Sur le quai à la recherche de marins, Lune, Gay, Imzel, Thöri et Izdrill

oyant Lune désirant se coucher et se diriger vers sa cabine, Gayaephel se mit en tête de vadrouiller dans les rues de Padhiver. Il aperçut l'humaine qui descendait du bateau devant lui, mais Gayaephel préférait de loin la solitude à la compagnie d'une inconnue. Il attendit donc avec patience qu'elle s'engage dans la foule avant de descendre la passerelle qui menait sur les quais. Une fois en bas, il longea le port, les yeux rivés sur la pleine mer. Il ne tarderais pas à la rejoindre. Une fois sortit de sa rêverie, il entrepris de trouver un armurier pour revendre sa vieil armure qui le gênait lors de ses déplacements.

Le guerrier vagabondait depuis vingt bonne minutes lorsqu'il cru apercevoir les deux nains qui avait déclenché une mini-émeute devant le bateau dans une auberge. Il se demandait comment s'étaient finies leurs affaires et si il les reverrait sur le bateau. Il trouva une armurerie dans une rue perpendiculaire à deux pas de l'auberge. Il enleva son armure, la nettoya avec sa manche, puis entra. Il se dirigea droit sur le marchand. "Combien prendriez vous pour cette armure d'écaille?"

MJ

Lune

Le jeune marin à qui Lune avait adressé la parole était enchanté de pouvoir faire quelques pas en sin bonne compagnie. Il la menait comme promis vers sa probable cabine, il tournait le dos à la cabine du capitaine et se dirigeait vers le pont arrière. Tout en marchant, il ne pouvait s'empecher de vouloir poser milles questions à la jeune femme mais il se retenaint tant qu'il pouvait. Un moment, il ne tint plus, et il posa la question qui lui trottais alors dans la tête:"Honnetement madame, qu'est ce qui amène une fille comme vous sur un bateau? La mer, l'envie de voyage, les hommes? Il eut un sourire malicieux, mais il le masqua rapidement de peur de vexer la jeune femme. Il marchait, attendant sa réponse, tout en se dirigeant vers une petite porte noire.

Izdriil

Izdriil était rentré dans une taverne certes beaucoup plus spacieuse et beaucoup plus propre. Les gens étaient peu nombreux, sans doute à cause des tarifs relativement élevés de cette taverne. Le tavernier se retourna dos au comptoir, pour sortir des bouteilles poussiéreuses de sous une table, il ouvrit une de ses bouteille, et versa le liquide teinté dans une grande chope propre et impeccable. Il posa la chopine pleine sur le comptoir devant le nain, lui annonçant le prix:"Voila monsieur, ça fera cinq pièces de cuivre, si vous en voulez une autre vous réglerez tout à l'heure." Puis le tavernier détourna son attention du nain pour répondre à la demande d'un elfe acoudé au comptoir un peu plus loin.

Gayaephel

L'armurier chez qui était entré Gayaephel était assez compétent, dès qu'il lui présenta l'armure, il se mit à l'examiner attentivement. Au bout de quelques minutes, le vieil homme très sur de lui, expliqua au jeune homme sa décision:"Intéressant, ce n'est pas un modèle très courant et plutôt cher. Je ne comprends guère pourquoi vous n'en êtes pas content, mais vous me direz, ce n'est pas cela mon métier. Mais je dois admettre qu'elle parait tout de même un peu usée. Disons que pour cette belle pièce je vous offre, l'armurier marqua un temps d'hésitation puis dit, vingt-cinq pièces d'or. Marché conclu?" Le vieil homme tendit sa main, attendant que l'autre la lui serre.

Thörimor avait mal compris ce que disait son frère, et quand il se retourna pour lui demander de répéter, celui-ci avait déjà disparut.
Thörimor décida alors de vérifier si lui et son frère n'avaient rien oubliés à l'auberge, puisqu'au matin, Thörimor était partit précipitamment à la recherche de son frère Izdriil.
Il se mit en route en direction de la vieille baraque. Une fois arrivé, il entra dans le bâtiment, et s'avança jusqu'à la porte de la chambre dans lequel ils avaient passés la nuit. Il entra et fouilla un peut partout ¤Ah.. ça va nous avons rien oubliés, maintenant il faut que je retrouve ce jeune aventurier qu'est mon frère.¤
Thörimor était angoissé à l'idée de ne pas retrouver Izdriil, alors il se précipita de sortit de l'auberge, et il alla se balader un peut partout en trottinant pour trouver son frère. Il tomba sur une très belle Taverne qui semblait très bien aux goûts de Thörimor. Il entra dans le magnifique bâtiment en espérant y trouver son frère, et regarda un peut partout pour trouver son frère. Et il avait raison de venir ici, car son frère était assis à une table, et une personne était en train de lui parler, c'était sans doutes le Tavernier qui venait apporter une chopine à Izdriil.
Thörimor s'avança pour rejoindre son frère. Dès qu'il parvient aux côtés du nain et du Tavernier, il prit une chaise, et il s'asseya aux côtés de son frère :" Ah... je t'es enfin trouvé... qui est cette homme ? C'est le Tavernier ?
Thörimor s'adressa à l'homme qui semblait être le gérant de ce lieu :" Bonjour, puis-je avoir une bonne bière s'il vous plaît ? Je meurt de soif..., enfin si vous êtes bien le Tavernier..."

La jeune femme s'était engagée derrière le marin, profitant de la ballade pour prendre ses repères. Elle allait être ammenée à parcourir ces planches des centaines de fois, autant s'épargner tout de suite les problèmes d'orientation. A la question de son guide elle eut un sourire.

-J'ai bien peur que la réponse ne vous plaise guère! Je suis d'abord ici comme marin, ensuite comme parole de réconfort et de bienveillance.

Une fois devant la porte de ses appartements, elle récupéra l'éventuelle clef et se posa entre le marin et la cabine. En accord avec son sourire mauvais, le ton de ses paroles était dur et sans réplique.

-Mais ne vous trompez pas sur moi! Si vous ou l'un de vos camarades de jeu était tenté d'entrer ici sans ma permission, ce serait bien pire que la main divine qui viendrait lui boter le cul! Sur ce je vous remercie.

La porte se ferma au nez du marin.

Gayaephel peu satisfait du prix que le marchand lui proposait. Vingt-cinq pièces d'or pour son armure. C'était en effet la moitié du prix d'origine. Mais il n'aimait perdre son temp à faire des achat, et était peu proche de ses sous. Il prit donc ses pieces d'or sans serrer la main au marchand; trouvant ces familiarités inutiles.

Il regarda les autres articles que vendait le marchand, puis decida qu'il se debrouillerait tres bien sans armure, qui generait ses mouvements pendant ses manipulations maritimes plus qu'autre chose. Il y avait tres peu de chanc de se faire attaquer sur un bateau, et si pas malheur c'était le cas, il se debrouillerais très bien juste en tunique.

Voyant qu'il vagabondait depuis déja un certain temps, Gayaephel décida de retourner sur le bateau , pour ne pas prendre le risque d'etre abandonner sur le quai et perdre son amie.

Il retrouva aisement le grand navire, et resta de longues minutes devant à regarder la proue en forme de dragon.
-Pourvu que l'on prenne le large au plus vite, il me tarde de quitter la terre ferme.

Gayaephel remonta sur la passerelle et commença à aider les marins dans leur tâches quotidiennes.

La ville était très bruyante en ce début de matinée. Les gens se bousculaient les uns aux autres, rouspétant sans cesse. La douceur de la matinée risquait de rendre le départ agréable. Aussi, Imzel c’était dépêchée de rencontrer une dernière fois ses amis pour leur annoncer son départ tant attendu.
Voilà déjà plusieurs mois qu’elle n’avait pu prendre la mer et son humeur s’en était grandement ressentit. Elle avait à présent retrouvé le sourire. Voguer sur les vagues, se réveiller comme perdue au milieu de l’océan, changer de port sans cesse, voilà la vie qu’elle espérait.

Elle c’était ensuite arrêtée dans une taverne lugubre, avait commandé un Rhum de feu et avait profité de sa solitude pour écrire une missive importante. Elle avait ensuite marché rapidement dans les longues rues sinueuses de la ville, avait posté son écrit, et c’était finalement décidé à regagner le navire. Elle se tenait debout devant le navire, ne sachant trop que faire avant que celui-ci ne parte.

Izdriil, fort joyeux de retrouver son frère annonça au tavernier qui était venu lui apporter son remontant. « Voilà, Monsieur, 5 pièces de cuivres. Izdriil tendit la main vers le tavernier et revint à son frère.

-Ha, je vois que tu m’as retrouvé, bon, excuse moi d’être parti précipitamment. Sinon, toi, tu es content de partir ? Moi tu sais, ça me botte ! Je m’imagine pleins de choses ! Trouver une carte au trésor, se faire attaquer par des dragons des mers dans une effroyable tempête, voir des sirènes passer avec une beauté que toute races dans ce monde envie ! Imagines toi ça ! Tout peux arriver…Comme dans les histoires que nous racontait Bromnia héhé tu t’en souviens ? Nous allons quand même voguer sur la mer des épées ! Ha ! Oui, je suis très content. Izdriil but une petite gorgée et d’une voix mélodiquement timbrée il annonça bravement

-Par tous les dieux, cette bière est miraculeuse, une simple gorgée et tu te sent emporté dans l’autre monde ! Izdriil éclata de rire bêtement Pour 5 pièces de cuivre en plus…Je ne vais pas oublier cette taverne. Oui, donc comme je disait, attends toi à tout et au pire. Nous ne savons pas ce qui pourra nous arriver même si le trajet n’est pas des plus longs possibles, mais quand même, moi j’ai un doute…et ce doute m’excite hihi ! Enfin, du moins je l’espère qu’il va se passer quelque chose ! Aurais-tu besoin de quelque chose en particulier mon cher frère avant de monter à bord ?

Avec un geste rapide et les yeux toujours braqués sur son frère, il but une autre gorgée de cette bière aux charmes divins.

Thörimor en avait vraiment marre de porter toutes ses armes, et il n'arrivait pas bien à se battre avec son cimetierre et sa hache de guerre. Puis il avait rudement soif, alors il annonça à son frère :"hmm... Tu me demande si j'ai quelque chose de particulier à faire avant de monter à bord du bateau? Et bien oui, j'ai vraiment besoins de vendre mes armes et d'en racheter une, je ne me sens pas à mon aise dans leurs prise de mains, et je meurt toujours de soif, voila plus d'un jour que je n'ai plus bue de bières. J'ai la gorge toute sèche et pâteuse...
Je vais aller chez le marchand d'armes après. En venant ici j'en ai croiser un, et il est juste à côté de cette magnifique Taverne.
Et heu... bien sur que je me rappelle des histoires de notre mère... elles étaient si bellement racontés que je pourrais jamais les oubliés...
Je te laisse finir ta bière, et après nous irons chez les marchand d'armes, enfin si tu veux venir..."
Thörimor attendit encore environ dix minutes pour que son frère puisse terminé sa chopine, puis il lui demanda:"C'est bon tu as fini ?
Thörimor n'attendant pas la réponse. Il se leva et se dirigea vers la sortie sans vérifier si son frère le suivait. Il sortit, et se dirigea vers le marchand d'armes. Une fois devant le marchand, il lui dit :" Bonjours, j'aimerais vendre mon cimetierre et mon marteau de guerre, combien pouvait vous m'en offrir pour cela ?
Thörimor espérait de tout cœur que ce vendeur veuille bien les achetés, car il avait grand besoin de cette monnaie pour s'acheter une autre arme qui serais meilleurs aux goûts de Thörimor.

MJ

Sur le pont, l'activité cessait peu à peu. Les passant s'étaient éloignés de ce quai qui n'apportait plus aucune nouvelle, après l'humiliation des deux nains auquel plein de gens avaient prété attention, les gens s'étaient progressivement éloignés, et les nains s'étaient réfugiés en ville. De plus, les marins avaient cessé de charger des caisses de ravitaillement sur le bateau, le bateau était fin prêt à partir.

Gayaephel avait commencer son dur travail, il déplaçait des lourdes caisses pour aller ranger leurs contenus dans la cambuse, et les remonter vides avant de les redescendre sur les quais. De nombreuses caisses aussi restaient à bord du bateau, les marins savaient bien qu'elle pourraient toujours servir à quelque chose. Sur le quai, Imzel semblait quelque peu perdue, et n'avait pas encore pris en main son poste.

Le marin qui avait conduit Lune à sa chambre, était quelque peu déçue de voir la femme lui fermer sèchement la porte au nez après lui avoir arraché la clé des mains. Il aurait espéré, étant donné qu'il lui avait rendu un bon service et qu'il n'avait pas été grossier, une attitude plus sympathique. Puis il se dit que le capitaine lui avait sans doute donner des conseils et des indications assez précises, et il n'en voulut pas plus que ça à la jeune femme. Lune, qui venait de pénétrer dans sa cabine, trouva une pièce sale, où l'on trouvait des multitudes de toiles d'araignées. Deux couchettes défoncées étaient superposés, dans un coin, une chaise était appuyé contre un vieux bureau en bois qui comportait nombres de taches d'encre. La petite taille de la pièce la rendait presque invivable, et Lune sentit qu'elle devrait passer beaucoup de temps sur le pont.

Dans la même boutique où Gayaephel avait revendu son armure une bonne heure auparavant, se trouvait maintenant Thörimor, accompagné d'Izdriil. L'armurier était un gars sytmpathique, et bien que ce ne soit guère son domaine, il accepta d'examiner les belles armes qu'on lui présentait. Il avait entendu le nain faire une faute de language, et décida d'en plaisanter sans aucune méchanceté:"Ah vous savez, je n'achète pas les cimetières." Il s'esclaffa doucement, puis opéra un examen long et attentif des armes. Enfin, il releva la tête et sourit, disant:"Bon, ces armes me semblent bonne qualité et pas trop usées, donc je vous offre huit pièces d'or pour le cimeterre et et six pour le marteau de guerre." Il sortit quatorze pièces d'or pièces d'or de sa bourse, qu'il tendit au nain, et il garda les deux armes.

Le soleil commençait à redescendre dans le ciel bleu et froid d'hiver, le bateau, enfin affrété, était prêt à partir, il ne manquait plus que les deux nains, que le capitaine hésita à laisser sur le quai. Finalement, sur le quai désert, les marins cherchaient des yeux voir s'il n'arrivait pas. Il avait été décidé que, s'ils n'arrivaient pas bientot, on partirait sans eux.

Izdriil avait donc suivi son frère chez le marchand d’armes. Le prix que celui-ci lui avait proposé pour son cimeterre et son marteau de guerre lui paraissaient moindres mais il décida de ne pas intervenir et de laisser son frère décider astucieusement…Et en pensant à cela, il se dit soudainement ¤Bon sang, le bateau, j’avais oublié !¤

« Thörimor, décides-toi très TRES rapidement, nous allons louper le bateau ! Moi j’y cours pour les faire attendre et toi, tu te dépêches ! Dans un pas de course rapide, Izdriil sortit de la boutique et se retrouvait dans les belles rues de Padhiver. Dans sa course il put admirer de nombreuses beautés comme les boutiques luxueuses, les tavernes, les maisons et les gens du pays. Il n’eut aucun mal à retrouver le quai et il vit à sa grande satisfaction que le Carmaella était encore amarré. Il vérifia tout, son équipement, ses rations … ¤ De toutes façons nous sommes deux et Thörimor est bien charg餅 et, décidé, il s’avança vers le bateau d’où les affreux marins regardaient comme des pigeons aux alentours. Il marcha le long du quai pour arriver jusqu’à la passerelle et il l’enjamba d’une traite de peur de tomber à l’eau, et arriva sur le pont. Là, tout s’éclaircit pour Izdriil, et il réalisa qu’il était enfin sur un bateau. ¤ Je suis sur un bateau…Mon dieu, c’est formidable !¤ Sortant des nuages, Izdriil décida d’aller voir le capitaine…Il s’avança un peu plus sur le pont et regarda. Il vit une porte ouverte et un marin à l’intérieur. Il décida donc d’aller le voir pour lui demander où se trouvait le capitaine.

-Psst ! Monsieur ? Je me présente, Izdriil, fier guerrier. Hum…J’ai été recruté par votre très charmant recruteur et je suis donc prêt à partir. Mais…Pourriez vous me dire où se trouve le capitaine ? Je dois lui dire deux mots… »