Localisation exacte inconnue, Une seconde chance

ébmobile cria de dépit en découvrant que le second corridor finissait aussi en cul de sac sur une nouvelle porte bloquer. Elle donna aussi un violent coup de pied dans la porte, manifestant tout son mécontentement d'avoir à toujours se heurter à des portes fermé dans cet endroit entrain de s'écrouler sur leur têtes.

Puis elle avisa la fissure dans la porte se demandant si elle pouvait en tirer partie d'une quelconque façon cette faiblesse de la porte.

Elle se pencha devant la porte et examina plus attentivement la fissure et en même temps les sculpture de la porte pour savoir si elles ne comportaient pas un quelconque indice qui pourrait leur sauver la vie et elle regarda si elle pouvait voir par la fissure si elle pouvait distinguer se qui se trouvait de l'autre côté de la maudite porte.

Puis elle s'adressa aux autres membres du groupe d'abord en commun puis en chondathan.

-Pensez-vous qu'on peux ouvrir cette porte? Et rapidement si possible j'ai pas l'intention de mourir ici bien longtemps.

MJ:

Zemobiel: Fouille: 14+3 contre DD10=Réussite
Fillow: Connaissances (religion): 6 contre DD11=Echec

Pendant que Ielenia avançait tout doucement, s'arrêtant à chaque torchère pour la rallumer, les autres membres du groupe agissaient chacun de leurs côtés, indépendamment.

Gurthang était un peu en retrait et regardait les autres agir comptant sur eux pour les sortir de ce nouveau cul de sac.

Ssendur essayait de voir au travers des interstices entre les planches grâce à la lumière de sa torche. Sa position était difficile car il lui fallait positionner la torche de telle sorte qu'elle éclaire la pièce qui se trouvait derrière la porte sans pour autant qu'elle enflamme le bois ou les cheveux du paladin et, en même temps, regarder par un autre interstice. Il lui fallu quelques secondes pour prendre une position qui le satisfasse mais ensuite il put distinguer une sorte de longue passerelle de pierre qui partait dans l'ombre.

Soudain, la porte se mit à trembler. Zemobiel, dans un instant de rage, venait de donner à la porte un violent coup de pied. A sa grande surprise, elle se mit à trembler violement et un certain nombre de planches tombèrent, libérant une grande quantité de poussière. Une fois le nuage dispersé, l'ensorceleuse observa soigneusement les planches qui barraient l'ouverture et elle vit que sans gros efforts, il devait être possible de défoncer, ou de démonter plus calmement, cette porte.

Enfin, Fillow s'attelait à deux tâches simultanées qu'il ne réussit ni l'une ni l'autre. Il savait qu'il avait déjà entendu parler d'un dieu dont les couleurs étaient le vert et le noir mais il ne parvint pas à s'en souvenir. Dans le même temps, il essayait d'ouvrir le coffret mais la serrure semblait bien décidée à résister et il ne se sentait pas capable de la crocheter, d'autant plus à mains nues.

’inactivité ambiante avait plongé le barbare dans une sorte de somnolence consciente. Par intermittence, son esprit divaguait laissant ainsi le grugach inactif et hermétique à tout agissement. Ces phases d’absence se produisaient généralement lors d’interminables discussions ou de période de calme prolongé.

Les derniers mots de l’ensorceleuse résonnèrent dans la tête de l’Elfe tel une lourde pierre dans une sombre caverne : sortir ou mourir … voilà à quoi se résumait leur morne existence !
Il reprit connaissance de la réalité et observa la situation.

A la vue de ses compères qui étudiaient attentivement la porte qui faisait office d’obstacle, il semblait que personne ne prenait les devants pour débloquer le passage. Gurthang n’était pas le genre d’Elfe à se tourner les pousses en attendant un miracle. D’ailleurs, même si il connaissait le mot, il n’en maîtrisait pas du tout son sens.

L’ancien affranchi rangea soigneusement son équipement, détendit son cou, assouplissait ses membres et énonça d’une voix assurée et audible

-(chondathan) Poussez vous !

Et se mit aussitôt au pas de course en direction de l’obstacle, l’épaule gauche prête à recevoir le coup. Sa charge était aussi féroce que destructrice, et annonçait qu’il était préférable de s’écarter de son chemin rapidement.

émobiel s'extasia de plaisir en voyant comment des planches de la porte s'était disjointes de l'ensemble sous le choc de son coup de pied rageur. Elle savait bien que ses accès de rage finirait par payer un jour. elle s'agenouilla donc aussitôt devant la porte et commença à s'attaquer aux planches qui bloquais toujours l'accès. Et elle dit d'une voix forte et autoritaire:

-(Chondathan) Ne restez pas là à rien faire, aidez moi à défaire cette porte, on n'a pas toute la journée à perdre. Le moins de temps on perdra avec une porte le moins on a de chance que toute la place nous tombe sur la tête! Allez vite, aidez moi!
(Commun) Allez on peut facilement ouvrir cette porte en mettant un peu d'efforts en commun. Aidez moi, pas de temps à perdre.

Elle porta son regard sur les autres prisonniers de cet endroit de malheur qui, comme elle, risquaient à tout moment de se faire écraser par le poids de cette construction. Elle pensa à certains des autres prisonniers qui eux, avaient déjà payé de leur vie et attendit que les survivants l'aident au lieu de perdre leur temps.



Ce message a été modifié par Zémobiel le Samedi 28 Avril 2007 à 18h26

illow s’évertuait à vouloir ouvrir le coffret sans le détériorer. Ne possédant aucun nécessaire de cambriolage, encore moins d’une trousse de serrurier, ni même de quelque aiguille que ce soit, il se refusa à utiliser un outil grossier. Aussi, après quelques vains essais, dut-il rapidement abandonner l'idée d'ouvrir le coffret.
« (chondathan) Si l’elfe vert parvient à débloquer cette ouverture, cette fichue boîte bénéficiera d’un sursis supplémentaire avant que je ne l’expédie, non sans une certaine rage contre une paroi. »
Le gnome fourra sans ménagement le coffret dans son sac avant d’endosser ce dernier, prêt à reprendre la progression dans cet infernal dédale.

Dans l'attente de la réussite du Sy-Tel'Quessir, le rôdeur appela à nouveau ses compagnons à un bref point de situation. Il s'efforca alors de donner à ses propos une assurance certaine, employant le ton qu’aurait utilisé un précepteur pour convaincre ses élèves du bien-fondé de ses dires.

« (chondathan) En attendant qu’il ait achevé son œuvre… -ou que la porte ne l’achève- je vous propose un petit tournement d’horizon de ce que nous savons jusqu’à présent, enfin de ce que je sais puisqu’en ce qui vous concerne…
Bref ! Nous nous trouvons donc dans des galeries souterraines je ne sais où dans les Royaumes. Cependant, la présenceté d’un sorcier de rouge vêtu, celui que notre ami bélier a renvoyé auprès de ses aïeux, pourrait nous amener à penser que nous sommes dans les fondements d’un postement thayen. Dans le même ordonnancement d’idée, mes sens me confirment que la nature même du sol correspond à la géologie thayenne, bien que cela ne soit pas d’une précision gnomique avérée, je vous le concède. Enfin, ces secousses à répétition m’ont retourné la mémoire mais un détail vient de me revenir. Ma Compagnie m’a envoyé ici avec une mission ayant un rapport lointain ou non avec les sorciers rouges de Thay. cela devrait me revenir d'ici peu j'espère."

Le rôdeur des roches marqua une courte pause avant d'enchainer sur un tout autre sujet bien que toujours relatif à leur situation.

" (chondathan) Pour conclure, cette calligraphie paradoxalement complexe et grossière à la fois devrait pouvoir nous donner quelques informations supplémentaires utiles. Ne signifie-t-elle rien pour vous ? Et ces couleurs, vert et noir, ne me font penser qu’au Fléau mais rien d’autre ne me vient à l’esprit. Et vous ? »

a belle Ielenia regardait avec inquiétude ses compagnons se battre avec la porte. Ils dépensaient beaucoup d'énergie alors que la fatigue s'emparait de tout le monde. Mais l'heure n'était plus aux considérations de cet ordre et aux menus détails semblait-il ? Elle s'intéressa tout de même aux déclarations du gnome. Plusieurs points dans son récit éveillèrent son attention. Cette compagnie qui l'avait envoyé, l'enquête qu'il menait sur les magiciens rouges et enfin la présence du Fléau. Autant sur les deux premiers points elle s'interrogeait, autant sur le dernier elle pouvait apporter une réponse. Elle fouilla dans sa mémoire, cherchant dans ses souvenirs, une quelconque interprétation à ces mystérieuses couleurs vu sur le fameux manipulateur de la magie. Tout lui revint en mémoire. Ses paisibles années d'enseignement avec ses professeurs. Sa dévotion naissante et qui ne cessa de grandir envers le seigneur de l'Aube. Elle cherchait plus particulièrement les symboles et autres marques typiques caractérisant les divinités du panthéon de Faerûn. Tout en pensant à cela elle voulut en savoir un peu plus sur cette fameuse compagnie dont parlait Fillow. Après tout, une telle organisation méritait qu'on s'intéresse à elle si elle enquêtait sur les agissements de personnes dangereuses comme les magiciens rouges. Qui sait peut-être qu'elle pourrait même s'y intéresser de très près ? En plus elle comptait des membres comme Fillow ce qui ne gâchait rien.

"(chondathan)En attendant que les 'muscles' finissent leur travail, je me demandais quelle était donc cette 'compagnie' dont vous venez de parler très cher ? Y aurait-il également de quoi s'inquiéter concernant les magiciens rouges ? Ce qui me fait penser que tout à l'heure j'ai récupéré deux trois petites choses sur le corps de l'autre dont deux parchemins qui finalement pourraient nous être utiles. Les deux morts-vivants, que la lumière de Lathandre les brûle à jamais, m'ont fait totalement oublier ces objets."

Elle sortit toutes les possessions qu'elle avait trouvées sur le corps du défunt sorcier. Elle les examina avec le plus grand soin. Elle n'espérait pas trouver autre chose que des écrits magiques, mais au moins c'était mieux que de ne rien faire. Par contre les trois potions seraient peut-être plus facilement d'une quelconque utilité.

"(chondathan)Si ce maudit sorcier les gardait sur lui c'est que cela devait bien servir à quelque chose. Cela pourrait peut-être même me dire à quel genre de personne on a eu à faire."

Elle fit un large sourire au gnome qui se voulait essentiellement très amical.

Gurthang: Force: 13(Dé)+3(Force)+2(Charge) contre DD15= Réussite
Equilibre: 17(Dé)+3(Equilibre) contre DD17= Réussite

Gurthang prit son élan et se propulsa sur ce qui restait de la porte. Celle-ci, sous la violence du coup, vola en éclat divers. Cependant, une surprise attendait l'elfe sauvage derrière l'huis en morceaux. Une corniche d'à peine plus de deux mètres de large, rendue glissante par la poussière et les pierres ayant un peu bougé le séparait du vide. Grâce à un mouvement au dernier instant providentiel, le barbare parvint à ralnetit sa course et à s'arrêter totalement, assis sur le bord en pierre, les pieds ballants dans le vide. La pièce était correctement éclairée par une sorte de grosse boule verdâtre qui diffusait de la lumière assez intensément pour que tous puissent voir jusqu'à l'autre côté de la pièce. Une sorte de corniche d'une vingtaine de centimètre séparait les deux plateformes pierreuses distantes de plus de vingt mètres. Dans la foose qui s'étendait en-dessous, les yeux experts de l'elfe parvenaient à distinguer l'éclat métallique des pointes de pieux acérés.

Pendant ce temps, les autres discutaient tranquillement. Fillow exposait ses idées et ses déductions tandis que Zémobiel et Ssendur écoutaient. Ielenia sortit les parchemins qu'elle avait trouvé sur le corps du mage et commença à les observer. Toutefois, une fois encore, toutes les lettres appartenaient à l'alphabet de la porte et du livre, toujours aussi obscur aux aventuriers, et la prêtresse de Lathandre ne put pas réussir à déterminer leur utilité ou même s'ils avaient un qualconque pouvoir magique ou n'étaient que des morceaux de papiers griffonés à la hâte.

nfin !… Fillow n’osait en croire ses oreilles. Enfin quelqu’un daignait s’adresser à lui, et dans une langue qu'il maîtrisait. De plus, pour ne rien gâcher à l'échange, cette prêtresse était charmante, bien qu'un peu grande à son goût et dotée d'un nez que tout gnome eut qualifié de ridicule au regard de sa si petite taille.
« La Compagnie des Marches très chère, des Marches d’Argent, voilà quelle est ma Compagnie. Nous luttons pour anéantir le malin qui hante nos contrées septentrionales. Je n’ai aucune idée de l’endroit où nous nous nous égarons tous depuis quelques heures mais… Attendez… Tout me revient par bribes. Ils ne m’ont pas missionné ici, c’est près de Delzoun que j’ai été envoyé en mission… Aussi, si nous sommes désormais au contact de vauriens thayviens, soit ils sont en reconnaissance avant d’envahir nos contrées soit mes ravisseurs m’ont amené en terre thayvienne ! dans un cas comme dans l'autre, cela ne me dit rien qui vaille et j’avoue que cette première réponse me soulagerait déjà d’un certain pèsement… Mais cela ne vous avance guère ma... grande me direz-vous ! »
Tout-à-coup, un élément revint à la mémoire du gnome. Le noir, le vert, Thay et ses sorciers. « Quelqu’un a-t-il pensé à regarder le crâne du sorcier ? Peut-être aurions-nous pu avoir certains éléments le concernant en regardant s’il avait un tatouage ou un dessin sur la peau. Tous les sorciers thayviens en ont ! Dommage ! »

A ce moment, l’elfe sauvage traversa de tout son poids l’ouverture qu’il venait de réaliser. Emporté dans son élan, il s’était retrouvé au sol quelques mètres plus avant. Persuadé de pouvoir enfin reprendre leur progression, Fillow se précipita vers ce qui aurait du être une salle ou une autre galerie vers la surface.
¤ Oh non mais c’est pas vrai ! Nous voilà bien maintenant ! ¤
un ravin coupait la pièce en deux, sans moyen de le traverser que cette petite corniche. S’il était un jeune gnome pour partir à l’aventure, Fillow avait souvent écouté les légendes rapportées par les anciens du clan. Cette situation éveillait en lui la fabuleuse histoire de Kalondan. Le héros avait lui aussi été confronté à cette vision qui s’était révélée n’être qu’une illusion. Kalondan était humain et ne disposait d’aucun moyen de détecter cette illusion. Mais Fillow lui, avait côtoyé toute son enfance durant les plus merveilleuses illusions que Faerûn connaissait. N’étaient-elles pas la spécialité des siens.
Aussi le rôdeur entreprit-il de rejoindre Gurthang au bord de la roche et de se pencher sur ce nouvel obstacle afin d’en déterminer la véritable nature.

" (chondathan) Attendez un moment, j'aimerais juste vérifier quelque chose..."

a rapidité d'action de Fillow surprit Ielenia. A peine eut-elle le temps d'examiner ses parchemins et ses potions qu'il était déjà parti.

¤Ma grande ? Non mais c'est quoi ces manières. On a pas élevé les cochons ensembles, enfin il me semble bien. A moins que...¤

Elle se rapprocha du fuyard pour poursuivre la conversation qu'elle avait engagée avec lui. Elle découvrit en même temps la fosse et les pieux.

"(chondathan) Alors là ça sera sans moi. Je préfère encore affronter les morts-vivants ou creuser un trou dans le mur d'en haut, mais je ne ferai pas d'acrobatie au-dessus de ça."En désignant les pics. Puis elle se tourna vers Fillow.
"(chondathan) Au fait mon petit, pour vous répondre j'ai bien examiné le cadavre du pratiquant de l'Art et je n'ai vu aucune marque distinctive sur lui. Mais cela ne signifie pas qu'il ne s'agit pas d'un membre des magiciens rouges de Thay comme vous semblez le penser. Après tout ils sont capables de vraiment n'importe quoi. La fourberie fait partie d'eux, tout comme la manipulation. Par contre êtes-vous tous comme ça dans votre compagnie. On laisse choir les demoiselles qui vous adressent la parole ?"

Cette petite pique se voulait plus amicale que réellement destinée à faire affront à Fillow. Mais Ielenia avait sa fierté et se faire qualifier de ma grande ne lui avait jamais très plu. Il était vrai que pour un membre féminin de sa race elle ne faisait pas partie des petites, ni même des tailles moyennes mais elle trouvait déplacé un tel comportement.
¤Enfin après tout c'est un homme. Humain, gnome ou autre se sont tous les mêmes. Heureusement qu'ils ont d'autres qualités.¤
"(chondathan) Bon on fait quoi là ? On se laisse descendre pour passer en sécurité à travers les piques sans rien risquer de se trouer "?

sendur regarda avec amusement ses compagnons d’aventure s’énerver et s’impatienter. Le spectacle des Ecaillés était amusant, et en quelque sorte rafraîchissant. N’eêt été le danger et leur situation sordide, Ssendur se serait volontiers arrêté pour discuter avec eux et réfléchir posément au problème. Mais cela n’était pas envisageable actuellement. Le Yuan-Tu soupira, et recommanda son âme et celles de ses compagnons à la clémence de M’Daess.

Il commença par s’approcher de l’elfe pour vérifier qu’il ne risquait rien. Mais le solide barbare était agile et preste, et s’était rattrapé à temps. La vue des piques en dessus provoqua un frisson chez le paladin. Comment pouvait-on avoir une cruauté suffisante pour se protéger avec des pièges destinés à faire souffrir les victimes agonisantes. Le Yuan-Ti se souvenait trop bien de l’époque où lui-même commettait des atrocités au nom de son peuple, et était heureux de savoir que cette époque de sa vie était révolue.

-(chondathan) La prêtresse a raison. Lança Ssendur d’une voix posée et calme en revenant vers la porte défoncée. « Ce serait folie que de vouloir nous engager dans une acrobatie hasardeuse. Nous ne disposons pas de cordes capables de nous aider. Les planches de bois sont trop vermoulues et fragiles pour permettre de nous aider à traverser. Quant à descendre, je ne me risquerait pas à devoir descendre le long d’une paroi verticale sans certitude de pouvoir remonter une fois en bas. A moins que l’un d’entre vous n’ait une idée géniale, je pense qu’il vaut mieux remonter et envisager l’autre sortie. Avec un peu de chance, nous pourrons peut-être trouver un moyen de supprimer ce mur de force. A moins, bien sûr, que ce ne soit une illusion comme semble le penser notre gnome… »

¤Que M’Daess nous vienne en aide, je ne vois guère de sortie là-haut non plus !¤

Le paladin regarda les objets que la prêtresse avait sortis, mais ne reconnut aucun indice utilisable. Il regarda Ielenia avec embarras.

-Je ne connais rien ni de cet alphabet ni de ces objets, je suis désolé. En revanche, je peux vous confirmer que nous sommes dans une forteresse des Magiciens Rouges. J'enquêtais sur des activités suspectes des Thayens au nom de mon culte quand je me suis fait arrêté et emprisonné ici."

Puis le paladin se tourna vers Fillow.

-La compagnie des Marches ? Demanda Ssendur en feignant la surprise. « Quelle est cette compagnie ? A-t-elle pour but de protéger les Marches d’Argent ? Et, je ne veux pas vous démotiver, mais je crains que vos deux supputations ne soient vraies. Les Thayens se préparent à envahir une partie des Marches ET nous sommes dans l’une de leur forteresse de l’autre côté de la Mer des Etoiles Déchues. »