Bonjour à tous,
Peut-être, remarquerez-vous, à la lecture de ma fiche personnelle, que je partage la provenance et l'âge avec un certain Remesi, arrivé lui aussi depuis peu. N'ayez-la aucun doute, je suis son complice en littérature, son partenaire en rime ; il est le royal Oreste, je suis le serviable Pylade, cul et chemise. Voilà pourquoi il m'a parlé d'un forum sur lequel il avait eu la chance d'écrire, d'apprendre et de s'amuser. Le vôtre. Alors me voilà, tout confiant de trouver ici les mêmes choses que lui.
Je vous remercie d'avance pour vos précieux conseils.
| QUOTE | Prénom : Florenç
Âge : 35 ans
Ville : Pau (64 000)
Jeux de rôle pratiqués : Call of Cthulhu (les chroniques oubliées)
Connaissances de D&D : de base
Connaissances des Royaumes Oubliés : de base
Je suis tombé sur ce site : On m'en a fait un dithyrambe.
Fréquence de jeu souhaitée : Selon le temps alloué au plaisir de l'écriture, variable, mais toujours aussi intense. (Une à deux fois semaine)
Mes attentes par rapport au site : Ma première attente ne peut être que la découverte, j'ignore pour ainsi dire tout de ce forum (C'est assez excitant de ne rien connaître). Sans doute que d'autres attentes viendront elles-mêmes s'imposer à moi, mais pour l'instant découvrons.
Quelques expériences par rapport au jeu par forum ? : Quelques années, sur divers sites. Diverses ambiances, époques, diégèses.
Ébauche de mon personnage :
Je souhaite interpréter une halfeline pieds-léger d'Athkatla, dans la grande plaine de Amn, surnommée Colau. Roublarde, c'est l'une des nombreuses petites mains des Voleurs de l'ombre, parfaitement inconnue et sans envergure aucune. Tant ignorée par tous qu'elle tenta par de nombreux moyens et à mainte reprise de se pousser dans la hiérarchie cousue d'or de la grande nation marchande ; grâce à une ingéniosité dont elle se croyait pourvue à profusion, malgré les différentes preuves du contraire qui la conduisirent toujours plus loin dans la disette et le mépris.
Mais, Colau a toujours un plan. Toujours un pour se sauver de l'échec du second plan qui était là afin de minimiser la catastrophe du premier. Un modus operandis de la surenchère qui finit par agacer ses associés les plus patients. Associés qui eurent néanmoins la gentillesse de lui faire savoir qu'elle n'avait plus qu'un seul avenir à Athkatla et qu'il valait mieux pour Colau de ne jamais le croiser dans les rues sombres de la ville portuaire qu'elle ferait mieux de quitter.
C'est là la dernière bonne décision prise par l'halfeline. Qui se jeta sur la route à contrecœur. |
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Colau, L'halfeline aux plans fragiles.
