Localisation exacte inconnue, Une seconde chance

émobile observa un long moment se qui se passait en contre bas. Se qu'elle y voyait confirmait ses soupçons se trouvais confirmer. L'endroit dans le quel se trouvais assiéger et sous l'assaut de machine de guerre. Se qui expliquais pourquoi il n'avais pas rencontrer de résistance majeure à leur évasion. La plus part des occupant devais être occuper à défendre l'endroit. Se qui en un sens jouait en leur faveur. Se qui risquait d'être le plus compliquer risque d'être de sortir sans se faire prendre pour des ennemis par les assureurs. Puis elle s'écarta avec empressement du trou dans le mur quand un projectile enflammer heurta le mur tout près. De toute manière elle en avais assez vue.

La jeune ensorceleuse porta plutôt son attention sur la source des cris qui se trouvait près d'elle. Un vieillard qui semblait avoir les jambes prises suite à un éboulement, se qui la surprenait guère. Mais elle se demanda si se n'était pas justement un gros coup de chance de trouver se vieillard là.

Elle s'accroupit près de lui avec un sourire mauvais sur le visage et lui parla en commun sur un ton dure:

-Esque vous sauriez comment nous faire sortir? Vous pouvez désactiver les protections magique qui nous barre le chemin? Pensez vite et répondez?

e reste de la troupe partait secourir les deux téméraires quand l'ensorceleuse s'approcha du vieillard et se mit à l'interroger. La première fois que Zémobiel lui parla, le vieil homme ne répondit pas. Il se contenta au contraire de se taire, arrêtant de crier à tout bout de champs pour être secouru. Apparemment, l'arrivée de l'humaine et du gnome semblait être un premier signe de secours. Il les regarda tranquillement attendant visiblement que Zémobiel répète les mots qu'il n'avait pas entendu.

Lorsque l'humaine eut satisfait ce maigre désir, le vieil homme commença à répondre dans une langue commune maîtrisée à merveille aux accents exotiques mais teintés de la souffrance qu'il ne semblait pas feindre.

-Je peux répondre que je sais comment sortir d'ici sans mentir, demoiselle, de même que la vérité est que je peux désactiver les protections magiques qui vous bloquent à cet étage. Maintenant, la question est: le veux-je? Je pense que nous sommes d'accord sur le fait que nous avons tous besoin des services de l'autre parti alors nous devrions pouvoir trouvé un accord.

Pendant qu'il parlait, le visage du vieil homme se décrispa le faisant sembler sûr de lui et fier. A la fin, un sourire indéfinissable, entre la grimace du carnassier et le rictus plein d'orgueil de celui qui semble vaincu mais se sait maître du destin de l'adversaire, venait même illuminer le visage ridée du vieil homme.

Soudain, un événement vint bouleverser son masque de tranquillité et d'assurance. Dans la pièce entrèrent Ielenia et Ssendur. Cette arrivée impromptue obligea le vieillard à reprendre son discours où il l'avait laissé imposant ses conditions.

-Je sais ce que vous voulez de moi, maintenant à moi de vous exposer les conditions de ma coopération. Je ne vous demanderai que deux choses, qui plus est deux choses qui ne devraient pas vous coûter outre mesure. La première est de libérer mes jambes entravées de leur prison de pierre. De toutes façons, je ne pourrai pas vous guider si je suis coincé sous ce rocher alors vous y gagnez autant que moi. La seconde est que vous chassiez cette chose immonde à mes yeux de notre compagnie.

Tandis qu'il finissait d'exposer ses souhaits, le vieillard dressa un doigt vengeur et menaçant vers Ssendur. Une nouvelle boule enflammée vint frapper le mur, faisant trembler la structure du bâtiment sur ses fondations et éclairant la pièce d'une lumière rougeâtre agressive.

¤C'est le comble, cette espèce d'ordure veut nous dicter ses ordres, je vais te me le soigner comme il se doit celui là.¤

A peine arrivée près de Zémobiel que les mots du vieillard firent leurs effets sur Ielenia. La menace qu'il proférait ne semblait pas être des paroles en l'air et son arrogance mal placée en disait long sur le genre d'homme qu'il venait de découvrir. Son premier sentiment fut d'achever cet homme. Celui qui était derrière leur enlèvement, celui qui l'avait maintenue dans le noir si longtemps et l'avait privée de soleil. La colère montait en elle et il fallait qu'elle se défoule sur quelqu'un. Il fallait que quelqu'un paye pour tout cela d'une manière ou d'une autre. Seulement le tuer était impensable à ses yeux. On ne tue pas un homme à terre et sans défense. On ne traite même pas son pire ennemi de cette manière. Par contre on pouvait quand même en profiter un peu. Il fallait qu'elle évacue sa colère, sa peur et tout ce qu'elle avait subit. Elle se dirigea directement vers lui, se mit à genou devant lui et lui fit un grand sourire tout en écartant, sans violence mais assez sèchement, Zémobiel et Fillow de là. Puis son expression faciale se figea. Elle se saisit de l'homme par le col et commença à hurler devant lui tout en le secouant.

"(commun) Alors là je crois que tu n'as pas bien compris qui j'étais. Où tu me dis tout de suite comment on sort d'ici, ou bien on va tous crever ici comme des rats. De toutes façon nous sommes condamnés. Alors que se soit toute suite ou plus tard je m'en moque. J'en ai rien à faire de tes menaces à deux pièces de cuivre. On sortira tous ensemble de ce château au milieu de ...de."

Elle reprit sa respiration. Son visage rougit par la débauche d'énergie qu'elle venait de produire, s'éclaircit un peu alors qu'elle se calmait légèrement. Puis elle reprit de plus belle.

"(commun) Au fait on est où là ?"

intimidation +2 si c'est utile



Ce message a été modifié par Ielenia le Lundi 02 Juillet 2007 à 18h01

émobile pesta contre la réaction de la prêtresse aux demandes du vieil homme. Bien sure la jeune ensorceleuse avait été tenter de lui répliquer qu'il était pas en position de négocier et de lui mettre son poing sur la figure. Mais la première demande allait de soi. Elle avait bien l'attention depuis le début de l'emmener avec eux pour qu'il indique le chemin et ouvre la barrière si il pouvait leur être utiles. Et le fait de lui épargner la présence du paladin ne la gênait guerre non plus, vue que elle même avait grand mal à supportée sa présence dérangeante, d'ailleurs cette seule présence était la seule chose qui faisait qu'elle était certaine qu'il était vraiment un paladin, elle avait peu remarquer la même choses sur les paladin qui habitait Eauprofonde.

La jeune femme aux cheveux ailes de corbeau tourna donc son regard vers la jeune prêtresse et s'adressa à elle sèchement.

-Il ya aucun problème avec ses demandes! Je vais le traîner avec moi et le gnome et l'elfe pourront nous accompagner aussi. Le paladin resteras derrière... je ne peux pas le sentier en peinture non plus. Tu pourras lui tenir compagnie si tu veux... Maintenant aidez moi plutôt à le dégager, je veux pas traîner ici!

Sur ses derniers mots elle commença à dégager les jambes du vieillard des débris

a colère n'avait pas disparu. Elle s'était même amplifiée avec les agissements de Zémobiel. Tout en tenant toujours l'homme au sol avec une main, elle empoigna son étoile du matin dans l'autre la dirigea en direction de la jeune écervelée.

¤Non mais de quoi elle se mêle celle là. Est-ce qu'on lui a demandé de répondre à l'autre vieillard.¤

""

Se retournant brusquement vers son otage de fortune.

"(commun)Quant à toi je n'aime pas me répéter, où est-ce qu'on est et comment on sort ?"

La folie semblait s'être emparée de la prêtresse. Elle ne savait plus ce qu'elle faisait, enfin du moins elle laissait cette impression. Sa colère était réelle, et son envie d'aplatir le visage du vieil homme aussi. Elle savait tout au fond d'elle même qu'elle ne lui ferait pas de mal au point de le tuer, mais il avait osé menacer l'existence de leur groupe et cela était intolérable à ses yeux. Même si une certaine personne s'accommodait très bien des volontés de l'inconnu quitte à sacrifier des membres de leur groupe. Tout en interrogeant son prisonnier bien involontaire, elle commença un examen rapide de celui-ci cherchant un signe distinctif quelconque, ou une possession pouvant lui être utile. Elle vérifia par la même occasion qu'il ne soit pas armé.

uer une personne désarmée ou en difficulté, même si celle-ci se montrait explicitement menaçante, n’était ni dans les habitudes ni conforme au code de conduite de Ssendur. Cependant, le paladin n’avait aucune envie de laisser le vieil homme agir à sa guise, l’écarter du groupe et rejoindre son groupe infâme. Il était venu dans le but de défaire les plans de ces maudits Thayens et comptait bien accomplir sa mission sans faillir.

Heureusement, la prêtresse semblait ne pas vouloir se laisser manipuler ni par le vieillard ni par cette femme maléfique. Il pouvait donc compter au moins sur un allié dans l’équipe, ce qui était très loin d’être négligeable. Il laissa volontairement la colère d’Ielenia s’exprimer, comme pour rappeler au vieillard sa situation. Puis il se rapprocha de ce dernier et lui parla avec le calme et l’absence d’émotion qui caractérisent si bien sa race, et effrayent souvent les Ecaillés.

-(Commun) Ne te méprend pas, vieil homme. Nous te laissons la vie sauve, mais tu auras besoin de nous pour t’en sortir. Pourquoi accéderions-nous à tes requêtes quand tu n’as d’autre choix que de coopérer avec nous ? Je sais qui tu es et ce que tu as fait, et je pourrais sans remord t’ôter la vie en juste châtiment. Mais tu n’as pas toujours été ainsi, et je vais te laisser une chance de racheter tes péchés. Aide-nous à sortir et oublie tes griefs contre les miens, et tu auras la vie sauve. Tente une seule fois de nous tromper ou d’intenter à la vie de l’un d’entre nous, et je jure par M’Daess que je ne connaîtrai aucun répit avant de t’avoir envoyé retrouver tes dieux.

Pour appuyer la force de ses propos, et mettre un terme aux excavations de Zémobiel, Ssendur appuya sa jambe sur les débris qui retenait le vieil homme prisonnier.

-(Commun) Alors, qu’en dis-tu ?

¤ Et bien ça ne va pas en s’arrangeant cette histoire ! Qui c’est celui-là ? ¤

Malgré le chambard ambiant, le regard du gnome avait tout de suite été attiré par la source des cris.
Tout d’abord soucieux de voler au secours de cet humain, quasi enseveli sous une partie du plafond, Fillow avait tout d’abord totalement occulté le fait que la victime devait certainement faire partie des êtres permanents du site qui le retenait prisonnier.

Dans son élan, il avait aperçu par l’orifice circulaire, des troupes massées en contrebas.
¤ Mais qu’est-ce que c’est encore que ça ? une armée se met en marche ? vers le Nord ? ¤

Le gnome n’avait pas eu le temps de pousser plus avant son raisonnement lorsqu’une première boule de feu, expédiée de l’extérieur de la bâtisse l’avait prestement contraint à baisser la tête et à réfréner ses allants salvateurs à l’attention du vieil homme.

¤ Finalement, je ne suis pas sûr que ces troupes défendent la même opinion que nos ravisseurs... Mais alors,... ils seraient donc nos sauveurs ? ¤

Ce faisant, les compagnons du rôdeur étaient eux déjà parvenus jusqu’au vieillard, l’ensorceleuse avait entamé la discussion et le ton semblait avoir rapidement monté entre les différents intervenants. La victime ne démontrait aucune émotion relative à sa situation pourtant si désagréable.

Même cette si jolie blonde, la prêtresse, sortait de ses gonds face aux réclamations de l’homme qui avait pourtant réellement besoin de la communauté pour le sortir de son piège de bois et de pierres.

Prudemment, Chien-de-Tête se rapprocha du groupe, dont il n’avait perçu tous les dires du fait du langage incompréhensible utilisés par les uns et les autres. Il remit alors sur le métier ses velléités samaritaines.

¤ Faudrait peut-être voir à pas confondre bonté d’âme et naïveté d’âne. ¤
- (chondathan) Mes amis, pardonnez-moi mais je ne perçois guère ce que vous dites. Permettez-moi de vous rappeler que cet énergumène est assurément l’un de nos geôliers. Il serait dommage de le libérer et de lui octroyer ainsi la possibilité de nous incarcérer de nouveau.

- (chondathan)Cependant, nous ne pouvons décemment pas le laisser en cet état. Je propose donc de nous ménager une marge de sécurité en le sortant de cet éboulis mais en prenant la précaution de lui ligoter les mains et de la bâillonner.

émobiel commençait à voir rouge. Si il continuait comme ça toute la forteresse aurait le temps de s'écrouler sur leur tête avant qu'ils arrivent à sortir. Son premier réflexe fût d'écarterle pied de Ssendur qui avait oser le planter à quelque pouces de ses mains alors qu'elle s'évertuait à sortir leur seul moyen de s'échapper de sous les décombres.

-(Commun) Si tu ose encore te mettre dans mon chemin, tu vas le regretter. Paladin!

Elle avait cracher se dernier mots sur le ton d'une insulte. Puis elle porta son attention sur le gnome qui à son sens venait de faire une suggestion totalement idiote.

-(Chondathan) Se vieillard disait qu'il pouvait ouvrir la porte invisible et nous guider vers l'extérieur. À la seule condition que le paladin ne se tiennent pas proche de lui et que nous le sortions de là. C'est deux là refuse de garder nos arrière pendant qu'on avancerait de l'avant... Et si on le bâillonne comment faira t'il pour nous expliquer comment sortir? J'avais pas l'intention de le le laisser les mains libre par contre ça c'est sure. Et je me tiendrais à coté tout le long, si il essaye quelque choses pour s'échapper il auras mon poing dans la figure.

Puis Zémobiel recommença à dégager les jambes de l'homme qui représentait leur clef de sortie.

endant que, seule, Zémobiel essayait, sans succès, de déplacer les pierres qui l'immobilisaient, le vieillard avait prit du temps pour réfléchir, et pour effacer la grimace de douleur que Ssendur avait provoqué en s'appuyant sur les pierres. En réalité, il ne ressentait pas véritablement une profonde douleur mais il souhaitait que le paladin se repente d'avoir accru ses souffrances afin de réduire les risques de se retrouver confronté à sa juste puissance.

Les premières discussions lui avaient permis de mieux cerner les caractères des ex-prisonniers en présence. L'une des humaine était clairement hostile, rejoignant par là les rangs des obstacles au même titre que le semi-saurien tandis que l'autre semblait pouvoir rejoindre ses alliés s'il était capable de la motiver un peu. Le gnome quand à lui semblait être plutôt hostile mais assez hésitant pour ne pas représenter un réel ennemi.

Ces réflexions passées, le thayen choisit de collaborer tant que cela pouvait l'arranger de sembler coopératif.

-Je peux vous éclairer sur l'endroit où vous vous trouvez si cela à une quelconque importance pour vous. Vous êtes en Thesk. Au sud de Thesk pour être plus précision loin de la cité de Tammar. Et le bâtiment qui nous entoure est une forteresse chargée de défendre la route qui court à ses pieds. Je pense que cela satisfait amplement vos questions géographiques.

Maintenant, soyons sérieux. Les troupes qui se trouvent sous ses murs, je ne doute pas que vous les ayez vues, veulent faire sortir mes camarades d'ici et vous avez vu à la violence avec laquelle ils mitraillent les murs qu'ils ne rigolent pas. S'ils parviennent à entrer, je ne donne pas cher de ma vie, mais guère plus de la votre. Ces soldats ne sont pas véritablement du genre à s'enquérir de l'identité de toutes les personnes qu'ils passent par le fil de leurs épées et votre présence en ces lieux sera, sans aucun doute possible, sera une charge suffisante pour justifier la peine capitale à votre encontre. Alors vous avez autant intérêt que moi à sortir d'ici au plus vite. Or, jusqu'à preuve du contraire, je suis la seule personne dans les environs qui connaissent les codes et les astuces pour parvenir à sortir des dédales de couloirs de cette forteresse, sans compter que je suis le seul qui connaissent une autre sortie évitant de traverser les armées amassées sous nos pieds. Alors je pense que nous pouvons nous entendre au moins pour l'instant.

Quand à ma vie, soyons honnêtes fieffé serpent, je n'espère pas véritablement la sauver maintenant que je suis entre vos sales pattes. Mon peuple connaît les crimes de vos frères de sang et votre parole ne vaut pour moi pas plus que l'invocation du nom de votre déité impie. Vous et votre peuple ne valez guère mieux que les vermines qui rampent sous terre et vous savez que votre peuple n'est pas plus innocent que le mien.

gacé par le langage qu'utilisait l'ensemble des protagonistes présents, le commun, le rôdeur des roches tenta de se rappeler au bon souvenir des intervenants.

- Je n’entends rien au langage qu’utilise cet énergumène. Pas plus qu’à ce que dit notre ensorceleuse d’ailleurs ! Toutefois je perçois que son attitude ne semble guère encline à coopérer de bon gré avec nos intentions.
Soucieux de se sentir moins étranger aux évènements, qui prenaient une tournure trop belliqueuse à son goût, Fillow s’adressa à la si jolie prêtresse.

- (chondathan) Comprenez-vous ce que raconte le chauve ma chère ?
En tout cas, il semble bien véhément, sans doute convaincu d’être le seul d’entre nous à savoir où nous sommes et comment en sortir. Il m’est avis qu’il n’a pas encore bien assimilé que nous sommes sa seule chance de se sortir de cet éboulis.

Conscient que ses capacités physiques ne seraient pas d’une grande utilité dans le cadre des travaux de déblaiement, le gnome entreprit d’ôter des poches de la tenue du thayen tout ce qui pourrait, plus tard, se retourner contre la communauté.
Pour cela, le gnome devait entraver les mouvements du mage. Aussi se mit-il à la recherche d’une cordelette suffisamment résistante et longue pour retenir les poignets de la victime de l’éboulement.
Le rôdeur commença par parcourir des yeux la robe du thayen à la recherche d’une ceinture.