Les enfants de Myrial, chapitre 2, Retour et expédition punitive.

MJ

Village de Myrial. Localisation : entre Mirabar et Lunargent, sud du Bois Tapi.

Le temps était nuageux, le gris du ciel un jour de marché n’aidait pas les ventes des petits commerces établit sur l’axe principal du village. Les gens étaient moroses, un fait où une conséquence ? Les enfants capturés par les orques du clan Crâne Rouge n’étaient pas sur les lieux, ce qui donnait au village un air pseudo-fantomatique, certes ils étaient sur le chemin du retour, avec ce qui devait resté du groupe d’aventuriers envoyés désespérément par le bourgmestre de Myrial.

Ce même bourgmestre qui afin de faire payer cet acte avait placardé un nouvel avis de recherche à travers tout le bourg où l’on pouvait lire ceci :

Certes les mots du bourgmestre n’étaient pas très bien choisis mais pour lui ce qui comptait c’était que le message passe et fasse effet.
Il rêvait même qu’un jour son hameaux deviendrait riche et prospère comme la belle Mirabar, mais une telle chose ne pouvait se réaliser tant que les orques du Crâne Rouge occupait la région, pour lui ce n’était pas de l’aide de simple aventuriers qu’il avait besoin mais de véritable héros tel Elminster le grand.

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rrivé en vue de Myrial, Welk prit quelques instant pour reprendre son souffle, et reposer ses jambes de la longue marche qu’il venait de parcourir. Il en profita pour observer avec attention le village qui s’étendait face à lui, examinant l’allure générale des chaumières, et mémorisant les bâtisses qui pourraient lui servir de point de repère une fois dans l’enceinte du village. D’ici, Myrial ne semblait guère impressionnant, mais cela convenait parfaitement au jeune Chondathien qui était persuadé que les plus grandes aventures débutaient toujours dans le plus petit des villages.
Avec un sourire satisfait et une certaine impatience, Welk se remit en marche.
Pour arriver jusqu’ici, le jeune guerrier n’avait pas parcourut un bien long chemin, mais le fait de s’enfoncer toujours plus au nord était déjà en soit, des plus excitant.
Il était partit de Yartar, sa ville natale, et avait contourné les lugubres Landes Eternelles en longeant la Haute-Forêt. Remontant par Everlund, il s’était arrêté quelques jours dans la « Myth Dranor du Nord », la cité de Luneargent. C’était là bas qu’il avait entendu parler pour la première fois des problèmes liés au clan Crâne-Rouge, et qu’il avait décidé d’aller proposer son aide à ceux qui étaient malmenés par ces orques. Il avait par la suite longé le Rauvin, un confluent du Surbrin, pour arriver, enfin, à Myrial.
Avant même d’entrer dans le village, Welk se retrouva face à l’affiche du bourgmestre, cloué sur un vieux chêne. Après sa lecture, le jeune humain soupira d’allégresse.

¤ Je ne me suis donc pas trompé, c’est bien ici que commence ma vie d’aventurier ! Gond, faite que celle ci soit longue et parsemée de succès ! ¤
Mais en pénétrant dans Myrial, l’enthousiasme du guerrier retomba bien vite. La ville et ses habitants respirait la tristesse, et une tension presque palpable régnait ici. Welk réalisa seulement alors, que cette aventure qu’il attendait tant, débutait irrémédiablement par le malheur de ces pauvres gens. Un sentiment de culpabilité l’emplie bien vite, et c’est presque timidement qu’il arrêta une vielle femme pour lui demander où il pourrait trouver la maison de Kyrion Boilivier. Ce renseignement prit, il remercia la villageoise le plus chaleureusement qu’il put, et dirigea ses pas vers la chaumière du bourgmestre.

telina recherchait activement un bon cheval depuis le vol dont elle avait été victime peu après son arrivée au Cormyr. Le train de vie qu'elle y avait mené était certes confortable, mais manquait de piment, et l'ennui s'installait. Elle décida, comme l'avait encouragé Idiel, de poursuivre son voyage. Elle quitta donc Arabel, pour son premier long voyage sans cheval, quelle drôle expérience ce fût pour elle. ¤Il n'y a vraiment qu'à dos de cheval qu'on se trouve réellement à l'aise en vérité.¤ Les étapes marquantes de son voyage furent nombreuses. Cela commença avec la traversée en bateau qu'elle fît de Suzail à Port-Ponant, où les marins semblaient fort craintifs de se faire attaquer par un gallion pirate. Elle trouva bien vite à Port-Ponant d'aimables marchands, qui lui proposèrent de l'emmener avec elle en échange d'une protection pendant le voyage. Elle accepta gaiment. ¤Voilà une magnifique occasion de voir du pays!¤ Sa caravane en rencontra une autre, entre Priapurl et Estant. Une caravane pillée par des Zhents. Par amitié et compassion envers les rescapés, elle s'était alors fait du Zhentarim un ennemi, bien que n'ayant jamais eu affaire avec un membre de cette organisation.

Elle arriva à Scornbull après une pause à Berdusk, ville qu'elle s'était choisi comme étape après la fin du voyage en compagnie des commerçants. Après y avoir séjourné quelques jours, elle escorta une autre caravane de marchands, bien moins sympathiques que les précédents et fini par arriver à Eauprofonde. C'est dans cette ville qu'elle entendit parler des Ménestrels, une autre organisation luttant pour le bien des Royaumes. Elle se mit en tête d'entrer peut-être un jour dans cette organisation bienfaitrice. Son séjour ne lui sembla guère long, tant cette ville immense était remplie de merveilles, et c'est à contre-coeur qu'elle s'en alla, sans oublier de se faire la promesse d'y revenir un jour.

Lors de son passage près du Marais des Morts, quelques hommes-lézards les obligèrent à forcer l'allure, car ils avaient vu en cette caravane un possible festin. Son voyage l'emmena jusqu'à Mirabar, où elle quitta son convoi. Elle ne pris pas le temps de se reposer, et voyagea pendant quelques dizaines. La solitude lui devint fort pesante, et ce fût avec une joie non-dissimulée qu'elle fit son entrée dans le premier village qu'elle avait aperçu. Son enthousiasme baissa grandement en observant la mine d'enterrement des habitants. Elle n'en comprit la cause qu'en lisant une pancarte, promettant une solide récompense pour une aventure. ¤Quelle aubaine, une récompense comme j'en ai justement besoin! Hmmm, je ne devrai peut-être pas me réjouir de la situation, elle est bien loin d'être enthousiasmante pour les citoyens.¤

Elle commença à se renseigner auprès de jeunes enfants quant à la direction à prendre pour se rendre à l'habitat du maire...

MJ

@Welk

Lorsque le guerrier arriva en vue de la bâtisse quel ne fût pas sa surprise, en effet la villa du bourgmestre n’était autre qu’un manoir avec un somptueux jardin à l’arrière, on pouvait même y remarquer une fontaine représentant une dryade versant de l’eau depuis une amphore qu’elle tenait à deux mains, certes pour un petit village le bourgmestre avait là une demeure des plus chère, il paraissait évident qu’il avait les moyens de récompenser gracieusement les aventuriers venus prêter mains fortes.

Welk sonna le carillon, devant la porte il attendît l’arrivée d’un des serviteurs de maison qui lui demanda la raison de sa visite, une fois mit au courant, le serviteur invita le jeune guerrier à rejoindre le salon avec deux canapés en cuir de daim, on pouvait aussi remarqué un tableau représentant un homme en chemise de mailles épée longue renversée à la main -certainement le maître de maison ou un ancêtre- il y avait aussi un feu de cheminée, où brûlait des bûches de chêne.

_Le bourgmestre est actuellement occupé, si vous voulez bien attendre ici son retour merci bien annonça le serviteur.

A peine sa phrase prononcée que quelqu’un d’autre utilisait le carillon de la porte d’entrée, ce fût cette fois-ci au tour de Stelina de se présenter.

@ Stelina

Elle fût aussi surprise que Welk par la demeure du bourgmestre qui contrastait fort avec le niveau de vie moyen des habitants; elle fût accueillie par un homme d’âge mûr aux cheveux noir de jais, portant un gilet marron et une tunique marron elle aussi.

Le serviteur répéta son manège amenant la nouvelle venue au salon et lui priant de bien vouloir patienter d’ici là.

@ Welk et Stelina

Ne manquant à aucun de ses devoirs, le serviteur se présenta et proposa une boisson aux invités.

_Je me nomme Isilm, pour vous servir, un peu de vin rouge pour ces messieurs dames ? Si le vin ne vous scie pas nous avons de l’hydromel ou de l’eau tout simplement.

Araerith arriva enfin dans un coin de civilisation. Après tant de jours sans croiser âme qui vive elle commençait à ce demander si le Nord était aussi désertique que Calimsham. En voyant le village elle pensa très fort en Elle.

¤Alors c'est ça le Nord , finalement nous sommes bien plus avancé à Calimsham.¤

Araerith arriva enfin dans un coin de civilisation. Après tant de jours sans croiser âme qui vive elle commençait à ce demander si le Nord était aussi désertique que Calimsham. En voyant le village elle pensa très fort en Elle.

¤Alors c'est ça le Nord, finalement nous sommes bien plus avancé à Calimsham. ¤

Peut être trouverait elle un endroit pour jouer et gagner quelques piécettes, pour manger et la nuit.Ces gens semblaient si ternes cela ne pourrait que leur redonner du baume au coeur. Enfin toujours est il qu'il fallait qu'elle aille voir le bourgmestre, on ne savait vraiment pas comment de tel barbares pouvaient réagir dans les instants troubles qu'ils vivaient. Et puis si elle se joignait au petit groupe qui était parti délivrer les enfants peut-être que le bourgmestre la laisserait dormir gratuitement/à l'oeil.
Cette idée lui réchauffa le coeur. Alors elle chercha la plus grosse maison. Cela ne pouvait être que la plus grosse maison. Lorsqu'elle vue un type entrer dans une maison assez grosse, le type lui disait vaguement quelque chose sans doute un rêve lointain qui lui glaçait encore le coeur, mais pourquoi elle ne savait pas trop, mais cela était sans importances. Alors elle s'avança vers le lieu où il allait.
Elle se demandait bien se qui lui avait pris d'aller dans ces contrées nordiques, tout est plus dur ici elle ne pouvait même pas dormir à terre certains soir tellement il faisait froid, enfin tout ceci serait finit ce soir elle serait enfin au chaud.

ne demeure si grande était grandement impressionnante pour une Tuigane, aussi Stelina n'avait pu s'empêcher de jeter des regards à droite et à gauche dans la pièce où elle se trouvait, celle où le majordome l'avait conduite. Elle finit par reprendre ses esprits. ¤Une villa si riche doit bien cacher un secret... Mais nous verrons celà plus tard. Commençons par nous mettre à l'aise.¤

-Eh bien, je suppose que nous ne partirons pas de suite rechercher ces enfants. C'est donc avec plaisir que j'accepterai un verre d'hydromel. Je vous avoue que je n'y ai encore jamais goûté, et toute nouvelle chose me remplit de curiosité. Merci à vous, Isilm.

Elle se tourna alors vers le jeune homme blond qui était déjà là à son arrivée. Il s'agissait certainement d'un aventurier, tout comme elle. Elle s'assit dans l'un des confortables canapés, admira quelques secondes encore la décoration de ce lieu de luxure, et entama la conversation. "Eh bien, mon ami, êtes-vous également là pour la pancarte qui parsème les rues de ce village ? Avez-vous l'intention d'aider ces pauvres villageois, comme je m'apprête à le faire ?"

Ina avait rarement été aussi en joie. Être sorti de cette caverne sinistre et avoir retrouvé les enfants et sa compagne, une bien belle journée qui se terminait.
Alors qu’ils rentraient tout ensemble elle n’avait pas perdu un instant pour jouer avec toute cette marmaille et son faucon. Le soir aussi près du bivouaque, le terrain s’y prêtait merveilleusement bien. elle avait grand hâte à être rentrée. Durant la soirée, une foi les enfants couchés, elle avait longuement discuté avec l’elfe et ils avaient partagé le butin. Puis ils s’étaient attelés a la compréhension des parchemins volés. Tout cela était fort intéressant mais inutile pour le moment. Elle garda donc tout ça dans sa mémoire pour plus tard.

Le lendemain, lorsqu’ils arrivèrent en vue du village, le gnome qui les accompagnait disparu en arrachant des cris de surprise et d’émerveillement des enfants. On ne voit pas tous les jours un être vivant se volatiliser en étincelles. Ina s’approcha de l’elfe, et lui parla un peu fort pour que tout le monde puisse l’entendre :

-Je crois que notre chère assemblée ici présente a très envie de retrouver ses parents. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais je croie que leur village est juste un peu plus loin…

Puis s’adressant alors a tout le monde en même temps, elle sauta sur place trois fois en criant :

-QUI EST PRET A RENTRER A LA MAISON ?

-C’est le mêmes jeux qu’hier mais la but est la porte du village. Je ne veux toujours pas de bousculade, ni de chamaillerie, ni aucun pleure. Si, avant le coucher du soleil, tout le monde est au village, tout le monde a gagné !

-Et comme hier, on suis Leth !!!

-Allez, montre leur la route ma belle.

Lanceant sa compagne dans les aires, cette dernier s’élança vers le village, suivi rapidement par tous les enfants.

Ina resta en retrait un instant pour discuter avec Orodreth un peu plus en privé.


-Je te propose de se retrouver à la taverne ce soir, pour un petit dîner entre amis. Réfléchis et l’on en reparle tout à l’heure, sinon on va se faire battre a la course par toute cette bande de pucerons. Et si tu pouvais rester un peu derrière cette horde de monstres, juste pour être sûr que personne ne se perde merci, j’ai encore besoin de me dégourdir les jambes

. Elle n’attendit même pas de réponse et s’élança à toute jambes à la suite des enfants.

omparé au dehors la chaleur dans le manoir du bourgmestre était presque étouffante, aussi le premier réflexe qu’eut Welk lorsqu’Islim le quitta fut d’enlever son épais manteau de fourrure. Il se laissa ensuite tomber sur l’un des deux canapés en cuir, croisa les bras derrière la tête, et étendit les jambes.

¤ Voilà foyer bien douillet, pour le bourgmestre d’un si petit village. ¤ Pensa distraitement Welk. Le jeune guerrier observa la pièce qui l’entourait avec un certain détachement pour le luxe affiché par son hôte, mais ne put s’empêcher d’admirer le grand tableau qui trônait au milieu de l’un des murs. Il s’étonnait cependant des attribut guerrier que semblait posséder le sujet de cette œuvre, car il n’avait vu jusqu’alors que peu de gens en armes dans les rues de Myrial. Son regard glissa lentement ensuite vers le feu de cheminé, et le jeune homme se perdit peu à peu dans une rêverie nostalgique, repensant à son ancien chez soi.
L’arrivée d’Islim, accompagné d’une jeune femme, l’arracha à ses pensées. Lorsque le serviteur lui proposa une boisson Welk choisi un grand verre d’eau pour se désaltérer et se rafraîchir les idées. Il n’avait de toute façon jamais été un grand buveur, et voulait garder la tête claire pour sa rencontre prochaine avec Kyrion Boilivier. Il ne put s’empêcher d’observer la petite humaine qui venait de s’asseoir dans l’autre canapé, et lorsque celle-ci l’interrogea sur les raisons de sa présence ici, c’est avec un grand sourire qu’il lui répondit.

- Je suis en effet là pour porter secours aux villageois de Myrial, du moins pour proposer mon aide. Et j’espère du fond du cœur que nous réussirons à régler leur problèmes. Welk se leva alors soudainement et tendit la main à son interlocutrice. « Je me nomme Welk Laeryn, et suis vraiment enchanté de faire votre connaissance! »

musée par le geste du jeune homme, assez raisonnable pour ne boire que de l'eau dans un tel endroit, Stelina l'observa attentivement, scrutant le blanc de ses yeux. Malgré qu'elle ne pouvait dire le trouver beau, cet humain lui parut fort sympathique. Elle entreprit donc de se lever, et remit en place une mèche de cheveux avant de serrer vigoureusement sa main tendue dans un geste amical. Elle le regardait toujours droit dans les yeux lorsqu'elle prit la parole. "Enchantée de même, mon nom est Stelina, des Désolations. J'ai dû parcourir un très long chemin avant d'arriver jusqu'ici, et je suis fourbue. J'espère qu'ils nous feront l'honneur de nous offrir un lit avant de nous lancer à l'aventure. Vous même, d'où venez-vous? Êtes-vous de la région, ou d'une contrée que je n'ai pas encore eu la chance de visiter? Dans tous les cas je serai ravie de vous écouter me parler de votre patrie."

Stelina lâcha alors la main de son interlocuteur, reprit place dans son fauteuil, et jeta un regard furtif à la porte par laquelle le domestique était sorti une minute plus tôt. ¤J'espère que l'hydromel ne se fera pas trop long.¤ Elle replongea alors son regard dans celui du jeune homme, et attendit qu'il reprennela parole.

MJ

@ Stelina et Welk

Isilm fût vite de retour avec les boissons demander, il servît Dame Stelina en premier conformemant à l’étiquette et ensuite Welk, il allait entamer sa prochaine déclaration lorsque le carillon retentît pour la troisième fois déjà en moins d’une heure !

_Diantre ! A qui le tour ?

Isilm salua et prît congé des deux guerriers pour aller répondre.

@ Araerith

Arrivée devant le manoir à son tour, elle sonna au carillon comme tous les précédents visiteurs, Isilm ouvra la porte et fût surpris du nombre de visite en si peu de temps, un coup du destin ?
Possible, reprenant son sérieux, il guida la nouvelle venue dans le salon où l’attendait déjà Stelina et Welk en grande conversation.

@Araerith, Stelina et Welk

Isilm refît son apparition dans le salon accompagnée cette fois-ci de la barde, il se présenta, lui proposa aussi une boisson avant finalement de reprendre à l’attention de tous.

_Bon, je m’apprêtais à dire que comme l’heure du dîner approchant à grand pas, le bourgmestre vous invitais à sa table vous permettant ainsi de discutailler affaire autour d’un copieux repas car il suppose que le voyage vous aura ouvert l’appétit.

@ Ina et Orodreth

Ina rattrapa assez vite les « mioches » pour finalement en dépasser quelques uns, après plusieurs minutes de foulées sauvages à travers la campagne, elle arriva à hauteur de la première chaumière, certes le prix de la cavalcade attira l’attention des personnes se trouvant aux alentours, à la vue des « mômes », certains hommes coururent à leur tour à travers le village hurlant à plein poumon :

_Ils ont réussi, les enfants sont de retour, venez vite, ils ont réussi . . .

Voir tout le monde s’agglomérer pour accueillir les enfants redonna du baume au cœur d’Ina, Orodreth qui n’avait même pas prit la peine de courir arriva à son tour admirant le spectacle de joie de vivre qui se déroulait là. Déjà les premiers villageois -principalement les parents des familles d‘enfants capturés- vinrent remerciés les deux aventuriers par des poignées de mains, des embrassades et même des claques amicales dans le dos de l‘elfe qui fût quelque peut secouer par tant de débordement d‘attention à son égard.