Le vol d'un jambon par le chien Tronch a causé une rencontre impromptue devant la Taverne des Girolles de la ville de Brost, entre d'une part sa récente maîtresse Enwel, Stor Mousseracie et Thojan, et d'autre part les gardiennes sylvestres Lyn'Vel'Atria, Sève, et ses deux loups.
A Lunargent, la capitale des Marches, pourtant protégée par le mythal des Sentinelles, l'impensable se produit... Dans une ruelle, un vieil orque agresse une jeune elfe, la laissant à l'agonie.
Ou peut-être que non.
Témoins, puis alliés des autorités locales, une bande d'aventurier réuni par ce coup du sort (dont un drow ayant l'appui d'un dignitaire local, ayant ainsi pu passer les Sentinelles) va mener l'enquête.
Se trouvera que l'orque n'était pas fautif, mais tentait de sauver la jeune elfe, désormais empoisonnée par un étrange poison qui, peut-être, ne lui était pas destiné. Engagé par la Garde d'Argent, ou plutôt le chef de la caserne du district ouest, Beiran Landruel, un vieil elfe au passé troublé et par ailleurs grand-père de la victime, ils iront de découverte étrange en découvertes étranges jusqu'à découvrir qu'un terrible complot se trame dans la ville.
Comment le mal avait il put entrer dans la Cité des Lunes ? Le mythal protecteur avait en vérité été corrompu pour ensorceler des esprits déjà faible.
Le soir même se déroulait la grande fête de l'été. Plus grandiose qu'à l’accoutumée, elle vit pour nos enquêteurs des révélations fracassantes : l'envoûtement se faisait plus puissant, des personnages de plus en plus influents se faisait avoir. Mais il semblait aussi ciblé, pour créer la discorde dans la ville cosmopolite.
Alors que le complot se faisait tentaculaire, les enquêteurs devinrent les francs-tireurs. Et par la même, les appâts des dirigeants des Marches qui se trouvaient face à leurs propres faiblesses...
Après avoir découvert que le noyau du complot se trouve probablement dans une ancienne citadelle fey'ri loin à l'est, dans la Passe de la Pierre-Tournante, les aventuriers partent en quête. Pas seul. Les autorités des Marches ont mis en place un plan pour qu'ils puissent atteindre leur but, persuadé que malgré leur puissance relative (par rapport à eux même) ils sont les plus à mêmes de résoudre l'affaire, ou tout du moins de trouver cette Citadelle. Cela ressemblait fortement à un envoi direct au casse-pipe.
C'est en même temps que d'autres groupes déguisés magiquement pour ressembler trait pour trait aux aventuriers qu'ils se mirent en route. Chaque groupe pris une direction différente, et certains finirent mal...
Une fois le champ d'action du mythal de Lunargent dépassé, la maîtresse supposée du complot (une matriarche drow cherchant non seulement à gagner du pouvoir mais à se venger du vieux Beiran, qui des années plus tôt avait procédé à une vindicte dans l'Outreterre) ne pouvait plus exercer son action corruptrice.
C'est d'autres dangers qui se tinrent devant eux. Mais le plus marquant fut la perte de l'un de leurs alliés. Alors qu'ils allaient vers Sundabar, ils assistèrent au combat entre un géant des nuages et un Prodige des Profondeurs. Le cataclysmique combat fit s'écrouler un pan de terrain entier au cœur des Montagnes du Nether, entrainant leur ami nain avec eux.
Plus tard, à Sundabar, une stratégie risquée fomentée par Boreg (du moins c'est ainsi qu'il se présenta), les transforma encore une fois en appât. Les mercenaires servant dans le complot, drows, orques, duergars, gobelins et humains, qui pensaient avoir investis discrètement la Citadelle naine, furent massacrés par les forces de la cité après avoir été enfermé dans le Hall, alors même qu'ils allaient eux même passer à l'action.
Certain gardien sylvestre sont à faire une réunion secrète quand soudain une intrusion trouble leur assemblé. Manquant d’un item pour que la transmission du message puisse passer, l’interférence trouble la réunion laissant que quelque bride du message. Une entité tente de passer un message pour le reste de l'aventure. Cependant, une brèche fut ouverte dans la chaumière près du Saule, une brèche qui laissera un passage possible pour les gardiens. Reste à trouver comment une porte pourrait être réalisé dans la grande salle.
La table de bois de la grande salle va doucement ce mettre à vivre et à posséder certaine faculté.
En pleine nuit, un raid de koalinth sema la panique sur les quais de la cité de Telpir. La réactivité d'aventuriers de passage limita les victimes et fit payer cher leur audace aux pilleurs, mais les koalinths s'enfuirent dans la mer avec un paquet suspect déniché dans un entrepôt. Pour les habitants locaux, un groupe de héros venait de naître.
Quelque part dans la région de Valpronfond, à l'Est-Nord-Est de Hautelune, environ une journée de marche se trouve un endroit particulier. A milieu de nul part, il existe un lieu remarquable. Il s'agit d'un gros cratères formé il y a des siècles de cela. Les pentes qui rejoignent le fond de la dépression sont relativement abruptes. De ci et de là, se trouvent quelques pistes qui permettent d'y descendre sans risquer de rompre le cou. Dans le fond du cratère s'est formé un vaste réseau de marais. La nuit, des sortes de feu-follets émettes des lueurs verdâtres. Il s'agit de nappes de gaz retenue sous l'eau.
Le 3 Tarkash 1373, un petit groupe d'aventurier se trouve sur les bords du cratère lorsqu'un dragon vert qui chassait provoqua la fuite d'à peu près tout ce qui vivaient dans le sillage de son passage pour se jeter dans le vide afin de fuir le wyrm. Ce dernier en survolant le cratères souffla un jet d'acide. Lorsque l'acide entra en contact avec le gaz, une formidable explosion eut lieu. Le fond du cratère fut soulevé et libéra une grande quantité de gaz.
L'explosion due s'entendre à des lieues de là, mais ce cratère n'est pas le plus remarquable. Il existe là un sanctuaire sacré gardé par un Baelnorm, un mort vivant elfique qui garde le tombeau. Il s'appelle Jêvýanllá Lìyllælonná. Il s'agit d'un descendant du clan Audrak veillant sur ce lieu depuis plus de cinq siècles. Lorsqu'il était plus jeune, Jêvýanllá quitta Semberloge pour intégrer l'Akh'Velahr de Myth-Drannor. En tant que mage, il rejoignit l'Ahk'Faern, l'armée des Art. Servant de façon plus qu'honorable, il gagna ses galons de Faernii peu avant la Guerre des Pleurs. En l'an 680 selon le calendrier des vaux, Jêvýanllá fut recruté par le conseiller Phraan, il intégra secrètement les rangs N'Vaelahr. C'était peu après l'époque où Josidiah Starym rapporta l'épée Ary'Faer'Kerym l'épée des Arts. et décida de devenir le Major des Sorts des Akh'Faer. Il participa activement à la Guerre des Larmes. La Première Ombre, Amara Ildacer confia l'escorte de ressortissants de Myth-Drannor pour les conduire sur une petite Île proche de Semberholme. Là-bas se trouvait le temple d'Iilor Thr'ess dédié à Labelas Enoreth. On y trouvait surtout un portail permettant de rejoindre Eaerlann, plus connu maintenant sous le nom de la Haute-Forêt. Le temple et le portail existe toujours, mais le nom de l'île a changé pour devenir Mythdaë, la Cité Blanche. Cette cité a été récemment reprise et ce sont les Gardiens Sylvestres qui la garde.
Malheureusement le détachement mené par Jêvýanllá fut piégé par l'armée des ténèbres. Usant de sa magie, le N'Vaelahr créa une illusion pour faire croire que les réfugiés se rendaient. Tombant dans le piège, les forces ennemies encerclèrent le faux détachement, alors que le vrai poursuivait sa route. Jêvýanllá pratiquant de la Haute Magie elfique attendit le bon moment pour briser son bâton d'archimage provoquant une terrible explosion qui balaya tout sur son passage pour ne laisser qu'un énorme cratère. Vers 821 CV, il fut rappelé d'entre les morts pour recevoir la mission de retourver, rassembler et veiller sur les dépouilles des fondateurs du N'Vaelahr. Ainsi repose en ce sanctuaire les restes du Arfaern Aolis et de son épouse Amara Ildacer ainsi que le Major des Armes Kelvhan Olotynnal. Jêvýanllá cherche encore les restes d'Ualair le Silencieux. Il est parfaitement conscient que d'aucun considère les N'Vaelahr comme des traîtres à la cause suite aux événements de la Trêve des Araignée qui s'acheva tragiquement.
L'ancien Teu'Tel'Quess Jêvýanllá Lìyllælonná veille sur le tombeau. Il était un fervent partisan du Coronal Eltargrim Irithil et accepte toutes les races pour peu qu'elles ne soient pas maléfique et qu'aucun de ceux qui se présente à lui ne cherche à piller le tombeau. Les aventuriers qui le croiseront pourront obtenir de l'aide, souvent à la condition d'entrer en une sorte de communion avec le Baelnorm qui cherche des informations sur l'époque contemporaine. D'une part pour se tenir informé et d'autre part il garde l'espoir de pouvoir localiser les restes d'Ualair le Silencieux.
Notes aux MD :Le masque du PNJ Jêvýanllá Lìyllælonná existe déjà. Jêvýanllá garde des trésorts, certains son les reliques ayant appartenues aux fondateurs des N'Vaelahr et resteront inaccecibles. Mais il y a bien d'autres objets merveilleux, armes et armures magiques qui peuvent être données.
Dans la salle devant les portes des enfers, la miniature serrure dans la porte de cristal, disparut, la fille bâtarde de Domel, Syrynya, avait scellé celle-ci à tout jamais, maintenant il faudrait un artefact de haut niveau pour ouvrir les portes des enfers du fort et ce dernier artefact était éparpillé ici et là sur Toril et sur différents plans. Neuf morceaux sont ainsi éparpillés. Le sceptre des neuf est composé de deux bâtons de pied, l’un en bois de chêne blanc, l’autre de frêne, un anneau d’or sépare les deux, un autre anneau d’argent sépare les deux bâtons de corps avec ceux de pied, un anneau de platine sépare les deux bâtons de corps qui pour l’un est fait d’acacia et l’autre de sureau, un bracelet d’un mélange de cuivre, de brasse et d’étain sépare le dernier bâton de corps et la tête qui est faite d’un panache de cervidé à neuf pointes.
Rencontre fortuite dans l'auberge de la Folie du Géant, proche de Reddansyr, alors que son propriétaire, Orlack Mantis, finit de préparer la proue, privatisée par le gratin des Astoriens pour une réunion surprise.
L'arme était moins aérodynamique d'un troll des montagnes, la cible n’était pas toute proche, mais surtout, le lancer de Virgile manquait singulièrement d'ajustement. Il s’écrasa lourdement sur le crane du serveur resté derrière le bar, qui tourna des yeux ronds vers Virgile, le regardant dans un mélange de peur de d’incompréhension.
Les Masques de la Nuit de Port-Ponant bloquent dans la Folie du Géant les éminents membres de la guilde des Astoriens rassemblés dans la taverne pour une réunion. S'ensuit une liquidation en ordre de la tête de la guilde des Astoriens par une armada de Porteurs de Mort. Les aventuriers s'interposent pour sauver de justesse un Astorien alors qu'une brume mortelle s'abat sur la taverne. Ils se sauvent par le trou creusé par Arakh dans la coque, suivant de près le tavernier Orlack Mantis. La Folie du Géant est mise sans dessus dessous et son intérieur partiellement incendié, mais sa structure tint bon.
Probablement motivé par ses précédents ratés, dont un jet de pichet malheureux, le monial fit mouche : la pierre fusa jusqu'à la tempe gauche de l'homme-araignée, qui lâcha un juron bien trempé.
La demeure d'Orlack Mantis, tavernier de la Folie du Géant était investie de Porteurs de Mort des Masques de la Nuit, le prêtre d'Oghma l'avait bien senti. Etait-il plus heureux de se débarrasser de ces demi-vampires, ou du bien de Orlack qui lui volait la vedette depuis longtemps comme plaque tournante de l'information de la région ? Toujours est-il que le prêtre employa les grands moyens, et la maison fut prise dans une tempête de feu. Il n'en resta rien, pas même les galinacés qui gloussaient joyeusement quelques instants plus tôt.
Un étrange liseré de lumière attira l’œil aguerri des aventuriers, qui finirent par entrer en trois salves dans une tente aux allures des bédouins de l'Anauroch. Ravio, ce gnome archiviste, allait les entraîner dans l'exploration d'une tombe d'un Vizir du Calimshan oubliée pendant un millénaire, non sans avoir d'abord à traverser trois jour de désert inhospitalier.
Après deux nuits et soixante-dix kilomètres de voyage en Anauroch, les compagnons arrivent en vue de l'oasis où Masulk fut autrefois enterré. Virgile partit l'explorer, alors que les autres préparèrent le camp et prirent du repos pour le lendemain, qui verrait l’ouverture de la tombe, pour la première fois depuis un millénaire.
Baelnar Longsouffle, rusé amiral issue du Lantan, a pendant des années réunis forces et argents pour créer une flotte expéditionnaire visant à explorer la mystérieuse Anchorome, loin à l'ouest, plus loin même qu'Eternelle-Rencontre. Seul le célèbre Balduran a réussi a y poser les pieds, et même la magie ne semble pas obéir aux mêmes lois.
En ce matin, la Flotte de sept navires part à l'aventure.
Après plus d'un mois de voyage, et avoir croisé la route de créatures marines fort peu aimables, la flotte, endommagée mais encore flottante, arrive en vue des côtes du mystérieux continent non sans être amputée de deux de ses frégates.
Après une fouille approfondie de l'oasis, quelques fruits, puis l'invocation d'un gardinal, les compagnons finirent par découvrir, dégager, puis ouvrir la porte de la tombe, non sans avoir déjoué une glyphe de garde, et résolu une énigme à base des quatre éléments.
Alors qu'elle était embarquée sur un navire en partance, une large caisse s'est brisée et a libéré une bête sauvage dans le port de Telpir. Le lion qui s'y trouvait a semé la panique, et c'est de justesse que les aventuriers sont parvenus à l'abattre: Laeylan et Eka faillirent y laisser la vie. Après le combat, l'enchanteur Gorstal Hammers a reproché aux combattants d'avoir tué la créature, et les a endormis pour le compte.