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Une longue traversée , Quête du Cercle...
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Ẹưřēķą
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Ạbỷsŝë
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es portes se dessinaient devant la caravane, de nombreux voyageurs étaient interrogés et fouillés… Nul doute que leur tour viendrait, à moins que le Cercle n’aie le bras très long dans cette cité… L’air inquiet affiché par Lascar semblait plutôt démentir cette hypothèse. Ils allaient donc subir une fouille réglementaire, et Jahëlo doutait fortement que les quatre caravanes puissent les passer sans encombres.
Il le fallait pourtant. La route était loin de s’achever dans cette ville. La moitié de Faerûn était encore à traverser. Garder cette allure impassible habituelle était ce qui il y avait de mieux. De toute façon sa nature même attirerait sûrement les passants et les regards. Il n’y avait aucun doute, si la caravane était fouillée de fond en comble il serait sûrement dans les premiers à être interrogés. Son regard dériva vers la végétation et ses pensées se portèrent sur son compagnon qu’il aperçut furtivement. Il doutait que le Loup ne pourrait l’accompagner dans cette grande cité, du moins, il ne pourrait pas entrer en plein jour. Il saurait trouver le bon moment et le bon endroit si il voulait se risquer dans la ville… Il valait mieux lui dire de rester dehors, Jahëlo sauta donc à bas de la caravane pour rejoindre le Loup cela ne prit que quelques instants. Jahëlo fit comprendre au grand loup noir par des paroles druidiques et par des gestes calmes, qu’il ne pourrait l’accompagner dans cette terre des Hommes. Le génasi reviendrait le chercher avant de quitter la ville, si l’animal voulait continuer sur cette route. Le druide se rapprocha de la caravane tandis que son compagnon, s’enfonçait dans la végétation. Jahëlo savait qu’il allait se sentir incomplet pendant quelques temps. Il espérait que la présence d’Elloa parviendrait à le reconforter de cette séparation.
Abysse revint alors se placer aux cotés de l’elfe, affichant un air paisible. Le trouble de ces dernier jours sciemment écarté le temps qu’ils affrontent les dangers et incompréhensions que susciteraient les gens de la ville. Comme lui, elle ne serait sûrement pas à son aise dans l’enceinte de la cité, mais le fait qu’ils soient ensemble les aiderait sûrement. Une fois le calme les entourant, il attendit patiemment que le convoi soit arrêté par la garde de la ville. Après tout il n'était qu'un druide dans la région et connaissait le nain qui dirigeait la caravane. Il l'avait donc accompagné jusqu'ici. Et il pourrait se servir de la nature sauvage d'Elloa, pour la lier à lui si jamais elle rencontrait des difficultés avec ces gardes de la grande cité de Padhiver. Cette version épurée était très proche de la réalité, donc il n'y aurait aucun malentendu possible.
Inlassablement, l'océan donne et reprend...
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Fạŋţỗmę
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Aucun ne releva la petite annonce du jeune voleur. Mais c’était surtout que tous semblaient avoir d’autres préoccupations. Si certaines étaient personnelles, d’autres aux contraires était en rapport avec la caravane ou la petite guilde de marchand pacifistes qu’ils représentaient. Mais il apprendrait le plus important plus tard. Hérudae remonta sur son petit chariot et attendit que le convoi reprenne la route. Il réfléchissait à ce qu’il allait faire en ville quand la caravane ralentit aux abords de la ville. Hérudae examina la raison de cet arrêt quand il remarqua les gardes s’approchant des chariots. Et il se remit en tête ce qu’avait dit le nain avant de partir. Sur les relations d’amour qu’avait le seigneur Nasher de Padhiver pour les représentants de Luskan. Il est vrai qu’il pouvait donc être fouillé avec plus d’attention en raison de sa ville de destination, bien que celle-ci ne soit qu’une ville de passage. Le voleur réfléchit donc à ce qu’il avait à dissimuler. Ses petits outils eux étaient bien à l’abri et la seule chose qui pouvait être gênante était le collier des masques de la nuit. Mais celui-ci était simplement dans une bourse. Si jamais la conversation venait sur la table alors il lui faudrait parler du sauvetage du convoi attaqué et de la fouille des assaillants.
Mais autre chose revint en mémoire du jeune homme, justement à cause du collier. Ces masques de la nuit s’installait dans la région et pouvait s’intéresser à cette caravane. Peut-être l’un des gardes approchant étaient un espion de ces hommes. Il faudrait à Hérudae surveiller la fouille des gardes et voir leurs réaction ou leurs méthodes. Puis il prit l’attitude d’une personne qui arrive enfin dans un endroit calme où il pourra se détendre et où la sécurité est si importante et présente qu’on se sent en sécurité. C’est pour cela qu’il fit ce que chaque archer ou arbalétrier effectue quand il rentre chez lui, il retira la corde de son arbalète. Un petit geste anodin, qui n’est effectué que pour préserver la corde de l’usure, mais qui prouvait qu’il n’avait pas l’intention de s’en servir dans cette ville si paisible.
Le jeune homme fit donc son petit exercice tranquillement assis sur la banquette du chariot, heureux comme quelqu’un qui rentre à la maison. Et si jamais un soldat lui demandait pourquoi il semblait si heureux, il lui expliquerait qu’après plusieurs jours de voyage sous la pluie, il allait enfin pouvoir se réchauffer auprès d’un bon feu, manger un bon repas, boire un bon verre et surtout en charmante compagnie. Tout en ponctuant la dernière partie de son explication d’un clin d’œil complice d'homme qui aime la compagnie des femmes.
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Aventurier
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Pour la seconde fois, il était fait mention de Jeb, l’homme qu’ils devraient trouver dans la cité de Padhiver. Et même si les dirigeants de l’organisation affichaient une bonne humeur de façade, il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que les mauvaises nouvelles envoyées par celui-ci n’avaient pas été complètement résolues. Se jetait-il dans une guerre ouverte entre organisations de l’ombre ? Le médaillon dévoilé par Hérudae pouvait en effet le laisser penser et cette idée l’avait effleurée à quelques reprises ces derniers jours sans entamer son envie de continuer le voyage prévu. En jetant un œil sur les contrôles qui se passaient en amont, Malig se ravisa. Apparemment, la vie était plutôt calme pour les gens du commun sinon la ville serait sous loi martiale et les portes de la ville ne seraient pas gardée par une poignée de malheureux gardes fussent-ils bardés des plus lourdes armures et des armes les plus rutilantes.
Assis aux côtés de celui qui menait la première caravane, il se mit à feindre la somnolence car après tout, le voyage aurait été éreintant si Cornebois n’avait pas fait ses petites améliorations au niveau des roues du convoi. Il avait arrangé ses atours dans l’optique de paraître fidèle au stéréotype du Calishite de telle sorte que les gardes ne pourraient manquer de le cataloguer comme un des nombreux marchands à la peau basanée qui sillonnaient en tout sens Faerun.
Ses vêtements étaient immaculés, sa cape de laine débarrassée magiquement des salissures du voyage et ses agrafes luisantes étaient autant de signes qui imitaient l’opulence de ses compatriotes. Quelque part derrière lui, dans les carrioles, il espérait qu’un homme devait prendre les traits de son cousin Abden Ahmad qui se devait de l’accompagner.
¤ Peu de chances qu’un des gardes soit capable de déceler quoi que ce soit sur les membres de cette équipée. A moins que l’un d’entre nous soit déjà connu dans cette ville pour vol ou violences… Mais Hérudae avait parlé de cette ville comme d’une inconnue, reste donc en lice Phélès. ¤
Pour l'infâme, un brasier Pour la femme, un baiser Réputation 9
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Capitaine
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Vingt-huitième jours du temps des fleurs année de la magie sauvage (28 Kythorn 1372) Lieu: avant l'entrée de Padhivers Temps: nuage gris et vent froid Moment:mi-journée-Halte là !!! Cria l’un des gardes au moment ou la première charrette arriva à côté des portes de la ville. Il s’approcha de l’exilé et commença à poser ses questions. Bonjour a vous, que venez vous faire dans notre ville et surtout d’où venez-vous? | | -La bonne rencontre à vous! Mes amis, mon cousin et moi-même venons vendre nos marchandises à un marchand de chez vous appelé Jebeddo. Il avait désigné les trois autres charrettes et avait terminé par Malig en le désignant comme son cousin, il avait prit une voix aimable et douce. Nous arrivons de Luskan ou nous y avons vendu nos produits, avec du mal vu le manque de civilité qu’à cette ville, c’est pour cela que nous sommes heureux d’arriver dans une ville comme la votre, civilisée et habitée par des gens courtois.
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Voici un des membres du Réseau des Éxilés du Cercle de l'Ouroboros. Ils arborent souvent de longs manteaux de couleur sombre, soit noirs, soit bleus, pour cacher leurs traits. Leur capuche est toujours rabbatue sur leur visage, de façon à cacher leurs yeux, et ils portent parfois même des bandeaux qu'ils nouent au bas de leur visage. Ce sont des gens discrets, professionnels, et leur langage est parfois incompréhensible, ce qui déroute quelque peu les novices... |
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Pendant que le garde parlait avec l’exilé, deux autres firent le tours du convoi pour l’inspecter, ils regardèrent dessous, dessus et même à l’intérieure, comme personne ne les empêcha de faire leur travail, tout cela se passa assez vite. La situation se compliqua quand ils vérifièrent l’armement visible de certain, à ce moment il regardèrent les personnes en questions et leur expliquèrent les règles à tenir à l’intérieure de la ville.-Nous vous prions de bien vouloir, mettre vos épées aux fourreaux et les liées avec de la cordelette comme celle-ci. Il montra des morceaux de cordelette d’orées. Les arcs doivent avoir leur corde démontée, les bâtons eut doivent être ranger dans une housse et mit dans son dos, de plus je tiens à vous prévenir que la magie et strictement interdite dans l’enceinte de notre ville, si l’une de ces règles et transgressé vous allez tout droit dans un cachot. Le discours fait, la fouille terminée elle aussi, les gardes laissèrent entrer le convoi dans la ville. Une fois à l’intérieur, le bruit de l’agitation des grandes villes arriva aux oreilles du groupe, les rues était juste conçues pour le passage d’une carriole de front, sur le bas côté devant certaines enseigne des étales étaient dressées, à d’autre c’étaient des crieurs qui faisait les mérites de ses produits, les senteurs de viande griller, de fruit et d’épices s’élevés dans les airs. Le convoi se dirigea tout de suite sur son but, il ne fit aucun arrêt, il passa devant la caserne militaire de la ville ainsi que devant le port, il passa aussi sur une grande place ou se jouer plusieurs spectacle de rue.
Parfois il faut se cacher dans l'ombre pour dénicher le mal ou ses secrets.
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