’escalade : 18(Dé) +2(Force) +2(Racial) contre DD 20 = Réussite Test d’équilibre: 15(Dé) +5(Compétence) contre DD 15 = Réussite test de maitrise des cordes : 4(Dé) +7(Compétence) contre DD 10 = Réussite test d’équilibre : 1(Dé) +5(Compétence) =Echec automatique
Les deux amis, une fois détachés se séparèrent sur le bateau. Qualindra tenta d’entamer la discussion avec l’une des nombreuses personnes présentes sur le bateau, majoritairement des femmes qui avaient décidé de rester jusqu’à la fin du combat pour se battre s’il le fallait et que l’arrivée salvatrice des nains avait soulagé et qui avaient donc accepté de ne pas mourir pour rien. La première personne sur qui se posa son regard était ainsi une gnome des profondeurs. Elle avait une large entaille au bras gauche, preuve qu’apparemment elle s’était battue, et tenait tout contre elle un enfant que Qualindra pensa être son fils. Toutefois, malgré toute la bonne volonté qu’y mettaient la pauvre femme et l’elfe, la compréhension était plus que difficile et Qualindra ne réussit pas à obtenir une réponse à sa question.
Pendant ce temps, Svent était confronté au même genre de problème mais pas l’une des passagères. Il s’était approché de l’un des marins, ils étaient une douzaine sur le petit bateau, dans l’espoir de pouvoir leur fournir une aide quelconque. Certes, les gnomes ne comprenaient pas les mots qu’employait le jeune halfelin, mais ils comprirent l’idée et lui trouvèrent un petit travail à faire. Une corde était emmêlée plus haut dans la voilure et il fallait que quelqu’un grimpe pour la détacher. Le roublard commença donc son ascension du mat qui lui semblait très haut. Toutefois, il était plus agile que tous les marins sur le bateau et plus fort que beaucoup et il parvint donc en haut du mât sans avoir recours à l’échelle de corde qui se trouvait sur le côté. Pendant qu’il grimpait, un des marins utilisait sa lanterne pour lui éclairer le chemin. Il parvint ainsi, non seulement à grimper jusqu’en haut du mât mais aussi à traverser la fragile barre ligneuse à laquelle pendait la voile. Lorsque enfin il réussi à atteindre le nœud et enfin à le défaire. Toutefois, lors de son retour, le bateau se mit à tanguer et l’halfelin tomba lourdement sur le pont du navire.
Lorsqu’il se réveilla enfin, le roublard crut voir double. Devant lui se dressaient deux gnomes au visage identiques, mais après quelques secondes, il réussit à les distinguer. Le plus à droite portait une sorte de longue tunique brune parcourue de fils dorés, argentés ou cuivrés tandis que son voisin portait un uniforme en deux pièces bleu marine. Derrière eux se trouvait Qualindra qui semblait plutôt inquiète pour son compagnon et un matelot qui tenait la lanterne qui permettait à Svent de distinguer les couleurs. Ils se trouvaient dans une, sinon la, cabine et Svent était étendu sur un lit. Les deux gnomes se présentèrent comme étant respectivement Ori et Nori, l’un prêtre en place de Callerduran Doucemain et l’autre amiral de la flotte de Pierrehumide. Ce dernier commença à répondre aux questions de l’elfe tandis que son frère jumeau pansait les blessures de l’halfelin.
-Je suis désolé mais nous ne vous conduisons nullement vers l’air libre mais vers une petite île où les blessés et les non-combattants pourront s’abriter jusqu’à ce que la bataille sur la terre ferme soit terminée. Mais je crois savoir que sur cette île se trouve un point de sortie vers la surface si vous souhaitez vraiment y aller. Si vous le souhaitez je pourrai vous indiquer comment vous y rendre une fois que nous serons arrivés sur l’île.
Jezz :
Le jeune elfe était certainement des cinq drows se trouvant sur la petite colline a admiré l’attaque de Pierrehumide le seul qui soit content. Menzoberranzan avait lancé une attaque sur une petite colonie svirfnebline et elle allait être défaite. Certes, ce n’était pas l’armée entière de la ville drow qui était venu attaquer ce petit village, à vrai dire seule Maeren, une toute jeune maison, dont les membres étaient plus ou moins affiliés à la maison Baenre et qui n’était pas même dans les vingt plus grandes maison de Menzoberranzan, et quelques maison encore plus petites y avait participé. Mais le résultat était là, Maeren avait échoué, et à travers elle Baenre elle-même qui avait officieusement décidé de l’attaque. C’est pourquoi, Jezz était content, cette défaite était peut être la chance pour Sschaamath de rayer Menzoberranzan de la carte de l’Ombreterre.
Le drow regarda autour de lui. Ses quatre compagnons avaient le visage défait. Au centre, se trouvait Orna, l’ainée des enfants de matrone Maeren, ,qui venait tout juste d’être ordonnée prêtresse de Lloth, entourée de ses deux frères, Ugnet, un guerrier fier et courageux, sorti dans les vingt meilleurs élèves de sa promotion, et Refol, un mage énigmatique qui était l’un des derniers apprentis de Gromph Baenre en date. La dernière personne présente sur le monticule sous-terrain était un drow bien plus âgé que les quatre autres, vêtu d’une longue toge d’un noir incroyablement sombre, dont Jezz ignorait la réelle identité. Ce que tous savait, c’était qu’il devait trouver un moyen de justifier leur cuisant échec si ils ne souhaitaient pas mourir en subissant la vengeance de la déesse arachnide.
Borgard :
La druidesse avait maintenant quitté sa belle forêt natale depuis plus de deux mois pour se diriger vers la Haute Forêt et elle voyait enfin les frondaisons des conifères à quelques kilomètres devant elle. Elle se remémora les raison de sa présence en ce lieux : peu après que les mages rouges de Thay ait enfin quitté sa forêt, la laissant en paix, était arrivé depuis le Sud un jeune elfe, le corps couvert de blessures. Ses paroles étaient étranges et la pauvre Borgard ne comprit pas grand-chose si ce n’est que le grand Turlang en personne avait besoin d’aide. Même si elle n’était jamais allée dans le Nord, la druidesse de Lurue savait que ce puissant et célèbre sylvanien vivait dans la Haute Forêt. Toutefois, c’est ce qui arriva le lendemain qui la décida réellement à partir. Le jeune elfe était mort et, lorsque Borgard arriva sur le lieu de son dernier voyage, elle y trouva une licorne en train de pleurer. Quand l’animal magnifique la vit, elle darda sa corne vers le Nord, signe incontestable que la déesse estimait que la Mulane avait fait son travail dans le bois de Meth et qu’il lui fallait maintenant partir sous d’autres horizons.
La jeune druidesse se trouvait donc à la lisière dans la forêt mythique prête à y entrer. Elle était passé non loin d’Eauforte, un gros village humain, mais n’y était pas entré, n’aimant vraiment pas les villes et les citadins. Elle savait approximativement où se trouvait le Grand-Père Arbre où elle devait se rendre et l’orientation en milieu forestier n’avait jamais été son problème, bien au contraire.
Hemerd :
Le jeune gnome avait erré de par Faerun pendant longtemps avant de retrouver des traces de l’assassin, car c’est ainsi qu’il le considérait, de son mentor. Le dernier endroit où il avait reçu une réponse affirmative à la question : « Connaitriez-vous une personne se nommant Wann Urdbar? » était Sundabar, une grande et puissante cité du Nord. La personne qu’il avait interrogée, une jeune humaine souriante travaillant dans un petit magasin de matériel et d’ingrédients pour l’alchimie lui avait indiqué la ville de Nesmé et plus précisément le manoir d’un certain Minos Duen. Il s’y était donc rendu et se trouvait maintenant devant un édifice imposant, fait de marbre et de granit, une vraie œuvre de nain que les badauds lui avaient indiqué comme étant la demeure de Minos Duen. Le jardin dans lequel se trouvait le magicien était en friche et quelques unes des fenêtres du manoir ne fermaient plus ou n’avaient plus de carreaux. La gigantesque porte de la maison était noire et verte, vestige de l’ancêtre de Minos, un puissant druide amis tant des elfes des forêts que des nains des montagnes. Mais si l’ancêtre était plutôt bien aimé, son descendant laissait des sentiments plus mitigés. D’après certain il souffrait d’une grave maladie mais la seule chose certaine était qu’il n’avait pas quitté sa demeure depuis plusieurs mois.
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Ame en peine
Aucune chambre
Aucune gemme
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Voilà plus d’une décennie que Jezz avait infiltré Menzoberranzan. Il avait était tout désigné par sa famille pour cette mission suicidaire, et contre toute attente il ne s’en était pas mal sortit. Après avoir prouvé plusieurs fois sa fidélité, le jeune Drow arriva à atteindre l’estime de la matrone Maeren. Il caché sa haine des femelles, en l’enfouissant au plus profond de lui et prié Vhaeraun de lui donner la force de ne pas assassiner ces prêtresses maudites. Il intégra les rangs du corps d’élite, mais pour son grand bonheur ceux-ci n’avait pas eu a passer à l’action, l’attaque était une cuisante défaite.
Malgré tout, Jezz avait assez sillonné les rues de Menzoberranzan pour savoir que celle-ci représentait un grand danger. Les Menzoberranyr ne manquaient pas d’ardeur, et leur puissance effrayait presque le jeune Drow. La Maison Baenre, n’était pas qu’un clan mais une armée entière a elle seul. Tous lui obéissait et la Matrone de la première maison tiré toutes les ficelles politique. Jezz s’était tout particulièrement intéressé aux intrigues de la cité arachnide, pour finalement tombé dans la toile fanatique des Baenre. Rien n’était inconnu pour eux et Jezz craignait que son identité soit révélé, il devait s’échapper, il avait accumulé assez d ‘information pour intéresser le conseil des sept grands mages de Sschaamath.
Mais l’heure n’était pas aux soucis, Jezz savourait l’instant de supplice que la maison Maeren rencontrait. Ils tombaient comme des mouches, Baenre avait été trop ambitieuses, comme à son habitude elle avait sous-estimé ses petits êtres qui pourtant ne leur était plus inconnu. Sschaamath avait appris a cohabiter avec eux, même si leur entente était fébrile et la ville aux milles lumières ne rencontrait pas de problème. Pourtant Menzoberranzan leur faisait de l’ombre, sur le plan commercial et dans l’influence et la domination d'Ombreterre. Et le conseil des Sept, comptait bien y remédiait.Jezz connaissait l’importance de sa mission, mais pas au prix de sa vie. Il savait que pour ces mages corrompus il ne valait rien. Autant dire que pour lui il fallait a tout prix s’enfuir de cette guerre. Son bref bonheur fut bien éphémère, et il se tourna vers ses compagnons. Et dans le langage des signes propre à sa race il leur dit : Alors que le groupe pris la direction des tunnels, ils longèrent le lac pour rentrer, Jezz essaierai de s’échapper quand l’opportunité ce présenterait.
Le jeune drow fut surpris alors, d’apercevoir une elfe à la peau aussi blanche que l’ivoire accompagné d’un gnome qui ne semblait pas appartenir aux svirfnebelins des profondeurs. Il était hissé sur le mat d’un bateau. Le jeune drow indiqua a ses compagnons son étrange découverte. Ils devaient ce dépêcher, car ils étaient les derniers a être partit en retraite, et les environs commençaient a se remplir des gnomes survivants. Quelques groupe de Drow luttaient encore ardemment dans l’espoir de renverser la situation...
Jezz perspicace savait que leurs efforts seraient inutiles, il devait trouver un moyen de s’éloigner le plus rapidement possible d’ici. La prêtresse folle de rage voulait partir à l’assaut de Pierrehumide aidait les Drows restant . Ce qui souleva plusieurs interactions violentes, en effet la plupart ne voulait pas risquer leurs peaux, dont Jezz. Il fut donc décidé de s’échapper, l’un proposa de voler une barque et de partir grâce au lac souterrain. L’idée semblait bonne, mais risqué. Le petit groupe de Drows se dirigea donc sur les bordures du Lac en quête d’une barque, d’un pas discret et meurtrier ils tuer les gnomes isolés sur leur chemin... Jezz observe les environs et se met sur la défensive
Ta mort n'est que le reflet de ma dague...
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Aventurier
Aucune chambre
Aucune gemme
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Malgré la situation, Marek ne ressentait aucune peur, il était blessé dans son orgueil, furieux d'être victime de méthode aussi traitresses, mais absolument pas apeuré. Il se mit même à sourire en entendant les paroles du malarite. Un sourire qui en disait long, il imaginait la situation qu'il allait essayé de mettre en place.
-Le chasseur deviendra la proie mon grand, dit-il en fixant le chef, tu verra, je fais de toi ma cible. Tu vas réellement le regretter tu peux pas savoir... tu sais pas à qui t'as à faire mon pauvre... Je vais tenter de te faire canner le plus lentement possible, j'me répette mais tu verras tu me supplieras de te finir !
Il ne parlait plus sous le coup de l'énervement, un sourire d'un extrême sadisme, un air de folie, une véritable soif de violence envers ces hommes, ses paroles étaient accompagné d'un rire on ne peut plus sadique. Il s'imaginait leur broyer les os, et leur faire tout un tas de choses qu'on ne souhaiterait à personne. Ça l'excitait Marek tout ça. Mais bien entendu il restait un minimum réaliste et savait que ça n'allait pas être chose facile, que ça n'allait peut-être même jamais se réaliser. Il faudrait leur tendre des pièges, et la il se maudissait de ne pas être un spécialiste des forêt... ces type qui même sur les feuilles mortes ne se font pas repérer... Mais après tout il avait un spécialiste de la forêt, un druide, avec lui. Les trois compère allait devoir faire équipe et réussir à faire pencher la balance en leur faveur. Et là... le sang de ces malarites allait recouvrir une grande partit du sol qui aurait vu leur mort, ils allaient se rendre compte de l'erreur qu'ils avaient faite en s'en prenant à Marek... enfin c'est ce que Marek imaginait.
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