Intro Sabetha et Metzli Arnesen, Premier contact avec Sir Rik de la Tour

La magicienne se déplaça au dessus du trou avant de jeter un oeil sur Metzli et Nimuë. L'une comme l'autre n'était pas dans un état très enviable. Alors que le combat disparaissait de ses veines, la brûlure de l'acide se faisait plus douloureuse.

Sa main au dessus de la blessure, elle murmura les mots sacrés invoquant l'énergie positive. Le flot de soin pénétra dans son corps, les lésions disparurent rapidement alors que quelques autres petites blessures disparaissaient ci et là.

Elle redoutait que la créature ne les rattrapent, mais d'un autre côté, elle était dans un sale état, et doutait qu'elle en soit capable... les Chevaucheurs d'Enfer devraient multiplier les patrouilles. Elle se posa à côté de Metzli, et lui sourit.

- Inutile de le poursuivre sur son terrain, nous risquerions plus nos vies que la sienne... surtout si il n'est pas seul. Rejoignons la ville, il y a plus urgent. Il y aura toujours des ankhegs, mais le problème Rik, lui, est solvable !

Son combat n'avait pas été vain, elle se sentait... plus puissante, le feu en elle semblait à la fois plus dominé et plus puissant. Sa maîtrise du plan ardent s'améliorait, c'était certain. Elle rejoint Nimuë.

- Allons y, si cela vous va.

Je me suis permis de lancer mon dé de soin

Lancers...

Sabetha - Jet de soin (Soins modérés) : [5+8](2d8)+8 = 21

ython, V 1373
Temps : Soleil levant
Heure : Debut de journée

Le combat avait été rude et les trois femmes eurent de la chance de s'en tirer en un seul morceau, le choix de ne pas poursuivre la créature fut sûrement le plus judicieux.

Le trajet pour rejoindre Elturel fut assez long et elles y passèrent une bonne partie de la nuit pour enfin réussir à rejoindre les portes de la cité. Les gardes n'eurent aucun mal à les laisser passer, en effet cette ville carrefour pour des nombreux marchands était l'une des plus sûres qui soit, il était rare d'y avoir des ennuis du moins tant qu'on évitait le quartier portuaire qui était plutôt mal famé la nuit.

Les portes passées elles se trouvèrent dans le quartier marchand, les établis commençaient à être montés par les vendeurs et peu à peu l'agitation du marché commençait à s'installer.
Elles étaient extenuées mais si besoin y était c'était l'occasion pour elles de se délester de quelques pièces d'or dans les nombreux étalages du quartier marchand et de ses boutiques.

Deux boutiques sortaient du lot "Le recoin de l'aventurier" et "La boutique des arcannes" sinon des nombreux étalages avec des denrées alimentaires étaient distribués un peu partout sur la place du marché. Malheureusement, aucune taverne n'était présente dans ce quartier...


Vous êtes dans le quartier du marché vous n'avez pas connaissance des autres quartiers mais Nimue elle connait pas mal de coins intéressants et vous servira de guide. Elle vous fait savoir qu'elle doit dans les jours qui viennent aller faire son rapport au temple vous serez les bienvenus si vous le souhaitez.

Cliquez ici pour dérouler le parchemin...

Quartier du haut salon :

* Le salon du bouclier temple de Helm
* Le foyer de la grande collecte, temple de Chauntea
* Sactuaires d'Ilmater, Tempus, Tymora et Waukeen
* Maison d'hondakar, (taverne assez chic)

Quartier du Jardin de l'hiver :

* Guilde des Héros
* Maison de Symbril (taverne)

Quartier des cascades :

* Maison de Dathlyr
* Maison de Shandeir

Quartier du marché de Shiarra :

* Boutique des arcanes
* Le recoin de l'aventurier
* Mither Mandaroze


Quartier des docks de l'oeil du dragon :

* L'Unicorne de Phontyr (taverne)
* Maison de Galowglar (taverne)
* Maison de la Charrue (taverne)
* Les bois noirs du cerf (taverne)
* Le casque brisé (taverne)
* Maison de Folehjar arbre en flammes

Metzli était arrivée fourbue à Elturel : non seulement la journée avait été épuisante et pleine d'émotions, mais en plus l'ensorceleuse n'avait plus l'habitude de marcher sur d'aussi longues distances depuis qu'elle avait acquis une monture. Dans l'esprit de la jeune femme, c'était le soulagement qui prédominait, le sentiment d'être passée tout près de grands malheurs.

- Eh bien, on dirait que nous sommes finalement tirées d'affaire ! Pour le moment, du moins... Merci encore à toutes les deux !

Malgré l'heure matinale, la ville semblait déjà animée à l'heure où Metzli ne pensait qu'à prendre du repos. Mais elle songea au fait qu'elle n'était pas seule dans le groupe : la pauvre Sabetha ne possédait plus rien en dehors de ce qu'elle portait sur elle et Nimuë avait sans doute des gens à contacter. Sans compter qu'il fallait s'informer sur ce cher sir Rik et sa bande avant d'entamer quoi que ce soit contre eux.

La jeune femme réfléchit, cherchant à définir ses priorités. Elle finit par déclarer :

- Je pense que je ne serai pas en mesure de faire grand chose d'utile sans un peu de repos. Cette petite merveille me permettra d'être sur pied bien avant midi...

Ce disant, elle désigna son anneau de subsistance qui lui permettait de réduire fortement ses temps de repos et de se passer de nourriture, à ses yeux l'un de ses meilleurs achats. Elle ajouta :

- Une chambre dans une auberge sûre nous permettrait également de nous délester de tout ce fatras. dit-elle en pointant du doigt l'équipement récupéré sur ses malheureuses montures. Connaissez-vous un hébergement de ce type en ville, Nimuë ?

La jolie amnienne poursuivit sa tirade en concluant :

- Naturellement, la proposition n'engage que moi. Et, si tu as besoin de fonds pour effectuer des achats, n'hésite pas à me demander ce dont tu as besoin, Sabetha.

Malgré la fournaise qui brûlait en elle, la magicienne était tout aussi harassée que sa consœur. Et, Metzli avait raison, pour le moment, ses fonds étaient tout simplement nuls. Ecoutant l'amnienne, elle réfléchit un instant. Elturel n'était pas une petite ville et l'honneur régnait en ses dirigeants. Comme elle se le disait depuis qu'elle avait décidé d'en finir avec Rik, il était peut-être possible de s'attirer l'aide des Chevaucheurs d'Enfers, par l'entremise de leur chef.

Mais pour cela, il allait falloir ressembler à autre chose qu'à une vagabonde.

- Si tu es prête à me payer ma nuit... , commença t'elle, par ailleurs il est possible qu'il me faille quelques effets en effet. Je suis sur qu'Elturel n'est pas si heureuse d'avoir Rik qui traînent dans les environs.

Elle regarda Metzli :

- Entre les chevaucheurs et les heaumites, je ne doute pas de trouver des alliés.

Quelques minutes passèrent, discutant avec Nimuë des possibilités. Elle se tourna vers Metzli.

- Hondakar me semblerait être une mauvaise idée vu nos accoutrements. De ce que Nimuë nous en dit, je porterais mon choix sur la Maison de Symbril. On pourra s'y décrasser, le quartier marchand n'est pas loin et cette... guilde, non plus.

Elle regarda ses deux amis, pendant que dans son esprit, elle cherchait les détails qu'elle connaissait sur la ville. Elle savait que le Seigneur Dhelt régnait et inspirait le respect, mais se rappelait elle d'autre chose ?

Je me suis permit de regarder dans le FRA correspondant. Hondakar et Symbril sont des auberges, pas des tavernes (Dhelt ayant interdit que les deux se trouvent dans le même bâtiment !). Du coup, en considérant qu'elle a parlé à Nimuë, elle opte pour la maison de Symbril. Ensuite elle avisera.

Il est possible que je pousse Sabetha a aller directement au Haut Hall , mais avant, elle essaiera peut-être d'obtenir de l'argent. Le temple de Waukeen pouvait servir de salle de prêt...

ython, VI 1373
Temps : nuit étoilée
Heure : Aurore


La maison de Symbril se trouvait dans le quartier des jardins de l'hiver cette auberge de classe moyenne était plutôt abordable et Metzli paya une chambre capable d'accueillir cinq personnes. Les trois femmes purent profiter d'un bain bien mérité et bien que l'ameublement fut plutôt rustique, les lits eux étaient de bonne qualité et leur sommeil s'avéra revigorant.

Quand Sabetha et Metzli émergèrent de leur sommeil, Nimue n'était plus là elle avait laissé un message accroché à la porte de la chambre leur indiquant qu'elle les attendrait dans deux jours au temple de helm. De plus, une récompense les y attendrait, pour les remercier de l'avoir aidée à s'en tirer vivante des cachots de Sir de la Tour.

Le service de l'auberge proposait aussi, inclus dans le prix de la chambre, le nettoyage des vêtements et bottes des voyageurs, elles purent ainsi se revêtir d'habits propres et de bottes cirées. L'aubergiste leur proposât aussi un service de gardenage pour stocker leurs objets dans le sous-sol dans un coffre privé dont-elles pourraient garder la clé. Le service bien qu'un peu cher était plutôt intéressant et elles devraient juste faire l'avance d'une pièce d'or pour chaque semaine.

Elles pouvaient dorénavant se rendre dans les quartiers du temple ou ceux du palais, cependant il était encore très tôt et il ferait encore nuit pour au moins une heure...

Dans la salle principale de l'auberge, l'hôte préparait la salle pour servir les petits déjeuners à base d'oeufs brouillés et tranches de lard grillées.

Il leur fallait maintenant décider de ce qu'elles feraient de la journée qu'elles avaient devant-elles, puis peut-être qu'elles pourraient rejoindre Nimue au temple...

L'accueil qu'on leur avait réservé à la maison de Symbril fit chaud au coeur de Metzli après les épreuves qu'elle venait de traverser. Même si cela ne pouvait ni chasser de son esprit la perte de ses chers chevaux ni effacer les terribles découvertes qu'elle avait faites, le bain bien chaud et les heures de repos lui avaient fait un bien fou. Comme elles avaient un peu de temps devant elles, la jeune ensorceleuse en profita pour coiffer élegamment ses cheveux et pour ajouter une petite pointe de maquillage et de parfum sur son corps afin de parfaire son apparence.

Metzli était ensuite descendue dans la salle commune et aurait volontiers pris un déjeuner, mais elle n'en avait pas vraiment besoin, son anneau de subsistance pourvoyant à tous ses besoins. Elle avait par contre accepté la proposition de l'aubergiste concernant le coffre et décidé d'y placer tout ce portaient ses défuntes montures.

¤ Il faudra voyager léger... ¤

La jeune femme rachèterait probablement des chevaux : tôt ou tard elle en aurait bien besoin pour porter son matériel. Mais il était encore trop tôt, elle devait faire son deuil.

Rejoignant enfin Sabetha, elle lui demanda :

- Bien dormi ?

Sans attendre, l'amnienne ajouta :

- Que faisons-nous à présent ? Je te réitère ma proposition d'aller t'équiper : je ne suis pas richissime, mais je peux bien te prêter quelques milliers de pièces d'or pour te racheter un équipement de base. C'est fou qu'ils n'aient pas pris le temps de m'en délester. Je préfère ne pas imaginer ce que Rik voulait me faire après m'avoir réduite à sa merci...

Elle fit une moue contrariée en repensant au mauvais dont Sabetha l'avait tirée.

- La boutique des arcanes a un nom prometteur en tout cas ! Et après, direction le temple de Heaume ? Je suis déjà passée quelques fois par Elturel, mais je n'ai pas de contacts en ville... Je ne sais pas trop pù s'adresser pour trouver de l'aide...

Si la magicienne était étonnement résiliente, cette nuit confortable lui avait donné des yeux un peu bouffi de sommeil. Et si elle était descendu dans la salle commune avant Metzli, c'était pour s'assoupir à nouveau sur sa chaise, à côté du foyer où les braises ronflaient tranquillement. Concernant le coffre, elle n'avait de toute façon plus rien sur elle.

Ayant certainement emprunté une plume et de l'encre, avant de quémander un bout de parchemin, celui-ci était devant elle, à côté d'une tasse fumante, sa main encore suspendue au dessus du début de l'en-tête. Alors que Metzli l'apostrophait, elle put qu'elle le veuille ou non poser un œil sur le début de la missive :

Mon amour,
je comprends désormais les dangers que tu prends quand tu disparais, et cela ne m'en rendra que plus inquiète à l'aveni_______

Une longue rature terminait l'élégante queue du I, alors que la magicienne se réveillant en regardant Metzli. Elle posa la plume et pandicula de toutes ses articulations.

- Trop bien, je croiiiis, répondit elle en baillant, j'ai pris l'habitude des conditions peu amène ces dernières semaines.

Elle écouta l'ensorceleuse les yeux encore ensommeillés en sirotant sa tisane. L'une de ses narines s'agita.

- Leur fournisseur de mélisse est un arnaqueur, il la mélange à de la menthe sauvage pour faire baisser les prix. Bref. Je n'ai pas besoin de grand chose, une dague peut-être, sait on jamais. Et si nous voulons en référer à de plus haute autorités, je devrais trouver de quoi retrouver mon rang de naissance, au moins d'apparence. Mais peut-être pourrons nous nous en sortir avec une de tes robes. Et je vais devoir reconstituer une bourse à composantes.

Elle remonta les mèches qui tombaient sur son visage. Le matin faisaient ressortir ses tâches de rousseurs et, contrairement à l'Amnienne, elle n'avait du prendre qu'un temps relatif pour démêler ses cheveux.

- Je termine d'envoyer une lettre à ma femme, et je vais aussi en envoyer une à mon père. Peut-être connait il des gens ici, mais cela n'aura d'intérêt que si nous trainons en longueur. Ensuite, allons voir cette boutique, et explorer la ville. Quoique nous voulions faire ensuite, il nous faut comprendre quelles sont les intérêts des autorités et la politique locale. Et trouver les ennemis et alliés de cette saloperie de Rik.

Elle sourit à l'ensorceleuse.

- Et Masulk ne doit pas être loin, mais je ne sais pas où il est rendu pour le moment.

La magicienne se remit à écrire. Quelques dizaines de minutes plus tard, et après avoir empruntée sa brosse à Metzli, elle était prête à aller découvrir la ville, en commençant par la Boutique des Arcanes.

Les deux femmes bien repues se mirent donc en route pour la boutique des arcannes dont leur avait parlé Nimue. Elles durent tourner tout de même un peu dans le quartier marchand, même si les descriptions de la prêtresse furent assez bonnes, avant de trouver la dite boutique. En effet la boutique de l'extérieur ne payait pas de mine et on aurait pu s'attendre à un établissement un peu plus tape à l'œil. Au lieu de cela ils se trouvaient face à une petite échoppe dans un coin d'une petite ruelle qui passait presque inaperçue du moins de l'extérieur.

Cependant, à son entrée il y avait tout de même un vigile, un homme balafré au regard perçant habillé d'un ensemble de cuir et armé d'une arme exotique qu'elles purent aisément reconnaître comme étant un katana. L'homme était d'ossature moyenne, assez svelte aux muscles saillant et bien dessinés ses longs cheveux noirs étaient attachés en une couette à l'arrière de son crâne partiellement rasé.
D'un geste de la main il les invita à entrer tout en les mettant en garde de garder leurs mains dans les pôches. L'accent de l'homme et ses traits étaient clairement ceux d'un Shou.

Une fois entrés dans "l'échoppe" les murs semblèrent se distendre et le volume de la boutique était bien différent de ce que l'extérieur laissait croire. L'intérieur consistait en une vaste salle circulaire avec un monolithe, noir de plusieurs mètres de haut, en son milieu. Des courants de magie nettement visibles parcouraient la paroi polie du dolmen.
Autour des hommes en robe qui n'étaient autres que des bibliothécaires s'affairaient à ranger des volumes et parchemins dans des étagères circulaires disposées contre les murs de la salle et nettoyaient la poussière des précieux ouvrages.
Un escalier permettait de monter au premier étage, pour se retrouver au niveau de la pointe du monolithe. Dans cet étage on pouvait trouver un magicien en parure étincelante qui semblait changer de couleur par intermittence. L'homme d'un certain âge était chauve et avait un visage creusé par les rides. Cependant malgré son âge avancé certain ses déplacements et gestes semblaient fluides comme ceux d'un homme en pleine possession de ses moyens...

Dès que l'homme aperçut les deux femmes il les interpella et les invita à s'approcher.

- Bienvenues dans la boutique des arcannes mesdames, recherchez-vous un objet en particulier ou un ouvrage? Nous avons une ample collection d'objets de toute sorte à des prix imbattables et si vous ne trouvez pas votre bonheur je peux enchanter n'importe quel objet en votre possession...Ici la seule limite est celle de l'or dont vous disposez.

L'homme semblait dire vrai, car dans divers présentoirs vitrés, elles purent observer une multitude d'objets allant des armes enchantées à des amulettes, potions, un véritable trésor pour des aventuriers en herbe...

Comme Metzli, Sabetha semblait avoir retrouvé de l'énergie et le dynamisme qui la caractérisaient. Metzli l'imita et composa à son tour une lettre : celle-ci était destinée à son père. La missive mettrait sans doute un certain temps avant d'atteindre Athkatla, mais elle savait qu'il serait rassuré d'avoir des nouvelles, même si elle ne lui avait rien dissimulé de ses récentes mésaventures.

Elle était d'accord de prêter sa robe élégante à sa comparse, mais elle doutait qu'elle lui aille convenablement : Sabetha avait une demi-tête de plus et était moins frèle. Elle paraîtrait sans doute engoncée dans un vêtement étriqué. Le mieux serait sans doute de se procurer le nécessaire en ville, comme elle le lui conseilla.

Les deux jeunes femmes avaient gagné la boutique des arcanes où elles avaient été bien accueillies par le tenancier. L'ensorceleuse lui répondit courtoisement :

- La bonne rencontre ! J'accompagne surtout mon amie qui aura sans doute besoin de quelques petites choses. Pour ma part, je me contenterai de deux potions, l'une de vol et l'autre de soin.

La jeune femme avait conservé l'essentiel de son équipement et n'avait pas les fonds nécessaire pour demander que l'on enchante plus efficacement l'un ou l'autre de ses objets. Elle n'avait pas non plus envie de devoir quoi que ce soit au marchand et à son garde patibulaire. La potion de soin lui servirait à remplacer celles qu'elle avait consommée en chemin et celle de vol lui serait peut-être utile à l'avenir : l'ensorceleuse n'était pas prête d'oublier sa rencontre avec l'ankegh !

J'ai acheté les deux potions (vol et soins importants) qui se trouvent dans mon inventaire. J'ai un peu réorganisé celui-ci : tout ce qui est classé comme dans les fontes des chevaux reste dans le coffre de l'auberge. Le reste est porté.

Sabetha laissa Metzli présenter les choses, après tout, c'était elle qui détenait les fonds ce jour là. Puis elle sourit et s'inclina légèrement devant le vendeur.

- Pas d'enchantements, ni ouvrages aujourd'hui, messire. Je vais me contenter de quelques fioles et un rembourrage de mes composantes. Si vous aviez une dague, parfois la magie manque vous savez...

Elle suivit le vendeur en attendant les objets. Cela étant, elle était aussi commerçante parfois, et savait qu'il devait en entendre beaucoup.

- Un autre jour, nous aurions probablement été de meilleures clientes mais nous venons d'avoir affaire au Seigneur de la Tour. Je serais polie en disant que c'est un horrible personnage doublé d'un être dénué de morale mais passons... avez vous déjà entendu parler de lui ?

Si le vendeur était le gérant, il avait peut-être ses entrées au palais... elle ne risquait pas grand chose à tenter la chose.


Je me suis rajouté trois potions de soins léger (50 po/unite) et une dague (2 po). J'ai mis tout mes objets dans un "Coffre des Objets Volés" vu que je ne sais pas trop ce que tu comptes faire par la suite, et j'ai gardé les bagues. Je considère que la bourse a composante est désormais pleine.