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L'étudiante, Rochedor
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Oreille des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
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Hermine, intimidation : 7 (dé) + 5 >< Dragan, volonté : 18 (dé) + 0 = échec Malahahel, depla. sil. : 14 (dé) + 6 >< Perc.aud ? : 13(dé) + 1 = réussite
Narration
Hermine, Baltazard
Dragan Fierforge haussa les sourcils. Le bougre avait suffisamment eut affaire a des alcooliques mécontents, des piller de comptoirs dépressifs et autres joyeusetés du genre que pour se laisser impressionner par le ton intraitable de la jolie demoiselle.
- Dites donc ma p’tite dame ! dit il dans un commun étrangement bien mieux articulé que le matin même « Je sers qui je veux, quand je veux ! Chacun son tour comme on dit ! »
Par chance, sa fille, qu’Hermine reconnu immédiatement pour être la belle Ania, celle qui montrait ses cuisses le soir pour la plus grande joie des mineurs solitaires, s’approcha doucement des agents et leur proposa de prendre leur commande. Elle avait le teint caramel, de longs cheveux d’ébène nattés en de multiples tresses ornées de fins anneaux d’or, et des yeux profonds brodés de longs cils. Son sourire – bien que masqué en partie par une barbe extrêmement soigneusement coiffée – était joyeux et respirait la gentillesse. Elle devait être le portrait craché de sa mère, ou le fruit d’un amour clandestin tant le contraste avec son bougon de père était fort. Tandis qu’Hermine et Baltazard attendaient que la jolie naine soit parvenue à déboucher le flacon de vin, ils entendirent la voix d’Elinor s’adresser dans une langue aux intonations rondes et fluides. Un homme tout vêtu de blanc s’était approché d’elle. De dos, il était difficile de distinguer ses traits. Un large chapeau d’où sortaient quelques mèches châtain masquait en partie son visage. Hermine le reconnu immédiatement. Il s’agissait du locataire de la chambre n°5, celui qui avait acheté du papier une heure ou deux plus tôt. Au même instant, le nain que surveillait Zlik pénétrait dans l’auberge, et commanda d’une voix forte une soupe et une bière.
Andris, Malahahel, Vieltal
L’entrée de la mine avait été grossièrement barricadée par deux travailleurs qui n’avaient pu s’empêcher de souhaiter des paroles de bonne fortune en voyant le nain se glisser dans le boyau. Ces mêmes paroles avaient quelques peu découragé Andris et le barde qui se demandaient à présent, si une bonne sieste ne serait pas plus profitable qu’une exploration du cœur de la falaise. La migraine qui les accablait tous les trois était toujours présente, bien que nettement atténuée. Malahahel s’avançait à pas de loup. Son expérience lui avait enseigné comment poser ses pieds avec souplesse, comment se mouvoir sans secousse afin de ne pas faire tinter le bric a brac qu’il portait souvent sur le dos. Doucement il avançait, enjambant les lattes de bois, et autres rondins qui encombrait le couloir. Il pouvait constater que la mine n’avait pas encore été entièrement sécurisée. De simples piliers grossièrement dressé, et un plafond partiellement construit constituait le seul obstacle aux tant craints éboulement. La salle était assez vaste, un léger filon d’or apparaissait de temps a autre conduisant dans les deux direction des couloirs. Analysant la pierre comme seul les nains peuvent le faire, Malahahel conclu aisément que l’espoir d’un filon plus important avait conduit les mineurs à creuser à la va vite dans deux directions opposées. Dans le fond d’un couloir, le nain entendit clairement les couinements de quelques rats.
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Frère Tigre
Aucune chambre
Aucune gemme
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Oreille des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
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Voilà que le nain prenait la direction des oppérations. Bien que conscient que l'expérience du rodeur pouvait leur permettre de faire la différence, Andris avait du mal a suporter d'être à se point à côté de la plaque. Son incompréhension de la langue naine lui avait fait comaître une erreur idiote et avait permis à Mahalalehel de prendre une importance nouvelle dans la mission, ce qui n'était guère concluant aux vues des primes.
Voyant que Vietal était arrivé à l'intersection, Andris déguéna sa hache et s'avança à son tour. Ne se brusquant pas, il pris le temps d'observer les parois de la galerie. Le barbare n'aimait pas se retrouver dans ce genre de tunnel, leur étroitesse limitait ses mouvements et faisait naître chez lui une légère clostrophobie.
¤Rien ne vaut le grand air, finir dans ce genre de cloaque ne me dit rien¤
Arrivé à l'intersection, il se posta derrière ses deux compagnons. Continuant son inspection des lieux, il remarqua qu'un trait jaune parcourait la parois. Intrigué, il l'observa avec plus d'attention. Ses yeux s'écarquillairent lorsqu'il reconnu le précieux métal.
-Par tous les dieux, mais c'est de l'or ! Vous croyez qu'on peut en retirer ?
Exité par cette découverte, le Uthgardt commença à fouyer le sol à la recherche d'une pépite. Dans son esprit, la soif de l'or avait pris le pas sur la mission.
Que nos épées tombent avant de se croiser à nouveau. Mais seulement après que nous nous soyons rompu l'échine à soulever des trésors.
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Frère des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
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altazard acquiesça lorsque sa compagne des Marches lui confirma sa commande, puis il lui répondit à sa proposition de dévoiler leur identité à la jeune noble.- Lui dévoiler qui nous sommes exactement ? Hmmm… *se frottant le menton pensif* Je ne sais pas si c’est une bonne idée ! Qui sais si elle ne va pas nous filer sous les doigts ! Notre mission première est de la ramener je te rappel… Personnellement, je ne le ferais pas, ou plutôt pas dans ces conditions. Il serait préférable de l’emmener dans un coin tranquille, en tête à tête, et si les choses se passaient mal, nous pourrions la maîtriser, la ramener à son futur mari et remplir la majeure partie de notre contrat ! Soudain, suivant le regard intrigué d’Hermine en direction de la jeune noble, il découvrit comme elle, un homme vêtu de blanc non loin d’Elinor qu’Hermine semblant reconnaître. Les deux individus semblaient converser à la table mais Baltazard n’en compris aucun mot. Méfiant de nature, il posa sa main au niveau de sa garde. Ne voulant pas en faire de trop, il resta sagement dans son petit rôle et attendit patiemment le verre de la serveuse, tout en lançant des regards interrogateurs à Hermine, lui glissant par la même occasion à l’oreille quelques mots.- S’il y a le moindre problème avec cet individu, fait le moi savoir Sœur des Marches, j’improviserais un plan pendant que tu feras diversion avec la jeune noble. Le regard toujours fixé sur l’homme blanc, Baltazard détourna brièvement le regard vers le nain qui venait d’entrer afin d’analyser brièvement s’il s’agissait d’une menace, puis la conscience tranquille suite aux premières paroles du nain, il reposa toute son attention sur la table de la jeune noble.
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Soeur des Marches
Chambre 14
Aucune gemme
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cet instant, Hermine se rappela que sa conversation avec Hannibal Cannibal avait eu lieu en privé, et que ses autres compagnons n'étaient pas au courant de son contenu. Cela lui avait paru tellement évident. Elle pencha la tête vers son compagnon et lui chuchota- Baltazaяd. Je pensais bien que ce maяiage ne semblait pas conveniя à tout le monde, et ai paяlé avec Caliban : notяe mission est de faiяe le bonheuя d'Elinoя et d'éviteя les vagues avec Galean Aldeяon. Elinoя ne veut pas veniя, et nous devons la pяotégeя, et pas la molesteя pouя qu'elle nous suive. Je t'assuяe. La jeune femme sourit aimablement à son collègue. Cependant, tu as яaison : le moment est pouя l'instant mal venu pour se déclaяeя, et je pяéfèяe moi aussi le faiяe au calme. Si tu veux, on peut diяe que moi seule est un agent ; tu n'auяas qu'à rester un peu à l'écaяt au cas où ça dégénèяe. Mais bon, c'est comme tu veux. On en яepaяle. Pouя l'instant ... Ce type tout de blancheur immaculée commençait sérieusement à courir sur le haricot d'Hermine. Peut-être qu'instinctivement, elle avait adopté le même comportement qu'Elinor lorsqu'elles l'avaient croisé la première fois ; toujours est-il qu'elle ne pouvait s'empêcher de se méfier de lui. Pour tout dire, c'est lui qu'elle considérait (faute d'autres éléments, il est vrai, et de façon complètement partiale) comme le suspect numéro un dans le vol du carnet : peut-être un rival jaloux de la réussite de l'étudiante, qui voulait lui ravir une découverte cruciale ? En tout cas, elle n'allait pas le laisser partir comme ça, oh non.- Pяends les commandes et яejoins-nous s'il te plait, Balt. Je vais voiя ce fameux Aяan’Dil ..., dit-elle à l'intéressé l'air préoccupé sans le regarder. ¤ Si ce type saoûle Elinor, je m'en vais te le virer à coups de pied au derière, ça c'est clair. ¤ La guerrière se dirigea légèrement trop rapidement vers Elinor et "l'elfe", et se campa entre les deux personnes, les mains derrière le dos, les considérant tour à tour, un franc sourire se dessinant sur ses lèvres alors qu'elle regardait Elinor, sourire qui disparut bien vite et ostensiblement alors qu'elle tournait les yeux vers le visiteur.- Cette peяsonne te déяange, Elinoя ? Excusez-moi si je ne vous invite pas à vous assoiя : nous яéseяvons ce siège aux gens polis qui se découvяent devant les dames. Vous êtes ... ? Passablement énervée par l'attitude du tenacier, Hermine n'avait toujours pas trouvé d'exutoire et avait visiblement un trop plein d'aggressivité à déverser. Cela ne lui ressemblait pas ...
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Oreille des Marches
Aucune chambre
Aucune gemme
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Andris, fouille : 6 (dé) – 2 (int) >< DD ? = échec Andris, dep sil : 12 (dé) +1 >< perc aud ? : 16 (dé) +1 = échec Malahahel, dep sil : 14(dé) + 6 >< perc aud ? : 16 (dé) +1 = réussite Vieltal, dep sil : 15 (dé) + 1 >< perc aud ? : 16 (dé) +1 = réussiteNarrationHermine, BaltazardLe visage que leva la douce Elinor vers Hermine était l’incarnation même du soulagement. Son éducation seule l’empêcha de pousser un long soupir, et elle garda les lèvres close et bien serrée comme si elle craignait de dire une quelconque bêtise par inadvertance. L’individu en blanc se tourna alors vers la guerrière. Ses traits étaient fins, réguliers, rayonnant d’une beauté dérangeante, presque trop délicate. Sa peau semblait si fine et si fragile que l’on en devinait presque les veines. De longues mèches noires encadraient ce faciès étrange. Il ôta son chapeau, en signe de salut teinté d’ironie, et le remis aussitôt. | | - Excusez moi, mademoiselle, je n’ai pas le plaisir de vous connaître. Sa voix était douce mais froide comme les neiges éternelles. « J’étais venu présenter mes condoléances à Melle Dentrefond pour cette ...terrible perte…qui affecte toute la communauté de chercheurs dont je fait partie, et prendre de ses nouvelles. »
Son air se couvrit subitement de sérieux, comme une vallée ensoleillée se couvre subitement des nuages chargés de pluie prélude à l’orage et à la tempête.
- Il est hélas désormais inutile de rester ici. Peut-être nos hôtes avaient raison après tout. Il est des choses qu’il vaut mieux ne pas chercher à découvrir, et des secrets qui ne doivent pas être déterré. Melle Dentrefond sait bien pour avoir traduit sans mon aide le texte de la porte, qu’un danger très grands rode peut être dans les tréfonds de cette mine. Il est du devoir de la responsable de cette….bourgade d’empêcher que le mal remonte à la surface. La mine doit à mon humble avis, être condamnée. Tout l’or du monde ne peut remplacer une perte douloureuse, n’est ce pas, Mademoiselle Dentrefond ? Je m’en allais justement faire part de mon point de vue à Madame Barbefer. Soyez donc sans craintes, Indraël Aran’Dil ne vous importunera pas davantage.
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Indrael Aran’Dil est un personnage mystérieux dont le teint translucide aux étranges reflets violacé contraste avec sa chevelure d’ébène. Son maintient noble, sa silhouette gracile dénoncent le sang elfique qui coule dans ses veines. Il est de nature secrète et taiseuse. Cependant lorsqu’il ouvre la bouche, c’est pour laisser s’échapper une voix doucereuse aussi glaciale qu’une bise polaire. |
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A ces mots, il s’inclina légèrement et se dirigea vers la sortie de l’auberge. La grande porte coulissante était toujours ouverte, et l’on pouvait voir quelques ouvriers attablés à l’ombre. Le nain qui avait commandé sa soupe, s’installa à une table non loin de celle d’Elinor. Son regard se perdait dans les couleurs douteuses de son plat. La jolie Ania arriva bien vite, apportant une bière et deux gobelets empli d’un liquide étrange a forte odeur qu’elle déposa avec un large sourire sur la table sans omettre de réclamer 4 pièce d’argent et de déclarer a voix basse : - Après ça, qu’on ne me dise pas que les elfes ne sont pas des gens bizarres. Elle se pencha davantage laissant entrevoir le plongeon vertigineux que représentait son décolleté, et baissant encore la voix « voir même douteux. Mon père le déteste, mais il ne dit rien de peur de perdre son meilleur client. » Andris, Malahahel, VieltalPlongé dans la pénombre, Malahahel s’arrêta un instant et murmura : - Il y a quelques rats dans le fond, mais je n’entend rien d’autre pour l’instant. Il s’accroupit et avec une délicatesse toute professionnelle détacha une lanterne de son sac qu’il alluma et passa à Vieltal. - Prend ça le flûtiau ! Andris subitement animé par la fièvre de l’or cherchait méthodiquement une pépite. Hélàs, sans doute guidé par l’image bien propre d’un morceau d’or tout jaune, il rata par plusieurs fois ce qu’il prit pour de vulgaires cailloux. D’un coup d’œil furieux, accentué par les ombres et les éclats de lumière générés par la lanterne, le visage du nain le rappela à l’ordre sans qu’aucun mot ne fût prononcé. - ‘Parait que l’endroit ne serait pas bien grand. Faut aller par là, l’autre côté est un cul de sac parait il. Déclara le rôdeur en désignant le couloir de droite.
Pas à pas, les trois individus se déplaçaient prudemment, tachant de ne pas se faire repérer par ce qui semblait se terrer dans les boyaux. Alors que le beau barbare buta sur une aspérité du terrain laissant entendre un faible ‘toc’, les trois compères entendirent quelques rats s’enfuir dans des recoins de la mine. Le couloir qu’ils empruntaient était assez large que pour pouvoir marcher côtes à côtes. Les renforts avaient étés élaborés dans cette partie avec plus de soin que dans le tronçon précédent. Les ombres de leurs silhouettes dansaient sur les parois rocheuses de façon inquiétante, accentuant le mystère lié à leur investigation. Au bout d’une dizaine de mètres environs, le couloir s’ouvrait sur une salle gigantesque dont le fond ne pouvait à peine être deviné par Malahahel, bénéficiant de la vision des nains. Encore couvert par l’abri que leur conférait le boyau, ils pouvaient cependant apercevoir que le chemin emprunté débouchait sur une petite plateforme naturelle. Celle ci surplombait la grotte, tandis que le plafond s’élevait bien haut au dessus. Une rambarde de bois avait été aménagée, sans doute pour préserver les étudiants et chercheurs d’une chute mortelle, tandis que sur la droite se trouvait un monte charge métallique.
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Soeur des Marches
Chambre 14
Aucune gemme
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lors que le mystérieux elfe se détournait Hermine, le regardant s'éloigner, roula des yeux et dodelina de la tête, ouvrant et refermant rapidement la bouche en faisant mine de piailler silencieusement. Puis, elle fit une grimace comique pour enfin faire un clin d'œil à Elinor Dentrefond en s'asseyant à table.- Y a cet aventuяieя l'autre jouя qui disait avoiя peяdu la pique de tяois mètяes de son paquetage, maintenant je crois savoir où elle est tombée ... glissa la guerrière à voix basse en se penchant vers sa voisine. Elle tentait de la faire sourire pour lui changer les idées, même si le genre de plaisanterie de taverne qu'elle venait de faire n'était peut-être pas le meilleur moyen de dérider une jeune noble. C'était regrettable, mais Hermine n'avait pas eu le temps de réfléchir à la chose, de plus elle ne pouvait ignorer la goutte de sueur qui perlait dans son dos, lui glaçant l'échine ; Indraël Aran’Dil était vraiment quelqu'un de troublant. Cependant, elle espérait qu'en n'en laissant rien paraître, en ayant l'air détendue et en parlant d'autre chose, elle parviendrait à ce que la douce Elinor se relâche un peu elle aussi. Elle en avait bien besoin, après ce qu'elle venait de vivre ...- Excuse-moi .. déjà ce matin, j'ai cяu voiя que cet elfe ne faisait pas paяtie de tes amis, alors ... La voix d'Hermine se perdit un insant. Puis, la Nordique plongea son regard dans celui d'Elinor. Cяois-tu qu'il t'en veut ? Que voulait-il diяe, à pяopos du texte de la poяte ? Si un gяand dangeя ... Hermine s'interrompit, surprise par tant de rapidité de la part du service, alors que la jolie Aina posait leurs commandes sur la table. Avant qu'Elinor fasse un geste, elle commença à tatônner en quête de sa bourse.- C'est pouя moi. Bois ça, dit-elle d'une voix rassurante en désignant les remontants du menton, ça devrait te faire du bien. Attention, c'est peut-êtяe un peu foяt ... Puis, reportant son attention sur la serveuse (hé bé), puis sur ses yeux : Effectivement, ce n'est pas le tempéяament le plus chaleuяeux que j'ai connu. Mais ... Hermine prit elle aussi un ton de conspiratrice de comptoir : ... douteux, dites-vous ? Cяoyez-vous qu'il tяempe dans des affaiяes louches ? On diяait un magicien ...
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Oreille des Marches
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Aucune gemme
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Zlik, le plus discretement possible, suivait Rogdmund, decider à en savoir plus sur ce nain un peu trop mysterieux au gout du halfelin. De plus il n'avait pas du tout apreciait recevoir ainsi des ordres de sa part , surtout en étant mis à l'ecart de ses manigances.
¤ Il me prend pour qui ce nain à la noix ,il me prend pour un esclave ou quoi ? On va voir c'est qui le con dans l'histoire...¤
Tout en fulminant et en inventant des insultes originales à l'adresse du nain, Zlik le suivait discretement à travers la foule. Il essayait de rester à quelques métres de lui, tout en essayant de ne pas se faire repérer. Il essayait de ne pas braquer ses yeux sur lui pour qu'il ne se sente pas observer, tout en etudiant le moindre de ses mouvements. Il faillit se faire repérer quand Rogdmund se retourna precipitament, mais Zlik s'etait ecarter precipitament, avec autant d'agilité et de maestria dont il etait capable. Puis le nain avait continuer sa route, ne semblant pas avoir repérer le halfelin.Le nain entra ensuite de nouveau dans l'auberge, Zlik hesita un instant puis finalement entra. Il aperçut Rogdmund qui s'assit à une table juste à coté de celle de Elinor et Hermine.
¤Encore une curieuse coincidence à mettre sur le dos du pauvre nain....¤
Zlik chercha un moyen de s'approcher du nain en pasant inaperçu, mais aprés un bref coup d'oeil, arriva à la conclusion que c'etait impossible pour lui. C'est a ce moment qu'il vit l'elfe etrange qu'il etait censé surveiller.
¤Bon ça fait trop de personne à surveiller, bon on change de plan... Plan B.¤
Zlik avança d'un pas rapide en direction de Rogdmund et s'assit à sa table rapidement.
-"Quelle bonne surprise! qu'est ce que vous faites là ?"
Zlik braqua sur lui un regard qu'il voulait interrogateur, tout en reflechissant à toutes vitesse.
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Frère des Marches
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Frère Tigre
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S'agrippant à la torche qu'il balancait devant lui, le jeune homme avançait prudamment malgré le bruit qu'Andris avait fait en buttant. Ce n'étais presque rien, mais les rats qui couinaient avait pu alerter une bête à l'affût. Vieltal suggéra au nain de s'arrêter vers la fin du couloir, pour mieux scruter les lieux. Ils seraient d'avantage proteger si un ennemi devait s'engouffrer dans le tunnel pour les attaquer... Avancant à pas de loup vers la plateforme, Vieltal déposa la lanterne devant lui et sorti son épée longue de son fourreau. Il s'accroupit un moment, profitant du moment de répit. Alors que le nain devrait scruté l'entiereté de la plateforme avant que les aventuriers n'y pose le pied.
Le barde se tourna vers le barbare en regardant au sol, cherchant tout comme le géant auparavant, une roche avec un potentiel d'or à l'intérieur... Il murmura alors à Andris
- Alors, tu as trouvé quelque chose? Si la récompense que Mahalalehel nous a dégotté n'est pas assez grande, on pourra toujours se faire les poches ici...
Vieltal grimaça et sourit au barbare. Il fouilla un moment à l'aide de la lanterne, toujours aux aguets du moindre bruit de la mine, arme en main. Il jetait également de bref coup d'oeil vers le nain en esperant qu'il adopterait sa proposition plutôt que de foncer vers la plateforme...
La vie est tout comme un scintillant diamant... De cette façon dont il brille lorsqu'on le polit bien.Vieltal 'Vuurdan
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