Localisation exacte inconnue, Une seconde chance

Narration

Maguviale & Kresselack: Kresselack test de Fouille 16(Dé)+0(intelligence)= 16 >< DD ? = Réussite
Adossé à la cage Kresselack récupérait rapidement du choc grâce à sa solide constitution. Chaque mouvement semblait lui remettre en place un os de son corps. Ainsi assis, posé plus tranquillement par la force des choses, il remarqua un détail que dans son empressement il n’avait pas vu à son réveil. Faisant face à la plateforme, il devinait à son extrême droite, presque contre la paroi de la caverne, un renfoncement d’où il devinait aux travers des poutres de bois ce qui semblait être la naissance d’un escalier prévu certainement pour gagner le haut de l’ouvrage de bois. Perchés depuis leur hauteur les prisonniers n’avaient presque aucune chance de voir cette volée de marches intégrée dans la charpente.
Maguviale à ses côtés le remerciait chaudement mais l’invectivait pour qu’il essaye de la sortir de sa geôle où elle ne tenait plus en place.


Karou d’Héle, Alesray, Kenadon, Nénharma, Zémobiel, Ielenia & Exorn:
Exorn tentative d’enfonçage de grille 11(Dé)+2+3(aide faible – Karou & Alesray)+5(outil)+2(circonstances)= 23 >< DD ? = Réussite
Nénharma inflige 0pts de dommages à la corde
Nénharma test de Maîtrise des cordes 15(Dé)+0(dextérité) >< DD ? = Réussite
Renverser la nouvelle cage contenant Alesray n’avait été qu’une formalité. Intelligemment, le prisonnier libre de ses mouvements s’était mis en position pour appuyer avec son dos sur la grille pour renforcer la pression exercée sur la porte, poussant de toutes ses forces sur ses jambes. De leur côté, Exorn et Karou faisaient levier comme ils l’avaient fait précédemment. Leurs efforts conjugués ne furent pas longs pour venir à bout de la résistance de la serrure et une fois de plus, le tintement métallique résonna, symbole de leur victoire.
Ielenia hallucinait, l’homme aux cheveux argent l’avait regardé presque de manière absente avant de se détourner d’elle et de rejoindre son acolyte en la laissant prise dans ses liens. Elle n’était guère plus avancée maintenant, seule et entravée dans une cage où sa seule issue se trouvait hors d’atteinte au-dessus de sa tête.
Nénaharma avait bien essayé de ronger la corde épaisse qui maintenait la séduisante jeune femme dans ses bras mais il en vint rapidement à l’évidence que les conseils de Zémobiel étaient bien plus avisés que son idée de ronger la corde qui prendrait pas mal de temps certainement. En quelques secondes, les liens étaient dénoués et l’ensorceleuse libre.

¤ Et un de plus ¤, pensa Exorn en aidant l’homme ä s’extraire de sa cage. ¤ Un de plus, de plus de quoi, un mort en puissance, voilà ce qu’il est, rien de plus ni de moins que nous tous.¤
-(Commun) Te voila libre à ton tour, lui dit-il en lui tendant la main. Et maintenant, penses à rester en vie !
Il se retourna vers Karou et lui dit en Commun : "Merci de l'aide, je n'y serais peut-être pas arrivé seul. Je crois que tout le monde est libre non ?"

Exorn parcouru du regard l'immensité de la caverne, cherchant les signes d'une sortie plus proche que celles vues à la plateforme.
¤ Bon si on reste là, on risque de se refaire attaquer et vite. Il faut rallier la plateforme le plus vite possible … mais, ces chiens squelettes venaient bien de quelque part … Il y aurait peut-être une issue qui sait ? ¤

-(Commun) Karou, dit-il en se retournant vers l'aasimar, montres moi d’où sont venus les deux molosses. Si ça se trouve on pourra y trouver une sortie, des armes peut-être, des éléments qui nous permettraient d’identifier notre maître de cérémonie qui sait ?
Et puis s’il n’y a rien, alors on pourrait repartir vers la plateforme, qu’en dis-tu ? De toute façon, je suis convaincu qu’il faut bouger vite avant que d’autres mauvaises surprises ne nous tombent sur le coin du nez. Cette explosion, cette balafre, ça ne me rassure toujours pas si tu veux savoir …
Exorn fixa Karou, espérant une approbation de sa part.
-(Commun) De plus, il faut un chef à cette mauvaise troupe que nous avons constituée sans le vouloir, et je te laisse volontiers ce rôle, je n’aime pas diriger les gens et ma blessure m’handicape trop pour le moment.
¤ C’est vrai quoi, tu n’as qu’à faire le sale boulot, c’est toi qui a voulu libérer les prisonniers non ? Moi je t’ai aidé à tuer les chiens, j’ai racheté ma bêtise ! Et maintenant je me consacre à me garder en vie et c'est déjà pas mal¤
Exorn dévisagea les prisonniers libérés sans se presser, et souriait de voir sur certains des mines satisfaites de ne plus se balancer au plafond comme un oiseau dans sa cage.¤ Ne souriez pas trop, les mignons, car vous risquez de désenchanter bien vite. ¤

-(Commun) Bon tout le monde est libre maintenant ? Bienvenu à tous dans cette magnifique caverne témoignant du goût prononcé de ses propriétaires pour les mises en scène macabres. Ah Ah Ah.
Je m’appelle Exorn pour ceux qui ne le savent pas encore, et voici Karou, dit-il en le poussant légèrement vers l’avant. Il est celui qui s’est donné tant de mal pour vous libérer ce jour.

Zémobiel se redressa doucement une fois libérée de ses liens, puis elle entreprit de se masser les poignets pour réactiver sa circulation sanguine et la soulager des démangeaisons que la corde lui avait causé. Se faisant, elle écouta attentivement ce que les autres détenus disait autour d’elle. Manifestement un de ceux ci cherchait un chef pour leur petite troupe. La jeune ensorceleuse sourit à cette perspective car elle se disait que si il cherchait un chef et bien il en avait trouvé un en sa personne, la jeune ensorceleuse prendrait grand plaisir à diriger ces hommes et femmes. Au départ elle cherchait un groupe qu’elle pourrait manipuler à sa guise, et bien il lui sembla que le sort lui sourit, car elle venait d’en trouver un.
Le regard de la jeune femme parcourut du regard tous ceux et celles qui se trouvaient présents. La jeune femme jugea rapidement dans son ego qu’aucun d’entre eux ne pourraient s’opposer à ce que se soit elle qui commande. Elle donna quelques coups à sa robe pour la dépoussiérer puis s’adressa à eux d’une voix qui se voulait ferme :

-(Commun) Alors voilà! Nous voilà pour la plupart sortis de nos cages, d’ailleurs quelqu’un devrait peut être libérer de ses liens la jeune femme qui était près de moi, bien beau d’avoir ouvert la cage, mais elle est toujours ligotée… merci.

Zémobiel pointa Ielenia du doigt pour bien se faire comprendre, puis ajouta :

-(Commun) Ensuite il semblerait que nous ayons un certain problème de langue, la jeune femme dans sa cage ne parle qu’illuskan et notre ami elfe ne parle pas commun, mais pas de panique je suis capable de communiquer avec ces deux là et peux servir d’interprète. Et finalement l’un d’entre vous a fait remarquer que nous avions besoin d’un chef et je ne peux qu’abonder dans son sens et j’ajouterai que je me porte volontaire pour prendre le commandement de notre petite compagnie, des objections?

Puis la jeune femme d’Eauprofonde porta son attention au jeune Elfe et lui résuma se qu’elle avait dit :

- ’

Puis elle se tourna vers la jeune femme liée au fond de sa cage.

-(Illuskan) Je prends le commandement du groupe, tu t’y opposes?

e jeune druide, en ayant suivi le conseil de la jeune femme, observa les liens qu'il avait défaits des mains de l'ensorceleuse. Avec son morceau de gravats, il ne l'avait, apparemment, que très peu endommagé. Il ne désirait pas laisser l'objet sur les lieux, alors qu'il serait possible qu'il lui soit utile dans une quelconque situation. Ainsi, il l'enroula autour de son poignet gauche. Evidemment, il laissa du jeu dans l'étreinte de la Corde, pour éviter de se sentir attaché. Il entendait une conversation autour de lui, d'un langage qui lui était inconnu. Il n'en prit donc pas part, et alla se cramponner aux barreaux pour mieux se relever. Lorsqu'il eut terminé de se remettre sur pied, il se tourna vers la jeune femme qui lui adressa la parole. Le druide l'écoutait attentivement, et un ricanement chaud et agréable lui échappa. Il prit un regard songeur et réfléchit sur la proposition qu'elle venait de faire. Elle paraissait ensuite s'adresser à la jeune femme, toujours ligotée dans sa cage. Il l'observa d'ailleurs et soupira les yeux froncés. ¤ Ah! Ces humains, ils ne terminent jamais ce qu'ils font. Je ne sais pas exactement ce qu'ils font, mais ils auraient au moins pu la libérer. ¤

Nenharma réfléchissait à la proposition que venait de lui faire Zemobiel. Effectivement, cela lui posait un léger problème. Accepter un chef de groupe, lui donnerait d'un coté l'obligation de l'écouter et de le laisser diriger. Or, l'elfe des bois n'a que très peu l'habitude de recevoir d'ordre et de se laisser diriger. De plus, il trouvait immoral la penser d'offrir le groupe entre les mains d'une personne. Il préférait un moyen démocratique, où chacun aurait son mot à dire. Il s'abaissa difficilement pour passer les mains sous les bras de la jeune femme et l'aider à se relever. Il tacha, avec quelques difficultés, de garder le buste droit et de se pousser avec les jambes. Il la hissa donc faiblement en s'adressant à elle.

(sylvestre)" Je ne suis pas vraiment dans cette idéologie. Je pense que nous devons tous prendre nos responsabilités et prendre les décisions ensembles. Je préfère un système démocratique à l'idée d'avoir un chef. Excusez-moi pour mes idées qui vous contredisent à ce sujet. Et puis sans vouloir vous offenser, vous me paraissez bien jeune pour mener un groupe. Mais bon, c'est en vous accrochant que vous parviendrez à la sagesse." Lorsqu'il termina sa phrase, il contracta ses jambes pour hisser la jeune femme et la mettre debout afin de vérifier qu'elle n'était pas blessée. Son visage se crispa légèrement sous l'effort, mais aussi sous la fine douleur que sa plaie dégageait continuellement. Il ne pensait plus saigner, mais la plaie, elle, n'allait pas se refermer avant quelques jours. Même avec ses talents de guerrier, il ne pourrait qu'arranger légèrement la plaie et estomper la douleur. Le bandage restait serré autour de sa taille.

Karou se sentit poussé vers l'avant par Exorn. Dès lors, il n'eut plus envie de reculer. Non pas qu'il eut une quelconque soif du pouvoir, ce serait indigne, mais il sentait que le devoir l'appelait. Cette femme qui s'était présentée lui donnait une impression surprenante. Non, il n'avait pas confiance. Qui était elle, pourquoi n'était elle pas parmi les combattants? Pouvait-on lui faire confiance? Trop de questions sans réponses qui faisaient qu'on ne pouvait remettre tant de vie entre les mains de cette personne. Il la laissa finir son discours d'entrée en matière, quelle politicienne elle aurait pu faire! Vile et manipulatrice comme il le faut.

Mais le silence s'était fait, et il n'était plus temps de faire des critiques intérieures. Si cette femme ne lui inspirait pas confiance, il y avait une raison, car ce manque de confiance était quelque chose de très rare chez le jeune moine. Cette femme ne devait devenir chef du groupe. IL continua avec la poussée que lui avait donné Exorn, et commença son discours, qu'il ne désirait pourtant pas appeler comme ça...

-Je ne suis pas un totalitaire, je ne compte rien imposer. Malgré cela, nous ne fonctionnerons bien que si nous fonctionnons méthodiquement. Je veux pour chef un de ceux qui sont venu me secourir. Seul eux ont montré leur bravoure et leur bonté. Je ne veux guère imposer Exorn, qui ne semble guère vouloir revêtir le manteau du responsable. L'elfe aurait peut être du mal à faire parvenir sa décision, mais je pense qu'il peut être choisi et est digne de confiance. Enfin, le combattant qui a beaucoup contribué à la mort des bêtes se trouve très haut dans mon estime, et j'accepte d'être son serviteur. Toi qui veux te faire chef, je m'y oppose, tu te trouveras mieux dans le rôle de traductrice, jusqu'à ce que tu montres des qualités convaincantes. J'appelle donc, car la démocratie est toujours meilleure chose pour régler les conflits, à voter. Votons à main levée pour désigner un chef. Dès lors, il aura la tâche de travailler, avec la collaboration de tous, afin de nous faire sortir d'ici. J'invite à tous ceux qui accepteraient de revêtir cette responsabilité à
me rejoindre. Ils pourront me compter parmi eux. Qu'ils disent leur nom et s'ils le désirent, leurs idées principales. Nous devons savoir aussi que nous n'avons pas le loisir de nous éterniser ici.

Karou se tut, et attendit, les bras croisés devant lui, les candidats. Non, cette élection ne devait pas avoir une grande importance, elle devait juste permettre à chacun de s'y retrouver mieux, et le moine était le premier de ceux ci.

Exorn dut se contenir pour ne pas montrer son mécontentement lors des discours de la femme et de Karou.
Voilà que ce dernier évitait facilement la charge de chef qu’Exorn lui aurait bien vu confier. ¤ Il manie bien le verbe le saligaud. ¤

L’incertitude était grande et semait le doute dans son esprit. D’un côté, Karou proposait l’elfe, celui même qui avait essayé de toucher les parties les plus intimes du guerrier sans le prévenir. Comment pouvait-il avoir confiance surtout s’il ne pouvait pas le comprendre ? Ensuite le second guerrier. Il semblait assez bien bâti, avait eu le réflexe de se procurer une arme mais n’était pas particulièrement communicatif. Et puis la femme se plaçait seule en haut de l’estrade. ¤ Moi je vous comprends tous, moi je vais vous diriger, Nanana, nanana. ¤ Exorn fit la moue en direction de l’oratrice. Avec des mots, on n’a jamais sauvé des vies. Avec les armes oui et c’est pour cela que seul les plus forts dirigent, et non les femmes.

Exorn prit une profonde inspiration.
-(Commun) Loin de ma pensée de vouloir ignorer vos capacités de commandement, chère dame, mais dans une telle situation, aussi peu commune que particulièrement dangereuse, je suivrai les sages recommandations de Karou. En effet, la voie des armes semble la plus adéquate pour nous sortir de ce traquenard rapidement. Le temps des mots viendra sans aucun doute plus tard. Il inclina la tête dans sa direction et se retourna vers Karou.
"Je suis un peu déçu je dois l’admettre qu’un homme de ta trempe et dispensant d’aussi sage paroles ne veuille prendre la charge de commandant. Mais ce choix n’appartient qu’à toi seul tout comme le mien d’ailleurs. Aussi vais-je le respecter, à moins que tu ne changes d’avis.
Je soutiendrai donc cet homme qui a vaillamment combattu les créatures, et non l’elfe, non pas que je ne l’aime point, mais je pense que le barrage de la langue sera un handicap si jamais nous devons être discrets ou rapides dans l’action."
-(Commun) Acceptes-tu cette charge ? dit-il en se retournant vers l’homme désigné par Karou. Décides toi vite s’il-te-plait afin que nous puissions nous remettre en chemin.

Quelle désarroi eut Karou, quand il s'aperçut que son discours avait été mal compris. Il écouta les paroles dures d'Exorn et ne balbutia pas même une excuse, mais il le fit par le regard, puis, pensant que bien d'autres avaient pu mal interpréter ces paroles, prêtant à quiproquo, il reprit son discours, et appuya les points qui prêtaient à confusion. Il fit d'abord un petit signe de sympathie à Exorn afin qu'il ne s'inquiète pas, puis entama son discours d'une vois forte...

-Loin de moi l'intention d'imposer mon commandement, mais loin de moi aussi la lâcheté de refuser le commandement que certains me proposent. Je me suis mal fait comprendre, et je m'en excuse. J'entendais par "J'invite tous ceux qui accepteraient de revêtir cette responsabilité à
me rejoindre" que j'en faisait partie. Néanmoins, par un soucis de démocratie, j'ai proposé d'autres candidats, pas pour me défiler mais pour créer un vote. Je me propose donc comme chef des opérations. Etes vous d'accord? Voulez vous être chef? Voulez vous un autre chef? Désirez vous que nous procédions sans chef? Toute décision sera bonne, puiqu'elle sera la votre, mais que chacun prenne la parole, et qu'il annonce son choix rapidement, car nous devons entreprendre une évasion avant l'arrivée possible des tortionnaires, car ils viendront probablement nous donner à manger, s'ils ne sont pas morts après le tremblement. Un grand merci aux traducteurs.

Karou se recula, quelque peu amusé par la situation tout de même dangereuse. Chacun pouvait s'exprimer, n'y avait il pas plus belle situation, même dans les pires cachots du monde. Il glissa quelques mots à l'oreille d'Exorn:"C'est bon? Diriges les votes maintenant, jusqu'à ce qu'il y est un chef." Puis il leva les yeux et consulta l'assemblée. Qui allait réagir le premier?

Narration

Karou d’Héle, Alesray, Kenadon, Nénharma, Zémobiel, Ielenia & Exorn:
Les délibérations allaient bon train, mais dans l’esprit de chacun seulement, car la plupart des anciens prisonniers qui venaient enfin retrouver leur liberté paraissaient se complaire dans le mutisme. Finalement le rôdeur qui répondait au nom de Kenadon fit comprendre qu’il ne comptait pas prendre la tête, mal-à-l’aise dans son rapport avec les autres étant habitué à la solitude des bois à l’ordinaire. Mais il donnerait sa voix à Exorn ou Karou si ceux-ci voulaient cette charge.
Le jeune Alesray refusa également la fonction. Il haussa simplement les épaules, ne voulant pas se prononcer. Par défaut Exorn donnait sa voix au moine et malgré le fait que la femme qui ne parlait qu’illuskan ne se soit pas encore prononcée, la faible majorité des votes donnait vainqueur Karou d’hèle contre l’ensorceleuse au charme ravageur et au tempérament bien trempé.

Dans le lointain des détonations continuaient de se faire entendre de manière aléatoire. Puis soudainement une violente secousse se fit sentir et la caverne toute entière s’ébranla, secouée dans un spasme tellurique titanesque manquant de les jeter tous au sol. De gros nuages de poussières tombaient du plafond, dissimulant quelque peu des blocs de roches qui s’en détachaient.

enharma soupira en fermant les yeux. D'un coup de rein difficile et douloureux, il redressa la jeune femme en s'appuyant contre les barreaux, légèrement bousculé durant la secousse qui avait traverse la pièce. Il redressa donc Zemobiel et frotta durement sa main sur son dos pour retirer les plaques de poussières qui auraient put s'y accrocher. Poursuivant le culte d'Hinali, il ne savait être que doux avec les femmes. Tel était son caractère et sa religion. Il voyait clairement que les deux hommes se parlaient et en déduis qu'ils devaient débattre sur la position du chef. Il devait énoncer son choix et surtout sa façon de penser, mais malheureusement il ne les comprenaient pas. Il ne savait, en conséquent, pas de quoi ils parlaient, si s'était en faveur de la jeune femme ou non. Sur les traits du visage de Karou, il pouvait sentir la négation, la réflection, ce qu'il trouva rare chez un humain. Il s'énonçait d'une voix forte et distinct sûrement pour qu'il puisse se faire entendre. Mais l'elfe ne comprenait vraiment rien de ses paroles. Que pouvait-il bien dire? Le jeune druide refusait, en lui, de recevoir un meneur. Une communauté répond, dans son esprit, au goût de la démocratie et de l'entente. Cette vision qui lui paraissait proche d'une dictature était bien précipité et non réfléchie mais surtout à son goût un peu trop facile pour le reste du groupe. Offrir toute responsabilité à un chef de groupe pour se défaire de la sienne n'était vraiment pas de son goût et de son idée. Ainsi, il se tourna vers la jeune femme, afin qu'elle lui traduise le résumé du débat.

(sylvestre)"Que disent-ils? Qu'en est-il de votre proposition?" son regard inspirait l'interrogation et l'incompréhension. Il restait tranquillement dans la cage, en face de la jeune femme espérant une reponse clair et rapide. Les violentes secousse l'inquiétait de plus en plus. En lui, il essayait de s'imaginer ce que ça pouvait bien être. Si les oscillations faisaient penser à ceux d'un bateau, peut-être percutait-il des roches ou d'autre navires. Peut-être aussi, étaient-ils en train de se faire aborder par un autre cargo. La conséquence de toute ceci, était qu'ils étaient provisoirement délaissé. Couraient-il un risque dans cette grande salle? Nenharma ne le savait pas encore réellement. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il avait une bonne blessure sur le flanc droit qui a été faite par une créature qui n'avait rien de naturelle. Il pouvait donc, dans cette cage maintenant ouverte, imaginer le pire.

Zémobiel rageait littéralement intérieurement que cette bande de misogyne phallocrate qui ne voyait pas plus loin que le bout de leur nez pour trouver un chef, en particulier se jeune guerrier du sud au cheveux ras et bruns qui ne voulais diriger d’une femme, pourtant la jeune femme était sure que dans les régions d’où il venait les femmes avaient un meilleur statut que ça, pas comme dans ses région du nord d’où sa famille à elle vient.
Mais le bâtiment trembla sur ses fondations menaçant de la faire tomber sur le sol tellement le choc était violent. Décidément c’était pas le temps de s’ébattre en débat pour savoir qui serait le chef, sa pouvais attendre. La jeune femme supposait que maintenant le bâtiment serait presque vide car il était sûrement évacuer vue les secousses qu’il était pris qui menaçaient a tout moment de le faire s’écrouler sur ses fondation. Et vue que personne avais bouger pour détacher la jeune prêtresse Zémobiel courra vers elle et commença à défaire ses liens, dans la situation où ils étaient il ne pouvaient pas se passer du luxe de passée d’une guérisseuse. Et elle ignora royalement l’elfe qui demandais des éclaircissements à propos du débat et elle s’adressa à tout les autres d’une voix forte de commandement :

-(Commun) Bougez-vous les gars, faut sortir d’ici vite, sinon tout va s’écrouler sur nous et ramasser tout le monde que vous pouvez en sortant, l’elfe aussi! Vite! Maintenant!

Et elle se concentra sur les cordes qui attachait Ielenia pour bien défaire le nœud pour qu’elles puissent s’échapper rapidement toute les deux hors de se bâtiment et rejoindre les autres… si ils avaient une once de cervelle.