Une amulette vaut mieux que ..., Même les morts n'ont pas de repos

La journée était d’une beauté merveilleuse. Iliana avait paressé toute la journée, après sa courte visite de la ville, près d’une source sous un arbre. La chaleur avait été des plus agréables sous la brise et l’ombre de ce grand arbre. Nephenie était couchée a coté d’elle, dormant, somnolant, elle seule le savait.
-Ils étaient marrants ces petits-enfants, on aurait dit qu’ils avaient peur de toi. Toi qui ne ferai pas de mal à une mouche, tan qu’elle ne mange pas au même râtelier que toi. Hahaha, allez te vexe pas, je rigole tu sais bien.
Pfouaaaaaaa…… C’est quand même une bonne journée qui se termine. Regarde ce coucher de soleil. Cela faisait longtemps qu’on en n’avait pas vu des comme celui la hein ?
Haaaaa…… Et en plus on a du travail, c’n’est pas merveilleux tout ça ? On va pouvoir reprendre la route une fois nos poches un peu plus fournies…Un travail…C’est bizarre, j’ai le sentiment d’oublier quelque chose…
A ces mots, la louve sursauta et attrapa la poche de sa compagne où il y avait la pierre blanche.
’ ’
Sans rien ajouter de plus, elle se leva d’un bond, se rafraîchit la tête avec l’eau de la source et se mit à courir comme une dératée en direction de l’auberge des marins désenchantés.
La ville était encore pleine de monde malgré l’heure tardive et c’est tout essoufflée apres un parcours déjanté qu’elle arriva devant la dite auberge, ruisselante de sueur, la louve dans le même état.
Elle ne prit que quelques secondes pour reprendre son souffle, le soleil avait déjà fini de se coucher depuis quelques minutes déjà.
Elle ouvrit la porte dans un claquement faisant sûrement sursauter les poivrots en tout genres de l’assemblée, essuyât quelques huées des marins mécontents de cette perturbation de leurs merveilleux chants.

(Chondathan)-Continuez messieurs, ne vous occupez pas de moi, j’adore vos chansons, allez-y je vous en prie.
Tout en parlant elle fonçait vers les escaliers, écrasant aux passages les quelques loques qui traînaient par ci par là.

Elle monta les marches quatre à quatre, louve toujours derrière elle.
Arrivant dans la bonne salle, elle n’eut pas trop de mal à reconnaître la table, elle avait déjà repéré le semi-trol ou semi-orque, peu lui importait, et la belle elfette. Les autres lui étaient aussi familiers sauf le nain avec la barbe tressée, mais sans plus.
La table était bien celle indiquée, il n’y avait plus qu’une chaise de libre.
Elle s’y installa sans autres formes de procès qu’en posant son postérieure dessus.
La louve pris sa place habituelle, juste a coté de la jeune femme, mais cette fois-ci, elle s’était couchée pour reprendre son souffle.

(Chondathan)-Bonjour tout le monde, je suis désolé pour ce retard, j’n’ai pas vu passer le temps et vous ça va ? Puis regardant d’un œil inquisiteur les autres
(Chondathan):-vous me comprenez quand je parle ? Non il ne semble pas, bon ba ça va être exotique cette histoire.

(Druidique)-Et si je parle comme ça, je suis plus claire pour au moins l’un d’entre vous ? Non plus, bon bah bonjour quand même.
Son air fatigué de la course et les quelques brindilles d’herbe qui ornaient sa chevelure devaient lui donner un air un peu de paysanne, mais elle s’en fichait pas mal, la douche serait pour plus tard.

MJ

Le nain resta le regard plongé dans ces pensées jusqu’à l’arrivée de la druidesse.
Un silence glacial régnait à l’attablée. Trois hommes avaient grimpé l’escalier pour tenter de rentrer dans la pièce mais à chaque les deux videurs les rattrapèrent. Le nain montrait des signes de tension assez palpable, ayant déjà esquissé des gestes de la main droite comme pour se tenir prêt à dégainer sa dague.
Une fois la femme assise, il se redressa sur sa chaise et regarda fixement ses invités du soir.
-(Commun) Si vous venez pour le contrat de Soliale, c’est bien ici, sinon déguerpissez avant que je ne me fâche.
Sa voix était posée et grave. Ses yeux quasi-noirs semblaient vouloir transpercer celui ou celle qu’il regardait. Son visage portait une vilaine cicatrice violacée sous l’oreille droite. Un simple anneau en or jaune passait au travers du lobe de l’autre oreille.
Il attendit une longue minute pendant laquelle il dégaina finalement son arme pour se curer les ongles. La dague, arborant sur sa lame d’étranges symboles elfiques, était une véritable œuvre d’art. Plusieurs joyaux bleus et verts étaient enchâssés dans le pommeau et la lame semblait faite en mithril. Une étrange aura bleutée entourait l’arme et lorsqu’il se la passait sous les ongles, ceux-ci se recouvraient de givre. Il regarda l’elfe attablée face à lui et lui adressa un superbe sourire, un peu édenté.
-(Commun) Mon patron, Vilgershoffer l’intendant, s’est fait dérobé il y a deux jours une broche. C’est un bijou transmis de père en fils de générations en générations depuis plus de deux cents ans. Il est sûr que c’est un vil coup bas d’un de ses concurrents de la ville, pour lui attirer le mauvais œil et faire chuter ses affaires et son bénéfice. Déjà hier soir, une des ses caravanes a été attaquée à une quarantaine de lieues au sud et pillée il va s’en dire. Il y voit un signe probant de ses futures difficultés commerciales. Dans deux jours, il doit passer d’importants accords commerciaux et sans ce bijou, tout lui semble compromis. Le nain pesait ses mots, parlant assez lentement pour que tous puissent suivre mais sa voix couvrait à peine la musique de la barde.
-(Commun) Voilà un croquis du bijou. Il sort de sa poche une feuille de parchemin pliée en quatre sur laquelle était dessinée assez joliment, en couleur, une broche d’environ dix centimètres en forme de feuille de chêne avec un éclat de diamant au bout de chaque lobe. "La feuille est faite en pierre semi précieuse dont je ne me souviens plus du nom", avoua le nain.
-(Commun) Si vous voulez être payés, alors ramenez ce bijou d’ici après-demain à midi, soit deux nuits et une journée et demie. Mon patron vous octroiera cent pièces d'or et peut-être considèrera-t-il un bonus si l’objet lui revient très vite.
Le nain regarda les aventuriers et avant qu’un seul ait le temps de prendre la parole, il s’empressa d’ajouter : "Oh là, je vous vois venir avec vos petites mines. N’essayez même pas de me soutirer plus car primo je n’ai pas le pouvoir de vous donner plus et deuxio je considère que c’est déjà trop payé". Et il esquissa un sourire en coin assez évocateur.
- Les indices que l’ont a relevés jusque là, nous ont mené vers Arbald le borgne, un vulgaire cambrioleur de grand-mères qui se terre le plus souvent dans les quartiers miteux de la ville au nord.
Vous comprendrez, ou pas d’ailleurs et je m’en contrefous, que nous ne pouvons pas agir en personne, aussi faites ce que vous avez à faire pour ramener le bijou et si vous rossez l’auteur du crime, il y aura un petit supplément personnel. Ah ah ah.
Il marqua une courte pause comme pour enfin laisser le temps aux aventuriers de poser leurs questions mais enchaîna : "Comme vous n’avez pas d’autres questions et que je n’ai pas davantage de réponses, je vous laisse à vos discussions".
Le nain se leva et glissa les deux dagues dans leurs fourreaux respectifs, fit craquer son cou de part et d’autre et remis sa chaise en place.
- Je serai là dans deux jours à midi, pas avant. Soyez là et l’argent sera le vôtre.
Le nain salua la tablée de la tête et partit vers l’escalier.
Arrivée devant la barde, il jeta quelques piécettes dorées dans son chapeau et la remercia :
-(Elfique) Bon boulot ma belle, comme d’habitude. Passes le bonjour à ton coureur de jupons de père et embrasses ta mère pour moi ma fillotte.
Il se retourna vers les aventuriers : "N’attendez pas trop longtemps, une seconde équipe prend en se moment même le chemin du départ depuis une autre auberge de la ville".
Et il partit en riant.

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Vos post doivent commencer de là et pas plus en amont. Merci

Voyant le nain partir en riant, Narvath se tourna immédiatement vers l'elfe, l'implorant du regard, il lui adressa la parole.

Il avait compris qu'il s'agissait d'un vol, cela de par son entretien avec la serveuse, et par les renseignements donnés plus tôt par le marchand lors de son arrivée à Padhiver.
A cause de sa petite taille tassée sur la chaise, il n'avait qu'a peine entrevu le dessin qui avait été posé sur la table, mais le bijou qui y était représenté lui avait paru splendide.
¤En tout cas il est connu en ces lieux, vu comme il a salué la barde elfe.¤
Il avait compris un semblant de nom, Vielgeurchaufeur, surement leur employeur, ce nom ne lui disait rien, surement d'origine locale. Regardant ses compagnons, il se douta qu'il était le seul à n'avoir rien compris de l'entretien d'embauche et il espéra que tout n'allait pas se dérouler de la sorte.

Elen'ira avait été fascinée par la dague du nain et si elle avait osé, elle lui aurait bien demandé de le lui montrer. Le bijou à récupérer était lui aussi superbe... Et l'elfe s'y connaissait en jolies choses et travail d'orfèvres...

Une petite voix la sortit de ses pensées et elle se tourna vers l'halfelin qui quettait son aide pour comprendre. Elle haussa un sourcil surpris, avant de répliquer :

- (elfique)"Vous ne parlez pas le commun? Ca va être pratique..."

Elle soupira, puis lui adressa un beau sourire.

- (elfique)"Je m'appelle Elen'ira. Bon, je vais essayer d'être concise et de ne rien oublier."

Elle s'interrompit avant de lançer à ses autres compagnons.

- "Ce jeune halfelin ne parle pas le commun... Je vais lui traduire ce que vient de nous dire Messire Nain."

Après, ils pouvait toujours croire ce qu'ils voulaient quand à leur échange.



Elle se tut et regarda le halfelin, attendant des éventuelles questions ou éclaircissements.

Iliana attendit que l’elfette finisse la traduction avant de continuer sur une pointe d’humour pour dérider un peu ses convives.
(Commun)- Et bien il aurait dû être encore plus aimable celui là. Bon donc dans l’idée on a que deux jours pour trouver cette magnifique broche et nous n’avons qu’un nom pour le moment, un certain Arbald le Borgne, ce qui nous indique déjà qu’il est borgne, et un endroit de la ville. Ca fait un petit peu léger non ?
Iliana s’adossa nonchalamment sur son siège en ébouriffant sa chevelure noire, faisant tomber quelques brindilles de-ci de là, s’étira un grand coup, baya aux corneilles et se concentra un instant.
*Bon ba ça va pas être la joie, il semble qu’en plus celui la ne comprend pas les autres à part l’elfette. J’ai aussi comme des doutes quant à la capacité de réflexion de cette grosse barrique verte. Mais pour les deux autres, ça devrait aller, il me semble, même si celui-là n’entrave que que couique quand ça parle.*

(Commun)- Bon alors, on va déjà s’éviter les présentations fastidieuses et prolongées, je suis Iliana, enchantée, et voici Nephenie, , la louve se redressa à l’appelle de son nom pour que tout le monde la voie bien,, enchantée également j’en suis sure. Je vous propose donc de donner votre nom lorsque vous prenez la parole, cela éviterait de s’appeler par de petits sobriquets ridicules pour le moment.

Elle fit une petite pause et enchaina juste apres avoire repris son souffle.

(Commun)-Bien, *maintenant les choses sérieuses,* j’aime pas trop lancer les sujets qui fâchent mais quelqu’un a t il une idée particulière ou on se lance juste à la chasse aux borgnes dans le nord de la ville pour, comment dire, discuter un peu de notre affaire ?


Deux jours, il ne fallait pas perdre de temps, a peine 60 heures, ça fait très court pour mener une investigation comme celle là. Mais au moins ils avaient déjà une piste.
Iliana devait paraître comme une petite paysanne excitée mais peu lui importait, elle se fichait totalement de l’avis des autres sur elle. Elle avait un but précis et elle ferait tout, ou presque, pour y arriver.
La nuit n’était pas encore trop entamée et sa sieste de l’après-midi l’avait mise bien en forme. Après tout ils cherchent un homme, voleur de grand mères, il serait probablement dans une auberge, et les auberges sont pleines de monde à qui demander son chemin facilement une foi la soirée entamée.

t voilà... Toute cette histoire pour un bijou... De plus il fallait d'empresser de le ramener s'il ne voulait pas avoir perdu deux jour coûteux en temps et en énergie pour rien. Voilà qui s'annoncait pour le moins original... De plus, parmis sa petite équipe, le demi-orque semblait perdu dans les explications pourtant lentes et claires du nain... Mais pas autant que l'halfelin qui paraissait totallement noyé dans l'incompréhension la plus totalle...
Mais bon, maintenant il ne pouvait plus vraiment faire demi-tour, et puis il fallait se dire que l'union faisait la force... Il avait entendu la présentation de l'humaine, il aurait donc à l'appeler Iliana, elle avait aussi présenté son animal. Mais celui ci il prefererais ne pas avoir à l'appeler. Il ne lui manquait donc plus que le nom de l'halfelin, c'est pourquoi il entama une présentation sommaire :
(Commun)- Donc nous voilà tous dans la même galère n'est ce pas ? Comme notre petit ami n'a pas l'air de comprendre, je vais me présenter pour toi Iliana, mon nom est Suthek, prêtre errant de Duin. J'espère pouvoir conclure cette mission avec brio, car bien que ça ne paraisse pas bien difficile, il me semble que nous sommes un peu court en temps...

Il fallait retrouver Arbald le borgne maintenant, et au plus vite car un petit voleur comme il a été présenté n'a que peu de chance de travailler seul... Et donc la mission en serait d'autant rallongé dans la durée. Il proposa donc à l'elfe de servir de traductrice...
(Commun)- Il nous faut partir vite, je propose qu'on aille se trouver un lit directement dans les quartiers nord de la ville si cela existe, si nous y sommes assez tôt nous pourrons prospecter déjà bien avant demain, ce serait une avance non négligeable...
¤J'ai vraiment pas envie de perdre mon temps, j'espere qu'ils sont motivés... Si cette mission échoue, je perd mes petites reserves et je devrait me trouver un travail pour un bon mois avant de reprendre la route. Peu admissible à mon sens.¤

La brève explication de la fine Elen'ira apporta tout de même des précisions à Narvath, il savait maintenant pourquoi il était embauché, et combien de temps ses nouveaux compagnons et lui avaient pour mener cette tache à bien. Son petit cerveau lui rapellait l'urgence de la situation, et il voyait également le nain et l'humaine monter quelques projets pour commencer au plus tôt les prospections.
N'étant pas sur que l'elfe l'ai bien compris lors de sa présentation dans l'aprés midi, Narvath se repris en elfique.
(Elfique): Je suis enchanté de faire votre connaissance belle Elen'ira, je suis Narvath Languelion, barbare halfelin élevé aux monts Trempfeu, loin à l'est d'ici.
Dans le même temps qu'il se présentait à l'elfe, il entendit que la barde avait fait une pause dans sa préstation. Il abandonna quelques instant ses compagnons pour accoster l'animatrice elfe.
(Elfique): Veuillez m'excuser de vous déranger noble dame, je ne souhaite vous importuner que quelques instants, voyez vous, mes amis et moi, il désigna la tablée derrière lui en tendant légèrement le bras en leur direction, sommes de nouveaux arrivants à Padhiver, nous ne nous repèrons pas vraiment bien dans cette belle ville, et nous avons affaire à un certain Arbald le borgne, on nous a dit qu'il était intallé au nord de la ville. Votre ami nain de tout à l'heure souhaite que nous rencontrions très rapidement ce "borgne", pourriez vous, s'il vous plait, nous y aider. Je n'ose pas vous demander de nous mener jusqu'à lui, mais si à tout hazard vous pouviez nous indiquer quelqu'un qui serai à même de le faire, nous serions vos obligés.
Narvath était heureux de pouvoir s'exprimer pleinement, il avait choisi ses mots de façon, lui semblait il, plaisante pour une barde elfe.
¤Si elle ne peut pas nous renseigner, malgrès la forte probabilité qu'elle connaisse toute sorte de gens de tous bords, des habitués d'une taverne de ce genre, les habitués du bar en bas pourront peut être nos aider en échange d'une dernière choppine.¤

Elen'ira sourit devant la présentation que lui fit l'halfelin.

- (elfique) "Pour un barbare, vous maniez drôlement bien le verbe. C'est assez étonnant."

Elle avait écouté les autres se présenter et commençer des ébauches de plan. Puis, le halfelin avait héler la petite barde en lui demandant de l'aide. Elen'ira en profita pour parler.

- (commun) Désolée, entre lui et vous, j'ai du mal à suivre. Je m'appelle Elen'ira, elfe de lune magicienne, pour vous servir.Et le petit messire ici présent s'appelle Narvath, barbare halfelin au langage châtié. Il a demandé à la barde si elle connaissait ce borgne et si elle pouvait nous indiquer où le trouver."

Elle se tourna vers le halfelin et lui présenta rapidement les autres.

- (elfique) "Nos compagnons s'appellent Illiana pour la femme, elle est druide et sa louve s'appelle Néphénie. Le nain, c'est Suthek : prêtre. Quand à la grosse chose verdâtre, je ne sais pas et je m'en fiche."

¤Si je dois tout traduire à chaque fois, je ne suis pas sortie de l'auberge moi...¤

- (commun) "Aucun de vous ne parle l'elfique? Un peu d'aide ne serait pas de refus..."

Elle soupira.

POST (FICTIF) DE GRAL

Gral se gratta la tête un long moment après le départ du nain. Il regardait la louve, lâchant de petits grognements comme pour l'intimider.
Il n'avait pas tout saisi sauf qu'il fallait estourbir un voleur de bijou, le truc dessiné sur la feuille, et ramener l'objet après demain. Et que d'autres faisaient la même mission, donc il y aurait de la baston car pognon rime toujours avec baston.
Il souriait béatement à l'idée d'éclater le crâne d'un de ces humains si chétifs qui trainaient sur le port.
Il écouta les autres se présenter mais leur niveau de language le dépassait de loin.
¤ Bon humaine appelée Iliana avec loup, elfe Hélène mais pas compris où elle vouloir aller, petite homme Narvat et nain Zuthek ¤
-(Commun balbutiant) Moi Gral, semi-orque venir de loin. Moi pas avoir tout compris mais prêt à aller chercher jolie feuille.
Gral se dressa de toute sa hauteur et saisit sa lourde hache. "Bon allez, quand nous partir. Nuit bonne pour chercher voleur. Gral est content, Gral a un travail."

MJ

Les clients de l'étage prirent peur en voyant l'orque saisir sa hache. L'un deux glissa sous la table tandis qu'un autre s'engouffrait dans l'escalier.
Les chansons allaient bon train en bas et les cris du coeur des marins afférés autour des demoiselles rendaient quasi inaudible la réponse de la jeune barde.
-(Elfique) Bien le bonsoir voyageur. Elle paraissait surprise qu'il maitrise aussi bien sa langue. "Vous vous adressez à la bonne personne à n'en point douter. Offrez moi donc un verre de vin fin, que je puisse me restaurer après autant d'efforts pour si peu de reconnaissance". Elle lui souria timidement laissant trainer son regard vers son chapeau presque vide. "Ensuite nous pourrons parler plus avant de l'affaire qui nous intéresse. Je connais bon nombre d'endroits et de personnes en cette cité".
L'elfe était tout simplement splendide. Ses formes parfaites et ses atours légers rendaient sans aucun doute plus d'un homme fou. Sa voix était douce, calme, mélodieuse ... enfin Narvath était sous le charme.

Elle fit quelques pas pour s'attabler en lieu et place du nain parti plus tôt et souria à la mage.
-(Elfique) Ravie de vous rencontrer, Elen'ira c'est cela ? J'ai cru percevoir votre si joli nom au travers de vos discussions.
-(Commun) Je me nomme Liriel, mais on me connait plus ici sous le nom de Chante-lune, du fait que je compose mes nouvelles ballades lors des nuits de pleine lune. Mais ceci est une autre histoire. Je suis ravie de vous rencontrer, enfin presque tous, dit-elle en jetant un regard de dégoût à Gral.
Elle se releva prestement, "Oups j'allais oublier" et elle se dirigea vers l'escalier et hurla "Soliale, montes nous une de tes bonnes bouteilles ma jolie, et prestement, j'ai des affaires sur le feu."
Elle revint à la table en s'excusant pour ce désagrément.
-(Commun) Vous cherchez le borgne alors ? Oh, il est pas toujours facile à dénicher l'affreux mais il a ses petites habitudes ou plutôt mauvaises habitudes. Comme tous les hommes, et elle éclata de rire.
Bon parlons affaires, je prend un cinquième de votre contrat et je vous explique comment le débusquer avant le lever du jour.
Soliale arrivait déjà à la table et déposa un plateau avec une bouteille et six gobelets. Elle souria à la tablée
-(Commun) Heureuse de vous voir tous ici ! Bonne soirée, et elle repartit en trottinant vers l'escalier, "Voilà voilà, j'arrive, Non pas pour lui, il n'a plus de quoi payer, Grokar, fous le moi dehors de suite faignant."