l est évident que je voudrais bien récupérer mon épée, mais me baisser offrira à l'autre une attaque d'opportunité. Et ça je voudrais bien l'éviter. Avec mon bonus sacré et la défense totale, je monte à 26 de CA, mais je ne me sens pas encore à l'aise, surtout que j'ai déjà bien encaissé et que ce truc a un pouvoir d'étreinte (frappe = lutte automatique)
Vu l'allonge de la bête, l'action de retraite ne me permet pas de m'enfuir en toute sécurité (ce que je trouve un peu bête d'ailleurs, vu que c'est censé être l'objectif de l'action de retraite). Donc je préfère offrir une attaque d'opportunité en me déplaçant pour me sortir d'affaire (en supposant qu'une fois éloigné, il privilégiera l'adversaire le plus proche), plutôt qu'offrir une attaque d'opportunité en ramassant l'épée, et au prochain round devoir encore en subir une pour m'éloigner. L'idéal eut été que l'élémentaire l'encaisse, cette AO.
Si Grim estime que l'action de retraite me permet de "m'éloigner de 2xvitesse de déplacement sans provoquer d'AO de l'adversaire", je privilégie cette option, plus sûre. Peut-être que la formulation de l'action de retraite RAW ne permet pas ça, mais je dirais que RAI, c'était l'idée, et qu'ils ont pas pensé à des adversaires à allonge en l'écrivant.
Si par sa posture, je vois que le tendriculaire se protège et se met lui-même en défense totale (donc ne contrôle plus d'espace = plus d'AO), là Thojan fait un pas de placement, ramassage d'arme, et mouvement pour reculer.
Si le tendriculaire recule sous nos assauts (les autres continuent à lancer des pierres pendant quelques rounds en restant à distance de sécurité), il y a en aura bien un avec une vitesse de déplacement plus rapide que moi en armure qui pourra aller chercher mon arme tombée au sol sans se mettre en danger. Sinon tant pis, une vie vaut plus qu'une lame.
Je dirais bien que Thojan retarde son round d'action pour voir si l'élémentaire accapare suffisamment le tendriculaire pour que ce dernier ne puisse plus porter d'AO, mais c'est peut-être chicaner un peu trop. Roulons, jeunesse !