L'auberge du vieux crane

out le monde semblait définitivement prêt à partir, même si le mage, qui d'habitude était plus loquace, n'avait rien dit ni bronché sur les derniers événements. Kanabhendril, réajusta son fourreau, mis sa capuche tout en vérifiant que ses sacoches et autres sacs étaient bien maintenus. Il se dirigea alors vers Rylack pour arriver à une longueur de bras de ce dernier et lui dit:

-Bien. Je crois que nous sommes tous prêt à partir. Il serait bon que tu nous amènes au plus vite sur les lieux où l'on a trouvé la jeune fille, que je puisse au plus vite retrouver des indices. Ah....et j'oubliais! S'il était possible en chemin que vous nous en disiez un peu plus sur la forêt et...vous même! On vous fais confiance en vous suivant, faites preuve de même!

Conclut le rôdeur, un sourire aux lèvres. Il lui semblait définitivement plus judiciable de pas se mettre cet créature à dos, et autant lui montrer bonne conduite. Kanabhendril renifla prestament, se faisant craquer les os du dos, dans un signe évident de préparation physique au départ. Cela aurait pu paraître burlesque aux yeux des gens, mais le rôdeur s'étirer souvent de la sorte, comme si cela provoquait en lui un déclencheur de motivation. Il se retourna vers le reste du groupe et leur dit:

-Je crois qu'il est temps de partir. Allons-y!

° Décidément, ce Rylack fait effet à tous, il a même fait taire le mage.° Se dit pour lui Yvhann.

Voyant l'ensemble près pour le départ, à part peut être le mage qui semblait pensif ou oisif, Il siffla Floyr pour le départ. Celui-ci s'envola formant de grand cercle au dessus d'eux et à certaine occasion il plongea et revenait à son vol demi stationnaire. Pour Yvhann, le vol de son cher ami et familier était un langage propre a lui, ainsi il pouvait savoir, presque en toute occasion, lse qui les devançais, gibier ou bien adversaire.

Yvhann prit place dans la marche auprès de la prêtre et ce, sur sa gauche, laissant Rylack au devant. Il avait sorti son fléau et le tenait vers le bas mais tenait la chaîne de part l'un de ses doigts. Il avait dégagé le pommeau de son Katar et ajusté son arc en bandoulière ainsi que son carquois.

Il ne dit mot, se concentrant sur la démarche de chaque membres du groupe pour en connaître chaque détails de ceux-ci; qui faisait le plus de bruit, qui ne marchait pas d'un pas régulier, ect, ect. Étudiant attentivement leurs déplacement, Yvhann pouvait en détecter leurs forces et leurs faiblesses, un atout quand vous êtes avec un groupe que vous ne connaissez pas encore. Jetant un oeil régulier à ses comparses d'aventure, il leurs fit à certaine occasion des petits signes facile à retenir comme, regarde par là, par ici, porter attention a notre arrière, écouter ...

Il savait qu'avec Enoriel, ils pouvaient tout deux utiliser les signes Druide, mais avec les autres il fallait autre chose. Il était important pour lui qu'ils se comprennent au visu et non à la parole.

~MJ~


L'homme encapuchoné observa tranquillemant le comportemant du groupe, le regard de la chouette neigeuse trahissant un certain amusemant. Glissant machinalemant sa main dans le plumage nacré de l'animal, le guerrier se laissa approcher sans broncher. Calme, sur de lui, aucun mouvemant pressé ni incontrolé ne lui échapa, comme....impérturbable. Il prit son temps pour répondre à la question du rôdeur, rajustant ses gants, replaçant sa capuche. Puis, au bout de quelques silencieuses secondes qui parurent interminables, l'homme s'adressa au groupe d'une voix calme:

"Qui je suis? Ca n'a aucune importance. Ce que je sais sur cette affaire? rien dont j'ai la certitude, donc rien que je puisse vous communiquer. Puisque vous vous santez pret, partons, je vais vous conduire sur le lieu désiré.
Mais...prennez garde.."

Sous l'éclatant soleil, le volatile déploya ses ailes en laissant le soleil y faire scintiller de milliers de reflets argentés, prenant bientot son envol avec grace après avoir ébloui les présants de son plumage d'un blanc pure. Les guidant à travers la ville, Rylack se déplaçait à une vitesse finalemant assez soutenue, ses pas silencieux donnant l'impression d'effleurer à peine les rues dallées. Puis, enfin, une brise légère porteuse d'agréables odeurs forestières veint flatter les sens des aventuriers. Le ciel d'un bleu extraordinairemant bleu contrastait avec la masse vert sombre qui se dessinait à l'horizon, des dizaines d'oiseaux pialliant en s'élançant à toute allure au dessu de leurs têtes. Puis, un petite silhouette à quatres pattes se dessina non loin, un canidé sans doute... Peut à peut, il s'approcha. Enoriel, son maitre, n'eu aucun mal à reconnaitre son ami qui accourait vers lui. Comme toujours, leur guide avait prit des distances, leur laissant le loisir de discuter entre eux.

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