A quelques lieues d'Everlund..., La communauté forestiere de Taillebois

Eranis s'en voulait de ne pas avoir réussi à retenir plus longtemps les aventuriers sur le lieu stratégique de leur rencontre. En étant séparé ainsi, ils étaient moins forts, et chacun essayerait peut-être de tirer la couverture à soi, car au fond, personne ne se connaissait. Il n'avait rien pu apprendre du semi-orque qui aurait pu lui faire comprendre ce qui s'était passé en ces lieux, si ce n'est son nom qu'il avait entendu prononcé par le vieil homme. Petiot, avait-il dit. ¤C'est un nom peu commun pour une créature de ce type, pensait Eranis. Cela pourrait même paraître raffiné à ce niveau là.

Eranis s'était résolu à devoir suivre les hommes. Il avançait désormais, vers un village qu'il ne connaissait pas, et qui pourtant se trouvait à quelques pas de "sa" Haute Forêt, selon les dires du vieil homme. Ce qui l'étonnait, c'est que personne n'était venu à son secours, dans cette forêt qu'il savait pourtant bien gardé. Beaucoup d'éléments continuaient à lui faire croire qu'il fallait se méfier de ces hommes, et agir avec beaucoup de prudence.

Le petit groupe, à peine formé, déjà séparé, avançait désormais sans un mot. Au loin, on entendait les pleurs des loups, qui lui serrait le coeur.¤Une bête n'a pas le droit de souffrir ainsi, qu'elle qu'en soit la raison¤, se désola Eranis. Les hommes les guidaient à travers les bois, et ils seraient certainement bientôt arrivés, si l'homme n'avait pas menti. Les pensées d'Eranis étaient confuses ; il se demandait bien ce qui allait advenir. Sa réflexion fut interrompu par son ami Elgoan, qui semblait tout aussi perplexe que lui. Il lui demanda s'il savait ce qui s'était passé dans cette forêt. Eranis lui sourit discrètement, à moitié caché par sa capuche qu'il avait rabattu. Il se passa quelques secondes avant qu'il ne lui réponde tout bas: "Je n'en ai pas la moindre idée, cher ami, mais restons confiants". Eranis espérait prendre un ton rassurant, mais Elgoan n'avait pas esquissé la moindre réaction à ces mots. Il s'approcha plus près encore d'Elgoan et lui chuchota si bas qu'il ne savait pas si son compagnon l'entendrait: "J'ai comme l'impression que le demi-orque va jouer un rôle très important dans cet histoire".

Eranis scrupta les alentours et cette pluie qui ne voulait cesser. Rien, en cet instant précis, ne pouvait lui donner des raisons de garder confiance...

Gastibelza était traîné, poussé, comme un chien en laisse, et rien ne pouvait l'énerver plus. Il n'aimait pas du tout la tournure que prenait les évènements. ¤ Et voilà, j'ai voulu être intégrer au petit groupe, on m'a pris pour le bouffon qui était là pour faire rire les gens et on m'a fait attacher. J'ai essayer de leur faire comprendre qu'il fallait réagir mais ils ne m'ont pas écouté pas et l'on m'a fait taire.¤

Gastibelza avait lancé la théorie des hommes criminels tout à fait au hasard afin de faire réagir le groupe ne se souciant pas de sa plausibilité. ¤Mais, finalement, elle est tout à fait possible mon hypothèse, mis à part quelques points sombres comme l'étrange comportement des loups. Si ce n'est pas eux, qui donc l'a fait?¤ Non vraiment, plus il y réfléchissait plus il pensait que sa théorie était la bonne. ¤Mais maintenant nous ne sommes plus en position de force. Si l'un de nous fait un geste c'est sur moi que ça va retomber. Que va-t'il se passer maintenant? Vont-ils nous emmener au village?Nous juger?Nous condamner?¤La suite était plus sombre que ses pensées.

Mais quelque chose embêtait Gastibelza plus que tout le reste. ¤Un groupe est en train de se former solidement et je passe pour un abruti qui ne réfléchit pas ses paroles, toujours à la traîne et qui, de plus, représente un danger pour celui-ci. Je ne peux même plus parler pour essayer de défendre ma cause! Foutu baillon! Si seulement Elgoan pouvait m'aider, me rendre un peu de crédulité et d'honneur dans ce groupe d'elfes où les humains ne semblent pas être appréciés. Ce vieil ami d'Elgoan! Ce cher ami qui m'a si souvent demander ce qu'il peut faire pour moi. Aujourd'hui j'ai besoin de son aide mais je ne sais pas s'il sera encore là pour moi. Ou encore Eranis, à qui il n'avait jamais vraiment fait confiance, ce serait l'occasion pour lui de remonter dans mon estime.¤

La façon dont les humains la poussaient pour avancer commençait à sérieusement énerver Elen'ira. Qu'ils leur fasse l'effront de les mener en jugement, passe encore, mais les pousser comme du bétail...
Elle observait tranquillement ses compagnons d'infortune : l'autre elfe de lune aux grands yeux verts, l'elfe du soleil et l'elfe des bois qui semblaient se connaître, le deuxième elfe des bois et le jeune homme ligoté, et enfin le prêtre et la demi-drow. Tant de représentants de la race elfique la surprenait.
Son amusement face à la situation du jeune homme laissa place à de l'énervement, ils pouvaient le détacher, il ne représentait pas un grand danger...
Quand son geôlier la poussa à nouveau, elle se retourna vivement et siffla entre ses dents :

Pose encore une fois la main sur moi et je te jure que je te fais avaler ta virilité!

Elle le foudroya du regard et se détourna, le tête haute, signifiant son dédain. Elle était trempée, elle avait froid, elle avait faim et en plus elle était obligée de suivre ces idiots, inutile de dire qu'elle était passablement de mauvaise humeur. Elle fit claquer sa langue.

Vous ne pourriez pas détacher ce jeune homme? Jusqu'à preuve du contraire, nous n'avons rien fait aussi cela serait fort aimable de votre part de nous traiter comme des invités plutôt que comme des prisonniers.

Elle se tut et finit par lâcher d'un air badin :

Enfin, ce n'est qu'un conseil que je vous donne...

En temps normal, elle n'aurait jamais parlé de cette façon, mais là, elle en avait assez!

Elgoan était proche de la belle elfe de la lune lorsqu’elle prononça ses paroles avec force. ¤Quelle caractère ! Et je trouve qu’elle a un franc parlé fort agréable…¤ En effet, l’elfe d’or appréciait les personnes qui faisaient preuve de caractère et qui ne se laisser pas marcher sur les pieds… Et ce vocabulaire si raffiné, Elgoan en perdait son elfiques! Mais elle disait quelle que chose de bien vraie : Gastibelza était dans une sale posture et c’était en partie de la faute de l’elfe d’or, son vieil ami, qui avait osé le laisser tomber. ¤Même si je pense être en partie coupable de sa position actuelle, n’en reste pas moins que je continue à penser que sa crédulité le perdra…¤

Sur ce, Elgoan renchérie les paroles de l’elfe d’argent :
-Il est fort vrai que vous pouvez libérer l’humain ! cracha-t-il sur l’homme qui le maintenait prisonnier. Car je ne pense pas qu’il soit un véritable danger pour vous ! De toute manière, nous ne sommes pas en position favorable à contre-attaquer ! De même, je vous pense suffisamment intelligent ¤du moins je l’espère¤ pour ne pas faire attention aux stupidités qui peuvent sortir de sa bouche ! Alors, je vous en conjure, améliorez nos conditions de détention ! ¤Désolé Gastibelza…¤

¤Espérons que cette tentative portera ces fruits, et qu’ils voudront bien le libérer de ces liens…¤ En effet, Elgoan et Gastibelza se connaissaient depuis déjà quelques temps, et l’elfe n’arrivait pas à se pardonner le sort de l’homme. Il est vrai, qu’il aurait dut le défendre de ses assaillants. Maintenant, Elgoan se devait d’améliorer les conditions fantasmagoriques de Gastibelza, mais il devait attendre que la situation se calme...

Leyn et Aidan

Leyn fit du mieux qu'elle pouvait pour stopper l'hemoragie et pour tenir en vie le demi-orque, apparement, il avait reussi à stabiliser l'hemoragie, mais il n'était pas encore tirer d'affaire.
Ils prierent rapidement la route du village en le portant, Leyn continuait à éponger son corps, il semblait qu'il tenait en vie grace à elle et ses secours à se moment, mais tiendrait-il jusqu'au village?
Un Faucon apparu a travers les branches et se penchant sur sur Petiot, il y eut une lumiere qui penetra le demi-orque et le faucon disparu par la d'ou il venait.
Le vieille homme souria à Leyn, le fait qu'elle avait du sang Drow ne semblait pas ou plus le gener.
-Vous l'avez tenu en vie assez longtemps pour que Niark arrive, nous vous en sommes reconnaissant.
Le trajet semblait long, mas en réalité c'était le fait de le faire tres lentement, car il ne fallait pas brusquer le corps, qui le rendait si long.
Ils pourraient bientot tout deux rejoindre les autres.


Les autres

Bientot, la troupe arriva à un petit hammeau au milieu de la foret, il devait y avoir une quarantaine de batisse.
Depuis qu'Elen'ira c'était plainte les hommes avaient arreté de la pousser.
Un viel homme les attendaient, il sourait.
-Mes amis halte à se malentendu, détachez l'homme et laissez les respirez un peu.
Nos hommes sont revenus de leurs recherches, nous pensons savoir qui est la cause, enfin plutot, ou trouvez la cause de l'attaque de Petiot.
Et il sembleait qu'il soit à present hors de danger.
Un faucon se pausa sur son épaules.
-Niak me la dit
Il fixa tous les aventuriers present puis apres leurs avoir sourit, il fit un signe de tete à l'homme qui avait commander les autres jusqu'ici et ils partirent tous les deux.

Un des hommes qui les avaient pousser jusque la les regarda d'un air géné, puis s'inclina, les autres en firent de meme.
-Excusez nous pour se malentendu, mais mettez vous à notre place...
Nous vous offrons à manger et à boire pour la peine.
Il guida les aventuriers jusqu'a l'auberge et la à l'interieur apres s'etre une nouvelle fois incliner les laissa.
Du peu qu'avait pour l'instant put voir du village les aventuriers, ils se rendirent vite compte que les trois quart des batisse étaient faitent en bois et qu'ils n'y avaient vu que des humains.

Leyn au moment de stabiliser l'hémorragie avait été si absorbée par ce qu'elle faisait que plus rien autour n'avait compter.
Sous l'effet du stress, ses membres tremblaient, car jamais auparavant elle n'avait soigner de blessures si graves.
Cependant, lorsque l'état du semi se stabilisa, elle repris enfin son souffle, se détendant un peut.
Tout au long du trajet elle continua donc à éponger le corps, relevant simplement les yeux sur le vieil homme et acquiesçant lorsqu'il lui adressa ses remerciements.
Ils approchaient du village, si lentement!
Mais au moins ils approchaient, et la vue de l'oiseau qui semblait être un messager lui permit à nouveau de reprendre son souffle.
Couverte du sang du blessé, la jeune adolescente ne le lâchait plus des yeux, attentive à sa moindre respiration, comme si plus rien autour ne comptait.
Ah non, maintenant qu'il était stable elle n'allait pas le perdre tout de même!
Plus que quelques pas à parcourir...
-Tien bon..
Lui souffla-t-elle à l'oreille.

Entrant dans l’auberge du petit village, Elgoan put enfin retirer sa chaude couverture afin de sécher tous ces vêtements détrempés. La tiède chaleur envahit le corps de l’elfe doré jusqu’à la moelle. De plus, la pièce était emplie d’une bonne odeur de rôti aux herbes fines et lui rappela la fin qui le tiraillait depuis déjà quelques temps… Profitant de l’atmosphère détendue, Elgoan osa quelques paroles au groupe d’aventuriers dans lequel il s’était embarqué :

-Bien. Maintenant que le danger de la mort ne plane plus sur nos têtes, il est temps de réfléchir à toutes nos péripéties à tête reposé… Tout d’abord, il me paraît essentiel que l’on se présente car je pense que nous ne sommes pas arrivés au bout de nos surprises, je le crains… Il se voulait d’un ton rassurant. En ce qui me concerne, je m’appelle Elgoan, guerrier elfe du soleil, et suis à mon compte. Je voudrais insister sur le fait que nous avons assisté à une scène des plus étranges en arrivant au village. En effet, ce faucon qui parlerait aux hommes, Niak je crois, est un élément à prendre en considération. Car, ne l’oublions pas, c’est grâce à lui que nous sommes au chaud à présent. De plus, toute cette histoire tourne autour de ce demi orque. Nul doute qu’il y ait présence de magie dans cette histoire. Je vous propose alors de demander aux hommes des explications pour un certain dédommagement, et de les aider si possible.

Ensuite, Elgoan se tut et pris place au sein du groupe attendant les réactions de son monologue.
¤Enfin, la pression des événements de ce soir va retomber et permettre un dialogue plus facile, et de nous connaître un peu plus afin de former un groupe uni et solide. Finalement, Gastibelza s’en tire bien et à moi maintenant d’améliorer sa réputation¤

Apparemment les paroles d'Elen'ira avaient porté puisque l'homme à ses côtés ne la bousculait plus. Elle sentit qu'on la regardait. Elle tourna la tête et vit le regard admiratif de l'elfe du soleil. Elle lui sourit et lui fit un clin d'oeil malicieux. Cela lui avait fait du bien de remmettre de l'ordre dans les idées de l'homme. Son voisin se décida à prendre la défense du jeune homme. Sans réel effet.
Enfin ils arrivèrent dans le village des hommes... qui se confondirent en excuse.
"Mettez-vous à notre place..."
*Mouais, tu parles d'une excuse... Ce n'était pas la peine de s'en prendre ainsi au jeune homme quand même.*
Elle examina le hameau dans lequel on les avait traîné : un village exclusivement humain et assez pauvre... Elle sourit d'aise en entrant dans l'auberge. Une douce chaleur en émanait et la comblait d'aise. Elle s'avança un peu, retira sa cape détrempée et sans un mot s'assit à une table. Sa robe blanche était humide et ses longs cheveux d'argent étaient trempés. Elle fixa ses compagnons et prit la parole d'une voix douce.

Voilà qui est fort bien résumé, messire...Elgoan. Néanmoins, je ne vois pas en quoi leurs problèmes nous concerne...

*Et surtout, pourquoi chercher celui qui s'en était prit au semi-orque...* Elle se garda bien d'émettre son opinion à haute voix et se contenta d'adresser un magnifique sourire à l'elfe d'or.

Mais pardonnez-moi mon impolitesse. Je m'appelle Elen'ira.

Gastibelza était tout à fait heureux de pouvoir a nouveau secouer ses mains devant lui, ne les avant plus liées dans le dos. Il était reconnaissant, non pas aux hommes ,qui l'avaient sauvagement attaché, mais à ce bel oiseau qui avait apporter l'ordre de libération. Il pouvait enfin profiter de la chaleur de cette taverne et il s'assit près du feu pour se sécher un peu. Son baillon ne le lui empêchant plus, il s'étira et bailla.

Mais se rapelant soudain son soucis de bonne image de lui, il se releva plein d'entrain et dit fortement: "Bon, il manque encore deux de nos compagnons mais je tiens à me présenter sous un autre jours que celui d'un humain benêt: on m'appelle Gastibelza j'ai 23 ans je connais bien la forêt et quelques elfes qui l'habitent comme Elgoan ou Eranis. Je pense que, maintenant que nous ne sommes plus en danger,comme l'a si bien dit Elgoan, il faut que nous nous connaissions mieux afin d'éclaircir avec ces humains l'affaire dans laquelle nous avons tous été impliqués car comme le dit le proverbe, l'union fait la force. Et nous ne savons pas qui est notre ennemi commun. Alors allions-nous!"

Enfin content de lui, Gastibelza alla retrouver sa place au coin du feu, espérant que cacun son tour pourrait prendre la parole, se présenter et donner son avis sur l'attitude à suivre

Eranis fut étonnament surpris par l'accueil chaleureux qui avait été réservé au groupe d'aventuriers fraichement formé. Il avait mal jugé ces hommes, et s'en trouvait fort confus. Mais la vie lui avait appris à se méfier de tout, à chaque instant, et il ne pouvait s'empêcher de douter sur chaque chose.

Désormais bien au chaud et à l'abris, rassuré par le dessein de leurs "ravisseurs", Eranis se détendit un peu. Ses profondes réflexions pour trouver une voie favorable à la situation l'avait fortement diminué. Il ota sa capuche, puis posa la cape qui lui servait de protection sur une chaise non loin de lui. ¤Après ces longs jours de marche sous la pluie, cet abri me fera vraiment le plus grand bien¤.

Le groupe se tenait désormais là, encore un peu confus après tous ces événements. La demi-drow et le prêtre manquaient toujours à l'appel, mais nul doute que tout se passerait pour le mieux pour eux aussi. Eranis contempla l'auberge. Elle lui rappelait celle qu'il avait vu à Yartar, dans laquelle il avait rencontré Elgoan, et qui fut le lieu de départ de ce périple à la fin incertaine. Il examina les compagnons un par un, afin de cerner un peu plus leur caractère. Tous semblaient braves, certes quelque peu bousculés par l'épreuve qu'ils venaient de subir, mais ils avaient vite retrouvé leurs esprits. Même cet humain immature lui parassait désormais sympathique, malgré les grands dangers auxquels il aurait pu tous les exposer!

-Cher ami, lança-t-il à Gastibelza, tentez la prochaine fois de mesurer vos paroles. Je n'étais pas loin de penser comme vous, mais l'annoncer de cette manière était suicidaire!

Elgoan, Gastibelza et Elen'Ira avaient entamé les présentations. Eranis s'approcha d'eux et s'adressa au groupe. "Je me nomme Eranyndel El'Anyn, de la Haute Forêt ; mais vous pouvez m'appeler Eranis. J'ai bien cru mourir à l'endroit même où je naquis, il y a de cela 120 ans. Mais ces hommes semblent loyaux, et nous en saurons plus sur leur dessein dès que le demi-orque sera de retour. Du moins, espérons-le...Notre rencontre fortuite n'est probablement pas un hasard, nous sommes logiquement appelés à nous joindre si nous voulons démêler cette affaire. Aussi, je suis votre allié, si vous le désirez, car j'aimerais savoir ce qui se trame dans ma forêt. Et je ne suis certainement pas le seul à m'inquièter de ce qui se passe dans notre nature...Eranis tourna la tête vers les deux elfes qui ne s'étaient pas encore exprimés, comme pour les enjoindre à se lier à la conversation.

Eranis prit une chaise et alla s'asseoir dans un coin de la taverne, bras croisés, fixant des yeux le mur opposé. De nouveau, il semblait reparti dans ses pensées ; mais attendait patiemment la réponse des aventuriers, et le retour des deux autres...