Aël’Telàwërith Eowëlathaèldir, Seigneur de Mythdaë

Le chemin avait été long jusqu’ici, cela faisait bientôt un mois qu’il avait quitté les douceurs d’ Everska. La solitude qu’il ressentait, il en était certain n’allait pas disparaître lorsqu’il arriva devant les portes de la taverne des royaumes oubliées. Et ces sans espoir qu’ Aël’Telàwërith Eowëlathaèldir poussa la lourde porte qui permettait de rejoindre l’ambiance chaleureuse et accueillante de cette taverne. Son regard rubis se posa sur les clients qui comme lui venait de franchir l’antre de cette auberge. ¤Cette auberge !!¤ Le Ar’Tel’Quess secoua la tête, faisant voler sa longue chevelure dorée. Il y avait ici comme un air de déjà vu. Cette taverne ne lui était inconnue. Il ne savait pas si cela était dû à la rêverie de l’un de ses frères ou cousins. Mais tout cela lui était familier.

Comme il s’y attendait, il n’y avait ici aucun autre Ar’Tel’Quess. Aussi, ne prit-il pas son temps en salutations inutile. D’une démarche souple, enlevée et fière, il se dirigea vers le registre pour y déposer, en lettres d’or, son nom. Il observa un instant l’ouvrage, qui certes était joli, mais n’arrivait à la cheville des œuvres elfiques aux quelles il était habitué. ¤ Hum, mais il n’y a ici aucun membre de la race des élus! Des humains, des nains, des sangs mêlés, quelques Tel’Quessir. Mais aucun Ar’Tel’Quess, qu’elle tristesse d’être si mal entouré.¤ Il poussa un profond soupir, et se rappela ses engagements envers Corellon Larethian. Aël’Telàwërith se dit pour lui-même.

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Il lui faudrait faire avec, ses engagements envers son dieu et ses ancêtres étaient bien plus important que sont bien être. Et c'est le coeur emplit de ferveur qu'il écrivit ses quelques mots.

Il s’agit de mon second perso, il a été gentiment accepté par le satff, de cette magnifique taverne où j’aime tant venir à rêver. Toute fois, et sans vouloir choquer aucune âme ici présente, je souhaiterai garder mon anonymat. Il s’agit de deux personnages bien différents l’un de l’autre aussi, ferons-nous comme s’il s’agissait de deux joueurs également bien différent. Merci de respecter mon choix. Ce que je peux dire, c’est que :

Sinon, au niveau de la feuille de perso, je suis natif de la maison fortifiée, la grande vallée. J’ai nommée Evereska. Aussi j’ai choisi le lot qui correspond à l’armure de maille de maître et 20 flèches de maître. Je suis en charge intermédiaire lorsque je porte mon sac, mais je repasse en charge légère dès que je le pose.

- Messieurs, les maîtres du registre, faite votre office et je me ferai un devoir de modifier ce qui ne va pas. (Et toi sombre cousin, reste loin de ma lame vengeresse. )

PS: J'ai été obligé de retirer mon BG et l'avatar pour que le fichier puisse être chargé. Merci de votre compréhension.

EDIT: C'est bien ce que je craignaiais mon nom est un peu long. Je vous laisse donc le soin de le diminuer en :Aël'Telàwërith. Et si l'un de vous pouvait avoir l'obligeance de s'occuper de mon avartar. Il semblerait qu'il ne soit pas à la bonne taille pour la taverne. je vous mais le lien pour avoir l'original ICI



Ce message a été modifié par Aël’Telàwërith le Dimanche 19 Août 2018 à 17h48

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 Ael_Telawerith_Niv_7_1théurge_mystique_3pretre_3mage_armathor.doc

Lorsque l'elfe du soleil était entré dans la taverne, Golek l'avait regardé avec un désintérêt notoire, mais sa noble prestance avait de quoi séduire le jeune halfelin ,ainsi se porta-t-il vers le nouveau venu avec bonne humeur, une idée derrière la tête...

- Bien le bonjour monsieur, puis ajouta-t-il au tavernier, une chopine de ta meilleure cuvée pour le nouvel arrivant et pour moi, je me sens généreux ce soir.


Mis a part cette chaleureuse entrée en matière, sache (si c'est ton deuxième perso tu dois le savoir, mais j'adore ce mot "sache") que des personnages étrangers au noble peuple peuvent comprendre l'elfique

ne silhouette entourée de mystères s'approcha de lui. Elle était revêtue d’une longue cape bleu nuit. Seules quelques boucles bleu roi dépassaient légèrement de son capuchon relevé sur sa tête. Alors qu'elle avançait, son regard émeraude aux éclats lumineux des pierres précieuses du même nom le fixait, lui le haut elfe ! Mais quelle impudente ! D'un geste grâcieux, elle délaça le haut de sa cape, tombant le capuchon : c'était une elfe de lune au visage d'une beauté peu commune. Sa cape écartée dévoila une chevelure presque bleu roi flottant sur ses épaules. L’extrémité de ses mèches était ramenée en boucle sur sa hanche droite. Un ruban noir entourait son cou de cygne. Sa robe écarlate fendue jusqu’au nombril permettait d’admirer sur sa peau nue un dragon bleu argent opaque. Elle rayonnait d'un magnétisme et d'un pouvoir certain. A son approche,le Ar’Tel’Quess sentait un parfum enivrant de fleurs sauvages lui caresser les narines.

Son regard le fixait toujours. Cette frêle elfe de lune le défiait elle ? Ou finalement n'était ce pas elle qui avait captivé son regard ? Arrivée proche de lui, elle avait baissé la tête de quoi laisser le doute insinuer dans l'esprit du Ar'Tel'Quess...

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Un magnifique sourire lunaire avait accompagné ses douces paroles de bienvenue

L’arrivée tonitruante du Halfelin avait quelque chose d’irritant. Comme l’insecte virevoltant, qui fini par agacer par un bourdonnement incessant. L’Ar’tel’Quess baissa à peine les yeux sur ce petit être qui tentait d’attirer son attention. ¤ Une chopine ! Quel vulgarité, si leur meilleur cuvé se déguste dans une « chopine » cela doit être une sacré piquette. ¤ Pour l’elfe dorée, le seul récipient digne d’accueillir un alcool elfique comme de l’hydromel, un nectar de lys ou encore du vin aux fées ne pouvait être que le plus pure des Crystal.

Aël’Telàwërith aurait pu tenter d’expliquer qu’il ne doutait pas que certain N’Tel’Quess aient tenté d’apprendre l’Espuar. Et qu’ils leur soient possible de comprendre quelques brides du langage des Tel’Quessir. Mais que jamais ils ne pourraient se bercer des douceurs de ce langage. Mais tout cela serait peine perdu. Qu’est ce qu’un Halfelin pouvait bien comprendre à ces choses là. Il leur faudrait toute une vie pour espérer commencer à s’exprimer correctement et ne pourraient de toute façon jamais saisir toutes les subtilités de cette si belle langue. Il se contenta donc, d’un léger sourire ironique.

Bien que d’une maladresse sans nom, et le manque certain de savoir vivre du petit être, ce dernier avait tenté d’être avenant. Aussi, le prêtre de Corellon consentit-il à lui offrir quelques paroles. Bien qu’il ne fut pas dupe, le Halfelin avait réussit à l’amuser, et à éveiller sa curiosité. ¤ Qu’est-ce qu’il peut bien espérer obtenir en retour de sa tentative de paraître avenant ? ¤

Alors qu’il allait lui répondre, il eut l’heureuse surprise de voir apparaître une Teu’Tel’Quessir. Cette dernière exsudait toute la grâce des elfes lunaire. Ces traits délicats, sa longue et belle chevelure ressemblait à une cascade d’eau pure sous les reflets de lune. ¤ Enfin une délicate vision.¤ Enfin une délicate vision.¤ Mais elle n’était pas que gracieuse, elle dégageait un fort magnétisme auquel Aël’Telàwërith ne pouvait rester insensible. Mais il se reprit, la façon dont elle avait de le regarder droit dans yeux, sonnait comme un défit à son rang. A Evereska, les Teu’TelQuessir et les Ar’Tel’Quessir vivaient en harmonie. Et le serviteur de Corellon avait un faible pour les elfes argentés. Mais tous connaissait la bienséance, et les codes d’éthique. L’elfe du levant s’était un peu raidi, lorsqu’elle continua à le fixer. Mais la Teu’Tel’Quessir connaissait fort bien les limites à ne pas dépasser, et baissa ses yeux lorsqu’elle arriva à sa hauteur, et Aël’Telàwërith se détendit. Il avait complètement oublié le halfelin et sa « chopine ».

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Le Ar’Tel’Quessir était satisfait de voir des traits qui lui étaient plus familier que ceux grossier d’un Halfelin. Et il n’était pas mécontent de s’apercevoir que même en dehors de la maison fortifiée, les Tel’Quessir avaient du savoir vivre. [I]

ue dirais-tu de cet avatar cher Aël.... ? :
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Annulé



Ce message a été modifié par Korel Bellesoif le Dimanche 28 Octobre 2007 à 18h35

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Je te souhaite à mon tour la (re) bienvenue dans cette belle taverne. J’espère que tu aimeras jouer avec ton Ar’Tel’Quess autant que je me régale avec mon elfe de la lune. Félicitation et bon courage car cette noble race est à mon humble avis la plus difficile à jouer.

Deux elfes du soleil du même coup, voila qui va augmenter sérieusement la population de cette race. Est-ce que le retour des Ar’Tel’Quess de leur retraite sur l’Île verte aurait déjà commencé ???

J’ai commencé à lire ton BG, mais j’avoue que je n’ai pas encore tout pu lire. Pour le reste, je suis certain que notre Vénérée Guetnorn saura t’en dire plus que moi, et mieux que moi.

Je reviendrai vers lorsque tu seras validé pour te parler un peu du coin des Elfes.

En attendant, Eau pure et Rire léger Aël’Thelàwërith jusqu’à notre prochaine rencontre, que la Seldarine veille sur toi.

erci à tous pour votre accueil.

Oui Dinenda, je serai ravi de pouvoir rejoindre mes frères et mes cousins au coin des elfes.

Merci Korel Bellesoif, Cet avatar que tu me proposes si gentiment n'est pas vilain. Forcément c'est ma tête

Mais ne serait-il pas possible, quitte à réduire un peu sur le visage. De garder ce côté clair obscure entre la partie éclairé et celle dans l'ombre. Je trouve que ça cadre bien avec sa nature d'elfe du soleil / chasseur de mort vivant.

De plus la chevelure dorée flottant au vent était sympa. Alors je ne sais pas si c'est possible d'avoir quelque chose de plus net en gardant les proportions originales, ou quitte à réduire disons au niveau de la jonction main poignet, et donc par la force des choses laisser un peu du côté droit de l’image (qui est passé à gauche, de celle que tu me présentes).

Oui je sais il est chi*** le Ar’Tel’Quess, mais je sais, comme il s’agit de mon deuxième perso, l’importance qu’il peut y avoir à faire attention d’avoir une tête qui plaise. C’est qu’on la garde un bon moment.

En tout cas, merci beaucoup de tes efforts à mon profit. Je sais qu’il est long de jouer avec la retouche d’image. J’avais bien tenté de faire quelque chose pour ne pas vous embêter avec ça. Mais je trouve que le résultat qui apparaît en ce moment n’est pas très convainquant au niveau de la netteté plus particulièrement.

Bref, si vous aviez, noble tavernier, la gentillesse de faire la même chose, en cadrant un peu moins serré. Ce serait certainement parfait, et vous savez comme les Ar’Tel’Quessir apprécient la perfection.

D’avance, je vous en remercie.

PS: Je joints un cadrage qui serait à peu près, ce que j'aimerai. Reste plus quà le faire apparaitre avec la netteté. Et ça je ne sais pas faire

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 Ar_tel_quess.2.jpg

omme ceci ?

Si tu as encore des modifications à apporter, je t'invite à les faire sous MS Paint. Il te suffit d'apprendre les fonctions Ctrl+W, Ctrl+R et Ctrl+E. Tu verras, cela ne prend que quelques minutes.

¤ Décidément, j'ai bien du mal à le reconnaitre, mais ces humains sont bien les meilleurs portraistes de Troril. Très bon résulta en fait. ¤

- Oui, c'est pas mal comme ceci N'Tel'Quess.


Aël'Telàwërith n'allait jamais s'abaisser à remercier un humain. Cette tâche reviendrait donc au joueur qui se cachait derrière lui.

Un grand grand merci, Maître sommelier Korel Bellesoif. Voilà une tête qui me plait. Et merci pour les conseils. Je ne connais pas ce ms paint, mais ça ne saurait tarder

L’une des pièce favorites de la Guetnorn était son boudoir, un endroit où elle pouvait se retirer quand elle le désirait, et retrouver ainsi calme et sérénité. Les boiseries des murs et des plafonds, cirées et polies depuis des lustres, offraient une patine profonde et brillante qui faisait chanter le bois. Fauteuils et canapés en cuir exotique, aux couleurs fauves, un guéridon de bois précieux, des tapis orientaux sans prix, quelques sculptures délicates en cristal était disposés de ci et de là mais le plus impressionnant était sans conteste l’immense bibliothèque qui recouvrait la quasi-totalité des murs. Des dizaine d’ouvrages enluminés, toutes des éditions originales, se côtoyaient et aurait fait pâlir d’envie tout amateur d’art. Une large cheminée occupait le mur du fond, abritant un feu généreux qui brûlait dans l’âtre tandis que des globes aux teintes douces lévitaient dans la pièce et faisaient office d’éclairage. C’était un refuge, et quand elle s’y trouvait, la Gardienne faisait généralement abstraction de tout ce qui l’entourait. Sauf peut-être aujourd ’hui..

Elle avait opté pour un exemplaire magnifiquement relié de la bonhomie Naine en Cormanthor, un ouvrage excellent de l’écrivain Illiminël Ollymdryn. C’était à mourir de rire, et alors qu’elle savourait quelques passages croustillants sur les mésaventures de quelques nains à l’époque de Myth Drannor, elle sentit un subtil changement d’air l’entourer puis un délicieux frisson parcourut tout son corps, deux elfes du soleil venaient de faire leur apparition dans le registre. Elle réprima un sourire malveillant, s’excusant auprès de Corellon pour les pensées négatives qui à ce moment précis affluaient en elle. On ne pouvait pas dire que jusqu’ici ceux qui affirmaient appartenait à la noble race des Ar’Tel’Quessir, étaient des modèles de représentativité de leur peuple. Avec une délicatesse faîte elfe, la gardienne referma le précieux ouvrage et plissa les yeux. Elle passa outre le premier elfe, pour le moment et se concentra sur le second elfe doré. L’image d’un elfe du soleil se matérialisa dans son esprit et elle se rendit compte qu’elle connaissait le nouveau venu. Son nom l’interpellait, il était donc temps qu’elle le rencontre afin d’en avoir le cœur net.

Et l’instant qui suivit la silhouette éthérée de la gardienne du Kiira fit son apparition dans la salle commune de la taverne, elle ne prêta guère attention aux êtres qui virevoltaient autour d’elle dans un désordre bruyant qui heurtait sa sensibilité, son regard couleur acier pailleté d’or se riva sur un seul être et un sourire ourla ses lèvres tandis qu’elle s’approchait.

- Mon enfant, quelle joie de voir un des descendants d’un des plus puissants clans du Cormanthor venir nous rejoindre. Je te souhaite la bienvenue en ces lieux et te ferais grâce des habituels conseils qu’on te donne ici bas.

Pour ceux qui connaissaient la Guetnorn, le ton chaleureux dont elle faisait preuve était une première mais il ne fallait pas s’y fier.

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Elle cessa de parler en elfique puis se rapprocha encore un peu plus, sa main caressa avec délicatesse le visage de l’elfe du soleil puis elle murmura une prière à Corellon pour qu’il guide ce quessir dans sa nouvelle vie et enfin elle le salua selon la coutume elfique.

- En attendant, Eau pure et Rire léger Aël’Thelàwërith jusqu’à notre prochaine rencontre, que la Seldarine veille sur toi.

Et la Guetnorn recula en souriant une nouvelle fois, elle le reverait et quand son visage se tourna vers le second Ar’Tel’Quess, elle ne souriait plus, pire, son regard flamboyait. Elle se dirigea vers lui.