rénom :
Age : 32
Ville : Montréal
Jeux de rôle pratiqués : d&d3.5
Connaissances de D&D : Assez bonne, j'ai joué environ 3 ans à la version 3.5
Connaissances des Royaumes Oubliés : Moyenne : en ce sens, j'ai lu quelques livres des Royaumes oubliés et joué à certains jeux vidéos en lien avec les royaumes oubliés (Les baldur's gate et neverwinter de ce monde)
Je suis tombé sur ce site : (par un lien sur un site, en faisant une recherche, par un ami...) Je suis tombé sur ce vite il y a environ 10 ans... je m'étais inscris et je crois même avoir commencé une quête mais je ne me souviens plus où il est et j'ai préféré en créer un autre
(Et ce compte a été crée en 2016)
Fréquentation envisagée sur la taverne : Très régulière
Mes attentes par rapport au site : Que les gens prennent conscience que leur inactivité peut affecter le niveau de jouabilité des autres.
Quelques expériences par rapport au jeu par forum ? : Aucun, donc c'est assez nouveau pour moi.
Ébauche de mon personnage : Je voudrais incarner une roublarde humaine qui se sent bien dans la solitude mais qui ressent néanmoins le besoin d'être entourée de compagnons. Une aventurière qui recherche la richesse mais qui veut dépenser sa fortune afin de parcourir le monde. Je veux incarner ce genre de personnage qui adore la nature mais qui ne peut se passer d'un lit douillet d'une auberge de ville.
J'ai aussi une petite ébauche du physique et du mental (ceci n'est pas définitif) et certains éléments se répètent, désolée XD. Je vais également ajouter une petite bio!
Les commentaires constructifs sont les bienvenue
DESCRIPTION PHYSIQUE :Fine silhouette et d’une hauteur normale pour une humaine, Elizabelle arbore fièrement une chevelure noire ondulée impeccablement soignée. De ses yeux verts, son regard perçant communique avec les âmes de ses interlocuteurs. Son visage n’est ni gracieux et jolie, ni désagréable et laid. Son petit nez aquilin et ses badigoinces rabougries lui confèrent une apparence de jeune fille, malgré son âge. Sur son corps, il n’y a pas de signes distinctifs qui pourraient l’identifier : aucun tatou, aucune cicatrice et aucun stigmate.
Elle a appris, avec le temps, que les vêtements sombres et légers attiraient moins l’attention. Rester à l'abri des regards indiscrets permet de vous faufiler plus facilement d'un endroit à l'autre. C’est pourquoi elle porte une armure de cuir terni ornée d'un capuchon. Cet article de mode lui permet de se dissimuler le visage, en cas de besoin, et de se protéger des intempéries lors des longs périples. Le seul signe distinctif qui pourrait la trahir, un jour, est les durillons qu’elle a aux pieds dus aux longs voyages qu’elle parcourt et aux chaussures trop serrées qu’elle porte. Cela s'explique par son dégout irrationnel d'avoir les pieds détrempés. Effectivement, elle a en horreur de marcher les pieds mouillés.
Il est primordial de noter qu'Elizabelle a une hygiène personnelle irréprochable. Dès sa tendre enfance, sa mère était insistante pour qu’elle soit présentable en tout temps. Fille de marchands, ses parents avaient une vision très étroite et définie de faire les affaires : prendre soin de sa personne et de son hygiène personnelle reflète, ultimement, la capacité de prendre soin de son commerce. Ses ablutions matinales reflètent son caractère inhabituel pour une Chondathienne puisque la dévotion qu’elle porte pour sa personne tient plus du rituel religieux que de la prophylaxie. C’est pourquoi elle déteste voyager dans les marais, car elle se retrouve, la plupart du temps, encrasser par les éclaboussures d’eau marécageuse, sans parler de ses pieds qui s'imbibent de cette eau boueuse et des maladies qui s'y trouvent.
De sa petite carrure, elle démontre une agilité certaine au maniement des arcs. Son père lui a enseigné tout ce qu’il savait sur le maniement de cette arme à projectiles. Effectivement, il était primordial, lors de longs voyages, de se nourrir de la chasse.
DESCRIPTION MENTAL : Dès sa jeune enfance, Elizabelle a été élevée dans le monde du négoce et de la discussion marchande. Au premier regard, elle semble facile d'approche. Néanmoins, elle s'inscrit dans cette catégorie de gens qui se laisse approcher par les inconnus, mais qui garde ses distances, sans que rien ne paraisse. Cette jeune humaine chondathienne est de nature souriante et joviale. Amoureuse de l'aventure et de la nature, Elizabelle passe le clair de son temps à voyager en forêt. Elle se surprend à contempler, telle une jeune fille, les rayons de soleil qui transpercent les frondaisons tout en se laissant bercer par les échos de la forêt. Du moins, lorsqu'il n'y pas de danger à l'horizon. Mais rien de tout cela ne serait possible sans sa fidèle monture et compagnon de toujours : Babouche.
Elizabelle a un caprice envahissant : se laver tous les jours. Pour elle, il est crucial d'être propre et d'éviter de cocoter. Elle a horreur de marcher les pieds trempés. Donc, elle évite le plus souvent les itinéraires qui entrecroisent les marais. Néanmoins, elle adore la baignade et cela apporte une certaine contradiction à sa personnalité. La jeune humaine n'est fidèle qu'à elle-même : lorsqu'un individu ne lui est plus utile, elle ne s'encombre pas de sa personne. Elizabelle a horreur des gens qui cueillent des fleurs pour les donner à un être cher : aucune mort ne peut exprimer votre amour à l'être aimé.
La roublarde est constamment à la recherche de richesses afin de s'offrir des voyages à l'étranger. Cosmopolite dans l'âme, son désir le plus grand est de parcourir le monde en accumulant une fortune pour ses vieux jours. Elle veut vivre sa vie comme s'il n'y avait pas de lendemain et ne veut avoir aucune amertume sur son lit de mort. Comme elle dit toujours : «La vie est trop courte pour être prise au sérieux».
BIO
Elizabelle esquisse un sourire inviteur et vous fait signe de la main. -Voilà, je vais vous parler un peu de moi, comme convenu, dit-elle en souriant. Vous savez, je n’ai pas souvenir d’avoir eu, durant ma jeunesse, une maison familiale ou même d’un endroit que je pouvais appeler «chez moi».
Elle se frotte le menton, pensive.-D’aussi loin que je puisse me rappeler, ma famille a toujours voyagé de lieu en lieu pour faire du commerce. On ne restait jamais en place plus que quelques mois. Nous en avons vu du pays! Oh ça oui!
Elle remarque la ganse détachée de son bracelet de la main gauche. Elle pose son autre main sur le bracelet afin de la rattacher. Distraite un court instant, elle jette un regard aux alentours puis continu la conversation. -Ce n’était pas si facile que ça d’avoir une famille toujours en déplacement. Ne sachant jamais d’avance l'itinéraire, nous pouvions nous retrouver dans une position délicate. Je dois vous avouer que c’est un sentiment insécurisant pour un enfant. Mais il faut croire que cela m'a enhardie puisque, maintenant, les longs périples ne me font plus peur. Désormais, je constate, au premier regard, ceux qui ne sont pas faits pour les déplacements. Des hommes fatigués et des visages déconfits, j'en ai vu des centaines.
Elizabelle lève son bras gauche et scrute son bracelet afin de s’assurer que le tout est bien fixé. Satisfaite, elle poursuit la conversation.-Mais ce qui me manque le plus, ce sont les moments que je passais avec mon père à espionner les autres marchands. Tapis dans l’ombre, nous étions de vrais petits sycophantes!
Elle lève les yeux vers le haut et rit doucement en se remémorant les souvenirs de son enfance.-Vous voyez, la concurrence était féroce et nous devions nous hâter pour vendre nos marchandises. En ce sens, il était primordial d’arriver avant les autres marchands. Mais surtout, avec la bonne marchandise. Inutile de vous dire qu'il est mal avisé, par exemple, de vendre du tissu dans une région productrice.
Elle se penche légèrement vers vous, sourit espièglement et prend une gorgée de sa chopine.-Donc, mon père m’emmenait faire des «balades nocturnes» comme il aimait si bien le dire. Notre but était simple : rester dans l’ombre et attendre que les autres marchands nous dévoilent leurs projets. La majorité du temps, nous étions témoins de conversations entre marchands. Et même, quelques fois, on dérobait des correspondances pour connaitre les points d’intérêts les plus importants de la période. Les serrures, ça me connait! Lorsque j'y repense, je m'aperçois que nous étions des margoulins.
Elizabelle prend un air un peu plus sérieux.-Puis, ma mère tomba malade. Je devais avoir 20 ans environ. Mon père n’avait d’autre choix que de s’établir et arrêter de voyager. Pour une fois, dans ma jeune vie, je pouvais dire que j’avais un «chez-moi». Un endroit à moi, mon havre de paix. Et puis, quelques années s'écoulèrent. Ce qui est étrange, c’est que je n’aimais pas cette vie sédentaire. Aussi paradoxal que ça puisse paraitre, le voyage me manquait énormément, moi qui avais tant souffert de la vie de marchand. Avec tout le chemin que j'avais parcouru, je voulais continuer sur cette route. Mais je désirais être libre de mes agissements, de mes allées et venues. Je me suis donc dissociée du commerce de mes parents. Eux qui avaient d’autres projets à mon égard, c’est avec une immense déception qu’ils ont vécu mon départ. Je ne pourrais jamais payer ma dette envers eux... jamais.
Elle termine le fond de sa chopine puis la dépose sur la table et grimace au gout de la lie. -Depuis ce temps, je parcours les contrées. Pour être honnête, je suis toujours à la recherche d’un travail pour payer mes dépenses. Je sais me faire discrète.
Elle vous fait un clin d’œil et termine en souriant.-En espérant vous revoir un de ces jours!