Localisation exacte inconnue, Une seconde chance

Enfin ! Quelqu'un l'avait entendue et souhaiter la secourir ! Le rictus de dégoût et de peur sur lequel le visage de Maguviale s'était fige s'était maintenant transformait en un sourire a la fois remplit de fierté et d'espoir . Son "père" aurait été fier d'elle, si il avait su ce qu'elle venait d'accomplir, sachant que celle ci manquait de savoir faire . Elle avait réussie d'elle même a attirer l'attention de quelqu'un malgré le brouhaha insècent et elle allait surement enfin sortir de ce tombeau qui devenait insupportable de par sa poussière et de par le chaos qu'il y résignait . Les tympans de la jeune roublarde devenaient fous . L'écho d'explosion associes aux gémissements des autres prisonniers devenaient insupportable pour elle . Elle devait vraiment sortir d'ici .
Reprenant ses esprits, elle réfléchit de quel manière aborder la personne qui était en dessous d'elle afin que celle-ci lui vienne en aide au plus vite :

¤ Bon ! j'ai trouver mon pigeon mais j'aurais besoin de lui pour lui soustraire le peu de renseignement qu'il a et surtout besoin de lui pour me faire sortir d'ici ! D'ailleurs, cette estrade la bas, pourquoi serait elle écartée des autres si elle n'était pas importante ? Peut être est elle notre salut ! Ou peut être pas .. Quoi qu'il en soit, si mon ami de dessous ne sait pas comment me faire descendre autant l'envoyer en éclaireur . Oui ! De plus, je n'ai qu'a le presser en l'implorant . Les hommes adorent sa . Faisons ainsi !¤

Son plan prêt, elle le mis a exécution :

- Oh merci ! Merci de vouloir me venir en aide ! Il va falloir, Tousse , faire vite, mes poumons implosent ! Si vous savez comment me faire descendre, je vous laisse l'opportunité de me montrer votre savoir faire, sinon vous voyez cette estrade la bas, elle montre du doigts l'estrade en bois , je pense qu'elle permet le contrôle de toutes nos cages, vous devriez aller y faire un tour . Faites vite mon ami, Tousse , mon tendre et chère ami, j'ai besoin de vous, NON ! Que dis je ! Nous avons tous besoin de vous .. Vous êtes notre seul espoir, exagérant ses propos afin d'amadouer son sauveur .

L'espoir avait, certes, refait surface . Mais Maguviale n'était pas sortie d'affaire, et elle le savait ...

Zémobiel poussa un soupir d’exaspération en se rendant compte que la seule personne prête à l’aider n’était pas en moyen de le faire. Ulcérée par la situation, la jeune femme rageait intérieurement, elle fût tout de même soulagée de se rendre compte que la poussière retombait et qu’elle commençait à distinguer autour d’elle et qu’elle avais réussi à capter quelque mots en commun venant d’en dessous elle décida de retenter sa chance à crier, mais cette foi en commun, persuadée que cela marcherait mieux qu’en Illuskan. Elle se pencha un peu vers l’avent pour essayer de voir se qui se passait en dessous. La jeune femme distinguait des silhouettes qui se déplaçaient. Malgré ses poumons qui la faisaient souffrir à force de crier et à cause de la poussière elle se remit à hurler à nouveau, suppliant pour de l’aide en commun :

- Et en bas, s'il vous plaît, aidez moi… faites moi descendre vite ! Je pourrais vous être utile pour vous échapper, vite libérez moi!

Puis la jeune femme s’étouffa un peu à force de crier et d’avaler de la poussière et se mit à tousser violemment pendant un moment.

Exorn fit grise mine en voyant la cage se balancer au dessus de sa tête. ¤ Ben en voilà une situation cocasse. ¤
Il chercha aux alentours un moyen de grimper mais rien hormis cette plateforme ne pouvait avoir un lien avec la cage."Bon, Pfffffff …", soupira-t-il.
¤ Mais qu'est ce qu'il m'a pris d'écouter cet homme. Mais quel con! Je devrais me casser et vite de là et sans demander mon reste. ¤
¤ Mais bon, moi aussi quelqu'un m'a déjà aidé ¤, pensait-il en se remémorant le visage du vieux prêtre de Port Ponant.
Il mit un genou à terre et pria : "Considérons que je paye ma dette, Torm mais sur ce coup files moi au moins un coup de pouce que ne je me rompe pas le cou."

- D’accord belle dame, je vais tenter de venir vous sortir de là mais gare à vous si jamais vous m’avez menti sur la couleur de vos cheveux, cria-t-il en souriant.
Il se avança au pied de la plateforme et fit basculer sa tête de chaque côté pour faire craquer son cou. Puis il leva les mains vers le plafond pour étirer son dos.
- Ca va pas être aisé pour sûr, murmura-t-il.
Il enleva sa chemise qui déchira en deux bonnes lanières.
A une extrémité de chacune des lanières, il enveloppa en serrant bien un des ses cailloux.
Puis il attacha les extrémités restantes autour de ses poignets.
Ainsi pensait-il pouvoir aller attraper des appuis autour de barreaux ou aspérités en jetant la lanière autour pour soi y bloquer la pierre soit faire passer la lanière autour et la rattraper dans la même main par la pierre.

Il expira profondément et cracha dans ses mains pour chasser la poussière.
Puis il commença son escalade.

Nenharma leva doucement les yeux sur l'homme. Un grand sourire s'afficha alors sur ces lèvres ce qui éclaira un peu son visage. L'inconnu le libéra promptement de ses liens avec une habileté peu commune. Il lui adressa un signe de respect en guise de reconnaissance.

Bien qu'il n'ait pas compris les paroles précédentes de l'homme, le druide tenta une autre approche au travers du langage elfique:
- Merci beaucoup humain, je suis Nenharma, elfe des bois et druide des forets du nord. Je vous suis très reconnaissant de votre geste. Je suis désolé de n'avoir pas réagit plus tôt, j'étais encore un peu sous le choc de ma chute.  Peu après, Il se retourna et rampa souplement vers le cadavre de la femme. Il posa sa main droite sur le buste du corps inanimé et se mit à prier agouillé devant la morte. Il fit le voeu qu'elle trouve son chemin auprès des siens, et pria la grande et belle Hanali Celani de lui offrir tout l'amour dans la mort qu'elle n'aurait pas eut dans la vie. Au bout d'un certains temps, il ouvra les yeux et la regarda avec hésitation.

¤Je ne devrais pas. On ne souille pas les morts ! La mort se respecte, on ne dois profaner un corps.¤ Se disait-il dans son hésitation. Nenharma avait eut l'idée de fouiller ce corps en quête de tissus ou peut-être bien d'objet. Puis il arriva enfin à la conclusion qu'elle avait dû se trouver autrefois dans la même situation que lui, et qu'elle ne devait rien posséder d'intéressant sur elle. Mais le doute s'installa en lui. Et si c'était faux? Si effectivement elle possédait un objet, ou quoi que ce soit qui pourrait lui servir. Avec dégoût, commençait délicatement à fouiller le corps inanimé. Il tenait son visage loin du corps et adresse quelques paroles à l'homme qui se trouvait derrière lui.

- Je déteste faire ça! Il nous faut trouver un moyen pour communiquer avec tous les prisonniers. Nous devrions nous mettre à l'abri et leur demander de faire balancer leurs cages pour qu'elles tombent. Si ça se trouve, cette chose possède une milice ou peut-être mieux, une armée. Nous devront être beaucoup pour nous sortir de là !
En lui même, le mal-être s'imposait de plus en plus. Il lui fallait garder en tête l'image de la forêt. Ce jeune elfe qui supporte mal les endroits clos et renfermés, était pour ainsi dire, en une mauvaise posture. Il ne faisait plus attention à la lumière aveuglante. Il commençait peu à peu à s'adapter à l'obscurité, mais ne parvenait pas à accepter tout ces cris de détresse. Son corps chancelait de plus en plus et se recouvrait de poussière ce qui lui offrit une sensation des plus désagréable.



Ce message a été modifié par Morkab Caliban le Mercredi 01 Mars 2006 à 08h26

La poussière commençant à s'estomper, Ielenia fut contente d'être à nouveau en mesure de discerner correctement se qui se passait tout autour d'elle. La douleur due au choc de l'explosion commencait à s'estomper et l'espoir de s'en sortir renaissait en elle. Elle put voir que plusieurs personnes avaient péri dans la détonation, mais que certaines en avaient profité pour s'extirper de leur prison et aidaient ceux qui étaient prisonniers. Mais pour le moment personne ne lui était venu en aide. Le bruit de nouvelle explosion ne la rassurait guère et confirmait son désir de se sortir de sa galère actuelle le plus vite possible.

¤Il va me falloir trouver une solution pour que l'on me libère si l'on ne veut pas que nos géoliers reviennent avant, même si à mon avis, avec le bruit que l'on fait il aurait déjà intervenu.¤

La jeune femme continuait de se rouler en essayant de se diriger vers ceux qui venaient en aide aux autres, tout en continuant à crier pour attirer l'attention. La seule voix qu'elle comprenait, s'exprimait maintenant dans un langage qui lui était étranger. Elle ne pouvait plus compter sur cette personne.

¤Si elle n'essaye plus de me parler, il faut que je compte maintenant sur ceux qui sont libérés.¤

Ielenia, tout en continuant de se rouler par terre et de crier, essayait de forcer avec ses bras pour essayer d'écarter ses liens, qui lui faisait toujours horriblement mal.

Ce fut en effet la première réflexion qui vint à l'esprit de Karou quand il se trouva au dessous d'une de ces cages, sachant bien que quelqu'un attendait son aide à l'intérieur, et dont les minutes de vie était peut être comptées, ¤pour mettre ces prisonniers dans les cages, il faut bien les faire descendre¤. Karou décida que,avant de quitter l'homme inconnu qui, là haut, attendait son aide, il devait le prévenir de ses projets, car il savait que l'attente sans savoir ce qu'on attendait était une angoisse, et que l'angoisse était une forme souffrance, et Karou ne devait pas, ne pouvait pas faire souffrir quelqu'un s'il pouvait l'éviter. Il leva donc la tête vers la cage métallique, et tenta de projeter sa voix vers l'endroit d'où il pensait que provenait la voix en détresse, et il dit à voix haute:

-Toi là haut qui m'a demandé de l'aide, je ne sais pas qui tu es, et tu ne sais pas qui je suis, mais si tu as besoin d'aide alors c'est tout ce que je peux t'offrir. Je pense allez chercher pas loin un système pour faire descendre ses cages, donc ne t'inquiètes pas si je m'éloigne, je ne te laisserai pas tomber, et je ferai mon possible pour que tu sortes d'ici, malheureusement, mon possible se limite à donner ma vie, je ne sais pas encore aller au delà, mais peut être cela suffira t'il.

Estimant qu'il avait déjà assez expliqué, et que le temps était peut être compté, mais Karou n'était jamais trop sur, il préférait préciser au cas où, pour éviter le drame. Il se mit donc à chercher dans l'obscurité quelque chose qui pourrait faire descendre ces cages, des commandes quelconques. La seule difficulté était de se rendre compte des dégâts, du nombre de personne présentes dans cette prison, et des situation pour s'en sortir. Heureusement, on voyait de plus en plus clair, il espérait de tout son coeur trouver quelque chose qui pourrait aider l'inconnu à sortir de sa cellule, il voulait etre utile en quelque chose à ce pauvre homme.

Le jeune filou se trouvai énormément chanceux que quelqu’un ait réussi à l’entendre, malgré tous les bruits l’entourant. Désormais, il avait une chance de s’en sortir rapidement. Certes, l’homme ne savait pas comment le faire descendre, mais c’était tout de même mieux que rien. Le voleur pris ensuite la parole, voulant remercier ce personnage.
-(Commun)Merci! Vous me sauvez la vie! J’étais loin de croire que quelqu’un pourrait m’entendre malgré tout ce boucan. Prenez le temps qu’il faudra. Moi, ce qui m’importe, c’est de sortir d’ici. Vous n’allez pas regretter votre action!

¤Héhé…J’ai du bol. Le premier mec sur qui je tombe est une sorte de justicier. Il a même dit qu’il était prêt à donner sa vie. Bon…lorsque je vais sortir, je vais tout de même l’aider à secourir d’autres personnes, mais après, je me casse.¤

Alesray s’étira le plus qu’il pouvait, malgré le peu d’espace disponible, tentant de réveiller son corps au long séjour qu’il avait passé dans cette cage. Enfin, il aurait la chance de partir de là. Il cria de nouveau vers l’individu qui tentait de le sauver.
-(Commun)Merci encore de votre bonté! Sans vous, je ne sais pas combien de temps encore j’aurais été pris dans ce trou à rats! Je me sens déjà sorti d’ici depuis que vous êtes arrivé.
Alesray continua de regarder dans la direction de l’homme, espérant ardemment que ce dernier réussirait à le faire sortir.

Narration

Maguviale & Exorn : Test d’Escalade d’Exorn 12(Dé)+2(compétence naturelle)+3(bonus de circonstance)= 17 >< DD 15 = Réussite
L’homme semblait pourtant l’avoir entendu mais pourquoi n’agissait-il pas pour la libérer ? En ce posant cette question, Maguviale fut dans un premier temps irritée, puis finalement elle comprit se que l’inconnu se préparait visiblement à faire et, subitement, une chaleur envahit sa poitrine. Imaginant que l’homme aurait presque pu lire dans ses pensées, et bien qu’elle voulut l’exploiter, elle ne pouvait s’empêcher de le trouver aussi courageux de risquer ainsi sa vie dans l’ascension de la plateforme en bois.
Son stratagème pour s’assurer de meilleures prise semblant fonctionner, Exorn gravissait lentement mais sûrement la distance qui le séparait du haut de la plateforme. Qu’allait-il trouver en haut, tel était la question mais il espérait cependant ne pas avoir à affronter d’adversaire ainsi en étant aussi désavantagé. Heureusement pour lui, les poutres procuraient des appuis confortables pour progresser en relative sécurité. Pourtant, presque arrivé au terme de son ascension, il se fit une petite frayeur lorsqu’une de ses lanières se rompit, le tissu déchiré soumit à une trop forte tension. Finalement, posant les deux mains sur le haut de l’estrade, il se souleva par la force de ses bras et prit pied sur ce promontoire artisanal. La poussière se dissipant un peu plus à chaque instant, il pouvait maintenant avoir une meilleure vision d’ensemble de la situation. Ils semblaient se trouver dans une sorte de grande caverne dont la hauteur au plafond devait atteindre dix mètres, soit quatre mètres au-dessus de l’estrade. Légèrement ovale, l’endroit s’étalait sur une centaine de mètres en longueur depuis sa position et dans sa largeur une soixantaine de la déchirure jusqu’au mur opposé. Un peu partout des cages gisaient au sol, éventrées pour la plupart. Quelques silhouettes semblaient remuer dans la poussière encore plus épaisse au niveau du sol.

Zémobiel & Ielenia: Tentative de rompre les liens de Ielenia 4(Dé)+0(force)= 4 = Echec
Ses émotions étaient soumises à des variations fluctuant de l’espoir fulgurant à une intense désillusion. Cet état de choses l’épuisait intérieurement. Elle ressentait la désagréable sensation de ne pouvoir rien contrôler. Maintenant qu’elle se mettait à s’exprimer en commun ses chances devaient être plus grandes mais pourtant, elle constatait avec amertume que personne ne semblait faire cas de sa situation où ne l’entendait tout simplement. Le pire était qu’elle ne savait même pas. Soudain, elle ressentit une force, une présence liée à la Toile d’ombre, bien qu’elle fut incapable de définir quoi et où en était la source.
La jeune prêtresse se contorsionnait en tous sens afin de se débarrasser de ses entraves mais les nœuds trop serrés et la corde trop épaisse eurent tôt fait de la dissuader au terme de brûlures douloureuses sur sa peau. La femme d’à côté avait cessé de lui parler et s’exclamait à présent dans la langue commune qu’Ielenia ne maîtrisait pas.

Karou d’Héle & Alesray: Chercher maintenant que le nuage se dissipait devenait une tâche plus aisée. D’après les réflexions posées du moine, les commandes éventuelles nécessaire à la montée et la descente des cages devaient se trouver à l’écart de celle-ci et non juste en dessous. Aussi se rapprocha-t-il tout naturellement de la paroi la plus proche afin de tenter de trouver l’objet de ses recherches. Après quelques instants, Karou dénicha un renfoncement dans le mur qui s’élevait jusqu’à sa taille, façonné de mains d’homme, cet ouvrage était muni d’une herse.
Le calishite était foncièrement ravi. Certes l’homme qui lui répondait ne manifestait pas les mêmes dispositions morales que lui, mais force était de constater qu’il appréciait le dévouement et l’altruisme sans condition dont il faisait preuve à son égard. Il espérait maintenant surtout qu’il le serait pas long à dégôter un moyen de le descendre de là.

Kenadon & Nénharma: Le jeune rôdeur regardait l’homme d’un air étonné. Maintenant qu’il l’avait libéré de ses liens, voilà que le gaillard se mettait à lui tenir un discours incompréhensible, employant des mots coulant comme l’eau chantante d’un ruisseau. Bien que n’étant pas familier du langage, Kenadon avait suffisamment approché d’elfe pour en reconnaître l’idiome. Il en venait sérieusement à se demander si le jeune homme n’était pas encore véritablement perturbé de sa chute, d’ailleurs celui-ci chancelait encore à chaque mouvement. Mais qu’était-il exactement ? Il se posait la question maintenant qu’il le voyait prier juste avant qu’il ne détrousse la morte que sa cage avait écrasé.
Maintenant libre de ses mouvements, Nenharma se sentait revivre. Comme il s’y attendait la fouille du corps n’avait rien donné, le pauvre corps mutilé n’ayant que bien peu de surface de recherche à couvrir. Tournant de nouveau la tête en s’adressant à son libérateur, le druide se demanda pourquoi ce dernier le regardait avec une expression aussi interrogative.
Autour d’eux, le brouillard leur laissait entrevoir désormais un enchevêtrement de métal tordu et de gravats. Plus loin, il leur semblait que des silhouettes se mouvaient mais immédiatement autour d’eux, il n’y avait que corps manifestement sans vie.

¤ Oh bon sang, c’est pas passé loin ! Nom de … ok Torm un point pour toi, tu m’as bien aidé sur ce coup là.¤
Exorn enleva les lanières de ses poignets et conserva en main celle encore intacte pensa que la pierre attachée au bout ferait une bonne surprise à ses agresseurs en leur fracassant le nez.

Cette scène un peu apocalyptique avec ces pauvres hères qui grouillaient en bas dans la poussière lui paraissait comme irréaliste, comme si tout ceci n’était qu’un sale rêve.
Il resta quelques instants sans bouger, essayant vainement de reconnaître des gens de connaissance.
Puis cette femme lui revint à l’esprit subitement. Elle ne lui avait pas répondu, lui semblait-t-il, ou alors n’avait-il pas entendu, peut-être sa cage était tombée, peut-être avait-il fait ça pour rien.
¤Ah les dieux et leurs desseins, fadaises que tout ça.
¤
- (Commun) Oh Madame, vous êtes toujours vivante dans votre cage ? Toujours accrochée au plafond ?

Tout en attendant la réponse, il se mit à chercher ce qui reliait ces cages au plafond, certainement des chaînes qui devaient sans doute être amarrées à cette plateforme.

Malgré tous ses efforts, en vain, Ielenia se résigna à l'idée de se libérer toute seule. Elle commençait à être très fatiguée par tous ses effort qui n'étaient pas récompensés, et maintenant ses mains la brûlait en plus des douleurs causés par les liens qui la serraient toujours autant.

¤C'est pas possible, personne ne va me venir en aide?¤

La jeune femme commençait à être à court d'idée, mais n'abdiquait pas pour autant. Elle savait qu'elle et toutes les personnes qui l'entouraient étaient dans une situation difficile. La personne à qui elle parlait auparavant, semblait maintenant totalement l'ignorer et donc elle devrait se passer d'elle. La poussière s'étant suffisament dissipée pour pouvoir scruter au travers de celle-ci, Ielenia se mit à observer les alentours afin de repérer quelqu'un qui se soit libérer de sa prison afin d'en espérer de l'aide, elle forçait sur ses yeux qui avaient été trop habitués à l'obscurité.