Le trésor de Guerrak Olecham

Narration

Tous

Les fumées commençaient à faire leur effet. Mais si elles permettaient une bonne manoeuvre de diversion, elles jouèrent aussi un mauvais tour à notre pirate. Tout le monde avait vu Tourment mettre le feu à l'huile sur le pont. Des voix se firent entendre un peu de partout. Toutes refletaient le même sentiment:

"Il est avec eux, c'est un traître."

Tout ce remus ménage, attira inévitablement l'attention des détenteurs de l'autorité adverse. Alors que Lazarus revint bredouille de son escapade, il suivit Ulysse au travers des flammes et de la fumée. Tourment eut à peine le temps de voir que le boiteux l'avait reconnu et l'avait signalé à ses deux acolytes. L'oeil put voir aussi le visage de la femme un peu plus clairement. Oui il avait déjà vu ce visage auparavant, il ne pouvait oublier celle qui s'était échappée de la chambre en Athkatla. Elle l'avait également vu mais restait impassible. Leurs regards se détournaient d'eux pour chercher quelque chose d'autre. Falarius surgit de nul part et sauta dans la chaloupe secouant vivement celle-ci. Golnam en faillit presque tomber à la renverse. Ulysse et Lazarus arrivèrent aussi à sa hauteur quand ils furent pris à partis par deux assaillants. qui venaient de se débarasser de leurs adversaires.

Initiative
Lazarus 19
Ulysse 18
Pirate 1 16
Pirate 2 13

¤ L’enfoiré hé !¤

Falarius était passé comme un coup de vent, sans même un regard ou un soutient, ce sale macaque aurait mérité de se prendre un coup de fouet en passant, car des pirates allaient bientôt fondre sur Tourment, et eux aussi allaient connaître la joie que procure un fouettage en bonne et due forme.
L’œil était revenu entre temps, et heureusement, car le temps pressait, d’autant plus que le gros lard les avaient vu.
Ulysse se fichait bien de ce que pensaient les autres, à savoir s’il était un traître ou pas, mais il ne voulait pas être bêtement tué pour de la racaille pareille.

- Allez bouge toi, la chaloupe est en bas, fais comme le père Fala et saute dedans, pis surveille le gaillard, quitte à lui foutre le couteau sous la gorge.

Ulysse regarda faire son frère sauter en premier. Il était inutile de rester, car à vouloir combattre les deux adversaires, cela aurait fait gagner du temps au boiteux pour rappliquer ici, et cueillir nos deux loustiques. De plus, Tourment ne se serait pas étonné de voir traverser des carreaux à travers la fumée épaisse, et le feu qui se propageait dangereusement, jusqu’à aller lécher le grand mât.
¤ Au moins ils n’auront pas l’navire, a moins de faire tomber une trombe d’eau sur sa gueule, et encore, il est bien endommagé.. ¤

Torche à la main, enfin panneaux de bois enroulés de bandes enflammées.. Ulysse s’accrocha au bastingage et balança son projectile vers les assaillants pour les ralentir. En un geste rapide, il passa par-dessus bord tout en restant collé à la rambarde pour éviter les carreaux, et rejoignit le groupe en bas.

e nain vit bientôt de la fumée s'élever du pont, ne sachant pas si cela était encourageant ou pas (il penchait d'ailleurs plus vers le "pas"), il fixait d'un oeil inquiet la rambarde en attendant de voir l'un de ses compagnons d'escapade quand soudain il aperçu une silhouette sauter par dessus le rebord, les vêtements bariolés caractéristiques du dénommé Falarius. Lorsqu'il arriva dans la barque, Golnam faillit culbuter, il s'exclama :

- Joli amerrissage ! Mais z'auriez pu faire un peu plus attention tout de même ! J'ai failli me retrouver pieds par dessus tête ! Mais puisque vous êtes là je vous offre les rames ! Je ne suis pas marin et encore moins rameur, vous saurez mieux que moi vous en servir !

A ces mots le nain passa vivement les rames à l'homme et se remit à guetter le ciel quand un autre des compères passait par dessus bord, l'homme au bandeau, puis peu de temps après le dernier homme. La troupe au complet, Golnam pesta :

- Ah ben il était temps sacrebleu ! Déguerpissons en vitesse ! C'est pas le moment de croupir ici ! Ca sent le roussit et avec toute cette eau ma barbe va friser ! ... Mais content de tous vous voir !

A ces mots il lança un bref sourire ponctué d'un clin d'oeil avant de récupérer un panneau de bois, qui n'avait pas été fixé, au fond de la chaloupe pour protéger leur fuite.

Narration

Tous

Lazarus battit en retraite suivit de près par son compagnon. Les deux assaillants ne voulaient pas vraiement s'occuper non plus de nos compères. Sans doutes le feu qui se propageait assez rapidement sur la surface du bateau avec le leur qui était menacé à son tour. La bataille avait été rapide et rondement bien mené. Devant les dégâts et l'absence d'espoire de vaincre, l'équipage dont ils avaient fait parti que quelques jours se rendait. Très vite la fumée envahit le pont et plus rien ne pouvait être distingué sur le navire. L'équipage hétéroclite s'éloigna rapidement. Tout ce qu'ils purent voir fut le navire adverse qui se dégagea du piège dans laquelle il se trouvait. Falarius et Golnam ramaient le plus fort possible pour mettre le maximum de distance entre eux et le lieu de l'attaque. Au bout d'une bonne scéance de transpiration seule la fumée pouvait encore se voir. L'homme et le nain cessèrent leur effort, fatigués et à bout de souffle. Lazarus prit la parole à l'intention d'Ulysse.

"Bon c'est très bien tout cela mais on va où maintenant ?"

Le Soleil était encore haut dans le ciel mais continuait à décliner. Dans trois ou quatre heures il ferait nuit et pendant ce temps là, ils seraient tranquille enfin du moins leur poursuivant aurait les pires des difficultés à les localiser.

Ulysse se leva et relaya l’un des deux rameurs, et souqua fermement le plus loin possible du navire enflammé.

- C’qu’on fait ? j’en sait fichtrement rien, j’en suis au point où je sais même plus pourquoi on en est là aujourd’hui, tout c’qu’on devait faire, c’est retrouver les deux babouins et aller aux Nélanthères, mais c’est eux qui nous ont r’trouvé en premier..

Tourment marmonna dans sa longue barbe et secoua la tête. Il lâcha les rames quelques instants pour aller récupérer sa boussole dans ses affaires. Il regarda le ciel quelques instants, puis sa boussole, et reprit les rames pour réajuster la direction de l’embarcation. Ils allaient devoir ramer ferme pour aller rejoindre la terre ferme, car rester au milieu de ce désert bleu n’était pas la chose la plus intelligente à faire, d’autant plus que la nuit allait bientôt tomber. Cependant, le voile noir du monde leur serait utile pour se repérer, en plus de la boussole. Plusieurs cas étaient envisageables, comme la possibilité qu’un navire puisse les reprendre, malheureusement, l’endroit n’était pas propice à de bonnes rencontres...

- Nous « naviguons » vers les Nélanthères, c’est approximativement le seul endroit qui soit proche et qui possède au moins un port. Une fois sur la côte on aura peut être plus de chances de s’en sortir, continuer notre chemin, se fondre dans la masse et trouver un navire, ou continuer ce pourquoi on est là.. J’aurais deux questions à soumettre cependant. Regardant Golnam et Falarius tour à tour, Ulysse fixa ce dernier pour poser ses questions. « Personnellement, moi et l’« œil » avons un compte à régler avec les pouilleux qui nous ont arraisonnés, et qui se trouvent être les rejetons d’Olecham.. les connaissez-vous ? et seconde question, qu’allez-vous faire à présent ? »

Toujours le regard planté dans celui de Falarius, l’homme qui saute plus vite pour fuir que n’importe qui, Ulysse guetta une quelconque réaction de sa part, puis observa ses mains.

¤ j’me demande où est le frère de la p’tite Krelina, on l’a toujours pas vu, enfin, pas reconnu.. ¤

oulagé d’être relayé après avoir ramé tant bien que mal, usant ses forces plus que de nécessaire, Golnam poussa un soupire d’épuisement. Décidément la journée avait été rude et le résultat, peu encourageant. Mais le principal était qu’ils étaient sains et saufs, pour le moment tout du moins. Le nain prit la parole d’un air détendu et détendant :

- Personnellement, dès le début de cette croisière je ne savais pas où j’allais, je ne sais même pas qui peuvent être ces « babouins » dont vous parlez. Permettez-moi de me présenter convenablement : Golnam des Nains, voyageur et barde de mon état, je vais mon chemin sur la terre et même sur la mer afin d’enrichir mes connaissances et accessoirement celles concernant mon peuple, les Nains d’Écu. J4ai à présent moi aussi une dent, pour ne pas dire la mâchoire entière, contre ces brigands qui nous ont attaqué. Si je peux donc vous être utile d’une manière ou d’une autre, par ma barbe je vous suivrai et ferai de mon mieux, en particulier pour botter leurs fesses de chiens galeux ! J’en fais le serment !

Tendant la main vers Ulysse avec un regard franc et décidé, accompagné d’un sourire à la fois sympathique et carnassier, Golnam comptait bien suivre ces gars dans leur aventure, d’autant plus si cela lui permettait d’en apprendre plus sur le monde et sur les peuples de la mer. Il gardait dans son esprit ces informations qu’il avait obtenues, cette vague histoire de Cercle de l’Ouroboros et d’Océanides, en lien avec les origines du peuple des Nains d’Écu. Bien décidé à trouver sa place dans ce monde, fatigué de courir les chemins sans personne à ses côtés, Golnam ressentait le vide laissé par la perte de son jumeau, la personne dont il avait été le plus proche au monde.

Orphelin de son frère de sang, il voulait à présent trouver ses frères d’arme, ses frères d’âme. Et quelque chose le poussait vers cette mystérieuse confrérie, la promesse peut-être d’une famille…

Les paroles du marin résonnèrent dans son esprit :

¤Olecham… Olecham…¤
Connaissance bardique pour savoir si cela me dit quelque chose.

Narration

Golnam

savoir bardique 19(jet)+1(comp)=20

Profitant de ce moment de calme, Golnam réfléchissait. Il fouillait dans sa mémoire pour tenter de se rappeler d'une histoire ou d'une légende concernant Olecham. Très vite ses souvenirs se rassemblèrent dans sa tête et enfin il se souvenait. Oui Guerrak Olecham, comment cela ne lui était pas revenu plus tôt. Il y a de ça trois ans environs un pirate portant ce nom avait écumé les mers aux alentours des îles Nélanthères. Il était connu pour sa grande cruauté et s'était autoproclamé "terreur des mers". Il était accompagné par ses deux enfants Durlanor et Krélina. On disait de lui qu'il avait pactisé avec les diables car aucun bateau ne pouvait lui échapper. Il est évident qu'il a bien du amasser quelques richesses mais sa nature dépensière fait que les coffres plein d'or qu'il pouvait voler ne le restaient jamais très longtemps. Cependant les gens de la profession l’avaient finalement surnommé le maudit. Car vers la fin de sa carrière son comportement s'était considérablement modifié. Il se montrait de plus en plus clément avec ses victimes allant même jusqu'à laisser ses proies avec une partie de leur butin. Il était même allé jusqu'à défendre des navires assaillis par d'autres pirates de la région. Puis il disparut brutalement en même temps que son navire et son plus fidèle lieutenant Nittin dit le fougueux. Les enfants Olecham reprirent la profession de leur père en enrôlant une partie de son équipage sur un autre navire probablement "emprunté" et continue de sillonner les mers à la recherche du navire de leur père. Leur réputation de personnes cruelles et impitoyable commence à grandir dans les îles. Une autre source d'information avait fait parvenir à Golnam que le plus dangereux des enfants n'était pas celui qu'on croyait faisant référence à la fille cadette de Guerrak. Tous ces souvenirs en tête Golnam put donc conjecturer que d'après ce que disais Ulysse les Olecham étaient sur leurs traces et que l'un d'entre eux devaient posséder un objet qui les intéressait.

Ulysse,Lazarus

Les deux compères attendaient la réponse de Falarius. Celui-ci continuait de ramer avec Ulysse laissant peser un silence presque angoissant. Après quelques minutes qui parurent des heures il se décida à répondre.

"Pour dire toute la vérité je connais les Olecham également pour avoir eu à faire à eux dans le passé et notre rencontre n'a pas été très amicale. Moi aussi j'ai un compte à régler avec eux."

Une de ses mains alla machinalement se poser sur le collier qu'il avait autour du coup. Puis la retira rapidement lorsqu'il s'aperçut que les deux amis la regardait.

"Pour ce qui du futur, je pencherais pour une association provisoire entre nous quatre. Il semblerait que les bâtards d'Olecham en avaient après vous également. De ce fait il vaudrait peut-être mieux jouer cartes sur table entre nous. Plus nous en saurons les uns sur les autres et plus nous pourrons peut-être retrouver ces enfants de malheur."

C'était au tour de Falarius d'observer les trois hommes autour de lui cherchant sur leur visage un signe quelconque de leurs intentions véritables.

Ulysse regarda la main de Falarius flotter autour de son cou, à la recherche de son collier. Le pirate essaya de voir si le collier n’était pas en fait une chaîne où pendait une bague. Il soupira et donna encore quelques coups de rame assez puissants pour les propulser plus en avant. Il les lâcha, puis consulta de nouveau sa boussole. Il tapa du doigt dessus puis la fourra dans une de ses poches. Il craqua ses mains, puis retira son chapeau à large rebord et s’en servit comme d’un éventail. Il sourit intérieurement d’avoir pensé à prendre des vivres pour ce périple, car il s’annonçait long. Il prit enfin la parole pour répondre à Falarius, mais d’un ton mesuré, et presque prophétique.

- En réalité, je connaissais Guerrak de réputation depuis bon nombre d’années, mais son parcourt sanguinaire n’intéresse ni moi ni mes amis, enfin pas depuis son subite changement de cap peu de temps avant sa mort. Or, il se trouve que moi et l’«Œil » ici présent sommes tombés par hasard sur la cadette et le boiteux, alors qu’ils étaient en train de liquider l’un des leurs pour récupérer une carte qu’avait légué feu leur père, si j’me souviens bien. Comme tu as l’air d’être bon marin d’après ce que j’ai vu de toi, tu dois savoir qu’on ne laisse pas un autre marin se faire dépouiller sans rien faire, alors c’est comme ça qu’on s’est embarqué dans l’affaire. Entre temps, on a retrouvé un autre ancien marin au service d’Olecham, qui s’est fait empoisonné par la petite, et la piste nous a conduit ici. Apparemment, il y a aussi une histoire de bagues que Guerrak aurait laissé à ses gosses et à son lieutenant, et les bâtards essaient à tout prix de les récupérer. Le truc ironique là dedans, c’est que leur alliance n’est que temporaire, car une fois que leur butin convoité sera en ligne de mire, ils se tireront sur les pattes, et ce sera Krélina qui remportera la victoire, enfin selon moi déclara Ulysse en se lissant la barbe.

Tourment hocha la tête pour lui-même, il se désengourdissait les bras en attendant la nuit tombée, ainsi il pourrait retrouver Ieryn, l’étoile du marin, l’astre le plus brillant des cieux et qui indiquait le Nord. L’orientation serait alors bien plus facile pour retrouver les Nélanthères, de là, il faudrait trouver un port d’attache pour se restaurer, s’équiper, et glaner de nouvelles informations.

- Ha tiens, vous savez c’que c’est qu’tout ça ?

Ulysse désigna les plumes et la fiole qu’il avait trouvés récemment.

olnam passa un certain temps à compiler les récits, poêmes et chants ayant un lien avec Guerrak Olecham, lorsque la trame fut tissée, il passa en revue ses informations et les intégra. Un grand nombre de choses lui vinrent à l’esprit :

¤ Sapristi ! Ils ont bien parlé de la présence des rejetons d’Olecham parmi les pirates qui nous ont attaqué ?! Je l’ai décidément échappé belle ! S’ils ne m’avaient pas emmené je ne donnais pas cher de ma peau ! Si j’avais su dans quelle galère je m’embarquais en montant sur ce rafio… ! Tant pis c’est fait et je ne reviendrai pas sur ma parole ! Mais il est peut-être temps de mettre quelques choses au clair…¤

Éclaircissant sa voix dans un raclement de gorge destiné à se faire remarquer, le nain s’exprima :

- Puisque nous allons certainement rester quelques temps ensemble je pense qu’il faut que je sois clair : Je ne suis le subordonné de personne ici présent, je considère que vous êtes de bien meilleurs marins que moi, bien plus expérimentés, et à ce titre je donnerai tout le crédit qu’ils méritent à vos dires, vos conseils, vos suggestions, mais je n’accepterai pas d’ordres, seuls ma famille et mes amis peuvent m’en donner, pour le moment vous n’êtes ni de l’un ni de l’autre. Néanmoins je ferai preuve de toute la bonne volonté possible et vous donnerai mon aide volontiers si cela est demandé poliment comme maintenant...

A ces mots, Golnam commença à se concentrer, fredonnant une légère mélodie pour s’aider, ses yeux commencèrent à luire alors qu’il cherchait à détecter la magie pouvant l’entourer, son regard se concentra principalement sur les objets présentés par Ulysse, mais peut-être aussi d’autres objets présents laisseraient apparaître leurs auras…

Sort Détection de la magie

Narration

Golnam

A peine son chant terminé et ses quelques gestes simples sur les objets que lui présentait Ulysse, les trois plumes et la fiole commencèrent à briller. D'un rapide coup d'oeil il pu voir qu'une lumière venait également de l'intérieur des habits de Falarius. Se concentrant davantages, il put remarquer qu'il possédait tous une aura unique pour chacun d'entre eux. La fiole brillait d'un éclat relativement faible alors que l'aura des trois plumes étaient légèrement plus importante et identique entre elles. Ce qui venait de l'objet autour du coup de Falarius semblait un peu plus puissant mais à travers ses vêtements cela restait difficile à déterminer. Golnam essaya d'en savoir un peu plus et examina plus attentivement chacun d'entre eux mais son inculture en matière d'analyse magique lui était préjudiciable sur ce coup là. Tout ce qu'il pouvait donc en tirer c'était que tout ce qu'il avait vu briller était magique.

Tous

Le temps passait lentement et les assaillants Olecham ne semblait pas vouloir les poursuivre. La fumée, comme les deux navires, avaient disparu de l'horizon et la nuit ne tomberait que dans une ou deux heures. Lazarus prit le relais de Falarius aux rames, alors que le sort de Golnam faisait son effet. L'homme à la tenue excentrique reprit la parole visiblement intéressé par les propos d'Ulysse.

"Tu dis que vous avez rencontrés Krélina et ce bâtard de boîteux en train de faire un sort à un des leurs. Est-ce que par hasard il ne ressemblait pas à ..."

Falarius décrit l'homme que Lazarus et Ulysse avait vu sur le plancher dans la maison gorge tranchée et empoisonné. Il s'intéressa même à ce qu'ils avaient pu trouver sur lui éventuellement.